Selon France Info :
Ce qu'il faut savoir
Le chef de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) à Gaza a prévenu, lundi 13 novembre, que les "opérations humanitaires cesseront sous 48 heures, aucun carburant n'étant autorisé à entrer à Gaza". Le territoire palestinien, où plus de 1,5 des 2,4 millions d'habitants ont été déplacés selon l'ONU, est soumis à un siège total imposé par Israël depuis le 9 octobre, privant la population d'eau, d'électricité, de nourriture et de médicaments. "Ce matin, deux de nos principaux sous-traitants pour la distribution d'eau ont cessé de travailler – ils n'ont plus de carburant –, ce qui va priver 200 000 personnes d'eau potable", a expliqué Thomas White sur X. Suivez notre direct.
Un hommage rendu "prochainement" aux victimes françaises. Emmanuel Macron présidera une "cérémonie d'hommage national" aux Français morts lors de l'attaque du Hamas contre Israël dès que "leur nombre et leur identité seront établis avec certitude", a affirmé le chef de l'Etat dans une réponse adressée lundi à Eric Ciotti, le président du parti Les Républicains. Le dernier bilan des victimes françaises s'élève à 40 morts et huit disparus, dont des otages.
Les hôpitaux gazaouis "hors service". La situation est compliquée autour des établissements de santé, principalement dans la ville de Gaza, au cœur des combats entre l'armée israélienne et le Hamas. Selon les autorités, "tous les hôpitaux" du nord de la bande de Gaza sont désormais "hors service". L'armée israélienne soupçonne les hôpitaux d'abriter des infrastructures stratégiques du Hamas, comme des tunnels.
Pris au piège. Des milliers de Palestiniens espèrent encore lundi quitter le site de l'hôpital al-Shifa, le plus grand de la bande de Gaza, sans eau ni électricité depuis quelques jours et pris au piège. Dans un nouveau bilan communiqué lundi midi, le vice-ministre de la Santé du gouvernement du Hamas affirme que "sept bébés prématurés" et "27 patients en soins intensifs" sont morts en raison du manque d'électricité.............