échos

Brexit: la France se prépare à indemniser les navires sans licence, "fiasco" pour les pêcheurs

"Ca veut dire que c'est la fin": les pêcheurs français expriment jeudi leur colère après que la ministre de la Mer Annick Girardin a évoqué un plan d'indemnisation pour ceux qui ne pourraient plus travailler à cause du Brexit, vu par les professionnels comme la reconnaissance d'une "défaite" de la France. 

Face aux difficultés pour obtenir des droits de pêche, notamment de la part des autorités de l'île anglo-normande de Jersey, Mme Girardin a annoncé jeudi matin la préparation de "plans de sortie de flotte" pour indemniser les pêcheurs dont les navires n'obtiendraient pas de licence et resteraient in fine à quai.

L'annonce a fait l'effet d'une bombe aux assises de la mer organisées à Saint-Pol-de-Léon (Finistère), où élus locaux et professionnels ont immédiatement rejeté l'hypothèse d'un "plan massif de destruction des bateaux" pendant que les négociations se poursuivent avec Londres.

Mais aussi dans les ports français dont l'activité dépend largement des eaux britanniques.

"La défaite elle était prévisible (...). C'est un fiasco", a réagi auprès de l'AFP Pascal Delacour, patron d'un chalutier de Granville.................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/economie/brexit-la-france-se-prepare-a-indemniser-les-navires-sans-licence-fiasco-pour-les-pecheurs-CNT000001GBvgv/photos/un-pecheur-francais-sur-le-port-de-boulogne

Le bon fonctionnement et la valorisation des milieux aquatiques de la Région Occitanie

La région Occitanie a la chance de bénéficier de milieux aquatiques nombreux, variés et, pour certains , remarquables en terme de biodiversité. 74 000 km de cours d’eau, près de 35 500 zones humides et 40 000 ha de lagunes méditerranéennes, essentiels au territoire régional et qu’il est urgent de préserver.

La Région a donc créé un dispositif d’aide en faveur de la préservation et la restauration des fonctionnalités des milieux aquatiques qui s’inscrit dans le cadre de son Plan d’Intervention régional pour l’eau.

 La Fontaine De Fontestorbes, Belesta

Pixabay Occitanie

Le dispositif d’aide en faveur de la préservation et la restauration des fonctionnalités des milieux aquatiques

Notre patrimoine naturel régional est remarquable mais il subit des pressions importantes, parmi lesquelles l’artificialisation des écosystèmes, les changements climatiques et l’ampleur des sollicitations liées à certains usages.
Cette dégradation remet en cause le bon fonctionnement des milieux aquatiques, leur capacité à rendre des services et leur pérennité pour les générations futures.

Dans ce contexte, la Région Occitanie a voté le 22 juin 2018 un dispositif d’aide en faveur de la préservation et la restauration des fonctionnalités des milieux aquatiques, affirmant ainsi sa volonté de développer des solutions fondées sur la nature pour un développement territorial durable et un renforcement de la résilience des écosystèmes.

Ce dispositif constitue un volet essentiel du Plan d’intervention régional pour l’eau adopté par les élus régionaux à cette même date.

Drone, Lot, France, Occitanie, Paysage

Pixabay Occitanie

Contexte et objectifs

La région Occitanie a la chance de bénéficier de milieux aquatiques nombreux, variés et pour certains remarquables en termes de biodiversité.

Le bon fonctionnement de ces milieux aquatiques est essentiel pour le territoire régional : il contribue à améliorer la qualité de l’eau, se protéger contre les crues, faciliter l’adaptation de ces milieux et celle de la région au changement climatique, abriter une biodiversité inféodée.

Ces infrastructures naturelles permettent également de soutenir le développement économique, de renforcer le lien social et la qualité du cadre de vie des citoyens.

Or ce patrimoine naturel remarquable subit des pressions importantes, parmi lesquelles l’artificialisation des écosystèmes, les changements climatiques et l’ampleur des sollicitations liées à certains usages.

Aujourd’hui, 54% des masses d’eau d’Occitanie ne sont pas en bon état écologique. Cette dégradation remet en cause le bon fonctionnement des milieux aquatiques, leur capacité à rendre des services et leur pérennité pour les générations futures.

Dans ce contexte, et dans le cadre des compétences régionales en matière d’aménagement durable des territoires et de développement économique, la Région Occitanie souhaite accompagner des actions de préservation et de restauration des fonctionnalités des milieux aquatiques, et affirmer ainsi sa volonté de miser sur la nature pour renforcer la résilience des écosystèmes et des territoires.

Pont, Pierre, Pont De Pierre, Rivière

Pixabay

Les grandes orientations

Le présent dispositif régional vise à :

  • soutenir les projets de préservation et de restauration des fonctionnalités des milieux aquatiques lorsqu’ils s’appuient sur une prise en compte des dynamiques hydro-morphologiques et écologiques aux échelles du bassin versant et des espaces de fonctionnement des cours d’eau (lit mineur, lit majeur, espaces de mobilité) ;
  • reconnaitre l’importance des zones humides pour le territoire régional et la nécessité de renforcer leur protection sur l’ensemble d’Occitanie (en complément des actions conduites notamment sur les Réserves Naturelles Régionales ou les Parcs Naturels Régionaux) ;
  • inciter les porteurs de projets à mener des actions innovantes sur les plans techniques et culturels pour renforcer l’adhésion des acteurs et des citoyens aux objectifs exprimés.

La nature de l’action régionale

La Région intervient dans ce dispositif au travers de subventions de fonctionnement spécifique et de subventions d’investissement. Le fonctionnement général des structures et les avances remboursables ne sont pas prévus dans le cadre du présent dispositif.

Il est fortement conseillé de se référer à la fiche dispositif et de prendre contact avec le service Eau, Milieux aquatiques et Risques avant toute constitution d’un dossier de demande de subvention.

Le jeudi 18 novembre est la journée internationale de lutte contre la violence et le harcèlement en milieu scolaire.

 Ce phénomène se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique, concernant 800 000 à 1 000 000 élèves chaque année. C’est pourquoi nous sommes tous concernés !
Avec l’utilisation d’Internet (réseaux sociaux, mails...), on parle aujourd’hui également de cyber-harcèlement, un harcèlement subi à l’école pouvant se prolonger au domicile. Il est particulièrement dangereux puisqu’il peut être complètement invisible pour les proches, en particulier quand il concerne les mineurs.
Cette journée permet de rappeler combien la prévention et la lutte contre le harcèlement sont indispensables. Face à ce fléau, chacun d’entre nous peut agir à son niveau. Que vous soyez parent, éducateur, proche d’une victime, témoin d’une agression, utilisateur ou encore professionnel des réseaux sociaux, chacun peut efficacement se mobiliser.
 
 
 
Quelle que soit la forme du harcèlement, n’oubliez pas que c’est interdit et puni par la loi et que des lignes téléphoniques ont été mises en place afin d’aider les victimes d’harcèlements :
N°Stop Harcèlement au 30 20
et en cas de cyber-harcèlement : N°net écoute : 0800 200 000, gratuit, anonyme, confidentiel et ouvert du lundi au samedi de 9h à 20h.

Pédocriminalité dans l'Eglise : au moins 330 000 mineurs ont été victimes de violences sexuelles depuis 1950, estime le rapport Sauvé

Selon FranceInfo : Fruit de deux ans et demi d'enquête, le rapport, présenté mardi matin lors d'une conférence de presse, estime par ailleurs qu'entre 2 900 et 3 200 prêtres ou religieux pédocriminels ont sévi dans l'Eglise en France depuis près de 70 ans.

"Les conclusions "appellent des mesures très fortes". Le haut-fonctionnaire Jean-Marc Sauvé a présenté les conclusions de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise (Ciase) qu'il présidait, mardi 5 octobre lors d'une conférence de presse. Son rapport estime à 216 000 le nombre de mineurs victimes de violences sexuelles de la part de prêtres ou de religieux depuis 1950. Ce chiffre, fruit d'une enquête de deux ans et demi sur un échantillon représentatif de Français, comporte une marge d'erreur estimée par la Ciase à "plus ou moins 50 000" personnes, a précisé le président de la commission. Le bilan atteint au moins 330 000 victimes si on ajoute celles de "laïcs en mission d'Eglise" (dans l'enseignement catholique et les organisations de jeunesse notamment) et il n'inclut pas les victimes décédées depuis les faits. Suivez toutes les informations autour de cette conférence de presse dans notre direct.

 Les évêques demandent "pardon". "

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/societe/religion/pedophilie-de-l-eglise/pedocriminalite-dans-l-eglise-suivez-la-conference-de-presse

 

Stéphane TARROUX, Conservateur en chef du patrimoine, succède à Maithé Valles-Bled à la direction du musée Paul Valéry

Peut être une image de 1 personne et intérieurStéphane TARROUX, Conservateur en chef du patrimoine, succède à Maithé Valles-Bled à la direction du musée Paul Valéry.
Professeur agrégé de lettres, Stéphane TARROUX a commencé sa carrière comme enseignant de littérature française, grecque et latine. Après sa réussite au concours de conservateur, il intègre l’Institut National du patrimoine et travaille au côté de Maïthé Vallès-Bled jusqu’à son départ. Chargé des collections, il est également associé à l’ensemble des expositions qui ont eu lieu depuis 2012. Il est nommé Conservateur en chef du patrimoine depuis le mois de décembre 2020.

L'obligation de formation des 16-18 ans

L'obligation de formation s'applique à tout jeune à l'issue de sa scolarité obligatoire et ce jusqu'à 18 ans. Il s'agit de proposer des solutions de retour à l'école, d'accès à la qualification et à l'emploi.Infographie - Obligation de formation : le numéro vert

Qui est concerné par cette obligation de formation ?

Près de 80 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans aucune qualification et 60 000 mineurs ne sont ni en études, ni en formation, ni en emploi. Ils rencontrent de grandes difficultés pour s'insérer dans le marché du travail et sont les
premières victimes de la pauvreté.
Ainsi depuis la rentrée 2020, afin qu'aucun jeune ne soit laissé dans une situation où il ne serait ni en études, ni en formation, ni en emploi, l'obligation de se former est prolongée jusqu'à l'âge de 18 ans.

L’obligation de formation permet de repérer et d'amener vers un parcours d'accompagnement et de formation les jeunes en risque d'exclusion.

Est concerné tout mineur de 16 à 18 ans :

  • en situation de décrochage du système scolaire
  • diplômé ou non et qui n'est ni en emploi ni en éducation ni en formation.

Les mineurs de 16 à 18 ans placés en centres éducatifs fermés (CEF) satisfont à l'obligation de formation au titre des programmes soutenus d'activités scolaires et professionnelles

Le dispositif concerne environ 60 000 jeunes entre 16 et 18 ans.

Un accompagnement sur mesure, des solutions variés et une mobilisation de tous les professionnels

A qui s'adresser pour s'informer ?

Deux outils sont dédiés aux jeunes ou aux familles qui souhaitent s'informer :

Au téléphone, les acteurs de l'orientation et de l'accompagnement, répondent en fonction de la région où habite le jeune, de manière à ce qu'il ait immédiatement en ligne un professionnel de sa région.

Des dispositifs de repérage

Éducation, formation, apprentissage, service public de l’emploi, Service civique…État, Régions et Départements, tous les acteurs concernés travaillent ensemble pour mettre en commun leurs solutions et assurer un suivi de qualité pour chaque jeune.

Les établissements d'enseignement du second degré collèges ou lycées public, privé ou agricole) et chaque centre de formation d'apprentis  peuvent transmettre les coordonnées de leurs anciens élèves ou apprentis qui ne sont plus inscrits dans un cycle de formation.

Il appartient à toute structure ayant repéré un jeune relevant de l'obligation de formation ou ayant accueilli un jeune se présentant spontanément de :

  • l'orienter vers la mission locale ou vers le CIO dont il dépend 
  • informer ces structures de ce repérage
  • remobiliser le jeune et à ne pas le perdre de vue.

Les missions locales sont chargées d’assurer le respect de cette obligation de formation, en lien étroit avec les autres acteurs : établissements scolaires, centres d’informations et d’orientation, Pôle emploi, structures de raccrochage scolaire (micro-lycées), écoles de la 2e chance, etc.

Des partenaires s'impliquent partout en France :

  • les structures du réseau de l'Information Jeunesse et des outils d'information des jeunes
  • les associations disposant d'un agrément Jeunesse Éducation populaire intervenant dans de multiples champs de l'animation, de l'accueil collectif de mineurs, du socio-éducatif, de la prévention spécialisée
  • les services de la protection judiciaire de la jeunesse
  • les associations spécialisées dans le handicap
  • les associations sportives qui peuvent contribuer au repérage du public concerné par l'obligation de formation.

Un parcours pour trouver des solutions

Entretien, diagnostic de sa situation, bilan de compétences…Tous les outils sont mis au service du choix du jeune. Ces solutions s’appuient sur les secteurs porteurs. L’orientation proposée aux jeunes prend en compte les filières qui offrent des perspectives solides : écologique, numérique, sanitaire et sociale, par exemple.

L'entretien de situation : poser un diagnostic de la situation

L'entretien de situation permet de faire le point sur la situation du jeune et de l'orienter vers une structure pour la poursuite de son parcours.

À l'issue de l'entretien de situation, le conseiller doit proposer au jeune un diagnostic approfondi qui peut être complété d'un bilan de compétences.

Construire un parcours grâce à un éventail de solutions

Le conseiller ou le référent construit  un parcours pouvant combiner plusieurs solutions avec le jeune et son représentant légal :

  • les dispositifs de lutte contre le décrochage scolaire
  • la formation initiale et continue
  • l'offre de services du service public de l'emploi et de ses partenaires
  • l'engagement et le volontariat

Le but est de permettre aux jeunes d'accéder à l'emploi et/ou à un diplôme ou une certification.

Quelles sont les offres de l'Éducation Nationale ?

L'offre de solutions de l'éducation nationale est proposée par les réseaux Foquale . Elle comprend :

  • le retour en formation dans un établissement scolaire, en voie générale, technologique ou professionnelle
  • des actions de remédiation menées au titre de la MLDS visant à préparer progressivement le retour en classe
  • des parcours personnalisés de retour en formation initiale
  • des actions de formation combinées avec une mission de Service civique ou un stage en entreprise
  • des actions de formation en lien avec les partenaires des PSAD
  • l'accueil de jeunes dans des structures de retour à l'école de type microlycée.

La construction des parcours des jeunes peut s'appuyer sur les mesures du plan de relance #1 jeune, 1 solution. Ce plan met l'accent sur plusieurs dispositifs qui constituent autant de solutions pour les jeunes au titre de l'obligation de formation.

L'engagement de service civique et le service national universel

L'engagement de Service civique est encouragé afin d'offrir un temps de remobilisation à ces jeunes leur permettant d'envisager ensuite de rentrer en formation ou en emploi dans des conditions plus favorables. En complément, il pourrait être proposé aux jeunes de s'engager dans des actions de bénévolat en s'appuyant sur le tissu associatif local.

L'engagement au Service national universel peut être fortement conseillé aux jeunes mineurs qui ne sont ni en emploi ni en éducation ni en formation depuis plus longtemps.

Comment le jeune est-il suivi ?

 Plusieurs cas de figure sont possibles :

  • soit le jeune choisit un retour en formation scolaire, il va donc continuer d'être suivi par les services de l'éducation nationale qui s'assureront de la disponibilité de sa formation et de son inscription
  • soit le jeune opte pour un dispositif d'accompagnement vers l'emploi et l'insertion mis en œuvre au sein des missions locales, qui s'assureront de sa mobilisation notamment par le biais de la signature d'un contrat d'engagement
  • soit le jeune est orienté vers un autre acteur pour poursuivre son parcours d'accompagnement ou de formation professionnelle.
    Dans l'optique du "Dites-le nous une fois", le référent s'assure que les informations sur le jeune et sur son diagnostic soient bien transmises, avec son accord et dans le respect de la RGPD .

Que se passe-t-il en cas de manquement ?

Que se passe-t-il si le contact avec le jeune concerné par l'obligation de formation n'est pas établi ?

Si l'acteur désigné par la plateforme de suivi et d'appui aux décrocheurs ( PSAD ) pour contacter le jeune n'y parvient pas, son représentant légal sera contacté. En cas de tentatives répétées et infructueuses, la PSAD devra en informer la mission locale, chargée du contrôle du respect de l'obligation de formation.

Que se passe-t-il lorsque le jeune a manqué à son obligation de formation sans motifs légitimes

Il y a manquement si :

  • le contact a été établi, mais le jeune ne se présente pas à l'entretien de situation ou pour l'entretien de diagnostic avec la structure en charge de son suivi, et ce malgré plusieurs relances
  • le jeune refuse toutes les solutions proposées
  • le jeune ne se présente pas, sans motif légitime, dans les structures, ateliers, cours, etc., proposés dans le cadre de son parcours,

Quelles sont les conséquences ?

  • le ou la directrice de la mission locale se met en contact avec les acteurs de l'accompagnement du jeune
  • le jeune et ses représentants légaux sont convoqués afin d'analyser les raisons du non-respect de l'obligation de formation
  • des mesures sont trouvées pour remédier à la situation

Que se passe-t-il si la situation persiste malgré les mesures mises en place ?

En cas de persistance du défaut de respect de l'obligation de formation, le directeur ou la directrice de la mission locale saisit le président du conseil départemental et lui transmet le dossier individuel de suivi du jeune. Il en informe préalablement les parents ou le représentant légal du mineur.

Le conseil départemental, selon son évaluation de la saisine, pourra mobiliser :

  • les services de l'insertion
  • les services de la prévention spécialisée
  • les services de l'assistance éducative.

Harcèlement scolaire : nouvelle application, contrôle parental, sensibilisation au numérique... Emmanuel Macron annonce de nouvelles mesures

Selon FranceInfo : Dans une vidéo publiée sur Twitter, le chef de l'Etat annonce que, "en plus du numéro 3018 mis en place, une application 3018 sera lancée en février" pour permettre aux victimes d'être mieux accompagnées...

 

Une prise de parole attendue. Emmanuel Macron a annoncé, jeudi 18 novembre, de nouvelles mesures pour lutter contre le harcèlement scolaire, dont un renforcement du contrôle parental sur les écrans utilisés par les enfants et une nouvelle application pour aider les victimes à dénoncer les faits.

A l'occasion de la journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, le chef de l'Etat a pubié une vidéo postée sur les réseaux sociaux dans laquelle il affirme que, malgré les initiatives prises, "le harcèlement sévit toujours à l'école, sur les réseaux sociaux, sans laisser aucun moment de répit à ceux qui en sont victimes".

Et le président de la République d'ajouter : "C'est pourquoi nous allons continuer à nous mobiliser, en particulier parce que les élèves harcelés sont souvent isolés et ont peur. Nous devons leur faciliter le signalement de ce dont ils sont victimes."

Un enfant sur dix est harcelé à l'école...................................

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/societe/education/harcelement-a-l-ecole/harcelement-scolaire-nouvelle-application-controle-parental-sensibilisation-au-numerique-emmanuel-macron-annonce

Comment se prémunir contre le phishing ?

Usagers du web, vos données sont précieuses et les pirates le savent. C’est pourquoi ils redoublent d’imagination pour tenter de vous les soutirer. L’un de ces moyens est le phishing. Qu’est-ce que c’est et comment s’en prémunir ? Comment signaler facilement une tentative d’hameçonnage ? On vous explique !

Qu’est-ce que le phishing ou hameçonnage ?

Le phishing ou hameçonnage consiste à obtenir du destinataire d’un courriel d’apparence légitime qu’il transmette ses coordonnées bancaires ou ses identifiants de connexion à des services financiers, afin de lui dérober de l’argent.

Il s’agit de l’un des principaux vecteurs de la cybercriminalité.

Ce type de pratique peut être également utilisé dans des attaques par hameçonnage ciblé visant à obtenir d’un employé ses identifiants d’accès aux réseaux professionnels auxquels il a accès.

Pour renforcer sa crédibilité, le courriel frauduleux n’hésitera pas à utiliser logos et chartes graphiques des administrations ou entreprises les plus connues. Le contenu du message repose en général sur 2 stratégies :

  • soit il vous est reproché de ne toujours pas avoir réglé une certaine somme d’argent (factures, impôts, électricité…) et on vous enjoint à le faire sous peine de pénalités de retard voire de saisine de la justice
  • soit on vous signale une erreur d’ordre financier en votre faveur (impôts, banque…) et on vous invite à suivre des indications pour vous faire rembourser.

D’autres méthodes existent (fax en attente, cadeaux…). Restez vigilant !

Lire aussi : Comment créer un mot de passe sécurisé et simple à retenir ?

Comment vous protéger contre le phishing ?

Voici quelques conseils pour vous protéger contre le phishing :

  • Si un courriel vous semble douteux, ne cliquez pas sur les pièces jointes ou sur les liens qu’il contient ! Connectez-vous en saisissant l’adresse officielle dans la barre d’adresses de votre navigateur.
  • Si vous réglez un achat en ligne et que vous devez donc fournir des informations relatives à votre carte bancaire, vérifiez que vous êtes sur un site web sécurisé dont l’adresse commence par « https ».
  • Ne communiquez jamais d’informations confidentielles par mail. Aucun site web fiable ne vous le demandera !
  • Vérifiez que votre antivirus est à jour pour maximiser sa protection contre les programmes malveillants.
  • Utilisez le filtre contre le filoutage du navigateur internet : la plupart des navigateurs existants proposent une fonctionnalité d’avertissement contre le filoutage. Leurs principes peuvent être différents (liste noire, liste blanche, mot clé, etc.) mais toutes ces fonctions aident à maintenir votre vigilance.
  • Utilisez un logiciel de filtre anti-pourriel ou les fonctionnalités de classement automatique en tant que spam de votre boite de réception : même si ces filtrages ne sont pas exhaustifs, ils permettent de réduire le nombre de ces courriels.

Lire aussi : Dix règles à respecter pour être (presque) sûr de vous faire pirater votre ordinateur

Signalez l’abus d’utilisation d’informations personnelles aux autorités compétentes

Si vous pensez avoir été victime d’une escroquerie ou d’une tentative d’escroquerie par phishing signalez-le sur signal-spam.fr.

Signal Spam donne la possibilité aux internautes de signaler tout ce qu’ils considèrent être un spam dans leur messagerie afin de l’assigner ensuite à l’autorité publique ou au professionnel qui saura agir pour lutter contre le spam signalé.

Lire aussi : Usurpation d’identité, comment s’en protéger ?

Une distincion pour Yves Michel

 
Instaurer ou conforter un cheminement piétonnier sur tout le pourtour de la lagune de Thau, c’est l’ambition du SMBT. Une ambition saluée par l’Etat qui a retenu le 13 avril dernier ce projet parmi les six premiers lauréats de l’Appel à projets « France vue sur mer » et le seul en Occitanie, destiné à étendre le sentier du littoral sur toutes les façades françaises. Assuré d’obtenir des aides de France relance, le SMBT va piloter une étude pour identifier les chemins existants, ceux à réaménager et les secteurs à éviter en raison de contraintes environnementales ou économiques.
 
Pour symboliser cela, Yves Michel, Président du SMBT, a eu l’honneur de se voir remettre officiellement un "clou urbain France vue sur mer" - à planter le long du sentier - de la main de la Ministre de la Mer sur le stand du CEREMA au Salon des maires.
À terme, c’est un bouclage du sentier du littoral de près de 80 kms qui sera praticable pour le plus grand plaisir des promeneurs et des curieux !
 

L'agence mobile du réseau de bus Sète Agglopôle Mobilité cette semaine

Après Montbazin ce lundi matin, l'agence mobile du réseau de bus Sète Agglopôle Mobilité, sera présente jusqu'en fin de semaine (de 7h à 12h30) :
- Centre Nelson Mandela de Loupian (mercredi 3 février)
- Marché de Frontignan (jeudi 4 février)
- Marché de Mireval (vendredi 5 février)
Aucune description de photo disponible.

METEO Sète prévisions sur les 3 prochains jours

INFOGRAPHIES SUR : https://meteofrance.com/previsions-meteo-france/sete/34200

2021-11-18 

Pour ce matin. A 2 heures, la pression atmosphérique au niveau de la mer sur la commune, est de 1026 hectopascals. Temps largement ensoleillé. Les températures avoisinent 7 degrés vers 7 heures. Vent de Nord-Ouest assez faible. Pour cet après-midi. Le soleil brille généreusement. Les températures avoisinent 14 degrés vers 13 heures. Vent faible d'Ouest. Pour ce soir. Beau temps sec et bien ensoleillé. Température sous abri de 10 degrés vers 19 heures. Petit vent d'Ouest généralement faible.
 
Pour la nuit prochaine. Ciel bien étoilé. Température sous abri de 6 degrés vers 1 heure. Vent faible. Pour vendredi matin. Le soleil brille sans partage. Température : 4 degrés vers 7 heures. Vent faible de direction variable.
 
Pour vendredi après-midi. Soleil et ciel bleu prédominent. Température : 14 degrés vers 13 heures. Vent faible.
 
Pour samedi matin. Soleil généreux. Températures minimales : 3 degrés. Ces températures sont au-dessous des valeurs normalement observées. Vent faible de direction variable. Pour samedi après-midi. Ciel chargé de nuages. Températures maximales : 16 degrés. Vent faible de direction variable. Pour dimanche matin. Nombreux passages nuageux sans conséquences. Températures minimales : 8 degrés. Vent faible.
 
Pour dimanche après-midi. Passages nuageux alternant avec quelques éclaircies. Températures maximales : 15 degrés. Vent faible de direction variable.
 
 

Spectacle ciné-concert "PAYSAGES, pas de pays sans âge" - Automnales du Festival de Thau

Ouverture des Automnales du Festival de Thau 2021 à Frontignan !
21h – antenne de Frontignan du Conservatoire à rayonnement intercommunal
PAYSAGES, pas de pays sans âge
 

CINÉ-CONCERT d'un genre unique, cette création du +SilO+ propose une véritable immersion dans notre environnement. Pour créer ce spectacle tout en lumière et poésie, les 6 musiciens et la réalisatrice se sont inspirés de rencontres avec des habitants de Frontignan et Balaruc-les-Bains notamment ; ils ont filmé le décor dans lequel ils vivent au quotidien et y ont puisé leur inspiration musicale et leurs textes en langue occitane.
Un spectacle étonnant croisant l'image, le récit et la musique pour nous raconter notre territoire avec poésie.
Une découverte à ne pas manquer !

Avec Aimé Brees (direction artistique/chant/clarinette) - Tom Gareil (vibraphone) – Nicolas Chadi (batterie) - Maxime Dupuis (violoncelle) – Olivier-Roman Garcia (guitare) - Sébastien Mazoyer (accordéon) - Catherine Legrand (réalisation et opération vidéo)

BILLETTERIE :
 en prévente : plein 12€ / réduit* 10€ (hors frais de location éventuels)
 sur place le soir même : plein 14€ / réduit* 12€
Gratuit pour les moins de 7 ans
* tarif réduit pour les jeunes de 7 à 18 ans, les étudiants, les demandeurs d'emploi, les bénéficiaires des minimas sociaux
 https://www.festivaldethau.com/billetterie/
 Rejoignez-nous dès 18h30, toujours à Frontignan pour une très belle rencontre !

18h30 – Salle Voltaire


 ÉCO-DIALOGUE avec Géraldine LE ROUX, anthropologue spécialisée dans les questions de souveraineté autochtone, d’art et de pollution marine en Australie et en Océanie, qui présentera son livre "Sea sisters", autour de l'aventure de 14 femmes à bord d’un voilier de 21 mètres, réunies pour recenser les zones de pollution dans le Pacifique Sud
Accès gratuit

Marché de Noël de Balaruc

 

Marché de Noël de Balaruc

Bonne nouvelle, le Marché de Noël organisé par l’association des Commerçants et Artisans Balarucois en collaboration avec la Ville, est de retour le dernier week-end les 26, 27 et 28 novembre. Et comme pour l’édition précédente, celui-ci élira domicile au sein de l’aire de camping-cars “des Bains”. Le temps d’un week-end, cet équipement municipal se transformera en espace féérique avec les artisans et commerçants installés dans leurs chalets, pour le plaisir des yeux et des papilles. Les badauds pourront y retrouver une jolie palette d’idées cadeaux issues de l’artisanat et du commerce local pour les fêtes de fin d’année, sans oublier les plaisirs de la table. Un restaurant et de nombreux food trucks seront sur place tout au long du week-end. Ce qui a fait le succès de ce Marché de Noël – à savoir les nombreuses animations offertes pour petits et grands – perdurent. Patinoire, manèges, gonflables, balades à dos de poneys, dromadaires, atelier maquillage, ferme des animaux, spectacle sur glace ..., seront, une nouvelle fois, offerts aux plus jeunes.
Pour faciliter l’accès à la manifestation, des espaces de stationnement extérieurs seront mis à disposition du public et largement balisés ; le Petit Train et des navettes assureront le transport entre les parkings et le Marché de Noël.
Vendredi 26 novembre de 17h à 22h, samedi 27 novembre 10h à 22h et dimanche 28 de 10h à 19h.
Aire de camping-cars des Bains