Les médiateurs de l’environnement de Sète Agglopôle à Frontignan.

Selon Méto France :
Après un mois de février exceptionnellement arrosé et au sortir d’une année 2021 extrêmement pluvieuse, des pluies diluviennes se sont abattues sur la Guyane entre le 7 et le 8 mars dernier. Alors que les niveaux de cours d’eau étaient déjà très élevés, ces pluies ont provoqué de fortes inondations et dégradé localement des infrastructures routières. Le « petit été de mars », habituel répit entre la petite (décembre à février) et la grande saison des pluies (avril à juillet), se fait attendre.
Ce sont les alentours de Cayenne qui ont subi les plus forts cumuls. À Roura (287 mm), Matoury (286 mm - aéroport) ou Montsinery (267 mm), il est tombé quasiment un mois de pluie en l’espace de 12h entre 00h et 12h heure locale mardi 8 mars. Les plus fortes précipitations n’ont pas atteint les secteurs les plus densément peuplés de Cayenne et Rémire-Montjoly ( « seulement » 99 mm à Remire-Montjoly ou 116 mm au centre de Cayenne sur la même période), mais ont provoqué d’importants dégâts dans la région avec une route coupée à Montsinéry.
Météo-France Guyane a rédigé un article complet sur cet épisode, à consulter ici.
Cet épisode de précipitations intenses arrive dans un contexte aggravant. En effet, après une année 2021 remarquablement pluvieuse, la petite saison des pluies passée a été extrêmement arrosée, avec une zone de convergence intertropicale généralement très proche de la Guyane, avec des pics d’activité fréquents, cela s’est traduit par un mois de février exceptionnel, enfonçant le clou après un mois de janvier déjà copieusement arrosé autour de l’Île de Cayenne. ...... En savoir plus : https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/climat/pluies-diluviennes-sur-la-guyane
LE THAU SWIM TREK REVIENT EN 2022
Du 26 au 29 Mai 2022
la SECONDE course officielle de natation en eau libre dans la lagune de Thau. Une épreuve qui se déroulera sur 6 jours.
Le Thau Swim Trek allie actions environnementales avec ramassage de déchets et natation en eau libre dans la lagune de Thau.
Selon FranceInfo :
Le mois de janvier 2022 a été le plus chaud pour l'Amazonie colombienne au cours de la dernière décennie, selon un rapport du ministère de l'Environnement auquel l'AFP a eu accès vendredi 4 février. Cela a entraîné une multiplication des feux de forêt dans cette région du sud-est de la Colombie, et cela a probablement contribué à la dégradation de la qualité de l'air jusque dans la capitale, Bogota. Le phénomène se produit, ajoute le ministère, lorsque le pays traverse une saison de faibles précipitations. Elle est due aux "activités anthropiques", c'est-à-dire aux activités humaines, dont "la plus importante est associée aux fronts de déforestation", ajoute le rapport.
Dans son rapport, le ministère précise que le mois de janvier a enregistré la "valeur la plus élevée de points chauds au cours des dix dernières années"... En savoir plus : https://www.francetvinfo.fr/monde/ameriques/amazonie/colombie-l-amazonie-a-enregistre-un-record-de-chaleur-en-janvier-entrainant-une-multiplication-des-feux-de-foret
Le temps était agité ces derniers jours de février du côté de la Méditerranée centrale, au passage de la tempête Bianca. Nommée vendredi 25 février par le service météorologique italien, alors qu’elle se trouvait en mer de Ligurie, elle a provoqué un épisode neigeux remarquable à basse altitude dans le centre de l’Italie, un épisode de vent violent sur les côtes croates, puis d’importantes chutes de neige dans l’intérieur des Balkans. Elle se situe ce 1er mars en mer Noire et blanchit les rivages de la Roumanie.
De violentes rafales de 120 à 140 km/h ont été enregistrées en montagne dans les Apennins, cordillère centrale en Italie, au-dessus de 1 500 mètres. La neige y est tombée dru, avec 10 à 25 cm de neige dès 500 m dans les Abruzzes, région située entre Adriatique et Apennins. On a également relevé 21 cm de neige fraîche à Campobasso à 793 m d’altitude samedi 27 février. Sur le littoral des Abruzzes, le port de Pescara a enregistré 114 mm de pluie dans la journée climatique.
En rejoignant le sud de l’Adriatique, Bianca a généré un épisode marqué de bora durant le week-end. La bora s'est mise en place samedi matin sur la côte dalmate, rives croates de l'Adriatique...........
Poursuivre sur : https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/planete/
En météorologie, le printemps couvre les mois de mars, avril et mai, c'est-à-dire la période pendant laquelle la durée du jour rallonge et l'ensoleillement progresse dans l'hémisphère Nord.
C'est une saison de contrastes. La transition entre la saison froide et les chaleurs estivales est progressive et plus ou moins précoce selon les années. Les journées froides et parfois humides se raréfient au fil de la saison et alternent avec des jours de plus en plus doux, parfois orageux ou très ensoleillés, au gré de la position des anticyclones et des dépressions.
Moyennés sur la saison, les températures et les cumuls de précipitations sont très variables selon les années.
En moyenne, sur l'Hexagone, la température normale* de la saison est de 11,6 °C.
Le printemps le plus froid depuis 1900, est celui de 1962 avec 9,4 °C seulement (soit 2,2 degrés sous la normale).
Le printemps 2011 est le plus chaud avec une température moyenne de 13,6 °C, soit 2 degrés au-dessus de la normale.
Les trois printemps les plus chauds depuis 1900 (2011, 2020 et 2007) se sont tous produits au XXIe siècle.
Il tombe en moyenne ** sur la France métropolitaine environ 230 mm*** de précipitations chaque printemps.
Le printemps le plus pluvieux sur l'Hexagone depuis 1959 est le printemps 2001 avec 348,4 mm, soit une anomalie de près de 52 % par rapport à la normale**. Le printemps 2011, qui est aussi le plus chaud, est également le plus sec, avec 110,5 mm (soit un déficit de 48 % par rapport à la normale).
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