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Venez frissonner du 19 au 21 janvier lors des « Nuits de la lecture » dans les médiathèques de l’Agglo
Les six médiathèques de Sète agglopôle méditerranée vous accueille pour « les Nuits de la lecture », manifestation nationale initiée anciennement par le Ministère de la culture, puis depuis deux ans par le Centre National du Livre.
Lectures, spectacles, jeux, ateliers numériques, projections de courts-métrages, escape game… cet événement a pour vocation de promouvoir la lecture sous toutes ses formes, par le biais d'animations variées. Axée sur le thème de la peur, l’édition 2023 se déroule du 19 au 21 janvier dans les médiathèques de notre territoire, avec un temps fort le samedi 21 janvier au soir... Même pas peur !
►Tout le programme détaillé : https://fr.calameo.com/read/004119568e14fd5db90c3?page=1
L’Atelier de Pédagogie Personnalisée

Et si vous deveniez acteur de l’avenir de votre territoire ?

Travailler ensemble pour améliorer sans cesse la qualité de notre lagune. Le message de Sète Agglopôle
Communiqué de SETE AGGLOPOLE
"La qualité environnementale est au centre des compétences et de l’action de Sète agglopôle Méditerranée. L’étang de Thau et ses produits en sont un des symboles.
L’agglomération que nous connaissons aujourd’hui s’est articulée autour d’une attention particulière portée à la lagune, avec pour objectif premier de résoudre les problèmes importants que connaissaient cette lagune et les activités conchylicoles au début des années 2000.
A cette époque, pas si lointaine, la qualité des eaux de l’étang (on ne parlait pas de lagune) était excessivement dégradée. La zone de culture conchylicole subissait des quantités de rejets importantes. Les crises étaient nombreuses : contaminations bactériologiques, eutrophisations (malaïgues) destructrices de toute la production se succédaient et mettaient en péril l’activité, qui aurait pu disparaître.
C’est dans ce contexte que, dès 2005, les 2 EPCI naissants (communauté de communes au nord et communauté d’agglomération sur le littoral) ont pris des dispositions essentielles pour la survie de ces activités qui étaient fortement menacées :
► En prenant la compétence assainissement, pour prendre leurs responsabilités sur ce sujet qui était jusque-là traité soit par les communes directement, soit par le département.
► En créant une structure dédiée à la gestion de la lagune : le Syndicat mixte du Bassin de Thau.
► En engageant des démarches de programmation, d’action, de travaux (les contrats de lagune) de rénovation de l’existant et une démarche visant à établir des règles, des normes de protection de la lagune (le SAGE : Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux).
A travers ce SAGE, les élus ont affiché leur volontarisme politique en dotant les collectivités de responsabilités importantes. Ce sont elles qui ont établi et instauré des normes de rejets de niveau très élevées, conçues pour la préservation de la conchyliculture, normes qui s’appliquent à elles-mêmes. Ce sont les notions de Flux Admissibles Microbiologiques qui ont ensuite fait l’objet d’arrêtés règlementaires et qui constituent aujourd’hui la règle. Il s’agit là d’une démarche volontaire, locale, unique sur l’ensemble des bassins conchylicoles français.
Cette norme, cette ambition, se sont nécessairement retrouvées dans l’investissement qu’ont déployé les collectivités. A travers 3 contrats successifs (Contrat qualité pour la lagune de Thau ; Contrat de Gestion Intégrée de la lagune de Thau ; Contrat de Gestion intégrée et de Transition écologique), ce sont pas moins de 247 millions d’euros de travaux qui ont été engagés sur les systèmes d’assainissement des eaux usées et pluviales depuis la prise de compétence des intercommunalités.
Ces travaux ont été réfléchis, conçus et priorisés dans des cadres concertés avec toutes les parties concernées : les collectivités, l’Etat, l’Agence de l’Eau, les organisations professionnelles et les institutions scientifiques. Ce sont les Comités de lagune, Comité de Gestion intégrée, Commission Locale de l’Eau qui font toutes l’objet d’arrêtés préfectoraux précisant leur composition et leur rôle dans la gouvernance de cette politique essentielle pour le territoire.
Les grandes priorités fixées dans ce cadre concerté ont notamment consisté à maîtriser la charge bactériologique de rejet direct dans la lagune en supprimant plusieurs stations d’épuration (lagunages de Poussan-Bouzigues et Gigean) qui se rejetaient dans la lagune, ce qui a conduit à raccorder plusieurs communes à la station d’épuration de Sète. Cet immense programme a motivé la refonte totale de la station pour un montant de travaux dépassant les 70 millions d’euros, qui sont en cours de finalisation. L’aboutissement des travaux sur réseaux liés à cette opération, dans quelques mois, permettra d’apporter une sécurité supplémentaire pour des évènements du type de celui que nous avons connu en ce début d’année en évitant tout débordement des eaux usées dans le milieu pour le retour pour une pluie qui se produit tous les 2 ans, amplifiée par le changement climatique. Cependant, la question du norovirus reste complexe à traiter, car il reste présent dans l’eau même après traitement. La piste à privilégier pour ce cas particulier est le dépistage en amont, et qu’une mise à l’abri efficiente soit prioritairement étudiée.
Sur le long terme, les progrès obtenus en matière de qualité des eaux conchylicoles sont indiscutables. IFREMER a livré en 2020 une analyse très claire sur ce sujet et témoigne d’une véritable reconquête de ce milieu pour permettre la poursuite de l’activité conchylicole, ce qui n’était pas acquis il y a une quinzaine d’années.
Une rencontre ouverte à tous les professionnels sera très prochainement proposée pour répondre à toutes les questions sur les réseaux et détailler les travaux en cours, préalablement à la mise en place de points d’échange plus réguliers entre la profession et la collectivité.
Sur le court terme, Sète agglopôle Méditerranée travaille en lien avec les partenaires et collectivités à un système d’indemnisation couplant aides directes et avances remboursables face au préjudice porté à la profession, ainsi qu’un accompagnement en promotion et communication.
Nous prenons acte de la plainte déposée par certains pour délit de pollution des eaux. Nous ne doutons pas que les actions et investissements financiers conséquents engagés en faveur de la lagune et ses professionnels depuis deux décennies et résumés ci-avant démontreront l’engagement fort des collectivités depuis 20 ans en faveur de la lagune et les résultats probants inhérents obtenus.
Quoi qu’il en soit, l’union fait la force. Seuls le dialogue et l’esprit collaboratif doivent guider les différentes parties à travailler ensemble pour améliorer sans cesse la qualité de notre lagune, et répondre au mieux à ses contraintes et problématiques."
Sète agglopôle méditerranée recherche un(e) médiateur(trice) Environnement
« De la graine… à l’assiette », un beau projet pédagogique et écologique !

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