COMMUNES

Guerre en Ukraine : ce qu'il faut retenir de la journée du samedi 17 décembre

Selon France Info :

De nouvelles frappes russes ont fait cinq morts samedi 18 décembre en Ukraine, alors que les autorités s'efforcent de rétablir au plus vite l'électricité après les tirs massifs de missiles de la veille qui ont provoqué des coupures de courant. Voici ce qu'il faut retenir de cette journée. 

Au moins cinq morts dans de nouvelles frappes

De nouvelles frappes russes ont fait cinq morts samedi en Ukraine. Dans la région centrale de Dnipropetrovsk, quatre personnes y ont été tuées et quinze autres blessées, a déclaré le chef-adjoint du cabinet de la présidence ukrainienne, Kyrylo Timochenko. Il a ajouté que les bombardements avaient aussi fait un mort et trois blessés dans la région méridionale de Kherson. "L'ennemi continue de concentrer ses efforts sur la conduite d'actions offensives dans les directions de Bakhmout et d'Avdiïvka", dans la région orientale de Donetsk, a relevé dans la soirée l'état-major des forces ukrainiennes.

L'électricité rétablie à Kharkiv, l'eau de retour à Kiev..... aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/crash-en-ukraine/guerre-en-ukraine-ce-qu-il-faut-retenir-de-la-journee-du-samedi-17-decembre

Brutale hausse des tensions dans la péninsule coréenne avec une salve de missiles de Pyongyang

Selon Orange.fr :

La Corée du Nord a lancé mercredi au moins 23 missiles dont l'un est tombé près des eaux territoriales sud-coréennes, provoquant une brutale hausse des tensions avec son voisin du Sud qui a riposté en lançant trois missiles vers la mer.

Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a fustigé la "provocation" de Pyongyang, dénonçant une "invasion territoriale de fait".

La Russie a appelé "tout le monde à garder son calme", selon le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov. 

"Toutes les parties de ce conflit doivent éviter de prendre des mesures quelconques susceptibles de provoquer une montée des tensions", a-t-il dit, soulignant que la "situation sur la péninsule est déjà assez tendue".

De son côté, le président du Conseil européen Charles Michel s'est dit "outré" par les tirs de missiles par la Corée du Nord, dénonçant le comportement "agressif" et "irresponsable" de Pyongyang.................................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/monde/brutale-hausse-des-tensions-dans-la-peninsule-coreenne-avec-une-salve-de-missiles-de-pyongyang-CNT000001UirEc/photos/des-personnes-regardent-un-ecran-de-television-montrant-une-emission-d-informations-avec-des-images-d-archives-d-un-essai-de-missile-nord-coreen

Le 1er décembre ce sera la Journée Mondiale de la lutte contre le SIDA

"Notre stratégie pour l’avenir doit être de donner aux femmes les moyens d’agir dans ce combat. Les véritables héros de cette guerre, c’est parmi elles qu’il faut les chercher, et il nous appartient de leur fournir l’arme de l’espoir."

Extrait du message de M. Kofi Annan, Secrétaire général de l'ONU

En 1988, l’Assemblée générale avait exprimé sa vive préoccupation devant la pandémie de sida. Notant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait choisi la date du 1er décembre 1988 comme Journée mondiale du sida, l’Assemblée a souligné l’importance de cette manifestation (résolution 43/15). Aujourd’hui, plus de 36 millions de personnes sont séropositives et sidéennes. La journée mondiale de lutte contre le SIDA n'est pas la seule occasion de revenir sur ce dossier brûlant, mais en insistant sur le fait que nous devons être tous ensemble contre le SIDA, elle a toute sa place dans le calendrier des journées internationales.

La mobilisation doit rester entière

En 2021, la journée a pour thème "Mettre fin aux inégalités. Mettre fin au sida. Mettre fin aux pandémies". Cette année, lors de la Journée mondiale de lutte contre le sida, l’ONUSIDA met l’accent sur l’éradication urgente des inégalités qui alimentent l’épidémie de sida et d’autres pandémies dans le monde.

La menace du sida plane toujours sur l’humanité 40 ans après le signalement des premiers cas de sida. Aujourd’hui, l'engagement de mettre fin au sida à l’horizon 2030 a pris du retard, retard essntiellement lié à des inégalités structurelles qui entravent les solutions efficaces de prévention et de traitement du VIH.

De son coté, l'église catholique s’investit depuis de nombreuses années auprès des personnes atteintes par cette maladie.
"J’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais malade, et vous m’avez visité". En cette journée mondiale de lutte contre le sida, l’évangile selon saint Matthieu prend une résonance toute particulière. Mais de quelle réalité parle-t-on ? Près de trois séropositifs sur cinq dans le monde (21,7 millions sur 36,9 millions au total) prennent désormais des traitements antirétroviraux, soit la plus haute proportion jamais atteinte, d’après le dernier rapport de de l’Onusida.

Combler l'écart

En 2017, 940.000 personnes dans le monde sont mortes de maladies liées au sida. À titre de comparaison, au pic de l’épidémie en 2005, 1,9 million de décès dans le monde étaient liés au sida. Continuons la lutte.

Un site à visiter : www.unaids.org

CONTRAT DE GESTION INTÉGRÉE ET DE TRANSITION ÉCOLOGIQUE DU TERRITOIRE DE THAU (2020-2025)

Ce contrat, le 5ème du nom, perpétue une action mise en place dès les années 90. Voici brièvement l'histoire d'une gestion environnementale ô combien essentielle et si préoccupante :

1990 1995 - Suite à une crise environnementale majeure sur la lagune de Thau, l’État élabore le 1er Schéma de mise en valeur de la mer (SMVM) et le 1er Contrat de Thau avec une vocation prioritaire accordée à la pêche et à la conchyliculture. Un vaste chantier d’assainissement débute.
1998 2003 - Le 2ème Contrat de Thau poursuit les travaux d’assainissement.
2005 2009 - Le SMBT est créé pour piloter le 3ème contrat Qualité pour la lagune de Thau qui s’engage dans une gestion plus intégrée.

Sur ces vingt premières années, 135 M € ont été mobilisés.


2012 2018 - 4ème génération de contrat, le 1er contrat de gestion intégrée du territoire de Thau (CGITT) est trois fois plus ambitieux que les précédents. Il permet d’engager 131 actions avec à la clef un investissement de 560 millions d’euros et un taux de réalisation de 80 %.
2020 2025 - Le Contrat de gestion intégrée et de transition écologique (CGITE) a vu sa signature, prévue en 2020, repoussée de quelques mois en raison de la crise sanitaire. Il est résolument tourné vers l’innovation et la participation citoyenne.

 

27 communes du bassin versant de Thau concernées

 

 

Agde • Aumelas • Aumes •
Balaruc-le-Vieux • Balaruc-les-
Bains • Bouzigues •
Castelnau-de-Guers •
Cournonsec •
Cournonterral • Fabrègues •
Florensac • Frontignan •
Gigean Loupian •
Marseillan • Mèze •
Mireval • Montagnac •
Montbazin • Pinet
Pomerols • Poussan •
Saint-Pargoire • Saint-
Pons-de-Mauchiens •
Sète • Vic-la-Gardiole •
Villeveyrac.

 

Le discours d'Yves Michel, président du Syndicat mixte du bassin de Thau (SMBT) :

Avec ce nouveau contrat de gestion intégrée, nous confortons nos actions dans la voie de la transition écologique et la résilience territoriale. Cinquième contrat de Thau, il fonde le devenir de notre territoire en prenant en compte l’aménagement, l’économie littorale et la gestion environnementale. Porté jusqu’en 2017 par François Commeinhes, aujourd’hui vice-président, il se construit à l’échelle des 27 communes qui composent notre bassin de Thau pour promouvoir des projets d’intérêt communal et intercommunal. Il dote le territoire de moyens supplémentaires considérables et offre aux acteurs publics locaux un soutien conséquent pour mener à bien leurs projets.
Placé sous le signe de l’innovation et de la participation citoyenne, ce Contrat de Gestion Intégrée et de Transition Écologique nous engage. Il nous place au cœur de notre mission de service public : améliorer la qualité de vie, favoriser l’emploi et protéger les populations des risques liés au changement climatique. Ce contrat est fort prometteur pour notre avenir et celui des générations futures, à l’échelle du territoire et bien plus !

Le CGITE en chiffres

6 ans, durée du contrat - Près de 600 M € - 7 principaux financeurs : Europe, État, Région Occitanie, Agence de l'Eau RMC, le département de l'Hérault, la Banque des Territoires, l'ADEME - 500 actions dont certaines issues du milieu associatif et des citoyens - 57 fiches actions - 190 000 habitants répartis sur 4 agglomérations concernées : Sète Agglopôle Méditerranée, Communauté d’agglomération Hérault Méditerranée, Montpellier Méditerranée Métropole et Communauté de communes de la Vallée de l’Hérault.

Crédit photos : SMBT

Une nouvelle portion de voie verte est prévue pour relier les 2 Balaruc

Après la construction l’an dernier d’un tronçon entre Balaruc-les-Bains et Sète, une nouvelle portion de voie verte est prévue pour relier les 2 Balaruc, bouclant ainsi l’une des deux discontinuités du tour de l’étang de Thau.Peut être une image de route et arbre
Les grandes manœuvres débuteront en septembre 2021 et consisteront à renforcer la faille naturelle présente dans cette zone. Mais les travaux préparatoires ont déjà réservé une belle surprise avec la découverte de trottoirs en pierre de taille lors de l’opération de consolidation du pont piétons à voûte, situé Chemin d’Ayme Prolongé à Balaruc-les-Bains, qui fait le lien avec le secteur du Mas du Padre et le nouveau quartier de la Colline.
De quoi concilier intelligemment aménagement du territoire et restauration d’un ouvrage patrimonial qui surplombera le nouvel itinéraire vert construit en contrebas sur l’emplacement de l’ancienne voie ferroviaire.
L’ouverture est prévue pour l’été 2022. Donc, à peine un peu plus d’un an à patienter avant que les coureurs, marcheurs, promeneurs, cyclistes…puissent en profiter.

Internet des objets

 

L’internet des objets est l’extension des technologies de l’information au monde physique des choses et des entités virtuelles pouvant communiquer avec l’internet soit directement soit indirectement via des appareils électronique eux-mêmes connectés à internet. Il inaugure une « nouvelle manière de vivre et de gérer les affaires courantes et professionnelles via internet ». [1]

Les « objets » connectés possèdent leurs propres identités et adresses numériques qu’il s’agisse d’un smartphone, d’une palette dans un entrepôts, d’un thermostat dans une maison ou d’un mouton dans un troupeau. Ils peuvent communiquer entre eux, être reliés à des plateforme ou à des serveurs via des circuits électroniques, des puces RFID, une liaison Bluetooth ou un réseau Wi-Fi. Ils font appel à une grande variété de protocoles de communication et se retrouvent dans d’innombrables domaines et applications. Les objets connectés collectent, stockent, traitent des données et peuvent le cas échéant réagir en fonction de leur environnement.

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