Bessan

Les travaux de la caserne démarrent en attendant la pose de la première pierre

 

Depuis la signature du permis de construire il y a quelques mois déjà, Bessan attendait le démarrage des travaux de construction du nouveau centre de secours des sapeurs-pompiers.

Une nouvelle caserne flambant neuve qui se profile entre les deux parcs d’activités économiques de la Grange Basse et Héliopôle. Depuis quelques jours, le chantier est en place et le nouveau casernement, tant espéré par les sapeurs-pompiers volontaires de la commune, devient réalité.

Construit par le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis), le bâtiment est financé par le département de l’Hérault (80 %) et la ville de Bessan (20 %), après avoir eu le soutien de la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée qui avait cédé le terrain d’assiette précédemment préempté par la mairie. Moderne et surtout pratique, le futur équipement public fera partie des premières casernes signées « développement durable » du département.

Si les travaux de terrassement vont bon train actuellement, la date de la pose de la première pierre des bâtiments est désormais connue. Le président du conseil départemental, le directeur du Sdis, le président de l’agglo, le maire et de nombreux élus officieront le vendredi 24 mars, à 10h30, en présence de la musique départementale des sapeurs-pompiers de l’Hérault.

Un événement ouvert à l’ensemble de la population, invitée à y participer pour soutenir les pompiers locaux.

L’agglo investit et donne un nouveau visage au parc d’activités de la Grange Basse

 

  

 Lorsqu’on évoque l’activité économique de la commune, le parc d’activités Héliopôle (anciennement la Capucière) vient évidemment à l’esprit. Avec sa création à la sortie autoroutière de l’A9, la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée favorise l’installation d’entreprises et la création d’emplois. Il existe également une autre zone économique dans la localité, née dans les années 1980. La Grange Basse est reliée à Héliopôle et nécessitait une réhabilitation.

Depuis le mois de septembre dernier, l’agglo a mandaté plusieurs sociétés pour la réfection progressive de la Grange Basse, en plusieurs phases. En lien avec la municipalité, la communauté d’agglomération a conçu une requalification permettant la réfection de la voirie, la création de trottoirs, d’espaces de stationnement et d’espaces verts. L’éclairage public est lui aussi entièrement revu, alors qu’une attention particulière est observée sur les réseaux, dont le pluvial.

Avec ce chantier, c’est une vision d’ensemble que l’agglomération met en avant. Héliopôle et Grange Basse seront prêtes pour le développement économique du secteur avec le transfert et l’agrandissement du supermarché, la création d’un hôtel, la construction de la nouvelle caserne des sapeurs-pompiers ou encore l’installation d’un bâtiment pour le service de l’eau et de l’assainissement. Sans oublier la pépinière Gigamed qui porte fièrement les actions de l’agglo en entrée de zone.

Le carnaval de la crèche des Bambins animé par le petit âne et ses jeunes danseurs

 

Cela devient, au fil des ans, une bien sympathique tradition. Et une sacrée belle surprise pour les enfants fréquentant la crèche des Bambins de Bessan de voir le petit âne totem leur faire une amicale visite pour fêter carnaval.

Et quoi de mieux que l’emblème du village pour raconter aux enfants les légendes locales et l’esprit du folklore et des traditions. Employés et assistantes maternelles se sont mobilisés pour la circonstance.

Grâce à l’accord de la municipalité et de l’association des Amis de l’âne, gardienne des traditions ancestrales, le célèbre petit quadrupède bessanais a été d’abord exposé, sous le regard émerveillé des tout-petits. Grâce aux petits danseurs actuellement en vacances, il a aussi pu prendre vie, dansant comme il le fait lors de la fête locale de la Saint-Laurent ou lors de rassemblements d’animaux totémiques avec ses homologues de l’Hérault ou d’ailleurs.

Cette conviviale animation entre dans le projet d’accueil de la structure, adapté à chaque enfant et organisé en étroite coopération avec les parents, pour favoriser le bien-être et l’épanouissement des bébés et enfants accueillis.

Rappelons que la crèche (seule labellisée écolo-crèche dans le département) reçoit les enfants du village âgés de dix semaines à quatre ans. C’est l’Admr Hérault, association départementale, qui gère la structure pour le Ccas.

Un vibrant appel à l’aide de l’association Terres de Touroulle pour changer son four

 

L’association « Terres de Touroulle » de Bessan lance un appel et sollicite la bienveillance du plus grand nombre dans la mesure des possibilités de chacun.

En effet, le four de l’association permettant de cuire les créations de poterie et de modelage doit être changé d’ici la rentrée prochaine de septembre. Si la municipalité va apporter son aide et si des subventions ont d’ores et déjà été demandées au conseil départemental de l’Hérault et au conseil régional d’Occitanie, il va manquer quelques finances.

Vu le coût du four, l’association lance un appel aux dons mais organise aussi une grande loterie qui sera tirée lors de son exposition en juin prochain avec des œuvres originales à remporter : tableaux d’artistes, sculptures, reproductions miniatures de monuments du village créées par l’association…

Au-delà, toutes les aides sont les bienvenues émanant de commerçants, d’entreprises ou de particuliers sensibles à cette situation.

Si vous pouvez aider « Terres de Touroulle », toute son équipe sera reconnaissante.

Tout soutien sera bénéfique, que ce soit financier, soit par bons d'achats, soit par des lots.

Cela permettra de continuer à pouvoir assurer des créations, notamment pour les enfants de l’école élémentaire Victor Hugo et du centre de loisirs municipal Emile Lognos.

Pour tous renseignements complémentaires, ne pas hésiter à contacter la présidente Francine Carcel au 06 26 49 42 37.

Un premier dessin pour mieux visualiser le site archéologique de la Monédière

 

Avec le site internet Archéodyssée, la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée présente de manière générale, pour la première fois, l’habitat de la Monédière, site bessanais où sont effectués chaque année des fouilles archéologiques avec le soutien de la municipalité, sous la direction d’Alexandre Beylier. L’évocation du site, réalisée par un dessin de Céline Piret sur un texte de Céline Gomez, permet de mieux appréhender l’histoire et le fonctionnement du site.

Le lieu-dit de la Monédière est situé au Sud de la commune sur un petit promontoire à quelques encablures de la rive droite du fleuve Hérault et à huit kilomètres de la mer Méditerranée. Cette petite éminence recèle des vestiges archéologiques de la préhistoire à la période Romaine avec une forte occupation durant l’âge du Fer, entre 600 et 400 avant JC environ. Durant cette période ont été mises en évidence plusieurs phases d’occupation.

L’une d’entre-elles correspond à un habitat enserré d’un système défensif constitué d’un fossé et d’un rempart matérialisé par une base en pierre surmontée de briques de terre crue. La phase d’occupation illustrée pour la première fois concerne la seconde moitié du VIe siècle avant JC. Elle correspond principalement à des maisons à abside avec soubassement de pierre et élévation en brique crue. Elles étaient à l’origine rattachées à un type Grec.

Cette généralisation est désormais remise en question par la généralisation du plan à abside dans le monde Gaulois. Près de l’entrée Nord du site, elles sont organisées par un vaste espace de circulation qui correspond vraisemblablement à une place. Des greniers sur poteaux de bois répondent aux besoins de réserve des occupants des lieux. Au vu des découvertes récentes, l’établissement de la Monédière semble avoir joué un rôle régional majeur.

Placé à un possible point de rupture de charge du fleuve et à un carrefour de plusieurs itinéraires terrestres, ce site était très fortement impliqué dans le commerce Grec dont il constituait probablement un relais entre la côte et l’arrière-pays héraultais. Comme chaque année à l’initiative d’Emilie Féliu, adjointe au maire déléguée au patrimoine et à la culture, il sera possible de le visiter et de rencontrer les archéologues durant l’été.

 => Pour plus de précisions sur la Monédière, consulter le site internet : www.archeodyssee-heraultmediterranee.com.

Des Bessanais champions du monde de tambourin en salle avec l’équipe de France

 

A Valeggio sul Mincio, Vénétie en Italie, a eu lieu dernièrement le championnat du monde 2023 indoor de jeu de balle au tambourin. Huit joueurs originaires de différents clubs du département de l’Hérault ont formé l’équipe de France, pilotée par Laurent Amet et Jérémy Hernandez.

Il s’agit de Florent Sanchez, Florian Amet, Jayson Seric, William Wahl, Cédric Penas, Kalvin Thomas, Douglas Galant et Florian Palau. Durant trois jours, dix nations se sont rencontrées.

Et en finale, l’équipe de France masculine a gagné 13 à 10 contre l’Italie.

Une importante délégation tricolore, forte d’une quarantaine de personnes, s’est rendue en Italie pour encourager les deux équipes françaises car les féminines étaient aussi engagées.

Malheureusement, l’équipe de France féminine s’est inclinée contre les Italiennes sur un score de 13 à 5, devenant toutefois avec fierté vice-championne du monde. L’équipe était composée de Marion Chiapello, Marine Entakli, Coralie Lecerf, Jessica Vidal, Marion Gibelin, Lucie Fabre, Aurore Martin, Laure Penas-Pellicer avec Monique Pellicer et David Vidal en qualité de coachs.

Ces magnifiques prestations internationales l’ont été avec des sportifs originaires de Bessan, véritablement bercés par ce sport, pratiqué à Bessan depuis plus de cent ans et qui bénéfice depuis 2017 d’un terrain rénové par la ville. C’est aussi, en partie, le succès d’une famille très impliquée dans la discipline.

En effet, Cédric Pénas participait à l’équipe de France masculine tandis que sa sœur Laure Penas-Pellicer à celle féminine, coachée par sa maman Monique Pellicer. Et même s’ils ne sont pas membres du Bessan Tambourin, la fierté bessanaise est de mise.

Bessan : Avancement dans les temps des travaux d’aménagement de la Grand’rue

 

Après la réhabilitation de l’emblématique place de la Promenade en 2019 et 2020, le centre-ville bessanais vit à nouveau des travaux d’aménagement jamais vus dans la localité.

La municipalité a débuté, au début du mois de janvier, la deuxième phase de la requalification du centre ancien avec la transformation, assurément d’envergure, de la Grand’rue. L’artère commerciale principale du village se refait une beauté devenue nécessaire au fil du temps.

Depuis plusieurs semaines, les engins de chantier ont pris possession d’un vaste périmètre entre la place de la Promenade, la place de la Fontaine et l’avenue du 8 mai 1945. Actuellement, le chantier demeure dans les temps avec une succession de travaux d’enfouissement des principaux réseaux aériens et ceux sur les réseaux d’eau et d’assainissement. Les entreprises s’activent alors que les accès piétons restent praticables pour se rendre dans les commerces.

Jusqu’à l’été, moment où une pause interviendra, le chantier va véritablement changer le visage de cette voie qui est également l’accès central dans le centre-ville, avec l’espace Louis Baldy.

La qualité des espaces rénovés de la Promenade viendra se poursuivre dans la Grand’rue en y ajoutant également une végétalisation appréciée lors de la présentation du projet à la population.

Le maire et les conseillers départementaux ont récemment visiter le chantier dans l’attente d’un soutien financier du département.

Malgré la conjoncture, les élus envisagent de ne pas faire évoluer la taxe foncière

 

Sous la présidence du maire, Stéphane Pépin-Bonet, le conseil municipal s’est récemment réuni en mairie afin d’étudier une trentaine de questions à l’ordre du jour, dont l’adoption des différents comptes budgétaires et financiers de l’année 2022.

Le vote des budgets 2023 aura lieu le 28 mars prochain lors de la prochaine séance publique. Voici les principales délibérations, toutes adoptées à l’unanimité.

 

  • Bilans financiers

Malgré la conjoncture économique et l’inflation des prix, la situation financière de la commune a été saine en 2022. Les bilans ont tous été approuvés avec, notamment, un excédent global du budget principal à hauteur de 1.180.526,50 euros. Si l’année 2023 sera marquée par la hausse des coûts de l’énergie, le maire a annoncé que le prochain conseil municipal devrait acter un maintien des taux d’imposition actuels.

 

  • Orientations budgétaires

Les élus ont adopté le rapport des orientations budgétaires de l’année 2023. Stéphane Pépin-Bonet a indiqué que la bonne santé de la commune devrait faciliter l’exécution du plan pluriannuel d’investissements tout en restant très prudent face à la hausse toujours constante des coûts et aux évolutions importantes des tarifs de l’énergie. Les projets 2023 ont fait l’objet d’une présentation détaillée.

 

  • Demandes de subventions

Le conseil a sollicité de multiples demandes de subventions à l’Etat, la région et le département dans le cadre de différents dossiers : extension du système de vidéoprotection, végétalisation de la Grand’rue, réhabilitation du centre social, réfection d’une façade communale… Une demande a été également actée dans le cadre du fonds vert de l’Etat pour la transformation de l’ancienne friche industrielle Ricard.

 

  • Travaux

Différentes délibérations relatives à des travaux engagés ou à venir ont été adoptées comme l’incorporation dans le domaine communal d’un immeuble vacant à l’impasse du Portique, l’acquisition de parcelles appartenant aux Autoroutes du Sud et à l’Etat puis leur cession immédiate à l’agglo dans le cadre de l’aménagement du parc d’activités Héliopôle ainsi qu’une convention de pose de supports de végétaux sur des façades privées favorisant les travaux d’aménagement de la Grand’rue.

 

  • Environnement

Les élus ont validé le récent renouvellement du label Apicité avec l’obtention d’une deuxième abeille. Ce label salue les actions de la ville en faveur de la protection et de la préservation des abeilles et, au-delà de la biodiversité. Par ailleurs, le conseil a adopté une nouvelle délibération de participation à l’opération 8.000 arbres du conseil départemental de l’Hérault.

 

  • Marché aux puces

De nouveaux tarifs ont été adoptés pour favoriser l’attribution à un partenaire privé du marché aux puces de l’espace municipal de loisirs Victor Goudou. Le site des Peupliers, avenue de Marseillan, devrait renouer avec les puces hebdomadaires du week-end dès le mois de mai prochain. Les candidatures pour cette gestion sont ouvertes auprès de Virginie Poulsen en mairie.

 

  • Motion

Les élus ont enfin adopté une motion de soutien à la bouvine et aux traditions locales proposée par l’Union des jeunes de Provence et du Languedoc pour la défense des traditions taurines. Cette motion a donné lieu à une grande manifestation le 11 février dernier à Montpellier, à laquelle la ville de Bessan était représentée pour soutenir les acteurs locaux engagés dans la bonne tenue de ces traditions.

 

  • Outrage

En fin de séance, le maire est revenu sur la plainte qu’il avait été dans l’obligation de déposer pour outrage à personne dépositaire de l’autorité publique suite aux mails diffusés régulièrement par un habitant, principalement sur des sujets d’urbanisme. L’administré en question ayant reconnu sa culpabilité, il a reçu un avertissement pénal probatoire par le délégué du procureur de la République.

 

Les travaux de la première tranche de la route de Coussergues sont sur la fin

 

Le chantier colossal sur la route départementale n°28 se termine progressivement, dans tous les cas pour sa première phase, avec un final qui va sans nul doute perturber tous les automobilistes qui l’utilisent pour se rendre quotidiennement à Béziers.

Engagés par le service des routes du conseil départemental, les travaux ont débuté en septembre dernier en limite des deux communes de Bessan et de Montblanc. Il s’agissait de poursuivre les aménagements après ceux réalisés devant le centre de tri montblanais.

Avec cet investissement, le département élargit et sécurise cette voie très fréquentée. D’abord au niveau de la limite avec Montblanc puis en se rapprochant vers le village dans le cadre d’un plan pluriannuel qui va se décliner jusqu’en 2024. Au-delà de la bande roulante entièrement reprise améliorant le croisement avec des autobus et des poids-lourds, la suppression de la butte des Poissonniers et la création de bassins de rétention ont été réalisées.

Afin de clôturer ce premier cycle, les automobilistes sont également informés que l’avancée du chantier impose la fermeture complète de la voie pendant deux semaines, du 20 février au 3 mars prochain.

La route de Coussergues sera entièrement fermée à la circulation. Des déviations sont mises en place.

Dans quelques mois, certainement à l’automne, l’élargissement reprendra avec la phase finale entre le domaine de la Guinarde et l’entrée de ville côté Bessan.

L’installation d’un éleveur ovin aux Mègeries soutenue par les élus départementaux

 

Il y a quelques jours, les conseillers départementaux du canton (Agde, Bessan, Marseillan, Portiragnes et Vias) étaient à Bessan pour une rencontre avec le maire, Stéphane Pépin-Bonet. Marie-Christine Fabre de Roussac et Sébastien Frey étaient également accompagnés par Gwendoline Chaudoir, maire de Portiragnes. Une occasion d’échanger sur des dossiers en mairie mais aussi de se rendre sur le terrain, notamment sur le plateau des Mègeries.

En effet, la récente démarche d’installation d’un éleveur ovin sur les terres du plateau situé entre Bessan et Vias intéressaient les élus du département. Réalisé dans le cadre d’un vaste projet partenarial entre de nombreux partenaires (Conservatoire des espaces naturels, Safer, Agglo, Ville, Fédération des chasseurs…), le projet a pris forme. Actuellement, 270 brebis de l’élevage de Baptiste Bénabent ont pris place sur le plateau en hiver et en automne. Elles sont à Portiragnes et Agde pendant les autres périodes.

Les élus départementaux et le maire ont pu échanger sur place avec Patrick Bénabent et mieux connaître les modalités qui ont permis ce projet à la fois environnemental et agricole. Stéphane Pépin-Bonet n’a pas manqué de rappeler que cette initiative était fortement soutenue par la municipalité, celle-ci préférant voir des moutons pâturer que des caravanes dans le secteur. En effet, l’installation de cet élevage participe à la lutte contre la déprise agricole ainsi qu’à la lutte contre la cabanisation.

 

La maison de retraite tisse des liens de plus en plus étroits avec les scolaires

 

Des rencontres intergénérationnelles sont de plus en plus souvent organisées dans la commune.

Les bienfaits de ces échanges entre jeunes et moins jeunes sont nombreux : les enfants apprécient l’expérience des aînés et les plus anciens retrouvent un brin de vitalité au contact de la jeunesse. Le centre communal d’action sociale demeure très attaché à ces rendez-vous qui, d’ailleurs, se multiplient au sein de la maison de retraite des Jardins des Tuileries.

En effet, les animations sur le thème d’échanges entre écoliers et pensionnaires ne sont pas une nouveauté, mais il s’avère qu’elles se développent avec le temps. Si les petits choristes de l’école maternelle Georges Bégou ont ouvert la voie, de nombreuses classes de l’école élémentaire Victor Hugo demeurent désormais des habitués. Et la variété des activités proposées en lien avec Jessie, l’animatrice de l’établissement, et les enseignants est particulièrement large.

Jeux, danse, chant, activités artistiques mais aussi de la gymnastique ont régulièrement lieu. Ces rencontres apportent véritablement de la fraîcheur dans l’Ehpad qui depuis la fin de la pandémie rouvre ses portes vers l’extérieur avec la participation de nombreux partenaires.

Ces rendez-vous complètent parfaitement ceux déjà organisés par l’établissement lui-même et l’association des bénévoles du Sourire des Tuileries. Des sourires au quotidien en quelque sorte !