7e trophée Brassens pour Valentin Vander

C’est une opportunité en or pour les auteurs -compositeurs -interprètes français qui rêvent de se produire sur la fameuse scène du Théâtre de la Mer. Le trophée Brassens organisé par le club du même nom, et dont c’était la 7ième édition s’est déroulé pour la première fois au sein du nouveau conservatoire Manitas de Plata dans une salle comble ce vendredi 3 mars au soir. 5 artistes avaient été retenus, sur plus de 100 à avoir envoyé une maquette, pour jouer 3 morceaux de leurs choix.

 

A la fin de l’enthousiasmant concert très représentatif de l’éclectisme de la scène française actuelle, le jury, dont faisait partie Jeanne Corporon, adjointe à l’Espace Brassens et Claude Muslin adjointe aux festivals, a délibéré. Le public a, lui aussi, voté pour le candidat de son choix. Son prix fut décerné à la toute jeune chanteuse guitariste Lyana Diese à la voix cristalline qui aura l’occasion de participer à un concert organisé par le club dans le courant de l’année.

Mais c’est Valentin Vander, également guitariste-et pianiste- qui, dans une veine humoristique peut-être plus proche de Tonton Georges, s’est offert la possibilité d’assurer une première partie dans le cadre du festival de chanson française « Quand je pense à Fernande » qui aura lieu en juin. Il reçut le trophée réalisé par l’artiste Jean Jacques François.

Quant à la récompense inédite, « la plume d’or » c’est à Morisse auteure-compositrice-interprète, elle était remise des mains de Jean Fauque, le parolier d’Alain Bashung. Une belle soirée qui a mis l’eau à la bouche à tous les amateurs de la langue de Molière lorsqu’elle vibre en musique à quelques mois du retour du festival qui la met à l’honneur !

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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