Expos
Exposition à la Chapelle du Quartier Haut : Pôle Hair de Claudie Dadu
La Chapelle du Quartier-Haut propose une nouvelle exposition du 21 janvier au 20 février. Les œuvres de Claudie Dadu, artiste sétoise qui utilise les cheveux comme moyen d'expression, y seront rassemblées sous l'intitulé "Pôle Hair". . Entrée ouverte à tous, tous les jours sauf le mardi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h.
Vernissage de l'expo-photos, "Amour, une odyssée sibérienne" de Claudine Doury
C’est un rendu de trois voyages étalés sur 30 ans que nous retranscrit Claudine Doury, photographe au long cours, avec son exposition “Amour, une odyssée sibérienne” dont le vernissage s’est déroulé ce jeudi soir au Centre Photographique Documentaire.
En présence de Claude Muslin, adjointe à la culture, Gilles Favier, directeur artistique du Centre, a salué le travail d’une “photographe déjà installée, lauréate de nombreux prix, qui se démarque par la production d’une œuvre personnelle qui prend le temps qu’il faut et ne cherche pas à provoquer quand il ne se passe rien.”
L’exposition, qui se tient sur deux niveaux parsemés de tirages de grandes tailles qui côtoient des formats plus petits et des carnets, couleurs et noir et blanc, regroupe trois dates clés : 1991, 1997 et 2018. “Tout a commencé parce que j’ai aimé le nom Amour et l’idée d’un fleuve frontière”, dévoile Claudine Doury. Des voyages sur des bacs de fortune, à travers la taïga ou des villages fermés, mais surtout à la rencontre de familles isolées, peuplades natives, qui sont devenues amies au fil des années.
La lauréate du prix des Beaux-Arts, qui lui a permis de repartir sur le terrain, devient témoin malgré elle des changements de notre époque, qu’ils soient climatiques, paysagers ou conflictuels. “C’est un travail sur l’espace et le temps”, conclut la photographe. A voir jusqu’au 9 avril prochain.
Exposition « Le théâtre du silence » de Djamel Tatah

Installé depuis 2019 à Montpellier, Djamel Tatah, né en 1959 à Saint-Chamond, formé à l’École des beaux-arts de Saint-Étienne, élabore depuis les années 1980 une peinture d’une grande sobriété, qui place la figure humaine, évanescente, au cœur de profonds aplats colorés.
L’exposition du musée Fabre, composée d’une quarantaine d’œuvres au format souvent monumental, s’attache à mettre en lumière, au sein de cinq sections thématiques, la singularité de l’œuvre de Djamel Tatah, qui confère un rôle central à la question de la théâtralité. Des toiles historiques y dialoguent avec des toiles récentes, réalisées spécialement pour l’exposition.
Héritier de l’art de la couleur des maîtres du Colorfield américain, l’œuvre des débuts de Djamel Tatah se réfère aux origines de la représentation picturale, que ce soit sur le plan de la primitivité du support (un assemblage de planches de bois qu’il conserve jusqu’en 1996) ou de « l’archaïcité moderne » de ses compositions.
De frontales et hiératiques, Tatah évolue progressivement, suite à son passage à l’huile sur toile, vers des figures marquées par une forte gestualité. Inspiré par les corps en mouvement des danseurs, Tatah développe un ensemble d’œuvres mettant en évidence l’abstraction des figures, suspendues dans l’espace monochrome de ses toiles. En lévitation et extraites de tout contexte, elles vont jusqu’à signifier une « forme de disparition de l’être » que l’artiste tente de capter au sein de sa peinture.
Exposition hommage à Jean-Luc Parant
L'exposition hommage à Jean-Luc Parant, intitulée "En mémoire du merveilleux" et organisée par le musée Paul-Valéry se déroulera du 23 novembre au 12 décembre.
L'occasion de découvrir ou redécouvrir l'œuvre d'un artiste original et créatif, disparu il y a peu. La collection sera constituée de ses œuvres et d'hommages d'artistes. Informations au 04 99 04 76 16 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Pour rappel, le MIAM, Musée International des Arts Modestes, a fermé ses portes la semaine dernière et jusqu'au 16 février inclus pour le montage de sa prochaine exposition

Les nuits de la lecture au Musée Fabre

Exposition Collective, 1 SON 2 RUE
Cette Exposition regroupe 43 artistes Sétois et d'ailleurs venant de différents courants artistiques. Le fil conducteur des oeuvres exposées sera la rue et la musique ......

CONNAISSEZ-VOUS L'UNIVERS DE LEWIS TRONDHEIM ?

Yoga en famille dans l'exposition "Djamel Tatah, le théâtre du silence"
Exposition "Manifeste sourire" du samedi 7 au 29 janvier 2023 à l'Espace Saint Ravy de Montpellier
VERNISSAGE LE VENDREDI 6 JANVIER 2023
Les visiteurs seront accueillis lors du vernissage par une performance qui sera une entrée dans son univers, comme un moyen d’y accéder et de s’y perdre. Janna Zhiri, qui se perçoit comme « histoirienne », imagine des dialogues venant explorer la solitude, l’injustice ou encore la douleur et la sidération liées à la maladie. Puisqu’elle crée des espaces où tout est possible, elle cherche à comprendre l’incompréhensible. C’est aussi un appel à la révolution par le cœur que l’artiste émet puisqu’elle s’intéresse aussi à l’intensité du romantisme, du non-romantisme, aux histoires d’amour toujours romanesques, torturées ou tortueuses. Son travail plastique qui prend la forme de rouleaux de pastels est comme des chroniques de rêves, de cauchemars éveillés éclatés sur le papier dans un heureux hasard. Ils occupent l’espace comme des installations.
« Mon univers, c’est celui de l’imprévu et des aventures. J’aime l’enchantement et me dire que je crée un décor d’Alice aux Merveilles. Le pastel est mon bonheur par sa texture sensuelle. Jamais je ne fais de dessins au préalable ou à-côté, mes dessins sont le fruit de recherches à même le dessin final. De sorte que dans chacun de mes dessins, se glisse le brouillon. Certaines personnes ont des voix dans la tête, j’ai des images. Elles sont lointaines dans le cerveau, celles qui me rassurent où me pétrissent. Pour cet espace, j’ai envie que le spectateur soit intrigué de voir un lieu rempli de couleur, l’impression d’un appel à l’imaginaire, une immersion chimérique. » Janna Zhiri
BIOGRAPHIE
Janna Zhiri est diplômée de la Villa Arson, Ecole Nationale Supérieure d’Art de Nice. Son travail a été montré dans les expositions collectives au DOC (Paris), à la Fondation Francès (Paris), au MAC (Lyon), et à la Galerie Georges Philippe & Nathalie Vallois (Paris). Elle entame un cycle « d’artiste-chercheureuse » au Post-diplôme de l’Ecole Supérieur d’Art Clermont-Métropole, au sein de la Coopérative de Recherche et travaille sur le hacking créatif et l’archivage des oralités.
PLUS D'INFORMATIONS
www.jannazhiri.com
@jannazhiri
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- 16, 17 et 18 décembre une exposition dans la galerie /atelier de Sète .
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