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En Occitanie, des transports gratuits pour 1 million de jeunes

Extension du dispositif +=0 aux jeunes dès 12 ans, lancement d’une expérimentation d’aide au covoiturage bonifiée, gratuité des lignes de car liO le week-end et pendant les vacances pour les élèves abonnés aux transports scolaires… La Région amplifie ses aides pour inciter les jeunes à une mobilité douce pour leur porte-monnaie et bonne pour la planète

Le dispositif +=0 est renforcé. Les 12 à 26 ans pourront prendre les trains et cars liO gratuitement !
Le dispositif +=0 est renforcé. Les 12 à 26 ans pourront prendre les trains et cars liO gratuitement !

Bouger plus librement, plus simplement et à moindre coût. Dès le 22 décembre, la Région étend aux jeunes dès 12 ans le dispositif « + = 0 » qui permet déjà aux 16-26 ans de bénéficier de la gratuité à bord des trains et des cars du réseau de transport régional liO.

C’est une mesure sans équivalent en France et une grande première qui permettra à plus d’1 million de jeunes de se déplacer facilement. C’est une avancée majeure et une véritable révolution écologique. Les jeunes n’auront plus à choisir entre climat et pouvoir d’achat !

Carole Delga, présidente de la Région Occitanie.

L’Occitanie est désormais en tête des régions françaises en termes de hausse de fréquentation de ses trains. Entre janvier et septembre 2023, celle-ci a augmenté de 44 % par rapport à 2019 et de 20 % par rapport à 2022 [1]. Le fruit du volontarisme de la Région qui multiplie les initiatives pour inciter les habitants de ses territoires à choisir la mobilité douce plutôt que la voiture.

Aider les jeunes à concilier climat et pouvoir d’achat

Les jeunes plébiscitent le dispositif +=0 et font le choix des mobilités douces.
Les jeunes plébiscitent le dispositif +=0 et font le choix des mobilités douces.

Pensé dans une logique de contrat de fidélité, sans engagement, construit sur une tarification dégressive jusqu’à la gratuité, le dispositif « +=0 » garantit une réduction de 50 % dès le premier trajet, des voyages gratuits à partir du 10e, ainsi que la possibilité dès le 20e de cagnotter des trajets pour le mois suivant. Et à partir du 30e trajet réalisé dans le mois, la gratuité totale pour le mois suivant.

Depuis son lancement, 90 000 jeunes s’en sont emparés. Ils sont à présent six fois plus nombreux à prendre le train qu’en 2019 !

Covoiturage, cars liO gratuits pour les abonnés aux transports scolaires… Il est de plus en plus facile de se déplacer pour les jeunes d'Occitanie.
Covoiturage, cars liO gratuits pour les abonnés aux transports scolaires… Il est de plus en plus facile de se déplacer pour les jeunes d’Occitanie.

En parallèle, la Région incite au covoiturage là où il n’y a pas de transports collectifs. Ainsi, le passager paie au maximum 2€, tandis que le conducteur est assuré de percevoir au minimum 2 € dès lors que le trajet [2] est réservé via les plateformes Mobicoop, Karos, Atchoum, Klaxit ou BlaBlaCar Daily.
En septembre, cette aide de la Région avait déjà concerné 54 000 trajets covoiturés, 2 800 passagers et 3 500 conducteurs.
Au premier semestre 2024, la Région lancera une expérimentation pour multiplier par deux l’aide au covoiturage pour les 18-26 ans.

Autre nouveauté : depuis septembre, les élèves abonnés aux transports scolaires peuvent circuler gratuitement même le week-end et les vacances scolaires sur l’ensemble des 370 lignes de cars liO. Jusqu’à présent, la gratuité des transports scolaires a permis aux jeunes et à leurs familles d’économiser jusqu’à 315 € par an. La nouvelle mesure leur permettra de faire davantage d’économies encore.

Transport : depuis 2018, un train de mesures en faveur des jeunes

2018 : plafonnement du prix des transports scolaires à 90€/mols.
2020 : réduction de 50 % sur tous les trains, sans abonnement pour les 12-26 ans.
2021 : gratuité des transports scolaires, billets à 1€ sur tous les trains pendant l’été et lancement du dispositif « +=0 » pour les 18-26 ans.
2022 : lancement des billets de train à 1€ tous les premiers week-ends du mois et d’une aide financière au covoiturage.
2023 : gratuité des lignes de cars IiO pour les abonnés du transport scolaire et extension en septembre de « +=0 » aux jeunes de 16 à 17 ans, puis en décembre aux 12-15 ans.

Encourager les jeunes à se déplacer à vélo

Le vélo a de nombreux atouts pour nos jeunes : écologie, santé, autonomie…

Très engagée dans la lutte contre le dérèglement climatique, la Région a également décidé de prendre en charge 50 % du coût d’achat d’un vélo par les lycéens boursiers de seconde, l’aide pouvant aller jusqu’à 200€.

En complément, la Région lancera à la rentrée 2024, deux expérimentations, dont une concernera un service de prêt d’une trentaine de vélos à l’attention des élèves. Six lycées publics d’Occitanie le testeront [3].

Et dans le cadre de la dynamique impulsée par le Plan Vélo, la Région continuera de soutenir les projets locaux de construction de nouvelles pistes cyclables à proximité des lycées, tout en veillant à augmenter les capacités de stationnement des vélos près des gares, afin de faciliter l’usage combiné du vélo et du train dans les déplacements quotidiens. L’Occitanie prend la voie de la mobilité douce.

La politique régionale des transports en chiffres

1 million de jeunes dès 12 ans vont bénéficier du dispositif « +=0 » à partir du 22 décembre.
+ 44% d’augmentation de la fréquentation des trains régionaux depuis 2019.
+ de 2 millions de trajets réalisés en train par les jeunes grâce au dispositif « +=0 » depuis 2021.
180 000 élèves bénéficient en Occitanie de la gratuité des transports scolaires.
+ 25 % de fréquentation en 1 an pour les cars liO, permettant une réduction des émissions de CO2 de près de 1 400 tonnes soit l’absorption de 56 000 arbres.
850 millions d’euros de budget attribué chaque année par la Région aux transports.
100 000 voyageurs / jour : c’est l’objectif fixé par la Région dès que possible, contre 80 000 / jour actuellement.

[1source SNCF Voyageurs

[2hors ceux réalisés à l’intérieur des grandes agglomérations

[3Lycée Lucie Aubrac à Sommières (30), lycée Rosa Luxembourg à Canet-en-Roussillon (66), lycée Jean-Jaurès à Saint-Clément-de-Rivière (34), lycée Claude Nougaro à Caussade - Monteils (82), lycée Pyrène à Pamiers (09), lycée Martin Malvy à Cazères (31)

Installation de la gouvernance ERC : Sète Agglopôle Méditerranée adopte une approche novatrice.

Ce jeudi 16 novembre avait lieu, l’installation de la gouvernance « Eviter-Réduire-Compenser » (ERC) de Sète agglopôle méditerranée, première agglomération en France à se doter de cette compétence. François Commeinhes accueillait au siège de l’agglo, les élus, chercheurs et techniciens, et invitait les maires des communes qui ont adhéré au transfert de cette compétence, à signer la charte de gouvernance commune qui guidera leur action dans les mois à venir et déterminera leurs objectifs communs, particulièrement ambitieux.

En effet, Sète agglopôle méditerranée (SAM) a renforcé son engagement en faveur de protection de l’environnement en se dotant d’une compétence supplémentaire autour de la séquence ERC « Eviter-Réduire-Compenser » pour mieux concilier aménagement du territoire et préservation écologique. L’Agglopôle a mis en place une approche inédite en proposant différents niveaux d’intégration aux communes, et ouvre ainsi de nouvelles perspectives, tant sur le plan de la gouvernance locale qu’en matière de résilience écologique territoriale.Longtemps perçue comme une contrainte par les maîtres d’ouvrage, qu’ils soient publics ou privés, la séquence ERC vise à restreindre les atteintes à l’environnement de tout projet d’aménagement, en réduisant les impacts néfastes, en limitant ceux qui ne peuvent être évités, et en compensant ceux qui ne peuvent être ni évités, ni réduits.

Les élus communautaires de SAM ont proposé à leurs communes de devenir chef de file de l’aménagement du territoire sur cette séquence ERC, transformant ainsi une contrainte en opportunité.

En effet, à l’horizon 2040, les projets d’aménagement sur le territoire de SAM impacteront plus de 640 hectares de surfaces naturelles et agricoles, nécessitant une compensation de près de 1.500 hectares. La Ligne Nouvelle Montpellier Perpignan, dont le tracé divise le territoire de SAM, représente à elle seule plus de la moitié des zones impactées.

Une gouvernance commune, des engagements différenciés

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Au cœur de cette compétence supplémentaire repose une gouvernance commune, une gestion de la compensation anticipée et mutualisée, et la possibilité pour Sète agglopôle méditerranée de se porter opérateur de compensation. Les communes ont ainsi eu à se prononcer, au-delà de ce socle commun, pour adhérer à tout ou partie des options proposées à la carte, telles que les études de potentialités agro-environnementales sur des secteurs naturels et agricoles, la veille foncière ou les acquisitions foncières à l’amiable.

« Nous avons souhaité aborder cette stratégie dans une approche territoriale, cohérente et solidaire. Il était logique, quand on parle de réduction ou de compensation, de préserver cette même vision et de considérer notre territoire comme un ensemble de biodiversité unique, non cessible et indivisible. C’est ensuite dans l’approche de cette nouvelle compétence que nous avons été avant-gardistes. Notre collectivité est la première en France depuis l’application de la loi 3DS (Décentralisation, Différenciation, Déconcentration et Simplification) à mettre en œuvre la compétence à la carte, offrant une flexibilité aux communes pour intégrer différents niveaux d’engagement » précise François Commeinhes, Président de Sète agglopôle méditerranée et Maire de Sète.

Cette approche inédite permettra à l’intercommunalité de coordonner et d’anticiper efficacement la gestion des compensations sur son territoire. Sur les 14 communes de l’agglomération, 8 ont approuvé ce transfert de compétence supplémentaire. 5 d’entre elles ont adhéré aux trois options proposées, les trois autres n’ayant pas souhaité adhérer à la dernière option relative aux acquisitions foncières.

Face aux craintes qui auraient pu voir le jour sur les prérogatives de planification, de droit du sol ou de préemption, considérées bien souvent dans notre pays comme l’un des derniers remparts des Maires, François Commeinhes se veut confiant : « proposer une compétence à la carte en matière de foncier environnemental permet de s’assurer d’une additionnalité des moyens financiers, tout en remettant en fonctionnalité des espaces naturels et agricoles délaissés. Le tout mené en pleine concertation, à l’échelle du territoire, avec l’ensemble des acteurs qu’ils soient élus, techniciens ou scientifiques ».

Santé : faut-il sanctionner les patients qui n'honorent pas leurs rendez-vous ?

Le Sénat propose d'instaurer une taxe qui ferait payer une pénalité aux patients qui ne se rendent pas à leurs rendez-vous médicaux, selon Public Sénat. Pensez-vous que cette initiative soit une solution pour responsabiliser les patients ?

Dentiste, Opération, Les Dents, Lampe

Ils sont entre 6 et 10 % par an à ne pas se présenter à leurs rendez-vous médicaux. Des absences qui font grincer des dents. Aurélien Rousseau, le ministre de la Santé, le premier : "Ce sont des centaines de milliers de rendez-vous qui sont paumés dans un pays où on a des problèmes d’accès aux soins", a-t-il souligné sur Sud Radio. Alors la rapporteure LR Corinne Imbert, dans le cadre du projet de loi du financement de la Sécurité Sociale, veut mettre en place une "taxe lapin", selon Public Sénat.

Selon Orange.fr

L'objectif : "responsabiliser les patients dans la prise de rendez-vous". Et pour cela, la commission des affaires sociales a adopté cet amendement, qui tape directement au portefeuille.

Comment cela fonctionnerait ?

Concrètement, les patients qui ne se présentent pas au rendez-vous ou qui annulent au dernier moment se verront imposer une somme forfaitaire, fixée par décret, qui sera au bénéfice direct de l'assurance maladie. Une partie de cette somme serait ensuite reversée aux praticiens concernés...

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/question-du-jour-2023-11-17-CNT0000029mbil.html

METEO Sète prévisions sur les 3 prochains jours

2023-11-17 La Nature, Automne, Congé Sec

Infographies : https://meteofrance.com/previsions-meteo-france/sete/34200

Pour ce matin. A 1 heure, la pression atmosphérique au niveau de la mer sur la commune, est de 1024 hectopascals. Beau temps sec et ensoleillé. Le thermomètre indique 12 degrés vers 7 heures. Vent faible à modéré de Nord-Ouest. Pour cet après-midi. Voile de nuages élevés. Les températures avoisinent 16 degrés vers 13 heures. Vent de Nord-Ouest faible à modéré. Pour ce soir. Ciel peu nuageux. Les températures sont proches de 13 degrés vers 19 heures. Petit vent de Nord-Ouest généralement faible. Pour la nuit prochaine. Ciel voilé par des nuages élevés. La température se situe aux alentours de 10 degrés vers 1 heure. Vent faible de direction variable.
Pour samedi matin. Passages nuageux de haute altitude. Température : 8 degrés vers 7 heures. Vent faible. Pour samedi après-midi. Voile de nuages élevés. Température : 16 degrés vers 13 heures. Vent faible de direction variable.
Pour dimanche matin. Temps généralement ensoleillé. Températures minimales : 6 degrés. Vent faible. Pour dimanche après-midi. Temps ensoleillé se voilant. Températures maximales : 21 degrés. Ces températures se situent au-dessus des valeurs normalement observées. Vent faible de direction variable.
Pour lundi matin. Belles périodes d'éclaircies. Températures minimales : 12 degrés. Vent de Nord-Ouest assez faible. Pour lundi après-midi. Temps sec, souvent ensoleillé. Températures maximales : 18 degrés. Vent faible à modéré de Nord-Ouest.

Revivez le Conseil communautaire du 16 novembre 2023

Nourriture, énergie, cosmétique… Les méduses sont-elles la ressource du futur ?

Selon Orange.fr

Selon Le Parisien, des chercheurs en biologie marine envisagent d'utiliser les méduses invasives en les transformant en nourriture, en énergie, ou encore en cosmétiques.

Animaux, Méduse, Océan Profond

La société Seano, basée à Mont-de-Marsan et Perpignan, a développé un projet baptisé Medus’Oc, afin de transformer les méduses invasives des étangs de Languedoc-Roussillon et de Méditerranée pour en faire des produits dérivés, a expliqué Le Parisien. Ainsi, elles pourront être transformées en cosmétiques, en produits pharmaceutiques, en énergie, ou encore en aliments.

Et ce projet a également pour but d'empêcher la prolifération de ces méduses embêtantes pour les baigneurs et les pêcheurs. Thomas Scourzic, le directeur de Seaneo, a ainsi expliqué que la société avait "été saisie par les pêcheurs eux-mêmes qui souffrent de la présence de cette espèce invasive." En effet, ces méduses colmatent les filets. C'est surtout la partie gélatineuse qui intéresse les scientifiques.

Des partenariats avec plusieurs structures

Cette partie gélatineuse pourrait d'abord être utilisée pour fabriquer du collagène à vocation cosmétique. Aussi, comme l'explique Clément Larrouy, chef du projet Medus’Oc, ces méduses pourraient finir dans des méthaniseurs qui produisent du biogaz. Des tests vont être faits par l'agence INRAE de Narbonne. Enfin, Seanoe a développé un partenariat avec la société IDMer de Lorient. Celle-ci a pour projet de transformer ces méduses invasives en produits pour les hommes ou les animaux................................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/societe/insolite/nourriture-energie-cosmetique-les-meduses-sont-elles-la-ressource-du-futur-magic-CNT0000029mrx2.html

La Région Occitanie met en place un nouveau pack d’aides pour la mobilité des jeunes

Pour permettre aux jeunes de concrétiser leurs projets et leurs envies, la Région Occitanie leur donne les moyens de bouger comme ils le souhaitent. Pour cela, elle a adopté de nouvelles mesures lors de l’Assemblée plénière du jour : https://www.datapressepremium.com/rmdiff/2984/Photo-231115-Conferencedepresse-MobilitesJeunes1.jpg

Train et car : A partir du 22 décembre (1er jour des vacances scolaires et lendemain de la gratuité totale des transports en commun pour les habitants de la métropole de Montpellier), gratuité d’usage sur les trains et les cars liO pour 1 million de jeunes, de 12 à 26 ans.

Vélo :

        Aide à l’achat d’un vélo pour les élèves boursiers en classe de 2nd, pouvant aller jusqu’à 200€ ;

        À partir de septembre 2024, dans 6 établissements d’Occitanie, expérimentation d’un prêt gratuit de vélo aux lycéens ;

        Aide à la création de pistes cyclables aux abords des lycées.

Covoiturage :

        Premier semestre 2024, lancement d’une expérimentation pour multiplier par 2 l’aide au covoiturage pour les jeunes de 18 à 26 ans.

Carole Delga : « J’ai fait de la mobilité, et de la liberté qu’elle offre, un engagement et une vision de société conjuguant le social et l’écologie : développer les services de train et de car avec les tarifs les moins chers de France, encourager l’usage du vélo, accompagner le covoiturage avec une aide financière, etc. Tout est fait par la Région pour inciter ses habitants à faire un autre choix que celui de la voiture individuelle, bien sûr quand cela est possible.

 

Notre volontarisme politique paie. Les mesures planifiées depuis 2016 donnent les résultats que nous connaissons aujourd’hui : + 25% de fréquentation en 1 an pour nos autocars, 1ère Région en termes d’augmentation de la fréquentation de nos trains du quotidien (+ 20% par rapport à 2022 et + 44% par rapport à 2019). Chaque jour, ce sont 108 000 véhicules évités sur la route grâce aux cars et trains liO. Et je n’oublie pas les 800 000 jeunes qui ont bénéficié des billets à 1€ cet été. Car l’une de mes priorités est de continuer à amplifier les aides pour nos jeunes : ils sont les prescripteurs de demain »

 

Le dossierDP-422-AP-Mobilites-JeunesBD.pdf

  (Crédit photo : Gilles Lefrancq / Région Occitanie)

Les inondations dans la Corne de l'Afrique ont fait au moins 111 morts et 700 000 déplacés, selon une ONG

Des pluies diluviennes touchent ces dernières semaines la Somalie, l'Ethiopie et le Kenya.

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Au moins 111 personnes, dont 16 enfants, ont péri et 700 000 personnes ont été déplacées dans des inondations causées ces dernières semaines par des pluies diluviennes qui frappent la Corne de l'Afrique, a annoncé jeudi 16 novembre l'ONG Save the Children. Le phénomène climatique El Niño amplifie les précipitations de la saison des pluies dans la région, touchant notamment la Somalie, l'Ethiopie et le Kenya. 

"Des précipitations incessantes dans les comtés du nord du Kenya et dans la capitale Nairobi ont provoqué des inondations généralisées, déplaçant environ 36 000 personnes et tuant 46 personnes depuis le début de la saison des pluies il y a moins d'un mois", a affirmé l'ONG Save the Children dans un communiqué, ajoutant que 32 personnes avaient également péri en Somalie et 33 en Ethiopie.

L'ONG britannique a par ailleurs exhorté la communauté internationale........................

Selon France Info : https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/somalie/les-inondations-dans-la-corne-de-l-afrique-ont-fait-au-moins-111-morts-et-700-000-deplaces-selon-une-ong_6187788.html

Assemblée départementale : les grandes orientations budgétaires 2024 en débat !

Ce 13 novembre, les élus étaient invités à échanger autour des grands projets pour 2024. Une session marquée par l'engagement pour construire un Hérault toujours plus écologique et solidaire

C’est l’un des RDV de l’année pour échanger autour des grandes perspectives de la politique de la majorité pour l’année à venir : le Débat d’orientation budgétaire (DOB). Il s’organise en fin d’année, avant le vote du budget et préfigure les axes pour les projets futurs.

Mais avant d’inviter les élus à débattre, le Président Kléber Mesquida a tenu à ouvrir la séance en rappelant les valeurs de fraternité et de liberté de notre République « une et indivisible » au lendemain de la marche contre l’antisémitisme et à l’heure où se multiplient les alertes à la bombe dans les collèges. Si l’actualité est brûlante, c’est l’occasion de réaffirmer que « En France, tous les citoyens, quelle que soit leur origine, leur religion, lorsqu’ils sont sur le sol français, ont droit au respect ! » et de rappeler ce qui nous doit unir « On doit tous combattre pour la paix ! ».

Prélude terminé, le Président a abordé un autre point clé de l’actualité : les Assises nationales des Départements qui se sont tenues du 8 au 10 novembre à Strasbourg. En clôture, la 1ère ministre, Elisabeth Borne s’est présentée à ce Congrès pour quelques annonces, sur lesquelles Kléber Mesquida, aux côtés d’autres présidents de Département, a réagi.

Parmi les sujets abordés :

  • La mission « décentralisation » confiée à Eric Woerth.

« Nous avons soumis une résolution au Président Emmanuel Macron pour lui indiquer que la décentralisation est nécessaire mais pas aboutie ! » Et l’impact est fort pour les départements soumis au jeu des cloisonnements des compétences.

En exemple, le Président cite : « On ne peut pas intervenir sur l’économie rurale, notamment l’agriculture, nous avons pu le faire grâce à une convention avec la Région, mais elle pourrait être remise en question et nous reléguer au paiement associé. Non, nous voulons intervenir auprès de l’économie de proximité, c’est-à-dire soutenir les petites entreprises dans le monde rural, l’agriculture…

  • Sur le renfort du dialogue à la Protection de l’Enfance et le SDIS annoncé par la 1ère ministre, ou encore un Fonds de soutien aux Départements les plus en difficulté co-financé par l’Etat et… les Départements à 50-50 ! Des annonces qui ont laissé le Président dubitatif quant aux moyens mis en place. «Sur beaucoup de points, le compte n’y est pas, l’Etat n’est pas à la hauteur de la solidarité nationale, il y a des choix qui sont fait dont on s’interroge sur la pertinence et les effets ! ».
  • DOB 2024 : Un budget à l’équilibre, avec des projets ambitieux malgré l’incertitude des recettes

1er sujet à l’ordre du jour présenté par le Président qui a occupé une grande partie de cette matinée en hémicycle : le Débat d’orientation budgétaire.

 

Un moment important pour comprendre les complexités de construction du budget et les choix opérés pour équilibrer les finances de l’institution malgré la crise et les contraintes extérieures.

Débat d’orientation budgétaire, qu’est-ce que c’est ?

Dans les 2 mois avant le vote du budget primitif, le DOB permet d’échanger en assemblée autour des grands programmes et politiques proposées pour l’année à venir

Grâce à une présentation graphique précise et simplifiée, le Président a pris le temps d’expliquer l’équilibre financier du budget envisagé par l’exécutif, soit l’équilibre entre les produits, c’est-à-dire les dépenses d’une part réparties entre les frais de fonctionnement et d’investissement, et d’autre part les recettes correspondantes.

Quelles sont les recettes du Département ?

Il n’a plus de fiscalité propre, c’est-à-dire qu’il ne collecte plus d’impôts sur son territoire.
L’essentiel de nos recettes provient désormais d’une fraction de TVA nationale, des dotations de l’Etat des produits des droits de mutation à titre onéreux (DMTO soit les taxes que l’Etat et les collectivités perçoivent lors de la vente d’un bien immobilier). Le problème ? Cet appui sur les DMTO insécurise les ressources départementales car elles dépendent directement de la santé du marché de l’immobilier.

Face à l’incertitude de l’avenir, avec notamment l’inflation, les décisions de l’Etat qui impactent le budget du Département comme la revalorisation du RSA ou encore la hausse des dépenses liées à l’autonomie, le Département anticipe pour intégrer ces mesures dans ses projections :

« Notre budget prévisionnel 2024 est estimé à 1, 850 milliard d’€, ça pourra être affiné en suivant avec le budget primitif et budgets complémentaires. En tout cas, nous avons fait le choix de maintenir le niveau d’investissement, ça veut dire maintenir l’économie, et, par conséquent, maintenir l’emploi ! » K. Mesquida

Un niveau d’investissement ambitieux qui garde notamment le cap sur les 13 engagements de ce mandat notamment. Parmi les grands axes :

  • On réduit l’impact carbone de nos bâtiments et collèges > pose de panneaux photovoltaïques dans 4 collèges, chaufferie bois, construction de nouveaux collèges, extensions de 3 collèges au Nord de Montpellier, travaux de restructuration de collèges existants…
  • On investit pour la mobilité des Héraultais > 65 M€ investis sur les infrastructures routières dont 45 M€ consacrés aux grands travaux routiers (LIEN, Rocade de Béziers…), un plan route et biodiversité, Pôles d’échanges multimodaux (PEM), aires de covoiturages et intermodalité.
  • On reste le 1er partenaire des communes et EPCI sur leurs projets structurants
  • On investit pour les équipements numériques et l’acquisition de matériels

Non soumis au vote, le DOB a permis aux élus de saluer le pragmatisme de la majorité quant à l’élaboration de ce plan financier, optimisé pour faire front quant à l’incertitude de l’avenir. « Un pragmatisme accompagné de convictions et de valeurs » comme l’indiquait Renaud Calvat, au nom du Groupe majoritaire.

Egalité femmes-hommes, le Département toujours bon élève !

En suivant, Nicole Morère, Vice-Présidente déléguée à l’administration générale et aux moyens, a eu le plaisir de présenter le rapport Egalité « femmes-hommes » de l’Institution. Un bilan positif encore cette année a-t-elle tenu à souligner pour ce sujet qui lui « tient à cœur !».

L’Hérault, bon élève ? Oui, une action transversale qui a inspiré la réalisation de nombreuses initiatives, comme :

  • Les Archives œuvrent pour rendre + visible la présence des femmes dans l’Histoire en créant notamment leurs pages sur wikipedia > + de 50 femmes héraultaises ont désormais leur page.
  • Les collégiens et volontaires en service civique sont sensibilisés aux questions de genre, la mixité sur des temps dédiés…
  • Une Exposition de portraits de femmes connues et moins connues a été proposée dans les murs de l’Institution…

Une aide supplémentaire pour le SDIS 34 !

« Chez les pompiers aussi, on voit évoluer la présence des femmes dans les effectifs ! » disait Cyril Meunier, en guise de transition entre ces rapports.

 L’élu a soumis au vote une proposition d’aide complémentaire aux sapeurs-pompiers de l’Hérault, à hauteur de 1,3 million pour l’année 2023.

A quoi va servir ce financement complémentaire ?
Au recrutement de davantage de sapeurs-pompiers professionnels, à augmenter les indemnités des pompiers volontaires ou encore faire face à la hausse des coûts de l’énergie.

Une aide votée à l’unanimité, ce qui porte à 51 600 000 euros le montant de la dotation du Département au SDIS 34 en 2023.

Le Département protège ses forêts et lutte contre les feux

On agit pour l’épanouissement des jeunes à travers les Actions éducatives territoriales

Marie-Pierre Pons, vice-présidente déléguée à la Culture, Zita Chelvi-Sandin et Rachid El-Moudden, conseillers départementaux, ont soumis au vote l’approbation des Actions éducatives territoriales pour l’année 2023-2024.

 

Des actions éducatives territoriales, qu’est-ce que c’est ?
Lecture, découverte du patrimoine, sécurité routière, danse, sensibilisation à l’environnement...
le Département accompagne et finance certains projets éducatifs dans le cadre de l’ap­pel à projet « Actions éducatives territoriales ».
Ce programme, conçu en partenariat avec l’Edu­cation nationale et la DRAC, liste un ensemble de projets et modules qui abordent, dans le cadre d’une pédagogie ouverte, des thèmes variés pour sensibi­liser nos jeunes aux enjeux du monde contempo­rain.

En quelques chiffres :

  • Parcours d’éducation artistique culturelle avec 3 thèmes :

Goût de lire, Chemin de la Culture et Histoire & Mémoires
264 projets approuvés
80 collèges concernés – 9 170 collégiens

  • Sensibilisation à l’Environnement (biodiversité, alimentation, littoral héraultais, gestion de l’eau, changement climatique, découverte des espaces naturels sensibles…)

67 projets
49 collèges concernés – 5 701 collégiens

  • Citoyenneté, découverte des métiers, bien-être et sécurité

248 projets
78 collèges concernés – 23 971 collégiens, en hausse !

Soit un total de 579 projets soutenus pour l'année 2023-2024.

Un nouveau Schéma départemental de l’Action sociale voté

« Pourquoi un Schéma de l’Action sociale ? » interrogeait ce lundi en assemblée Patricia Weber, Vice-Présidente déléguée à la solidarité aux personnes et à l’autonomie. « Ce n’est pas obligatoire, pourtant nous avons fait le choix d’en faire un ! »

Pour construire ce Plan, le Département s’est appuyé sur une démarche empirique pour un projet co-construit, proche de la réalité du terrain. Ce SDAS s’appuie sur la définition d’un périmètre « qui n’exclut pas mais qui priorise ! ».

Quels sont les publics prioritaires ?
- Les familles avec enfants mineurs
- Les bénéficiaires de l’Aide personnalisée d’autonomie (APA)

L’objectif est précis : « On ne laisse pas les Héraultais en difficulté sans réponse. »

Pour répondre à tout le monde, le Département mise sur un travail en partenariat qui privilégie une répartition équilibrée des rôles de chacun, structures, institutions…

Quels sont les 7 axes clés pour ce Plan ?

  1. Améliorer l’accueil et l’orientation des publics par la structuration des réseaux de Premier accueil social inconditionnel de proximité (PASIP) à l’échelle des bassins de vie.

2. Préciser la mission des Services départementaux des solidarités (SDS) dans l’accompagnement des publics les plus précaires et ceux sans domicile fixe et hébergés (bidonvilles, squats, hôtels…) en co-construisant et articulant avec les partenaires les divers dispositifs de santé, d’accueil, d’hébergement insertion (AHI) et leur accompagnement social ou global.

3. Recentrer les travailleurs sociaux sur la mission d’accompagnement social en les positionnant comme « fil rouge » et réinvestissant l’accompagnement socioprofessionnel en faveur des publics accompagnés.

4. Décloisonner et articuler les différents niveaux de l’intervention sociale en promouvant un accompagnement global et coordonné du parcours de la personne, avec plus de transversalité et de partage d’information entre les services et les partenaires.

5. Apporter une réponse adaptée aux besoins de première nécessité, par l’actualisation ou l’adaptation des aides financières, le développement des dispositifs d’alimentation solidaires et l’intégration des enjeux de la transition écologique dans l’action sociale.

6. Accompagner les publics et les professionnels face aux transformations numériques, en facilitant l’inclusion numérique.

7. Promouvoir le développement social des territoires en favorisant l’émergence d’actions, de projets et d’outils opérationnels adéquats, en prenant en compte la participation des personnes accompagnées dans l’élaboration des politiques de solidarité à l’échelle de chaque territoire.

+ Pour accompagner cette démarche, le Département a mis en place en 2023 une nouvelle instance partenariale, le Comité départemental de l’action sociale (CDAS), destinée à permettre à la collectivité d’initier les échanges et les collaborations entre les différents acteurs de l’action sociale, conformément à son rôle de chef de file. Cette instance se réunit une à deux fois par an et est relayée, à l’échelle infra-départementale, par des comités locaux.

Développement durable : là aussi, le Département à l’avant-garde

Également au programme de cette session, le rapport annuel départemental du développement durable présenté par Christophe Morgo, Vice-Président délégué à l’environnement.

17 objectifs de développement durable sont fixés depuis 2015 par l’ONU autour de sujets comme le climat, la biodiversité, l’eau, l’égalité des genres…

Face à « l’urgence de nos transitions » mentionnée par l’élu, le Département a inscrit nombre de ces objectifs « au cœur du fonctionnement de notre collectivité, nos compétences nous placent au cœur des possibles ! ».

Pour ne citer que deux exemples qui portent leurs fruits :

  • Le programme développé pour accompagner des chantiers d’insertion dans l’éco-construction sur le bâti ancien > En 2023, une dizaine de ces chantiers ont permis de proposer des formations techniques à des allocataires du RSA une formation technique pour un secteur en tension
  • La dématérialisation des dossiers des bénéficiaires de la MDPH > Plus rapide, moins de papier gâché, le constat positif est sans appel pour les bénéficiaires comme les usagers !

 

Clap de fin pour cette session.
Le Département vous invite à suivre la prochaine assemblée départementale qui se tiendra les 11, 12 et 13 décembre consacrée au vote du budget primitif.

A suivre !

 

L’innovation, atout-clé pour la compétitivité et l’emploi

En matière d’innovation, l’Occitanie se place sur le podium des régions françaises performantes. Pour développer encore cet atout, la Région déploie une politique ambitieuse de valorisation de la recherche, de soutien à l’innovation et aux filières stratégiques. Au bout : la compétitivité des entreprises et la création d’emplois à forte valeur ajoutée.

La Région mobilisera 450 M€ pour stimuler, détecter et diffuser l'innovation partout en Occitanie
La Région mobilisera 450 M€ pour stimuler, détecter et diffuser l’innovation partout en Occitanie

L’innovation représente l’un des plus importants piliers de la compétitivité́ des entreprises et de la souveraineté́ du territoire. C’est pourquoi la « Politique régionale Innovation » adoptée par la Région le 16 novembre affiche trois grandes ambitions : stimuler, détecter et diffuser l’innovation partout en Occitanie, doubler le nombre de jeunes entreprises innovantes et animer le réseau des acteurs de l’accompagnement de l’innovation. Pour réussir ce triple objectif, la Région mobilisera 450 M€ entre 2023 et 2027, dont 160 M€ de crédits européens Feder.

De la recherche à la commercialisation

Les secteurs d’avenir comme la filière biotechnologies sont particulièrement soutenus par la Région

La Région veut en particulier garantir le lien entre la recherche, la création d’entreprises et au final l’accès au marché, en articulant son Schéma régional de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (SRESRI ) avec le Schéma régional de développement économique, d’innovation et d’internationalisation (SRDEII).

L’enjeu pour l’Occitanie est de mobiliser au mieux la recherche académique au bénéfice de l’innovation dans les entreprises et les créations d’emplois. Les actions de la Région visent ainsi à orienter la recherche vers les innovations de demain et à créer les conditions nécessaires à l’acquisition des savoirs et au transfert de technologie au sein des entreprises.

Le soutien de la Région priorise les secteurs d’avenir identifiés par la Stratégie Régionale d’Innovation (SRI) : l’alimentation durable, l’eau, l’économie « bleue » du littoral et de la mer, la santé (biotechnologies, bien-être et bien-vieillir), la transition énergétique (éolien flottant, hydrogène vert…), le numérique (big data, intelligence artificielle et cybersécurité), les matériaux intelligents et durables et la mobilité intelligente et durable. Un nouveau Domaine d’innovation stratégique, dédié à la filière spatiale, va être créé afin de réaffirmer le leadership de l’Occitanie dans ce secteur.

Par ailleurs, au regard du potentiel d’innovation des laboratoires académiques situés en Occitanie, la Région a l’ambition de doubler le nombre de jeunes entreprises innovantes sur le territoire (d’une cinquantaine d’entreprises à fort potentiel de développement à cent par an). Elle mobilisera davantage les acteurs de l’innovation pour préparer les champions de demain, ces jeunes entreprises représentant un fort potentiel de création d’emplois.

Mobiliser les partenaires

Nubbo fait partie des incubateurs de projets innovants. Il a accompagné le robot de viticulture développé par NaïO.

Pour déployer son soutien à l’innovation, la Région collabore avec un réseau de partenaires, à l’image des pôles de compétitivité, des Pôles Universitaires d’Innovation (PUI), des Sociétés d’Accélérations et de Transfert de Technologie (SATT) ou des incubateurs et pépinières du Réso IP+. Membre du Réso IP+, l’incubateur et accélérateur Nubbo a déjà accompagné 280 entreprises innovantes créatrices de 3 130 emplois et il sera renforcé. La Région est aussi partenaire des financeurs de jeunes entreprises innovantes, comme le fonds d’amorçage Ocseed et l’association Créalia.

L’innovation, ça compte en Occitanie !

. 6,225 milliards d’euros par an sont dépensés par les entreprises d’Occitanie en Recherche et Développement. C’est 11,8 % de la Dépense Intérieure de Recherche et Développement (DIRD) en France.
. L’Occitanie brille aux classements de l’innovation : elle est 2e des régions françaises en dépôt de brevets (1 053 en 2020) et 3e en nombre d’étudiants (260 000).
. 11 % des chercheurs français sont basés en Occitanie (soit 52 046 personnes, dont 23 230 dans des organismes publics).

En cette journée nationale de mobilisation intersyndicale contre le PLFSS, projet de loi de financement de la Sécurité Sociale, la CGT des Hôpitaux du bassin de Thau a organisé un rassemblement

En cette journée nationale de mobilisation intersyndicale contre le PLFSS, projet de loi de financement de la Sécurité 0le, la CGT des Hôpitaux du bassin de Thau a organisé un rassemblement devant les locaux de la Sécu. de Sète, pour dire NON à cette loi imposée par le gouvernement par 49.3. Cette loi qui réduit le financement de la Sécu. Et donc, le financement des Hôpitaux.
La CGT se bat pour la reconquête d’une Sécurité Sociale intégrale.
"CHACUN COTISE EN FONCTION DE SES MOYENS ET REÇOIT EN FONCTION DE SES BESOINS." PRECISE-T-ELLE.
 

Les violences conjugales sont encore en hausse pour l’année 2022

Selon Orange.frEnfant, Fille, Craindre, Abus

Le ministère de l’Intérieur vient de publier son rapport annuel concernant les violences conjugales, en hausse de 15%. Pour l’année 2022, plus de 240 000 victimes ont déclaré des faits de violences dans leur couple auprès des forces de l'ordre.

Explosion des violences conjugales. 244 000 victimes ont été enregistrées en 2022 par les forces de l'ordre (police, gendarmerie…). Le nombre est en hausse de 15% par rapport à 2021, révèle le ministère de l’Intérieur qui publie les données ce jeudi 16 novembre. Cette augmentation est "proche du taux d’évolution annuel moyen constaté depuis 2019", indique le communiqué du Service de statistique de la sécurité intérieure (SSMSI), relayé par Franceinfo................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/les-violences-conjugales-sont-encore-en-hausse-pour-l-annee-2022-magic-CNT0000029lL6I.html