L'automne sur le Yang Tsé de José COHEN AKNINE

Décembre 2029. Faute d’avoir su réagir à temps face à l’urgence climatique, l’humanité se retrouve dans une impasse.
Décembre 2029. Faute d’avoir su réagir à temps face à l’urgence climatique, l’humanité se retrouve dans une impasse.
Après une inauguration réussie et une lecture passionnante d'une partie de la correspondance de Flaubert par le comédien Yves Ferry, suite du Festival Les Automn'Halles (34200 Sète), ce jeudi 23 septembre : au programme Alexis Jenni (18 heures au musée-Galerie d'Art Le Réservoir), puis un hommage à Jean-Claude Carrière (21 heures au cinéma Le Comœdia, tarifs cinéma).
Et trois questions à… Sedef Ecer
Ce vendredi 24 septembre, c''est une journée du Festival Les Automn'Halles qui se décline entre Rencontres scolaires (réservées aux lycéens), atelier d'écriture à Balaruc, Nouvelle Librairie Sétoise, pour se terminer en paroles puis en musique au Kiosque Franke.
À 14 heures, dans le cadre du Festival les Automn’Halles, ce seront les Rencontres en milieu scolaire (réservées aux lycéens).
Au lycée Paul-Valéry, dans la classe de Yolande Fernandez avec Aro Sainz de la Maza pour « Docile » (Actes Sud).
Au lycée Joliot-Curie, dans la classe de Corinne Campagnac avec Dalie Farah pour « Impasse Verlaine » (Grasset).
Des rencontres organisées de main de maître par Dany Gourdellier.
Vous écrivez déjà, vous aimeriez écrire, dans le cadre du Festival les Automn’Halles, Valérie Pascaud directrice de la médiathèque de Balaruc (Résidence Sévigné Thermal, 34540 Balaruc-les-Bains) organise un atelier d’écriture avec l’auteur de romans policiers Catherine Fradier ce vendredi 24 septembre de 14 heures à 16 heures (inscriptions obligatoires au 04 67 43 23 45). Catherine Fradier a reçu le grand prix de littérature policière 2006 pour « La colère des enfants déchus », le prix SNCF du polar 2007 pour « Camino 999 », ainsi que le prix Michel-Lebrun2010 pour « Cristal Défense ». Autant dire que vous serez entre de bonnes mains !
Dans le cadre du Festival Les Automn’Halles, Sophie Garayoa de La Nouvelle Librairie Sétoise (7, rue Alsace-Lorraine, 34200 Sète) reçoit ce vendredi 24 septembre, à 16 h 30, l’autrice Kapka Kassabova pour « L’Écho du lac » (éditions Machialy).
« Dans notre lignée de femmes, je représente la quatrième génération à émigrer. » C’est pour rompre cette spirale de l’exil que Kassabova se rend aux sources de son histoire maternelle, les lacs d’Ohrid et Prespa, les deux plus anciens lacs d’Europe. Elle parcourt leurs rives, grimpe les montagnes alentour, se baigne dans leurs eaux et, au gré de ses rencontres – gardien d’église troglodyte, guide ou pêcheur –, collecte les histoires agitées de cette région des Balkans située à cheval entre la Macédoine du Nord, l’Albanie et la Grèce. Tous ses habitants sont issus de familles qui ont été à un moment donné dispersées, que ce soit à cause de la chute de l’Empire ottoman, des guerres ou des régimes autoritaires. Tous ont hérité d’une façon ou d’une autre de l’histoire de leurs ancêtres. » (Source éditeur)
À l’initiative de Catherine Schön, professeur documentaliste, et dans le cadre du Festival Les Automn’Halles, des élèves de 4e du collège Paul-Valéry participent à la Belle Harangue au Kiosque Franke (place Aristide-Briand, 34200 Sète) à 17 h 45 ce vendredi 24 septembre. Sur le thème « Et si… ? »
Cette toute nouvelle Fête de l’écriture et de la parole est un projet en direction de la jeunesse de la Fondation pour l’écriture qui mêle écriture et plaisir de dire à voix haute.
La journée du Festival Les Automn’Halles de ce vendredi 24 septembre se terminera par un concert du Trio de Nicolas Grosso qui sera accompagné par Stephan Notari, batteur et Gildas Le Garrec à la contrebasse. Ça se passe au Kiosque Franke (place Aristide-Briand, 34200 Sète) et ça commence à 18 h 30.
Nous avons déjà entamé une mutation de grande ampleur, mais que nous réservent vraiment les années à venir ? Un livre qui connait un succès international, écrit par Jacques Carles, bien connu comme journaliste et éditorialiste sur le Bassin de Thau et ancien membre du Conseil de développement de SAM, tente de répondre à cette question.
Au jeu des prédictions, il est très facile de se tromper. Mais lorsqu’on analyse avec rigueur les forces qui sont aujourd’hui à l’œuvre, on peut mieux cerner les enjeux et relever avec plus de confiance, les défis qui se présenteront à nous lors des prochaines décennies, dans de nombreux domaines (démographie, gestion des ressources, technologie, écologie, économie..).
Dans les signaux émis par notre monde actuel, nous pouvons au-delà du court terme, avoir une vision cohérente de ce que pourrait devenir notre civilisation humaine. Et elle pourrait être bien plus positive qu’on ne l’imagine souvent.
En tout cas, Jacques Carles, co-fondateur avec Bernard Baraillé de « La Lettre de Sète » devenue depuis le média « Thau-Infos », en est totalement convaincu. Ce bourlingueur né, était encore il y a peu de temps, membre du Conseil de développement de Sète agglopôle méditerranée, auquel il apportait toute son expérience et où il partageait, au service du territoire, ses nombreuses compétences acquises aux quatre coins du monde.
Il vient de publier avec Michel Granger, un ouvrage intitulé "L’apogée - le futur en perspective". Tous deux étaient déjà en 1977 les co-auteurs d’un écrit de prospective, remarqué. Ils collaborent une nouvelle fois, pour nous proposer un texte, souvent étonnant, toujours passionnant, qui pose des questions fondamentales sur l’avenir des hommes. Diffusé en 10 langues, ce livre de géopolitique a le grand mérite d’inciter à la réflexion.
Et penser le futur, c’est déjà agir sur lui, non ?
Article publié sur Notre Agglopôle, le magazine de l'agglomération de Sète
A Montpellier : librairie Sauramps Comédie
La 12e édition du Festival du livre de Sète, les Automn’Halles, se tiendra du 22 au 26 septembre 2021, fidèle à son thème «la Méditerranée en partage».
Parmi les invités: Yasmina Khadra, Sedef Ecer, Lydie Salvayre, Alexis Jenni, Dalie Farah...Et des moments forts: un hommage à Jean-Claude Carrière, une Lecture de lettres de Flaubert, la publication d’un «Abrassencédaire»en cette année de centenaire...
Les rencontres avec les auteurs invités sont prévues,outre à la Médiathèque Mitterrand de Sète, dans différents lieux emblématiques de la ville: le théâtre Molière, le musée Pau lValéry, la galerie-musée Le Réservoir...
Le festival de littérature générale met également à son programme:
•la bande dessinée, le cinéma, la musique
•des rencontres en librairie,des séances de dédicaces, des ateliers d’écriture menés par des auteurs confirmés
Les informations complètes sont à retrouver sur le site du Festival
https://www.festivaldulivredesete.com/
et sur la page Facebook@festivallesautomnhalles
Christophe Naigeon présente son livre "Mamba point blues" au Bar du Plateau à Sète ce 11 septembre à partir de 18 h.
Jean-Pierre Cei sera au piano pour assurer l'ambiance musicale.
Christophe Naigeon, né à Sète, au Quartier Haut, journaliste et documentariste, a travaillé en Afrique pendant vingt-cinq ans. Il y a a "couvert" en tant que journaliste de nombreux conflits et événements.
A propos du livre :
"Des tranchées d'Argonne à Monrovia en passant par Dakar, New York et Paris, une fresque romanesque puissante qui court d'une guerre mondiale à l'autre, rythmée par les accents vibrants du jazz.
1918. Percussionniste virtuose à l'école des djembés de Gorée, Jules, interprète du régiment de Noirs américains sur le front de cette France ravagée qu'il ne connaît qu'à travers Maupassant, vit à l'aube de l'armistice un amour éphémère avec l'épouse d'une " gueule cassée "."
Si l'Histoire est l'évocation du passé, il y a bien des façons de "faire de l'Histoire". L'ouvrage, "Jours de Cette" dû à la collaboration de François Mottier pour le texte et Jean Brunelin pour l'iconographie, en est un exemple (éd. L'An Demain, 5 quai d'Alger, Sète).
En effet, avec la correspondance supposée d'un jeune commis négociant suisse, Baptistin Vulliez, c'est Cette d'avant la Grande Guerre qui est évoquée.
Jean Brunelin, dans la préface, brosse le décor des épisodes qui seront présentés. A la charnière de la dépression économique des années 1870 et alors que s'amorce la Belle Epoque, "… L'abondance nouvelle viendra évidemment de la mer, car Cette est une ville-port, un port dans une ville où les bateaux sont dans la rue et la mer toujours à portée de regard". Cette, avec les canaux baignant les pieds de la "collinette" de Saint Clair, sera surnommée la "Venisette" par le citoyen du canton de Vaud.
Et le natif de Clarens (sur la riviera genevoise) aurait été sensible, dès l'abord, à la lumière qui éblouit sa prunelle, même en octobre avant qu'il n'en apprécie tout l'éclat (nécessitant le port de verres colorés) au mois de juin. Voilà qui est bien vu, mais on peut être déçu que notre Helvète soit muet sur la douceur du climat en général. Il est vrai qu'il avait tant à voir et à dire.
Aussi ne fait-il que signaler en une occurrence les quais "bruts et décharnés", très professionnels avec pour certains "de vastes alignements de futailles parmi lesquels évoluent gens et véhicules". Mais en dehors du négoce, le milieu marin impose ses contraintes générant parfois difficultés et épisodes dramatiques.
Ainsi le steamer Anaïs-C fit naufrage en janvier 1895 au large de Marseille. Parmi les 13 disparus, on compte un citoyen de Frontignan et le mousse Honoré Xiffre, 14 ans. Et comme nombre de Cettois sont inscrits maritimes, lorsque la soute à poudre du cuirassé Iena explose à Toulon, on déplore 2 victimes cettoises à qui on fera des funérailles solennelles.
Et puis, le 25 octobre 1898 : "Pandémonium, capitale des Enfers, a ouvert ses portes…". Baptistin Vulliez considère "la scène dantesque d'un navire d'un seul coup enflammé, son pont entier lancé dans les airs, puis retombant dans l'hideux fracas que feraient les os brisés d'un Titan". Le tocsin sonne, on accourt de toutes parts. Le brick goélette Tomase Padre, chargé de fûts de pétrole, est en feu. L'incendie menace les navires voisins également chargés de fûts de pétrole. Le Tomase Padre fut extrait du port par le navire pilote le Vigilant et remorqué jusqu'à la plage de Frontignan. Les pêcheurs quant à eux connaissaient des difficultés : on s'inquiétait déjà de la baisse de la ressource et un vieux sage préconisait la fermeture de la pêche à certaines époques, comme il existe la fermeture de la chasse.
Voilà une agréable plongée dans le passé, guidée par un style un peu naïf et apprêté (Baptistin est jeune), présentant parfois de belles envolées, comme pour le phare de Saint Clair, "Polyphème de la mer"
Hervé Le Blanche
Pour en savoir plus :https://www.landemain.fr/regionalisme/sete-bassin-de-thau/jours-de-cette
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Du vendredi 24 au dimanche 26 septembre 2021
"Entre le public et lui circulait un courant de sympathie. Le bonheur étant dans la salle. Le pouvoir mystérieux des chansons de Brassens était un révélateur puissant. Mac Orlan écrivait : Il reproduit les bruits du monde, comme l'oiseau sur la plus haute branche d'un peuplier sait vous transmettre les élèments de la poèsie des bois et des routes...."
Un CD rassemblant dix chansons rares, issues des archives sonores Universal Music, d'enregistrements réalisés par des amis ou effectués par Brassens lui même dans son studio est offert avec cet album.
Bruno Granier interprètera quelques chansons de son répertoire.
Entrée pour les non adhérents du café littéraire 6 euros
pour les adhérents 3 euros
Le "Lexique amoureux de Sète"
Jocelyne Fonlupt-Kilic, Bernard Lonjon,
Bernard Wagnon
Comme son nom l’indique, ce livre est une déclaration d’amour à l’île singulière chérie par les trois auteurs qui, s’ils n’en sont pas originaires, sont tombés sous le charme et ont choisi d’y vivre. Véritable ode à la découverte de ses attraits, ce manifeste poétique, gustatif, visuel espère entraîner le lecteur sur des sentiers de traverse. Comme le ferait une balade en compagnie de trois amis entre étang de Thau et mer Méditerranée avec pour mots d’ordre : subjectivité, diversité et sensibilité.
De Paul Valéry à Georges Brassens, du mont Saint-Clair aux plages du Lido, de la tielle à la macaronade, des goélands aux bateaux de pêche, des anarchistes sétois à la Venise du Languedoc, de Manitas de Plata à Agnès Varda… voici une invitation gourmande à suivre les traces humaines, sociales, historiques et culturelles de cette ville-port baignée par le soleil, ancrée dans le golfe du Lion et dans l’Occitanie. Qui rayonne sur la Méditerranée.
LES AUTEURS
Jocelyne Fonlupt-Kilic, lyonnaise de naissance, a récemment quitté Paris pour « l’île singulière » Sète. Membre de la Société des Gens de Lettres, journaliste retraitée et auteure
de plusieurs ouvrages aux éditions Wartberg, elle partage son temps entre l’écriture, la photo et les voyages.
Bernard Lonjon, membre entre autres de la Société des Gens de Lettres, a publié un grand nombre d’ouvrages de tous genres : biographies, nouvelles, essais, etc. Il est notamment l’auteur, avec Bernard Wagnon, de Georges Brassens pas à pas – Petit guide (très orienté) de Sète.
Bernard Wagnon, installé à Sète depuis maintenant quelques années, spécialiste de San Antonio, est un ancien maître de conférences à l’Institut national polytechnique de Grenoble. Il partage avec Bernard Lonjon sa passion pour Georges Brassens.
Éditions CAIRN
broché 12.7 x 21 cm – 268 pages – 20 € ISBN 9782350689340 – avril 2021