Bon à savoir
En voilà certaines qu’on attendait avec impatience à la Plagette depuis près de trois ans.
Elles sont arrivées la semaine dernière. Elles sont neuf. Elles flottent en ondulant dans l’air comme elles le feraient normalement dans la lagune qui se trouve à quelques mètres.
Elles, se sont les fameuses daurades miroirs de la sculpture de Dominique Doré installée sur les bords de la Plagette, face à la Pointe Courte, depuis 2009. C’est lors de cette première édition du festival du quartier « L’art prend le large » que François Commeinhes lui-même a repéré l’œuvre qui a ensuite été rachetée par la Ville.
Depuis, le vent, le sel, les affres du temps et des intempéries ont eu raison de l’œuvre d’origine qui s’est lentement rouillée. L’oxydation de cette sculpture métallique a fortement endommagé les poissons, leurs miroirs, mais aussi les pieds de la structure.
Les habitants du quartier, amoureux de cette identité emblématique qu’ils considèrent un peu comme « leur Tour Eiffel », et l’association de la Plagette menée par Micheline Repetto, sont à l’initiative de cette rénovation. Mais après concertation entre tous, le vote s’est finalement porté sur la réalisation d’une nouvelle sculpture faite à l’identique, toujours par l’artiste Dominique Doré, assisté d’un ferronnier d’art. Le service Culture de la Ville a permis de financer la totalité des travaux.
Suite à la désinstallation de l’ancienne sculpture des daurades miroirs, la nouvelle œuvre a été mise en place au même endroit sur le quai de la Daurade, le bien nommé. Et la leçon a été retenue, puisque c’est en acier inoxydable polit de haute qualité marine que les petits poissons frétillent et virevoltent désormais, sans craindre jamais de se faire pêcher, et ça, pour très longtemps…
Bien qu'il y ait déjà une journée mondiale du livre et du droit d'auteur (célébrée le 23 du mois d'avril), on mentionne l'exstence d'une autre journée mondiale du livre, connue essentiellement sous son nom anglais, bien qu'elle se réclame de l'UNESCO... elle serait célébrée dans plus de 100 pays.
World Book Day
Difficile de se faire une idée définitive sur la pertinence et la portée de cette journée, aussi laisserons-nous les plus sagaces d'entre-vous (ou ceux qui ont lu de nombreux livres) le soin de se faire leur propre opinion et, pourquoi pas, nous apporter leurs lumières...
Aller plus loin :
Plusieurs membres du troisième syndicat agricole français se sont installés ce vendredi 1er mars au pied de l’Arc de Triomphe. Ils y ont disposé des ballots de paille, rapporte notamment Le Parisien.
La colère des agriculteurs n’en finit plus de gronder. Aux alentours de 5 heures ce vendredi 1er mars, plusieurs membres du syndicat agricole Coordination rurale ont disposé des ballots de paille sur la place de l’Étoile qui entoure l’Arc de Triomphe à Paris, rapporte Le Parisien. À la vieille du week-end de clôture du Salon de l’agriculture, les agriculteurs continuent à vouloir faire entendre leur voix.
Selon Orange.fr
Dans un message posté sur X (anciennement Twitter), le troisième syndicat agricole explique ainsi avoir pris "symboliquement et pacifiquement l’Étoile". Dans une deuxième publication, il annonce "converger vers Paris".
Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/colere-des-agriculteurs-la-coordination-rurale-bloque-la-place-de-l-etoile-a-paris-magic-CNT000002cG883.html
Vendredi 1er mars 2024, de nombreux changements sont attendus dans le quotidien des Français. Du prix du tabac à celui du gaz en passant par la nouvelle loi Egalim 3 pour les promotions des produits d’hygiène, Orange Actu fait le point sur les nouveautés du mois de mars.
Chaque début de mois est synonyme de changements dans la vie des Français et des Françaises. Vendredi 1er mars 2024 n’échappera pas à la tradition. À partir de cette date, le RSA sera lié à une activité de quinze heures par semaine dans 47 départements. Il était expérimenté sous cette forme dans 18 départements depuis 2023, rappelle le HuffPost, avant de passer à 47 départements ce vendredi. Ces quinze heures d’activités par semaine ne peuvent pas être du bénévolat, mais il peut s’agir d’une immersion en entreprise ou de l’obtention du permis de conduire, précise le site Service-Public.fr.
Selon Orange.fr
En parlant de permis de conduire, le passage du permis de la boîte automatique à la boîte manuelle va être simplifié. Désormais, les titulaires du permis boîte auto n’auront plus à patienter trois mois pour la formation de sept heures à la boîte manuelle, puisqu’elle va être supprimée. La formation sur simulateur durera désormais une heure, contre deux heures précédemment. Il sera désormais possible de conduire avec le certificat du permis de conduire et l’attestation de la capacité à conduire.
Le prix du gaz baisse et celui du tabac augmente............................. Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/pensions-de-retraite-rsa-prix-du-gaz-titres-restaurants-ce-qui-change-au-1er-mars-2024-magic-CNT000002cFe3J.html
Selon France Info :
Le casting se précise. Les élections européennes se dérouleront le 9 juin en France et la plupart des partis français ont déjà choisi leurs têtes de liste. En votant pour celle de leur choix, les électeurs français enverront à Strasbourg (Bas-Rhin) 81 eurodéputés, sur les 720 membres qui composeront le prochain Parlement européen. Les sièges seront distribués à la proportionnelle du nombre de voix recueillies pour les listes obtenant au moins 5% des suffrages.
Lors du dernier scrutin, en mai 2019, le Rassemblement national (RN) était arrivé en tête des suffrages avec 23,34% des voix, contre 22,42% pour la liste de la majorité présidentielle, selon les résultats définitifs publiés par le ministère de l'Intérieur. Les sondages réalisés jusqu'à présent donnent toujours le parti de Jordan Bardella en tête. Mais ces intentions de vote peuvent encore évoluer, au fur et à mesure que les partis choisissent leurs têtes de liste. Franceinfo fait le point sur celles qui sont déjà connues et celles qui restent à définir................
Le Dal Sète Bassin de Thau relaye un communiqué de MARIE-HÉLÈNE LE NEDIC
"Alors que l’on célèbre les 70 ans de l’Appel de l’abbé Pierre à la nation française au cœur d’un hiver rigoureux, la 29 e édition de « L’État du mal-logement en France » tire un constat alarmant."
Communiqué de l'association ALT - Alerte LGV Thau
La 14e édition du salon « S'expatrier - mode d'emploi » a lieu le 6 mars 2024 (de 9h à 18h) à la Cité Internationale Universitaire de Paris (17 boulevard Jourdan). À cette occasion, Aurore Daux (de la Direction des Français à l'étranger et de l'administration consulaire du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, co-organisateur de ce salon), a répondu aux questions de Service-Public.fr sur les démarches à accomplir pour préparer efficacement son expatriation ou son retour en France.
Quels sont les grands sujets auxquels doivent veiller les personnes qui souhaitent s’expatrier ? Par où commencer ?
Une fois que mon projet d’expatriation est correctement défini (choix du lieu, raisons du départ, départ seul, en couple ou en famille…), il faut bien sûr m’assurer que mon titre de voyage est toujours valide (passeport ou carte nationale d’identité) et vérifier le droit au séjour local (le type de visa dont j’ai besoin en fonction de ma situation). Il faut également vérifier que je dispose bien d’une couverture sociale et d’une assurance rapatriement. Avant mon départ, je veillerai à avertir les impôts, la CAF et/ou la caisse de retraite notamment.
Pour éviter toute déconvenue, avant mon départ, je me renseigne bien sur les conditions de vie sur place. Pour cela, je peux notamment consulter les Conseils aux voyageurs du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères qui me permettront d’obtenir toutes les informations sur les risques sécuritaires et les conditions sanitaires du pays. Je consulte également le site de l’Institut Pasteur pour connaître les vaccinations conseillées avant le départ.
Lorsque je m’installe dans le pays, je remplis les formalités de résidence locales et je m’inscris en ligne au Registre des Français établis hors de France auprès de mon consulat.
Les consulats se tiennent aux côtés des ressortissants français pour l’ensemble des démarches qu’ils pourraient avoir à effectuer à l’étranger. Que ce soit pour des actes d’état civil (une naissance à l’étranger par exemple), des actes de la vie courante (délivrance de passeports ou de cartes d’identité, élections…), ou bien encore pour obtenir un accompagnement sur le plan social ou dans le cadre de la protection consulaire, les usagers peuvent se tourner vers l’administration consulaire.
Après une longue expatriation, lorsqu’on rentre en France, quelles sont les démarches à entreprendre impérativement ?
Le retour en France après une expatriation s’anticipe. Idéalement, il aura même été réfléchi dès le départ à l’étranger. À mon retour :
- je prends toutes les dispositions pour ouvrir les droits à l’assurance maladie, et à l’assurance chômage si j’y ai droit ;
- je signale mon retour auprès de l’administration fiscale ;
- je m’inscris sur les listes électorales de ma commune ;
- le cas échéant j’inscris mes enfants dans une école en France, etc.
Pouvez-vous nous indiquer les actions menées par France Travail sur le sujet de l’expatriation ?
France Travail agit sur 3 plans :
- Tout d’abord, France Travail dispose de 7 équipes mobilité internationale, accompagnant les demandeurs d’emploi souhaitant aller travailler à l’étranger. À ce titre, France Travail fait partie du réseau EURES (EURopean Employment Services), qui fête cette année ses 30 ans et qui a pour objectif de faciliter la circulation des travailleurs en Europe en facilitant les mobilités professionnelles.
- France Travail Services accompagne par ailleurs les candidats à la mobilité internationale sur le champ de l’assurance chômage (que ce soit pour conserver ses droits à chômage si l’on part travailler en Europe, ou pour s’assurer leur ouverture après un retour de l’étranger).
- Enfin, France Travail accompagne également les Français qui souhaitent préparer leur retour en France (formations professionnelles en France, conseils pour la recherche d’emploi).
Quel est le programme du Salon « S'expatrier - mode d'emploi » ?
L'entrée au salon « S'expatrier - mode d'emploi » est libre et gratuite, sur inscription. Lors de cet événement, vous pourrez assister à différentes conférences ayant notamment pour thème :
- préparer sa retraite lorsqu’on travaille ou vit à l’étranger ;
- la protection sociale (partir couvert et serein) ;
- s’expatrier en famille.
Vous pourrez aussi obtenir des conseils personnalisés auprès de professionnels en naviguant entre 4 pôles :
- un pôle « juridique et fiscal », avec notamment des représentants de la Direction des impôts des non-résidents et des notaires ;
- un pôle « social », avec la présence du Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale (CLEISS), l’Assurance Retraite, l’Assurance Maladie, la Caisse des Français à l’étranger (CFE) mais aussi France Travail ;
- un pôle « éducation », avec l’Agence de l’Enseignement Français à l’étranger (AEFE) et le Centre national d'enseignement à distance (CNED) ;
- un pôle « destination », avec le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, l’Ambassade du Canada et la Délégation Générale du Québec. Et aussi
"Nos voisins allemands, italiens et néerlandais diagnostiquent trente maladies, quand en France, nous n'en sommes qu'à treize", déplore Philippe Plançon.
Selon France Info :
"La France est très en retard sur le diagnostic néonatal", pointe jeudi 29 février sur franceinfo Jean-Philippe Plançon, vice-président de l'Alliance maladies rares, collectif qui rassemble 240 associations de personnes atteintes de maladies rares. La ministre de la Santé et du Travail, Catherine Vautrin, doit annoncer des fonds supplémentairesen cette journée internationale des maladies rares, car touchant moins d'une personne sur 2 000, avant la présentation d'un plan au printemps.
Plus de 7 000 maladies rares ont été identifiées par la recherche, comme la mucoviscidose, la maladie de Ménière, la maladie de Huntington, la maladie de Charcot, la maladie de Crohn ou encore la myopathie de Duchenne pour les plus connues. Il n'existe de traitement que pour 5% d'entre elles, alors que trois millions de Français sont concernés.
Selon Météo France :
Avec un épisode de douceur très marqué en février, l’hiver 2023-2024 termine au 3e rang des hivers les plus chauds jamais mesurés en France, derrière 2020 et 2016. L’automne avait déjà été le plus chaud jamais mesuré dans notre pays. L’hiver météorologique, qui couvre les mois de décembre, janvier et février, correspond à la période la plus froide de l’année.
À l’échelle de la France et de la saison, la température moyenne devrait être supérieure à la normale d’environ 2 °C (moyenne de référence 1991-2020). L’hiver 2023-2024 se classe ainsi au 3e rang des hivers les plus chauds depuis le début des mesures en 1900, derrière l’hiver 2020 (+2,3 °C) et l’hiver 2016 (+2,1 °C).
Après un épisode hivernal du 8 au 20 janvier, la douceur s’est installée sur la France avec des températures dignes de la période printanière. Avec une anomalie de + 3,6 °C à l’échelle du mois, février 2024 est ainsi le deuxième mois de février le plus chaud jamais enregistré à l’échelle du pays, derrière février 1990 (+ 4 °C).
Depuis février 2022, tous les mois ont été au-dessus des normales, excepté avril 2023.
Très contrastée au fil des mois, la pluviométrie moyenne sur l’hiver est excédentaire sur l’ensemble des régions, à l’exception de la Corse et du Languedoc-Roussillon. En moyenne sur le pays, l’excédent pluviométrique atteint environ 10 % cet hiver.
L’hiver 2023-2024 est également marqué par un manque de soleil sur une grande partie du pays. Le déficit a atteint 10 à 30 % du Centre-Ouest au Bassin parisien et aux Ardennes. En revanche, l’ensoleillement a été conforme à la saison sur les régions méditerranéennes, et plus localement sur le sud de l’Alsace.L’impact du changement climatique
Cet hiver a connu une succession de périodes aux températures printanières, et de courtes séquences hivernales, avec très peu d’épisodes de neige en plaine et peu de gelées. La hausse des températures, conséquence du changement climatique, entraîne un raccourcissement de la saison hivernale : nos hivers sont moins froids qu’auparavant, les gelées durables et la neige en plaine deviennent de plus en plus rares.
L’état de l’enneigement dans nos montagnes est lui aussi une conséquence directe du changement climatique : il a été déficitaire voire quasi nul en basse et moyenne montagne (Vosges, Jura, Massif central, Corse et Pyrénées) sur une grande partie de l’hiver. Dans les Alpes, la succession d’épisodes perturbés, associés à une limite pluie-neige qui remonte à plus haute altitude, a entraîné un enneigement déficitaire à basse altitude mais excédentaire en haute montagne.
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