Expos

L’exposition "Robert Combas chante Sète et Georges Brassens" officiellement inaugurée

Au travers de l’exposition Robert Combas chante Sète et Georges Brassens, le musée Paul Valéry met en exergue les deux artistes, analogues sur bien des points

Dans le cadre du centenaire Brassens, le Musée Paul Valéry accueille l’exposition Robert Combas chante Sète et Georges Brassens du 8 octobre au 31 décembre. Cette dernière a été inaugurée jeudi 7 octobre, en présence de Robert Combas, François Commeinhes, d’élus, et d’un public venu nombreux. « Robert Combas, et George Brassens portent avec force un regard commun, aiguisé, affuté, sur les nombreux travers d’une société qui, de générations en générations, finalement sont toujours les mêmes », a déclaré le maire lors de son discours

A travers la scénographie, le public a pu effectivement constater que la peinture impertinente et haute en couleur de Robert Combas appuie l’œuvre du célèbre chanteur. Leur irrévérence commune, combinée à un esprit anarchique et libertaire, confère à ce parallèle une indéniable cohérence. L’exposition réunit une sélection d’œuvres peintes pour un premier hommage à Georges Brassens qui avait été rendu en 1992 au CRAC (Centre Régional d’Art Contemporain Occitanie), et s’intitulait La Mauvaise Réputation

Le visiteur retrouvera en autres les chansons illustrées en tableau : Pauvre Martin, Le Gorille, Fernande, Brave Margot, Le Petit Cheval blanc ou encore Auprès de mon arbre, Dans l’eau de la claire fontaine, Les Amoureux des Bancs publics et découvrira une série inédite de portraits de Brassens peinte en 2021.

Parmi les ouvres exposées figure également des tableaux réalisés en 2000 pour l’exposition Maï Aqui au Musée Paul Valéry, et qui ont pour fil rouge l’ile singulière, mêlé à des éléments biographiques du peintre. Les spectateurs peuvent ainsi admirer Le Môle de Sète, Le Pont de la gare (qui en cache un autre), Le tuage de lapin, une toile inédite Les voici les voilà les dauphins Sétois, et un tableau de 1984 Jumelage Sète Marseille, qui viendront ompléter cet ensemble d’hommages à la Sète.

Est aussi présent le tableau L’Autiste dans la forêt de fleurs, un autoportrait symbolisant la force et la fragilité de l’artiste et qui fait écho à Auprès de mon arbre, la chanson autoportrait de Brassens. Enfin, les visiteurs de l’exposition pourront aussi profiter d’un montage vidéo réalisé par Théo Pitout, qui combine des tableaux réalisés en 1992, à une intervention filmée de Michel Onfray (ami de longue date du peintre), qui évoque l’œuvre Pauvre Martin.

Une irrévérence commune

Le rapprochement en Robert Combas et Brassens apparaît comme une évidence, au vu des nombreuses similitudes qu’ils partagent. À propos de son hommage, Robert Combas déclarait en 1992 : « Moi, j’ai voulu faire comme ses mots de jeux, être irrespectueux un peu pour le faire vivre beaucoup et non pas le hisser sur un pied d’Estale d’où il se casserait la gueule […] La plupart des dessins ou sculptures de Brassens que j’ai vus étaient figés comme si on voulait le statufier, le ligoter sans vie. Je préférerais faire 100 portraits de lui en couleur avec les moustaches vertes ou orange s’il le faut, pour le rendre humain, pour lui redonner son rythme tranquille, inimitable. J’espère que je serai compris dans mon essai de compréhension de l’œuvre d’un champion de la chanson et d’un immense pourfendeur des cons. »

Outre leur goût pour la liberté, la grivoiserie, et le politiquement incorrect, les deux artistes ont aussi en commun un amour inconditionnel pour leur ville d’origine, qu’ils ont momentanément dû quitter, sans jamais pouvoir l’oublier : « Parmi les choses qui nous relient Georges et moi y’a surtout le problème Sète : moi j’ai pris conscience dans ma création de mon côté sétois, méditerranéen à Paris, en voyant les devantures écrites avec les mots de tous les pays, je me sentais plus une identité loin de Sète. Brassens a eu des maisons en Normandie ou en Bretagne mais n’a jamais quitté Sète dans son cœur et il l’a beaucoup chantée. Je crois que c’est l’amour-haine peut-être, une passion. C’est cet exil volontaire à tous les deux qui a permis l’éclosion de la Création », a confessé Robert Combas.

Photos Ville de Sète

Exposition// DIALOGUE EN MER

 
Après plusieurs mois au Musée Ethnographique de l’Étang de Thau à Bouzigues et au Jardin Antique Méditerranéen à Balaruc les Bains, les œuvres de l’exposition « Dialogue en Mer » ont été décrochées en fin d’année dernière par les artistes Sarah Thiriet et Mehdi Melhaoui.
Nous souhaitons une bonne continuation à ces « enfants de la mer » qui nous ont enrichis, à travers une approche sensible, de leur vision du monde et de l’océan.
Découvrez ou redécouvrez cette double exposition :

Au Crac Occitanie, du 9 octobre 2021 au 6 février 2022 :

Cet automne au Crac Occitanie, du 9 octobre 2021 au 6 février 2022 :

 

Exposition de Jimmy Robert "Appui, tendu, renversé"

L’exposition retrace le parcours de Jimmy Robert depuis plus de 20 ans à travers des sculptures, des films, des installations, des performances et des œuvres sur papier. Depuis le début des années 2000, Jimmy Robert place l’identité et la représentation du corps noir au centre de sa démarche. Le corps est abordé comme un territoire au croisement de l’intime et du politique tout en démontant les mécanismes contradictoires de désir et de peur en jeu dans notre regard sur l’Autre.

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Cette exposition est réalisée en co-production avec Nottingham Contemporary et le Museion de Bolzano

 

Jimmy Robert, Sans titre (Ompdrailles), 2013.
Impression jet d'encre, tube en bois, 144 x 97 x 10 cm.
Collection du FRAC Grand Large - Hauts-de-France. Vue de l'installation « AMIA Photo Prize Exhibition 2016 » Musée des beaux-arts de l'Ontario, Canada, 2017. Photographe : Dean Tomlinson.
Courtesy de l'artiste, de la galerie Stigter Van Doesburg, Amsterdam, et Tanya Leighton, Berlin.

Jimmy Robert, Sans titre (Ompdrailles), 2013.




Exposition d'Antoine Renard Pharmakon

 

Lors de sa résidence à la Villa Médicis, Antoine Renard a développé une recherche autour du parfum, et plus particulièrement son rôle dans les pratiques de soin et de guérison. À travers une étude des cultures antiques et chrétiennes, il s’est penché sur l’utilisation du parfum dans sa relation à l’invisible et au magique, au divin. Il produit au Crac Occitanie une installation vidéo et sonore ainsi qu’une série de nouvelles sculptures en cire ou en aluminium accompagnées de différents parfums. Ceux-ci activent des souvenirs enfouis, comme autant de supports à la mémoire et à l’architecture psychique.

>> Plus d'information

Antoine Renard, Untitled (Olfarchitecture study 02), 2020.
Bois, cire, parfums (laurier, thym, orange, myrthe) sur base en métal. Vue d’exposition à la Galleria Mario Iannelli à Rome. Courtesy Antoine Renard et Galleria Mario Iannelli, Rome.

Antoine Renard, Untitled (Olfarchitecture study 02), 2020.
   

Le Musée Paul Valéry poursuit sa volonté de ne pas demeurer dans le silence et d’ouvrir à tous ses collections

Durant le prolongement de ce deuxième confinement, le Musée Paul Valéry poursuit sa volonté de ne pas demeurer dans le silence et d’ouvrir à tous ses collections.
A partir d’aujourd’hui, un nouveau cycle de rendez-vous quotidiens par le biais de films vidéo diffusés selon le calendrier suivant :
Du 16 au 24 janvier
Regard sur une œuvre : Chaque jour, une œuvre différente conservée dans les collections.
A l’occasion de la célébration en cette année 2021 du 150e anniversaire de la naissance de Paul Valéry, la première de ces vidéos est consacrée à l’un des joyaux de nos collections : le premier manuscrit du "Cimetière marin".
Du 25 au 30 janvier : Regards en écho
Chaque jour un artiste est invité au Musée pour présenter une œuvre qu’il a choisie dans les collections.
Du 31 janvier au 7 février : Regard sur une œuvre
Chaque jour, une œuvre différente conservée dans les collections
L’image contient peut-être : arbre, plante, ciel, plein air et nature
Vous pouvez accéder à ces vidéos par la chaîne Youtube, sur le site du musée

Exposition Collective SOL au Réservoir à Sète

Peut être une image en noir et blanc
. Une première édition qui se concentre sur le phénomène de « décentrement ».
. De nombreux artistes soutenus par Art&Patrimoine, participent actuellement à cette exposition !
. À découvrir jusqu'au 9/01/2022
. @david.agathe
. @fontainemgx
. @clement8philippe
. @Marie Havel
. @fabien_boitard

6e édition de l’expo "A DESSIN" à la chapelle du quartier Haut

Une des spécificités de la chapelle du quartier Haut est d’alterner expositions individuelles et expositions collectives, toutes originales. Ce vendredi 12 novembre avait lieu le vernissage de A DESSIN 6, sixième volet de la série d’expositions du même nom concoctée par la galerie associative Latelier. Claude Muslin, élue déléguée à la culture, qui représentait le maire François Commeinhes, a chaleureusement remercié “les 24 exposants locaux, nationaux et internationaux pour l’ensemble de leurs œuvres”.

Gilles Bingisser, l’un des quatre membres de Latelier (dont une œuvre est présentée), a salué “tous ces artistes qui ont été accueillis en séjour de résidence de création à l’ancien Collège Victor Hugo pour les éclairages très variés portés sur le dessin dans l’art contemporain qui permettent, en multipliant les expériences esthétiques, de concilier complexité et accessibilité”.

A découvrir jusqu’au 28 novembre

Cette exposition réussit l’harmonieuse association d’œuvres aussi différentes, pour n’en citer que quelques-unes, qu’une série de dessins estampillés aux logos des firmes les plus polluantes (Le nouvel ordre mondial, 2020), la fossilisation sur des carreaux de méduse de la Mer Rouge par Maite Soler, (Vestidos Rojos), les broderies sur coton signées Julie Monnet (La mémoire du visible) destinées à mettre en évidence les principaux pipelines du globe acheminant gaz et pétrole, ou encore cet hommage très personnel au magazine Playboy de Mayura Torii (Sverne), artiste japonaise habitant Marseille.

Autre spécificité du lieu confirmée pour cette inauguration : un public nombreux, avide de découvertes. Il aura tout le loisir de revenir pour profiter plus calmement de cette très riche et réjouissante exposition visible tous les jours jusqu’au 28 novembre de 11 h à 18 h.

 

Le musée Paul Valéry vous donne rendez-vous en vidéo chaque jour sur sa chaîne YouTube

Le musée Paul Valéry vous donne rendez-vous en vidéo chaque jour sur sa chaîne YouTube : https://cutt.ly/WjImVz1
 "Regard sur une œuvre" du 16 au 24 janvier : une pièce de la collection du musée est décryptée au public
 "Regards en écho" du 25 au 30 janvier : un artiste est invité au Musée pour présenter une œuvre choisie dans les collection
 De nouveau "Regard sur une œuvre" du 31 janvier au 7 février

Une soirée événement organisée par le MIAM le 25 novembre avec Jacques Henric, auteur de « La nuit folle »

LE MIAM
En partenariat avec la librairie l’Échappée Belle de sète.

PROPOSE UNE SOIRÉE ÉVÈNEMENT
JEUDI 25 OCTOBRE - 18h
 
Jacques Henric, auteur
 de « La nuit folle » 
 
 
vous fera le plaisir de lire des passages de son dernier livre, au MIAM, en immersion dans l’exposition Psychédélices.

Un apéritif amical est prévu autour d’un échange avec
Jacques Henric à la fin de la lecture.aaaabopCapture
 
.
 
Le 27 mai 1918, Joë Bousquet, jeune soldat de vingt ans et futur Grand poète, reçoit une balle qui le laisse paralysé et impuissant à vie. Un jour de mai 1932, un écolier de sept ans et demi, Jacques Lusseyran, futur Grand héros de la Résistance, perd à jamais l’usage de ses yeux. Le 3 octobre 2018, le narrateur de La Nuit folle a son œil droit qui explose alors qu’il se dirige en voiture vers un des lieux où vécut le Grand poète infirme.

« J’aime les hommes qui tombent », écrivait Melville. Comment, où et quand tombent-ils, les hommes ? Ce roman est un exercice d’admiration, pour les hommes entrés dans la nuit lumineuse ; pour les femmes de la nuit, héroïnes porteuses de leur propre lumière.

La Nuit folle est aussi une interrogation sur le mal. La nuit peut être rendue folle par la guerre, par le sexe, par la drogue. Cloîtré dans sa chambre de Carcassonne, Bousquet reçoit des jeunes filles pour des rencontres mystérieuses. Il se passionne pour la fin’amor et le récit des prouesses sexuelles du Grand troubadour Guillaume IX, duc d’Aquitaine. Jacques Henric est amené à porter un nouveau regard sur le récit de la femme aimée, La Vie sexuelle de Catherine M.
(source : https://www.seuil.com/ouvrage/la-nuit-folle-jacques-henric/9782021488456)
 
 
Biographie Jacques Henric:

Jacques Henric est né à Paris le 21 décembre 1938. Enfance passée à Maintenon (Eure et Loir). Ecole Normale d’Instituteurs de Chalons-sur-Marne, 1954-1958.
Un an à la Faculté des Lettres de Dijon. Enseigne pendant dix ans dans un collège, à Fismes, près de Reims, puis à Paris, dans plusieurs collèges, et au Lycée Montaigne. En 1991, épouse Catherine Millet rencontrée en 1971.
De 1960 à 1968 écrit dans la presse communiste, notamment dans l’hebdomadaire culturel né de la Résistance, Les Lettres françaises, que dirige alors Aragon.
Rencontre au milieu des années soixante le groupe Tel Quel. Philippe Sollers publie ses premiers textes dans la revue qu’il dirige aux éditions du Seuil, ainsi que ses trois premiers romans, Archées (1969), Chasses (1975), Carrousels (1980). Ses romans et essais suivants seront publiés pour l’essentiel chez Grasset, Denoël, Stock, puis à nouveau au Seuil, dans la collection Fiction & Cie, dirigée par Denis Roche, aujourd’hui par Bernard Comment.
Jacques Henric relate son parcours biographique (politique et littéraire) dans Politique publié en 2007 aux éditions du Seuil, coll. Fiction & Cie. Son dernier ouvrage, La Balance des blancs (mars 2011) est également publié aux éditions du Seuil, dans la collection Fiction & Cie. Jacques Henric appartient depuis 1972 au comité de direction de la revue Art press que dirige Catherine Millet.
(Source: site https://www.jacqueshenric.com/biographie/)
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Informations pratiques
Musée International des Arts Modestes
23 quai Maréchal de Lattre de Tassigny - 34200 Sète - France
+33 (0)4 99 04 76 44

La Maison Onirique, "Tombeau et survivance" à Montbazin

La Maison Onirique, "Tombeau et survivance" à Montbazin c'est jusqu'au 28 novembre 2021aaaabouIMG_20211114_172659

Et si le vernissage avait lieu ce  dimanche 14 novembre Lucille Bréard ne sera jamais trop loin pour vous expliquer sa démarche car elle est Montbazinoise et peut sur rendez-vous vous donner des informations sur sa maison onirique

 

A‌près trois semaines de résidence artistique à la Chapelle Saint-Pierre à Montbazin, a créé une architecture ouverte qui offre des couloirs à la déambulation, enceinte murale ébréchée.

Faite de retraites, cette maison est faite pour abriter des songes et pour Lucille, l'on peut dire "qu'il existe en chacun d'entre-nous une maison onirique, une maison du souvenir-songe", "la maison onirique, tombeau et survivance", c'est une architecture désarticulée, entre mémoire et rêve, perdue dans l'ombre d'un au-delà du passé vrai. "Cette maison onirique est la crypte de la maison natale", comme le dit Gaston bachelard, dans la poétique de l'espace...

 

Exposition du 14 au 28 novembre 2021, ouvert le weekend de 14h à 19h, en semaine sur rendez-vous, contact Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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Journée Ateliers Portes Ouvertes 2021

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Dimanche 10 Octobre 2021 de 10H à 18H
 
Cette manifestation est l’occasion de rencontrer et d’échanger au sein même de leurs ateliers avec de nombreux artistes plasticiens, peintres, sculpteurs, photographes, graveurs, céramistes.

Renseignements : Service des Affaires Culturelles – 04 99 04 76 00 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


Plaquette à télécharger ici.

Plan à télécharger là.

 

Des « Songes d’Automne » qui reflètent le cheminement des artistes

aaaasongIMG_20211009_115423   Le Service « Culture » de la Mairie de Poussan vous conviait à découvrir et à participer à la 6ème édition de l’exposition et salon des Arts, «Songes d’Automne ». Pour celle-ci dont la visite était possible du samedi 9 de 10h à 19h au dimanche 10 octobre 2021 de 10h à 17h, le service culturel proposait un Salon qui accueillait cette année  15 artistes peintres et sculpteurs amateurs, dont de nombreux locaux ou du territoire de Sète Agglopôle méditerranée. Malgré les mesures sanitaires et le protocole liés au Covid 19 un succès avant d’exposer car plus de 18 artistes avaient candidaté et 15 ont été retenus, l’espace étant limité. Certains étaient déjà venus dans des éditions précédentes mais c’est toujours très rafraîchissant et intéressant de voir et d’analyser leurs évolutions sur les dernières années.
Du figuratif à l’abstrait, de l’argile au bois, du pointillisme au « confettisme »toutes les expressions et de nombreuses techniques étaient représentées avec des artistes de Poussan, de Frontignan entre-autres et du Bassin de Thau principalement.

A la fin du salon, pas de prix du public car de par leur participation durant cette période difficile, tous peuvent être félicités…

Cet événement autour de l’art, permet aux artistes amateurs ou semi-professionnels d’exposer et de se faire connaître dans le secteur. Les possibilités d’expositions “solos” étant pour tous difficiles à trouver dans cette période délicate et anxiogène.. Un Songe  permettait de se présenter, et donc, sculpteurs, peintres, dessinateurs avec leurs styles, leurs méthodes et leurs circuits souvent parallèles et leurs parcours par contre bien différents, en profitaient….

Un éventail éclectique de réalisations qui séduisaient et qui attiraient l’œil à chaque passage du visiteur.aaaasongcghcytytfyufuj

Vidéo :  https://youtu.be/fguX3palCIY

Les élus à la Culture précisaient :

« Ce salon, nous l’avons voulu ouvert aux peintres et sculpteurs amateurs de Poussan et ses environs afin qu’ils puissent montrer, en pleine lumière et au plus grand nombre, le fruit de leur travail et de leur passion.

Songes d’Automne est un évènement qui s’inscrit pleinement dans la vie culturelle de notre ville. Il contribue à ouvrir le regard des visiteurs sur l’œuvre artistique, révélatrice de la vraie nature de nos émotions. Vous le constaterez, les œuvres présentées sont multiples et variées tant par les techniques que par les thèmes abordés.«

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Certains artistes étaient donc déjà présents dans les éditions précédentes comme   Franck Cérepes, dessinateur de Poussan, avec une inspiration venant  de la BD, avec une technique très bien maîtrisée avec stylos encre, gel et autres outils qui colorent de plus en plus ses œuvres qui deviennent bien plus grandes ou miniatures, à la demande,  mais toujours aussi expressives… Et nouveauté, il utilise cette technique sur des 33 tours et des 78 tours, que de nombreuses personnes apprécient.

Christine Bousquet elle aussi était de retour toujours dans l’abstrait, qui, en peignant à l’huile,  après avoir travaillé le noir et le blanc s’est lancée dans la couleur. Et entre pandémie et confinement, au gré de ses pensées les créations ont suivi une évolution que le visiteur saura remarqué.aaaasongIMG_20211009_114236

Et si Bernard Hermans, Bruxellois d’origine, résidant à Frontignan, après avoir participé à des ateliers il y a 10 ans, s’était remis à la peinture avec bonheur, cette fois il s’épanouit en toute liberté dans cet art, tout comme Jean-Lou Lapinte qui n’a pas vraiment de technique favorite mais qui sait par la qualité de ses œuvres nous faire découvrir différentes techniques : couteau, pointillisme, abstrait et maintenant, selon lui, « confettisme »… Et même une série de portraits…

Comme il était précisé par Madame le Maire, Florence Sanchez, par Michel Bernabeu, Adjoint au Maire et Gaëlle Guénal, Conseillère Municipale, tous les 2 délégués à la Culture : L’Art sous toutes ses formes est lié à l’émotion et possède des vertus insoupçonnées. Entre peinture et sculpture, abstrait et figuratif,… flânerie et rêverie sont au programme de ce voyage dans le paysage intime des artistes. En effet, l’art et la création artistique viennent éclairer, colorer à nouveau nos esprits, exprimer, illustrer et susciter des émotions chez chacun de nous. L’artiste donne vie aux œuvres et les œuvres donnent vie à l’artiste à travers nos yeux observateurs. Comme un rayon de soleil traverse le ciel gris de l’automne, ce salon auquel nous tenons tout particulièrement rencontre le succès qu’il mérite auprès des artistes avec une sélection de 13 peintres et de 2 sculpteurs… »

Au gré de leur cheminement les visiteurs à l’heure du vernissage puis durant ces deux jours d’exposition pouvaient eux aussi se laisser surprendre et musarder d’une autre façon.

Sylvie Cappeau et ses sculptures nous transportaiten dans son univers tandis que non loin de là Yanis Rousset nous présentait des sculptures sur différents matériaux avec autour de lui, sa maman, Erika,  qui exposait des aquarelles et des sculptures, et Juline Bozon de la Licornerie, qui réalise des bijoux et de la broderie. La création avant tout.aaaasongIMG_20211010_113247

Des découvertes pour le public qui pouvait compléter sa visite avec les œuvres de Pierre Dennille, mais aussi avec d’autres artistes aux peintures colorées qui attirent l’oeil et qui  interpelle votre attention pour déclencher des réactions… Ce sont celles de François Sauvage et de Palucia Vidal.

Au grès votre déambulation vous  pouviez découvrir le travail fin et précis de Claire Durant  avant de vous replonger dans la Peinture de Sylvie Copin très attirée par des bleus qui vous emportent dans un autre monde, le sien…

 Deux artistes peintres, nous invitaient alors, chacun à sa façon, à pénétrer dans leur univers, entre paysages et portraits pour poursuivre notre voyage artistique, Jacques Artières et Jean Valéro. Que du bonheur.aaaasongIMG_20211009_114253

Et pour s’imprégner des techniques de peinture, dans les tendances et les jeux de formes et de couleurs, il y avait le choix, avec la série des peintures de Françoise Bedés Lettieri qui s’étaient enrichies de portraits et de nouvelles créations bien colorées.aaaasongIMG_20211010_112232

Si le service culture de la Mairie souhaite que ce salon perdure , il précise que les artistes surprennent et créent des émotions et qu’à travers cette exposition, il souhaite rendre hommage à tous ces artistes amateurs, souvent anonymes et méconnus, et leur permettre ainsi de faire partager, le temps d’un week-end, le fruit de leur travail et de leur passion. »

Et Madame le Maire  précisait en remerciant tous ceux qui avaient permis la réalisation de ces Songes d’Automne que cela permettait à de nombreux Poussannais et visiteurs de découvrir des artistes  du Bassin de Thau et de s’imprégner de leur Art.

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Il fallait donc profiter de la multiplicité de sensations que l’on ressent face aux œuvres en allant plus loin, si besoin, car les Artistes étaient prêts pour se confier.

Si à l’heure du vernissage l’on pouvait échanger ses premières impressions , plus tard, c’est le foyer des Campagnes qui pouvait être une belle galerie pour abriter les échanges relatifs à ces Songes d’Automne.

De grands mercis à tous les acteurs de cette réussiteaaaasongIMG_20211010_113218

Deux nouvelle expos gratuites vous attendent au Centre photographique documentaire ImageSingulières dès le jeudi 18 novembre

Deux nouvelle expos gratuites vous attendent au Centre photographique documentaire ImageSingulières dès le jeudi 18 novembre.
  •  “The Flowers Family” de Cecilia Reynoso
  •  “Article 19” de Marylise Vigneau
 17 rue LacanPeut être une image de une personne ou plus et texte

Thérèse Walko expose jusqu'à la fin février '' Caves Notre Dame'' à Sète

Thérèse Walko expose  jusqu'à la fin février '' Caves Notre Dame'' à Sète  2, rue Frédéric Mistral ses sculptures volumes
Une installation, des sculptures en tridimensionnel 3D, impression numérique, découpe an laser, volume espace.Aucune description de photo disponible.