Trois excellentes raisons de nous retrouver samedi pour soutenir le Carnaval bouzigaud : pétanque, macaronade et bal !
Paroisse Notre Dame du Sourire, le mois de septembre
Permanence des conseillers départementaux du canton de Mèze, à Bouzigues
Exposition "Ambiance du Midi" à Bouzigues, bien rafraîchissante et très agréable à regarder...
Sur le territoire de Thau, ces marchés bien conviviaux autour de plusieurs producteurs connaissent un succès qui ne s'est jamais démenti et ce fut le cas à chaque fois et cette fois, avec le soleil qui se couche plus tôt, les visiteurs sont venus assez nombreux et de bonne heure Ils sont arrivés d'une façon échelonnée sur la place du Belvédère de Bouzigues, profitant de températures idéales...
Il y a toujours à Bouzigues de nombreux "adeptes" de ce genre de soirée, qui prennent du plaisir, et qui ont l'occasion de sortir et de manger en famille ou entre amis, qu'ils soient Bouzigauds, du Bassin de Thau ou des touristes appréciant les préparations locales qu'ils découvrent. Ce mercredi, ils sont venus pour déguster des assiettes de produits locaux!!!! Des participants heureux de mettre en avant des produits de qualité et de soutenir ceux qui les produisent souvent avec amour et passion.
Quelques producteurs et productrices fermiers, un vigneron et des artisans qui vous régalaient avec les pépites de notre beau terroir. Vous pouviez savourer des bons produits locaux et de saison en direct des producteurs, manger sur place dans une soirée festive autour de délicieuses assiettes fermières ! Vous aviez le choix. Entre-autres, des préparations avec des mini -entreprises ou producteurs de pays : Le Toqués du Bocal de Bouzigues, La Tchèpe, et le Mas René Guilhem de Clermont l'Hérault, les Trésors du Berger...
Côté musique , le groupe" L'eau à la Bouche" animait dans une douce ambiance musicale et poétique cette soirée bien sympathique avec vue sur l'étang de Thau et sur Sète...
Celles-ci permettent aussi de Valoriser les circuits courts et notre terroir, c'est l'objectif. « Les marchés des producteurs de pays » est une marque déposée et protégée par la chambre d’agriculture. Cette marque, et les règles qu’elle impose sont le gage d’une qualité des produits vendus. Elle exige notamment que la vente soit faite exclusivement par des producteurs-agriculteurs, de façon à valoriser leur métier, mais aussi encourager les échanges avec les consommateurs.
Un Marché Gourmand afin de vivre et de manger fermier dans une soirée festive autour de délicieuses assiettes fermières composées devant vous par les producteurs, artisans et vignerons, un régal pour tous les sens !
D'autant que la place du Belvédère est ouverte sur le port de Bouzigues et l'étang de Thau avec en soirée de beaux couchers de soleil
Une bien belle soirée, gastronomique et récréative...
La saison des marchés des producteurs de pays est presque terminée... Car Sète agglopôle méditerranée en partenariat avec les communes de Balaruc-les-Bains, Balaruc-Le-Vieux, Bouzigues, Loupian, Marseillan, Mèze, Sète et Villeveyrac, s’était engagée au côté de la Chambre de l’Agriculture de l’Hérault pour le renforcement et le déploiement des « Marchés des Producteurs de Pays » sur son territoire.
Gourmands, chaleureux, animés, nocturnes ou sous le soleil couchant… chacun peut alors faire son marché et s'il veut rester sur place, se composer un repas puis le déguster tout en profitant de l'été qui se fait surtout apprécier le soir, même fin août...!
Les marchés festifs des producteurs de Pays sont réservés exclusivement aux producteurs et sans revendeur. Ils permettent, en période estivale de se retrouver le soir de 19 h 00 à 23 h00, en famille ou entre amis, autour d'un bon repas.
Plus d’infos sur www.marches-producteurs.com
Une nouvelle campagne préventive de lutte contre la prolifération du moustique-tigre.
Si le moustique-tigre (Aedes albopictus) relève d’une préoccupation de « santé publique », du fait de sa capacité à transmettre potentiellement des maladies telles que le chikungunya, la dengue ou le Zika – volet pris en charge par les ARS via la mise en œuvre de traitements de lutte antivectorielle (LAV) –, il suscite surtout un sentiment de gêne prégnant dû à son caractère très nuisant et, pour ce motif, une forte demande sociale.
L’EID Méditerranée est directement concernée par ce volet « nuisance », en raison à la fois de ses compétences entomologiques, de son expérience dans la lutte contre les moustiques et du parasitage provoqué par le moustique-tigre de la perception de l’efficacité des traitements qu’elle effectue régulièrement, depuis plus de 60 ans, contre les espèces nuisantes traditionnelles issues des zones humides littorales.
Le moustique-tigre, lui, se développe en milieu urbain, au plus proche des habitants, pondant sur les parois de tous récipients, souvent de petite taille, pouvant recueillir de l’eau. Situations que l’on trouve principalement au sein des domiciles, en extérieur : cours, terrasses, balcons, jardins… Leur multitude et leur caractère aléatoire dans l’espace et dans le temps rendent inopérante une stratégie de lutte antilarvaire comparable à celle appliquée aux espèces nuisantes traditionnelles issues des zones humides, faisant de la mobilisation sociale des mêmes habitants la méthode centrale de lutte contre la prolifération du moustique-tigre.
C’est pourquoi, depuis son installation dans notre région, en 2011, l’EID-Med a développé et mis en œuvre plusieurs campagnes de sensibilisation visant à mobiliser les citoyens autour de cette problématique. Cette année, cette ligne communicationnelle fait peau neuve : nouvelle accroche, nouvelle identité visuelle. Des supports informatifs revisités seront mis à la disposition des populations, via les communes, sur les territoires relevant de la zone d’action de l’EID-Med.
La lutte contre sa nuisance et son risque sanitaire est un défi collectif fait de bons réflexes individuels.
Cliquez sur les images pour les agrandir… Merci…
Bonne nouvelle, l’incident technique est résolu à la déchetterie de Bouzigues qui est de nouveau ouverte aux horaires habituels, les après-midis en semaine et en matinée le dimanche.
A Bouzigues, c'est devenu presque une tradition, depuis de très nombreuses années, est organisée pour le 15 août une grande brocante sur la promenade des Beauces, tout près de l'étang de Thau.
Cette année, en 2022, les conditions sanitaires sont presque oubliées. Bouzigauds et touristes l'attendraient avec impatience : les exposants d'une part sont donc venus en nombre, entre 40 et 50, tandis que Bouzigauds et visiteurs se faisaient un plaisir de se promener entre les stands tout comme les estivants qui pour quelques heures profitaient du site de Bouzigues, la perle de l'Etang de Thau tout en jouissant du panorama et du magnifique soleil de ce 15 août.
Vous pouviez flâner et chiner à volonté. Personne ne s'en est privé. Les habitués comme les néophytes.
Et ensuite, si l'on pouvait aller se baigner, les visiteurs motivés pouvaient partir à la découverte de Bouzigues avant de déguster quelques huîtres ou de partager un repas en terrasse. Pas trop de vent, du soleil, de la chaleur et de bonne humeur, que demander de plus en ce lundi du 15 août...
Le fait « d'être à l'écart de la grand-route » a longtemps valu à Bouzigues la réputation d'être « un village sans histoire » : les voyageurs pressés ayant trop souvent confondu la quiétude ambiante et la pérennité du cachet pittoresque de la localité avec un isolement, envié et idyllique, par rapport à la marche du monde. Cet ouvrage est le déni absolu de cette opinion hâtive et superficielle. Le portrait que François Baqué et Antoine Rouquette brossent, en effet, de ce village du littoral au cours des siècles ne permet aucun doute à ce sujet. L'habitat fut très ancien sur le terroir et « la situation exceptionnelle » de la petite cité méditerranéenne, face à l'étang de Thau qui, « par les belles journées ensoleillées, brille de mille feux » ne doit pas faire oublier que Bouzigues (et toute sa région) fut une terre de passage (les Grecs, les colons de Marseille, les armées d'Annibal) et d'invasions (Romains, Wisigoths, Sarrasins, Normands) et que le nom de Bouzigues (Polygium) apparaît dès le IVe siècle sous la plume de Festus Avienus. Ensuite, c'est le destin de la seigneurie (mentionnée comme vassale de la seigneurie de Loupian au début du XIIe siècle) et celui de la communauté (administration des consuls) que les auteurs font revivre pendant plus de six siècles jusqu'à la Révolution au cours de laquelle les biens des « ci-devant privilégiés » sont étroitement surveillés (un voleur de raisins de douze ans est emprisonné), le...» suite chez Amazon
