Mèze

7 projets retenus suite à l'appel à projet « Nourrir durablement le territoire de Thau »

Sur le territoire de Thau, un Projet Alimentaire Territorial (PAT) est né en 2021, initié par le Syndicat mixte du bassin de Thau (SMBT) en partenariat avec Sète Agglopôle Méditerranée et la Communauté d'Agglomération Hérault Méditerranée. Parmi les ambitions : soutenir les initiatives citoyennes et locales favorisant l’accès de tous à une alimentation de qualité et pour cela, faire émerger des solutions originales et viables sur le plan économique, social et environnemental. C’est dans cet esprit que le SMBT a lancé le 28 octobre dernier l’appel à projets « Nourrir durablement le territoire de Thau ».

 Pourquoi cet appel à projets ? L’appel à projets « Nourrir durablement le territoire de Thau » vise à soutenir l’émergence de projets agricoles et alimentaires en faveur d’une alimentation locale de qualité et solidaire. L’ambition : aider des petits porteurs de projets dans leur phase de structuration ou de développement en permettant de couvrir les premiers besoins.

L’aide apportée contribue à la concrétisation d’actions et à leur ancrage sur le territoire. Un jury, constitué de différents partenaires du PAT (les CA Sète Agglopole Mediterranée et Hérault Méditerranée, l’agence Blue invest, Initiative Thau, La Palanquée et le SMBT), s’est réuni en janvier pour procéder à la sélection des dossiers. Avec quels moyens ? Sept candidatures ont été retenues parmi les douze reçues pour une enveloppe budgétaire de 40 000 € financée à 50 % par la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DRAAF) et à 50 % par le Syndicat mixte du bassin de Thau (SMBT). Les choix ont été motivés par la volonté indéfectible de soutenir des initiatives naissantes qui contribuent à la dynamique alimentaire du territoire et qui pourront mener à des projets structurants pour le PAT. La plupart des projets retenus sont de taille modeste ou portés par de petites structures (associations loi 1901 et des TPE ou microentreprises). Les aides perçues sont orientées essentiellement vers de l’investissement matériel : achat de plants et de matériel de culture, investissement dans du matériel de transformation, aménagement d’une zone de vente, achat d’une cuisine professionnelle, etc. Les projets seront réalisés entre février et novembre 2023. Portrait des projets retenus Les projets retenus sont répartis en quatre catégories, en lien avec les thématiques du Projet Alimentaire Territorial : 

 Photo : la PapinettesensCapture d’écran 2023-03-01 113656

Agroécologie et sensibilisation à l’alimentation durable

Circuits courts et participation citoyenne 

Lutte contre la précarité alimentaire

Outil de transformation et structuration de la chaine alimentaire

Zoom sur l’agroécologie et la sensibilisation à l’alimentation durable LA FERME DE L’ESQUIROL

 

L’exploitation agricole située à Marseillan, en bord d’étang, souhaite augmenter ses productions de fruits et plantes aromatiques, tout en respectant les enjeux climatiques et environnementaux. L’objectif est de faire découvrir au grand public comment l’on peut produire et se nourrir localement de manière simple et respectueuse de l’environnement. Des ateliers pédagogiques et de sensibilisation à la nature auront lieu dans l’exploitation à l’attention des enfants et adultes. « Cet appel à projet me permet d'être accompagnée techniquement et économiquement pour implanter des productions agricoles qui ont et auront leur place dans le paysage écologique et climatique de demain ainsi que dans nos assiettes, en alliant santé et plaisir ! Le projet aidera à redonner du sens au 'produire et manger' et à la ‘relation entre producteur et consommateur' sur notre territoire » déclare Cécile Levret, exploitante au domaine de l’Esquirol.

 

LA RECOLTE DE THAU Ce projet de maraichage en permaculture sera implanté à Sète en zone urbaine sur un terrain de 200m2. La production sera transformée et commercialisée en circuit-court. Il vise principalement à sensibiliser les citoyens à l’agriculture locale de qualité. C’est une première étape dans l’implantation de la Mauvaise Herbe, ferme urbaine à vocation de sensibilisation et de formation à la transition alimentaire, qui verra le jour sur le territoire. « Le soutien du PAT nous permet d’expérimenter notre projet de ferme urbaine et de débuter les formations aux pratiques agroécologiques auprès des citadins » déclare Sophie Fagot, agricultrice et co-porteuse du projet.

 LA FORET MIXTE DE LA VENE L’association La Forêt Globale, déjà présente sur le territoire, va créer une forêt « mixte » associant arbres fruitiers en polyculture et arbres cultivés pour leur bois, tout en respectant l’environnement. Cette méthode d’agroforesterie répond à un double enjeu : renaturer le territoire et favoriser la biodiversité, ainsi que répondre au besoin de productions locales de qualité. Les productions fruitières seront vendues en circuit court sur le territoire. « L'appel à projets du PAT nous permet de mettre en place dès maintenant les arbres de cette future forêt mixte, et ainsi participer à la reforestation d'une partie de notre territoire » déclare Bruno Garcia, président de l’association la Forêt Globale.

 

Zoom sur les circuits courts et la participation citoyenne LA PAPINETTE L’épicerie participative et conviviale la Papinette est implantée dans le bassin Piscénois. Née en 2021, elle compte aujourd’hui 100 familles adhérentes et travaille avec plus de 50 fournisseurs locaux et en circuit court. L’objectif de la structure est de rendre accessibles des produits sains et de qualité au plus grand nombre, tout en soutenant les producteurs en achetant à un prix juste. Elle est ouverte à tous et propose des produits vendus à prix coûtant, le fonctionnement de l’épicerie étant assuré par ses adhérents qui y consacrent 2h de temps par mois. « Grâce au soutien du SMBT nous allons pouvoir équiper le nouveau local de notre épicerie coopérative de sorte à développer et mettre en valeur notre gamme vrac, bio et en circuit court ! » déclare Arnaud Commune, président de La Papinette.

LE TIERS-LIEU ALIMENTAIRE ET SOLIDAIRE : ATELIER REVOLUTION *

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Implanté au cœur d’un quartier prioritaire de la politique de la ville à Sète, l’atelier Révolution abrite les Paniers Solidaires, une épicerie à prix coûtant, ainsi qu’un café associatif. Le tout autour d’aliments de qualité produits localement. L’atelier est aussi un lieu d’échanges entre producteurs et consommateurs. Il prépare la création d’une cuisine professionnelle partagée qui permettra de créer une cantine populaire et d’accueillir des ateliers d’échanges culinaires et de sensibilisation à l’alimentation durable. "Le soutien du SMBT va nous permettre de finaliser notre cuisine professionnelle, et de pouvoir ainsi concrétiser nos projets de cantine populaire, d'ateliers culinaires et de cuisine partagée. Cet appel à projets est aussi l'occasion de rencontrer les autres acteurs de l'alimentation autour du bassin de Thau, pour échanger, s'entraider, et tisser des ponts entre les différentes structures" déclare le collectif de citoyens à l’origine du tiers-lieu. Zoom sur la lutte contre la précarité alimentaire

 

sensCapture d’écran 2023-03-01 113518LE JARDIN DES « SIMPLES » Le Lieu-Ressources, association piscénoise, accompagne les publics en situation de précarité. Elle agit notamment pour leur accès à une alimentation durable. Elle va créer un jardin potager collectif de type méditerranéen sur un terrain en friche qui fut autrefois dédié au maraichage. Il sera accessible à tous dans une volonté de mixité sociale et de rencontres. Un travail documentaire sera fait sur les choix locaux des plantations, les méthodes de culture ainsi que sur les recettes de cuisine qui y sont attachées. "L'action permet de faire vivre, revivre, les traditions culinaires locales par la culture de légumes locaux et plantes aromatiques méditerranéennes. Le Jardin des Simples sera un lieu unique et agréable pour créer du lien social à Pézenas" déclare Odile Ramage, coordinatrice du Lieu Ressources. Zoom sur la transformation et la structuration de la chaine alimentaire

 LA CONSERVERIE OLAYA Cette conserverie artisanale créée récemment a commencé à opérer en début d’année 2023 à Frontignan. Elle a vocation à travailler « à façon » pour des producteurs locaux et créer des recettes originales à partir de produits de la Terre et de la Mer. Son objectif est de proposer de se restaurer de manière variée, équilibrée, locale, bio ou équitable, dans le plus grand respect écologique possible. Ses productions seront disponibles dans différentes épiceries et caves du territoire ainsi qu’en ligne. "Je remercie le SMBT pour sa confiance et son accompagnement qui renforcent mon projet et ses valeurs : valoriser ensemble nos productions locales de la Terre et de la Mer pour le plaisir des gourmets" déclare Mélodie Salaun-Derrien, fondatrice de la conserverie Olaya

20e édition du Pays de Lozère Historique

Certains Mézois connaissent bien l'épreuve… pour y avoir participé, certains Héraultais aussi… et participent encore ! Pour les fanas des "Historiques", ce rassemblement est unique par ses décors, ses paysages, son ambiance et le sérieux de son organisation… Faîtes vite, si ça vous tente !

La bande-annonce 2023 (meilleure avec Chrome ou sur YouTube) :

 

Inscriptions ICI

Barrut : l'excellence !

7 exécutants de classe…

Il est des moments chaleureux de partage, d'amour, de respect… Barrut, ce soir, à la salle Jeanne Oulié, a transmis aux "patoiseurs" ses messages. La "messe" a été grandiose mais réservée, grande et petite, simple mais délicate : un moment très intense, juste, réfléchi, sensible… Le choix du groupe (déjà venu à Mèze lors du Festival de Thau 2018) fait méticuleusement par le service culturel de la ville s'est greffé en harmonie aux animations occitanes du moment. Les sept musiciens, en parfaite symbiose, nous ont livré les rugissements de l'animal languedocien… rugissements contestataires venus de cette terre vénérée, rugissements de fête… Sur le côté droit de la scène, les bénévoles de la Calendreta (née en 1996), tout ouïe au concert du groupe de voix et percussions, ont proposé aux nombreux spectateurs leur petite restauration… Philippe Curé, adjoint à la culture, représentait la ville. Après l'accueil de Christine Gobi, le septuor a livré son répertoire dont voici quelques extraits vidéo (images : dm) :

À lire avec le navigateur Chrome ou sur YouTube ou en cliquant ICI

Projet des retraites : c'est toujours non ! Acte V

La manif de trop pour un certain politicien "féru" en communication ! Que nenni ! Ils étaient 2 000 à Sète ce jeudi 16 février, présents pour préparer la générale du 7 mars, présents pour signifier un profond malaise, présents pour avertir la population, présents par solidarité… Les discours CGT, FO et CFDT (voir vidéo), sous la bannière de l'union inter-syndicale, ont radicalisé leur opposition comme annoncé le 19 janvier. En maintenant la pression sur le gouvernement cette grève-manifestation préparatoire est avant tout "la dernière sommation" et un avertissement dans le durcissement de la mobilisation. La "bagarre" annoncée ce vendredi au Sénat doit tenir compte du million-trois de manifestant.e.s de ce jeudi et surtout du soutien de 52 % de la population (source Le Figaro). La bombe sociale est allumée : va t-elle exploser ?

Le reportage vidéo de Thau Infos ci-dessous, à lire avec Chrome ou en allant directement sur YouTube ICI.

 

Mèze : inauguration de la passerelle du Pallas

De gauche à droite : F. Commeinhes, président de Sète agglopôle et maire de Sète ; M. Graine, conseiller municipal de la ville de Mèze et conseiller communautaire ; T. Baëza, vice-président de Sète agglopôle et maire de Mèze ;  M. Garcia, vice-président de Sète agglopôle et conseiller municipal de Villeveyrac (source du Pallas) ; A. Vidal, vice-président de Sète agglopôle et maire de Loupian.

 

Après le démantèlement complet de l'ancienne passerelle (devenue dangereuse) à l'automne dernier, une nouvelle vient d'être posée entre les deux rives de l'embouchure du Pallas. L'équipement flambant neuf (26 m de long et 1,50 de large) a été mis en place le 25 janvier 2023. L'intervention d'une grue de 40 tonnes a été indispensable pour positionner l'ouvrage. Ce dernier, constitué d'aluminium, est conçu pour résister au milieu marin. Sa fabrication a été confiée à l'entreprise Pech'Alu (Morbihan), spécialisée dans la construction et la réparation navale. Afin de s'adapter aux sols mous qu'on peut retrouver à l'emplacement de l'ouvrage, trois micropieux ont été enfoncés à 15 m de profondeur. Ainsi sera assurée une parfaite sécurité pour les piétons et cyclistes désireux de passer d'une rive à l'autre du Pallas.

Sète agglopôle Méditerranée a investi 244 720 euros pour la mise en œuvre de cette passerelle qui permet entre-autre d'assurer la continuité de la voie cyclable Sud entre Bouzigues et Mèze.

Le site naturel et enjolivé par la plantation des arbres de la forêt des naissances 2022 voit son aspect transformé agréablement par un ouvrage "collant bien" avec le paysage.

"L'endroit est magnifique ! , nous a confié une Mézoise de souche…, avec des bancs ce sera un lieu de havre et de paix ! "

Manif anti-projet des retraites - Acte IV

Plus permis de douter quant à la mobilisation anti-projet des retraites ! Cette dernière annoncée et programmée par l'inter-syndicale a tenu ses promesses. Ce samedi, à Sète, ils étaient pas loin de 4 000 à battre le pavé bruyamment mais sereinement et sans heurts (2,5 M sur le territoire français). De nombreuses familles, des jeunes et de nouvelles têtes ont défilé après avoir écouté avec attention et applaudi la prise de parole unique de l'inter-syndicale. Cette union, devenue plus que symbolique, marque une étape importante dans la position unanime contre le projet gouvernemental. La détermination est actée : grèves et manifestations feront partie du décor lors des prochaines journées ! Le 7 mars verra un blocus général et très vraisemblablement des mouvements reconductibles tant que le gouvernement restera campé sur ses positions. (images : dm)

« Quand il faut y aller, on y va et cette fois on va y aller. »

La colère sourde, unanime et digne des présentes (à dominante évidente) et des présents n'a pas laissé de place au doute.

« Je suis déterminée… et prête à aller jusqu’à la grève générale le 7 mars s’il le faut, parce que nos gouvernants sont complètement déconnectés de nos réalités, ils ne sont pas dans notre monde et ils nous prennent pour des cons. » (source Mediapart)

Le reportage vidéo de Thau Infos ci-dessous, à lire avec Chrome ou en allant directement sur YouTube ICI.

Sus au frelon asiatique !

Dans son aire d’origine, le Frelon asiatique vit essentiellement en milieu forestier mais avec l’extension de l’urbanisation aux dépens de la forêt, on le rencontre aussi en zone périurbaine. En climat subtropical, la variété nigrithorax se cantonne généralement aux régions montagneuses. En France, le Frelon asiatique installe de préférence son nid dans les hautes branches des grands arbres, en zone urbaine ou agricole comme en milieu boisé. Il semble profiter des vallées des cours d’eau et des grands axes routiers pour se disperser ; il semble par contre éviter les peuplements purs de conifères. En effet, bien qu’il soit présent dans le département des Landes, les forestiers n’ont que rarement repéré de nid en pleine forêt. (source INPN : Inventaire National du Patrimoine Naturel)

Cette information doit être complétée par ce document. La ville de Mèze, très concernée, met tout en œuvre pour anéantir l'insecte, au demeurant dangereux.

… Pour Numa Nicolas, conseiller municipal délégué au cadre de vie :

« Il est important que la Ville prenne part à la lutte contre le problème des espèces invasives, qu’elles soient animales ou végétales. Il s’agit d’un enjeu environnemental de premier ordre. La prolifération du frelon asiatique est particulièrement préoccupante. D’où notre volonté de passer à l’action.  » 

Des pièges, fabriqués par le service environnement, seront mis à la disposition des habitants de Mèze qui souhaitent prendre part au combat.

Comment se procurer un piège à frelon asiatique ?

Il suffit d’en faire la demande par email avant le 5 mars 2023 à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
en mentionnant son nom, prénom, adresse postale, email et N° de téléphone.
Ces pièges sont gracieusement offerts par la Ville de Mèze.

Où et quand récupérer les pièges ?

Au service environnement
Rez de chaussée du château de Girard
Les jeudis de 8h30 à 12h30 ou sur rendez vous (par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).

Quand poser les pièges ?

Le moment clé pour piéger les femelles fondatrices se situe au sortir de l’hibernation jusqu’à fin avril.

Mesurer l’efficacité du dispositif

Tous les utilisateurs de pièges résidants à Mèze sont invités à communiquer le nombre de captures de frelons asiatiques dès la fin du mois d’avril à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. afin qu’un décompte global puisse être établi à l’issue de la campagne de piégeage.

Manif anti projet-retraite (acte III) à Sète

La pluie s'est invitée (même la grêle) en cette matinée du mardi 7 février. Les conditions météo ont été très défavorables mais les contestataires ont bravé l'humidité et le froid de l'hiver pour exprimer (et ce n'est pas fini !) leur mécontentement et leur souhait de voir une réforme des retraites disparaître… Les arguments ont été annoncés sans détour par l'inter-syndicale. Si à l'échelon national plus de 200 rassemblements avec 1 million de manifestants (source Mediapart) ont donné le ton, à Sète, ces derniers, "trempés jusqu'aux os", n'ont pas reculé d'un pouce quant à leur position : ce projet est refusé dans sa totalité ! De nombreuses femmes étaient présentes pour rejeter une réforme, qui, une nouvelle fois, les stigmatise. Le prochain rendez-vous de samedi 11 février, au même endroit, s'annonce primordial pour les suites de l'action…

Le clip vidéo qui suit est bien visible directement sur Chrome ou  sur YouTube ICI

 

JO 2024 : les judokas du Kazakhstan en stage à Mèze en juillet

Communiqué de la ville de Mèze :

C’est officiel ! L’équipe du Kazakhstan de judo viendra effectuer un premier stage d’entraînement à Mèze au mois de juillet en vue des JO 2024 ; l'occasion également de découvrir les équipements sportifs qui pourront accueillir les compétiteurs et leurs entraîneurs avant les JO de Paris.
La venue de l’équipe nationale a été finalisée ce week-end, à l’Aréna de Paris lors du grand « slam de judo 2023 ».
Thierry Baëza, maire de Mèze, accompagné de son adjoint aux sports, Nicolas Archimbeau, ont rencontré les dirigeants de la fédération de judo du Kazakhstan, le président Kuanyshbek Yessekeev , le secrétaire général Askhat Zhitkeyev ainsi que leur entraîneur Français, Stéphane Traineau.
Depuis l’année dernière, Stéphane Traineau, ancien directeur des équipes de France de judo, entraîne l’équipe nationale kazakhstanaise de judo pour les prochains JO qui se dérouleront à Paris du 26 juillet au 11 août 2024.
Cette visite de la solide délégation de judo du Kazakhstan permet à Mèze de s’inscrire pleinement dans le label « Terre de jeux Paris 2024 ».

De gauche à droite : Franck Opitz, président de la ligue Occitanie de judo, Stéphane Traineau, entraîneur de l’équipe nationale du Kazakhstan, Thierry Baëza, maire de la ville de Mèze, Askhat Zhitkeyev secrétaire général de la fédération de judo du kazakhstan et Nicolas Archimbeau, adjoint aux sports.

Manif anti-retraite (acte II) à Sète

L'envie de faire plus et plus fort que le 19 janvier a été suivie des faits. Ce mardi 31 janvier a été à la hauteur de l'argumentation souhaitée de l'acte I. Si les principaux syndicats étaient présents, ce sont rajoutées d'autres associations dont beaucoup de jeunes à la marche bruyante mais solidement sécurisée par les organisateurs. Difficile de donner un chiffre mais, en toute honnêteté, ils-elles étaient plus nombreux (2,8 millions annoncés ce soir) que lors du premier épisode. Le curseur est donc sensiblement monté bien que le nombre de grévistes soit en baisse. Des organismes privés se sont joints au différents cortèges à Paris et en province. Pour notre part, d'autres têtes (notamment des Gilets jaunes) ont rejoint la mobilisation intergénérationnelle. Le surcroît est incontestable et incontesté.

 

"L'explosion des inégalités" annonce l’économiste Philippe Askenazy, a sensibilisé les manifestant.e.s et toutes les personnes qui soutiennent cette nouvelle action.

 

Mediapart : Près de 250 rassemblements ont été organisés mardi à l’appel des syndicats pour contester le projet de réforme des retraites. Dans nombre de villes, les cortèges ont été encore plus nourris que le 19 janvier, de Lannion à Montpellier, en passant par Marseille, Clermont-Ferrand, Charleville-Mézières, Annonay, Lille ou Paris…

Quelques photos réalisées pendant la marche contestataire… (dm)

Manif anti-retraite à Sète (acte II du 31/01/2023)

Championnat de France de Tambourin : le gratin était à Mèze et à Poussan

Conjointement organisé par les sociétés de Mèze et de Poussan, ce 1er plateau du championnat de France 2023 a été d'un niveau très relevé. Les clubs locaux de Paulhan et de Florensac, qualifiés cette saison pour les phases finales hommes ont parfaitement représentés le bassin de Thau. Le président Mézois, Fred Tarin, habitué des organisations "indoor" et son équipe ont parfaitement "fait tourner la boutique" du côté du gymnase RIGAL où nous nous sommes rendus. Des horaires respectés, des inversions de rencontres certes mais obligatoires vu les disponibilités de dernière heure. Dans tous les cas, on doit dire que ce week-end des 28 et 29 janvier a été de toute beauté. Nicolas Archimbeau, adjoint aux sports, a honoré de sa présence ce premier acte de la compétition qui débute dans "notre" midi avant de s'expatrier à Beauvais (18 & 19 février 2023) puis dans les Bouches du Rhône (4 & 5 mars 2023).

Le tambourin, sport de patrimoine, pratiqué aussi en Italie (entre autre) s'implante durablement petit à petit et attire du monde. Basé en France à Gignac (34), cette discipline a vu les premiers tambourins construits à Mèze, place des Tonneliers, en 1861. Cent vingt ans plus tard (1983) l'unique fabrique française totalement automatisée s'est installée à Balaruc grâce à des étudiants Sétois en BTS !

Les phases finales de la plus haute compétition française sont aussi bien féminines que masculines : pas de genre, des compétitrices et des compétiteurs solidaires et respectueux ! À noter que l'arbitrage est à la charge des clubs non présents sur le terrain. À savoir également que le tambourin en salle (3 contre 3) est né dans les années 1990 pour l'activité hivernale.