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Si vous êtes intéressé, merci d'écrire à : contact@thau-infos.fr

ECONOMIE

Plan de relance : le kit de communication

Vous bénéficiez des mesures du plan de relance ou vous déployez des actions dans le cadre du plan de relance ? Un kit de communication a été spécialement conçu pour valoriser ces projets et initiatives France Relance en externe auprès de vos clients ou du grand public ou en interne auprès de vos salariés ou de vos actionnaires.

Le kit complet France Relance à télécharger [Dossier compressé - 4,7 Mo]

L'étiquette « Financé par » avec le bloc Gouvernement et le logo France Relance

Cette étiquette est à insérer dans un communiqué de presse, sur un site web, dans une lettre de communication ou tout autre support d’information pour valoriser la mesure France Relance dont vous avez bénéficié.

Téléchargez l'étiquette France Relance [44 Ko]

La vignette France Relance pour les réseaux sociaux

Personnalisable avec le texte de votre choix, elle vous permet d’annoncer sur les réseaux sociaux que vous avez bénéficié d’une mesure France Relance.

Téléchargez la vignette France Relance [ppt - 734 Ko]

L'affiche France Relance

Ce format est tout particulièrement destiné aux commerçants. Installée en vitrine, l'affiche vous permet d’indiquer à votre clientèle que votre commerce se modernise et se digitalise (retrait de commandes, système de livraisons, création d’un site internent, paiement en ligne…) grâce au soutien de France Relance (voir l’exemple dans les affiches ci-dessous).

Le flyer France Relance

Le flyer présente tous les supports du kit de communication. Vous pouvez le distribuer à vos partenaires susceptibles de bénéficier des mesures France Relance et désireux d'en faire la promotion.

Téléchargez le flyer France Relance [PDF - 75 Ko]

Prime à la conversion

La prime à la conversion constitue une aide à l’achat ou à la location d’un véhicule peu polluant, en échange de la mise au rebut d’un vieux véhicule polluant.

De quoi s’agit-il ?

La prime à la conversion est une aide de l’État à l’achat ou à la location d’un véhicule peu polluant, en échange de la mise au rebut d’un véhicule immatriculé pour la première fois avant 2011 pour les véhicules diesels ou avant 2006 pour les véhicules à essence.

Jusqu'au 30 juin 2021 : le montant de la prime dépend du type de véhicule acheté ou loué et de la situation du demandeur
Demandeur / VéhiculeMénages très modestes et ménages « gros rouleurs »*Ménages modestes (revenu fiscal de référence par part inférieur ou égal à 13 489 €)Autres ménages
  • Electrique
  • Hybride rechargeable
  • Autonomie supérieure à 50 km
  • Prix ≤ 60 000 €
  • neuf ou d’occasion
5 000 €
(dans la limite de 80 % du coût d’acquisition)
2 500 € 2 500 €
  • Crit’Air 1
  • Crit’Air 2 (immatriculé après le 01/09/2019)
  • Emissions de CO2 ≤ 137g/km
  • Prix ≤ 50 000 €
  • neuf ou d’occasion
3 000 €
(dans la limite de 80 % du coût d’acquisition)
1 500 € 0

 

Du 1er juillet au 31 décembre 2021 : le montant de la prime dépend du type de véhicule acheté ou loué et de la situation du demandeur
Demandeur / VéhiculeMénages très modestes et ménages « gros rouleurs »*Ménages modestes (revenu fiscal de référence par part inférieur ou égal à 13 489 €)Autres ménages
  • Electrique
  • Hybride rechargeable
  • Autonomie supérieure à 50 km
  • Prix ≤ 60 000 €
  • neuf ou d’occasion
5 000 €
(dans la limite de 80 % du coût d’acquisition)
2 500 € 2 500 €
  • Crit’Air 1
  • Emissions de CO2 ≤ 137g/km
  • Prix ≤ 50 000 €
  • neuf ou d’occasion
3 000 €
(dans la limite de 80 % du coût d’acquisition)
1 500 € 0

*La prime est doublée pour les ménages les plus modestes (dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur à 6 300 €) et pour les ménages modestes « gros rouleurs » (c’est-à-dire les ménages dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 13 489 € et dont la distance entre le domicile et le lieu de travail est supérieure à 30 kilomètres ou effectuant plus de 12 000 kilomètres par an dans le cadre de leur activité professionnelle avec leur véhicule personnel).

Qui peut en bénéficier ?

Le dispositif s’adresse à tous les Français qui souhaitent acquérir ou louer un véhicule peu polluant.

La prime à la conversion est cumulable avec le bonus écologique.

Comment en bénéficier ?

La demande de prime peut se faire, soit via un concessionnaire qui vous avance le montant de l’aide, soit directement sur le site dédié : Prime à la conversion.

Calendrier de mise en œuvre

Le dispositif de la prime à la conversion, dans les conditions décrites ci-dessus, est applicable depuis le 3 août 2020 et jusqu'au 30 juin 2021 inclus. A partir du 1er juillet jusqu'au 31 décembre 2021, la mesure évolue. La prime à la conversion ne sera plus versée pour les modèles thermiques Crit'Air 2, englobant tous les diesel.

Liens utiles

  • Prime à la conversion : pour déposer votre demande et consulter toutes les informations relatives au dispositif.
  • Je change ma voiture : pour évaluer le coût d’utilisation de votre véhicule et l’ordre de grandeur du bénéfice économique et environnemental réalisé grâce à l’achat d’un véhicule plus propre.
  • Je roule en électrique : pour vous informer sur le véhicule électrique.
  • Le détail de la mesure sur service-public.fr.

Perte massive pour Air France-KLM après un choc du Covid-19 "sans précédent"

Des chiffres donnant "le tournis": Air France-KLM a perdu 7,1 milliards d'euros l'année dernière, un choc "sans précédent" provoqué par le Covid-19 qui a ravagé le transport aérien et privé le groupe franco-néerlandais des deux tiers de ses clients.

Le chiffre d'affaires s'est effondré de 59% par rapport à 2019 pour tomber à 11,1 milliards d'euros, a précisé jeudi le groupe dans un communiqué, en prévenant que le premier trimestre 2021 serait "difficile" et que la visibilité d'une reprise restait "limitée", même s'il s'attend à un regain de trafic au deuxième et troisième trimestres.

Tous les détails sur : https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/perte-massive-pour-air-france-klm-apres-un-choc-du-covid-19-sans-precedent-CNT000001xdusv/photos/air-france-klm-a-perdu-7-1-milliards-d-euros

Décarbonation de l’industrie : élargissement du périmètre du guichet de subvention

Depuis le 29 mai, les subventions destinées à la décarbonation de l’industrie ont été élargies à de nouvelles catégories. Les taux d’aides, selon la taille des entreprises, ont également été revus.

Décarboner l’industrie française. C’est l’un des grands objectifs de France Relance. Le Gouvernement a ainsi annoncé 29 mai, que le guichet de subvention destiné à aider les entreprises industrielles à s’équiper pour améliorer leur efficacité énergétique était élargi.

L’objectif de ce dispositif opéré par l’Agence de Services et de Paiements (ASP), et lancé en novembre 2020, est de permettre à des entreprises industrielles de toutes tailles d’obtenir des subventions pour leurs projets d’efficacité énergétique d’une valeur de moins de 3 millions d’euros.

21 catégories d’investissements standards sont désormais soutenues dans le cadre de ce guichet, dont 4 nouvelles :

  • Les fours industriels électriques en remplacement d’un four à combustion fossile ;
  • Les systèmes permettant la réduction des pertes thermiques sur les réseaux de fluides caloporteur ou frigoporteur, tels par exemple que le calorifugeage ;
  • Les matériels permettant le raccordement à un réseau de chaleur ou de froid alimenté à 60 % par des énergies renouvelables et de récupération ;
  • Les systèmes de réduction de la consommation énergétique par la mise sous vide.

Comment est calculée l’aide ?

La subvention est directement calculée en fonction du coût d’acquisition du matériel et d’un taux défini selon la taille de l’entreprise. Des taux d’aide, par ailleurs, rehaussés pour certaines catégories et qui sont désormais de :

  • 50 %  pour une petite entreprise,
  • 40 % pour une moyenne entreprise,
  • 30 % pour les entreprises de taille intermédiaires et les grandes entreprises.

Les candidatures peuvent être transmises à l’adresse industrieEE-decarbonation[a]asp-public.fr en utilisant le formulaire disponible sur le site internet de l’ASP.

Pour Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie :

Avec France Relance, nous accompagnons la décarbonation de l’industrie, avec des projets concrets, ancrés dans les territoires, qui conjuguent réponse au défi climatique et préservation de l’emploi. Ce nouvel arrêté simplifie et élargit l’accès des PME et ETI  à un soutien financier pour s’équiper et décarboner leur production. Il a été ajusté en fonction des remontées de terrain, témoignant de notre écoute constante et pragmatique des petites entreprises. J’invite chacune d’entre elles à se saisir de ce dispositif.

Au total, 1,2 milliard d’euros sont mobilisés par France Relance et le Gouvernement pour engager cette décarbonation de l’industrie. L’objectif est d’accompagner le secteur, tout en améliorant son impact environnemental et sa compétitivité.

Covid-19 : perte historique de 8 milliards d'euros en 2020 pour Renault

Renault comme Air France-KLM. La société de transport aérien annonçait jeudi 18 février une perte de 7,1 milliards d'euros en raison de l'épidémie de Covid-19, l'entreprise automobile a dévoilé vendredi ses résultats pour l'année 2020. Le groupe au losange a enregistré une perte de 8 milliards d'euros, indique-t-elle dans un communiqué.

Cette perte s'explique rincipalement par la contribution du partenaire japonais Nissan, détenu à 43% par Renault, qui l'a pénalisé à hauteur de 4,9 milliards d'euros.

  En savoir plus : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-perte-historique-de-8-milliards-d-euros-

Des aides disponibles pour votre entreprise avec France Relance

La prime à la conversion constitue une aide à l’achat ou à la location d’un véhicule peu polluant, en échange de la mise au rebut d’un vieux véhicule polluant.

De quoi s’agit-il ?

La prime à la conversion constitue une aide aux professionnels pour :

  • l’achat ou la location d’un véhicule électrique ou hybride rechargeable, neuf ou d’occasion, dont l’autonomie est supérieure à 50 km et dont le prix inférieur ou égal à 60 000 €
  • et en échange de la mise au rebut d’un vieux véhicule immatriculé pour la première fois avant 2011 pour les véhicules diesels ou avant 2006 pour les véhicules à essence.

Le montant de la prime s’élève à 2 500 € pour une voiture et à 5 000 € pour une camionnette.

Qui peut en bénéficier ?

Le dispositif s’adresse à tous les professionnels qui souhaitent renouveler leur flotte en faveur de véhicules peu polluants.

La prime à la conversion est cumulable avec le bonus écologique.

Comment en bénéficier ?

La demande de prime peut se faire, soit via un concessionnaire qui vous avance le montant de l’aide, soit directement sur le site dédié à la prime à la conversion.

Calendrier de mise en œuvre

Le dispositif de la prime à la conversion, dans les conditions décrites ci-dessus, est applicable depuis le 3 août 2020 et jusqu'au 30 juin 2021 inclus. A partir du 1er juillet jusqu'au 31 décembre 2021, la mesure évolue. La prime à la conversion ne sera plus versée pour les modèles thermiques Crit'Air 2, englobant tous les diesel.

Liens utiles et contacts

  • Prime à la conversion : pour déposer votre demande et consulter toutes les informations relatives au dispositif.
  • Je change ma voiture : pour évaluer le coût d’utilisation de votre véhicule et l’ordre de grandeur du bénéfice économique et environnemental réalisé grâce à l’achat d’un véhicule plus propre.
  • Je roule en électrique : pour vous informer sur le véhicule électrique.
  • Le détail de la mesure sur service-public.fr.

Entreprises : faites attention aux tentatives d'escroqueries

Demandes frauduleuses, usurpation d'identité, faux courriels ou courriers...vous pensez que seuls les particuliers sont la cible de tentatives d'escroquerie ? Détrompez-vous ! De nombreuses pratiques frauduleuses, notamment celles qui consistent à usurper l'identité de l'administration, touchent également les entreprises. On vous rappelle à quoi vous devez faire attention pour vous prémunir contre ce type d'arnaques !

Faites particulièrement attention aux fraudes qui consistent à usurper l'identité de l'administration

Il existe de nombreuses tentatives d'escroquerie, mais beaucoup d'entre elles consistent à vous faire des demandes en usurpant l'identité d'une administration. Tous les services peuvent être concernés par ces usurpations, mais généralement c'est l’identité de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) ainsi que de ses services régionaux, qui est particulièrement utilisée par les fraudeurs.

Plus concrètement, des demandes par courriels ou courriers, faisant référence à des articles du code général des impôts,  parfois accompagnées de faux formulaires en pièce jointe et de fausses signatures, usurpent l’identité et les adresses électroniques de la DGFiP.

L'objectif ? Vous faire communiquer à votre insu des informations sensibles et vous soutirer de l'argent.

Comment faire pour repérer une tentative d'escroquerie ?

De nombreux indices doivent vous mettre sur la piste d'une éventuellement tentative de fraude. Soyez particulièrement attentif au contenu des messages. Certaines choses doivent vous alerter, par exemple :

  • les fautes d'orthographe ou de syntaxe
  • les demandes d'informations détaillées sur l'entreprise ou ses coordonnées bancaires
  • un interlocuteur ou forme de la demande inhabituel (adresse de messagerie très proche de l'adresse habituelle mais néanmoins différente)
  • les fausses adresses courriel (par exemple, toutes les adresses  de la DGFiP authentiques contiennent le suffixe @dgfip.finances.gouv.fr...toute autre dénomination doit donc vous alerter).
  • etc.

Que faire en cas de doute ?

Ne répondez pas !

En cas de doute sur un message, surtout ci celui-ci ne provient pas de l'adresse électronique de vos interlocuteurs habituels (notamment du service des impôts des entreprises (SIE) dont vous dépendez), adoptez la conduite suivante :

  • ne répondez pas
  • ne cliquez pas sur les éventuels liens à l'intérieur du message (ils peuvent vous rediriger vers un faux site)
  • supprimez le message de votre boîte aux lettres.

Signalez la tentative d'escroquerie

En cas de doute sur l’identité de l’expéditeur d’un courrier électronique (ou même postal) portant l'en-tête ou la signature d'une administration, ou bien pour signaler une tentative d'escroquerie, contactez le portail des pouvoirs publics : « internet-signalement.gouv.fr ». Vous pouvez également passer par le téléphone, via le numéro vert gratuit : 0 805 805 817.

Vous pouvez également contacter directement votre Centre des Finances publiques, lorsque le message porte un en-tête de l'administration fiscale, dont le numéro de téléphone figure sur vos documents officiels (avis ou déclarations d'impôts...).

Nos autres conseils pour vous prémunir des tentatives d'escroquerie

Plus généralement, il vous est conseillé d'adopter quelques bons réflexes de prudence au quotidien pour vous prémunir au maximum de tentatives frauduleuses :

  • Si un message suspect est envoyé de la part d'un interlocuteur habituel, contactez-le directement avec les coordonnées que vous utilisez habituellement.
  • Ne cédez pas à la pression et à l'urgence souvent invoquées dans les tentatives d'arnaques. Prenez toujours le temps d'analyser les messages qui vous paraissent suspects avant de répondre.
  • D'une manière générale ne divulguez jamais à l'extérieur des informations sur l'organisation de l'entreprise.
  • Diffusez en interne les alertes sur les arnaques, notamment celles transmises par les fournisseurs, et sensibilisez vos employés aux différents risques d'escroquerie.
  • Instaurez des procédures de vérification complémentaires (pour les paiements internationaux notamment).
  • Si vous avez été victime d'une escroquerie, bloquez immédiatement les coordonnées bancaires frauduleuses et identifiez les paiements déjà réalisés, à venir ou en instance, pour effectuer les rejets et blocages nécessaires.

Pour en savoir plus sur les tentatives d'usurpation de l'identité de l'administration

Thématiques :

Garantie jeunes : le dispositif d'aide sera élargi

Ce dispositif assure aux jeunes de 16 à 25 ans qui ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation, une allocation d'un montant maximal de 497 € par mois. Les bénéficiaires s'engagent à suivre un parcours contractualisé d'accompagnement vers l'emploi et l'autonomie (PACEA) en mission locale. Des évolutions liées aux conditions d'entrée et aux modalités de mise en œuvre de ces parcours ont été annoncées dans un communiqué de presse du ministère du Travail le 16 février 2021.

Ces assouplissements porteront sur les critères de non-imposition, de ressources et de durée des parcours :

  • un jeune souhaitant bénéficier de cette aide n'aura désormais plus besoin d'être fiscalement autonome du foyer de ses parents. Le conseiller de la mission locale pourra, à titre exceptionnel, attester lui-même de sa situation de précarité et de rupture vis-à-vis de sa famille ;
  • les ressources pour entrer dans le dispositif seront évaluées sur les 3 ou les 6 derniers mois, selon l'appréciation la plus favorable pour chaque jeune ;
  • la durée du parcours pourra être modulée de 9 à 18 mois (au lieu de 12 à 18 mois) ;
  • les jeunes en situation de handicap pourront en bénéficier jusqu'à l'âge de 30 ans.

  A savoir : En 2020, plus de 600 000 jeunes ont rejoint un parcours d'insertion vers l'emploi du « plan 1 jeune, 1 solution ». En 2021, le gouvernement prévoit près d'1 million de solutions d'insertion aux jeunes les plus éloignés de l'emploi, parmi lesquelles 200 000 Garantie jeunes.

Crise sanitaire: l'Assemblée vote le budget rectifié, gonflé de 20 milliards d'euros pour aider les entreprises

Selon FranceInfo.fr :

"Vingt milliards d'euros de plus. L'Assemblée nationale a voté, vendredi 11 juin, un budget 2021 rectifié qui complète les aides d'urgence face à la crise sanitaire et accompagne le déconfinement. Adopté en première lecture par 38 voix contre 2, le texte est désormais attendu au Sénat.

Ce premier projet de loi de finances rectificative pour 2021 rallonge de 15,5 milliards d'euros les aides d'urgence, à destination des entreprises et leurs salariés. A ces dépenses, s'ajoutent 1,4 milliard d'euros pour financer plusieurs annonces récentes, dont le maintien des places d'hébergement d'urgence, les indemnisations d'agriculteurs touchés par le gel début avril et le "Pass'Sport" à destination des jeunes. Le gouvernement a en outre fait voter une rallonge de cinq millions d'euros pour soutenir le spectacle vivant et les théâtres privés face aux "pertes de billetterie liées aux mesures de jauge"."

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement/crise-sanitaire-l-assemblee-vote-le-budget-rectifie-gonfle-de-20-

Le fonds de pérennité : qu'est-ce que c'est ?

Contribuer à la pérennité économique d'une ou plusieurs entreprises dont il devient l'actionnaire stable et de long terme et, le cas échéant, financer ou réaliser des œuvres ou des missions d'intérêt général, c'est la vocation du fonds de pérennité, créé par l'article 177 de la loi Pacte. Il permet d'assurer la transmission et la pérennité des entreprises, en particulier des entreprises familiales, et de soutenir des causes d'intérêt général. 

Type de structure hybride, le fonds de pérennité recueille les actions d'une ou plusieurs entreprises (exerçant une activité industrielle, commerciale, artisanale ou agricole) transmises de manière irrévocable et gratuite par ses fondateurs. Le fonds de pérennité peut gérer activement les participations perçues en vue d'assurer le développement de l'entreprise sur le long terme, tout en préservant les valeurs que les fondateurs ont inscrites dans les statuts du fonds. En outre, le fonds peut financer des actions diversifiées, incluant des missions non directement liées à l'entreprise, telles que des activités philanthropiques.

La création d'un fonds de pérennité économique est déclarée par formulaire à la préfecture du département où se trouve son siège social. Cette déclaration mentionne la date, la dénomination, l'objet et le siège du fonds de pérennité, la durée pour laquelle il est constitué, la date de clôture de son exercice ainsi que les noms, prénoms, dates de naissance, lieux de naissance, professions, domiciles et nationalités des membres du conseil d'administration et du comité de gestion. Cette déclaration est assortie du dépôt de ses statuts et de l'indication des titres ou parts rendus inaliénables. Le fonds de pérennité économique jouit de la personnalité morale à compter de la date de publication de la déclaration au Journal officiel.

Thau Med Addict : quand les professionnels du Bassin de Thau font leur cinéma !

Ici, l'authenticité c'est pas du cinéma

 

Le 08 juin 2021, veille de la réouverture des restaurants, ce sont des partenaires enthousiastes et unis qui ont présentés leur stratégie commune de valorisation des produits de la mer et de la lagune de Thau. Une démarche impulsée par la CCI Hérault avec le soutien de la Région Occitanie, du Département de l’Hérault, de l’UMIH et Sète Agglopôle Méditerranée. Et vous, êtes-vous #ThauMedAddict ?

C’est sur le site de l’écailler de Saint-Pierre à Sète, au pied du théâtre de la mer, que les acteurs de la lagune de Thau et de Méditerranée s’étaient donnés rendez-vous ce 08 juin pour découvrir la campagne de communication dont ils sont l’égérie.

Il y a plusieurs mois la CCI Hérault menait une réflexion autour de la valorisation des produits de la mer. Après de nombreux échanges avec les professionnels du secteur (pêcheurs, conchyliculteurs, criées, mareyeurs, transformateurs, tiellistes et restaurateurs), un premier projet a émergé pour contribuer au développement de leurs activités : produire une campagne de communication positive et partagée.

 

Aujourd’hui, l’heure est à la présentation de cette campagne décalée, basée sur les portraits des professionnels de la filière. Des professionnels de caractère et de conviction qui vendent "plus bien" qu’un produit, ils transmettent une expérience, un souvenir. Les affiches détournent des titres de films bien connus pour affirmer l’authenticité du territoire et de ses professionnels : « Ici sur le Bassin de Thau, on ne fait pas semblant. Ici l’authenticité, c’est pas du Cinéma ! ».

 

Et pour plus de viralité et d’ancrage, un hashtag vient compléter le dispositif : on est tous #ThauMedAddict Parallèlement, cette stratégie de promotion s’appuie sur d’autres actions complémentaires qui viennent elles-aussi soutenir l’attractivité des professionnels :

  • La création de parcours découverte dans l’application Destination Hérault pour découvrir les richesses du territoire et ses professionnels.
    Des parcours travaillés par Sète Agglopôle Méditerranée et les offices du tourisme du territoire, dans le cadre du label « Vignobles & Découverte », qui associent visites culturelles, domaines viticoles et dégustations de Produits de la Mer.

 

  • La mise en place d’un Certificat de Qualification Professionnelle « Écailler / Équipier polyvalent » afin de former une dizaine de demandeurs d’emploi à la valorisation des produits de la mer pour les restaurants du territoire, à partir de septembre prochain, en partenariat avec l’UMIH et les professionnels de l‘emploi.

 

  • Dès la rentrée, un travail sera réalisé sur un guide BtoB à destination de la grande distribution locale et régionale, ainsi que de la restauration collective, dans une démarche complémentaire au travail de la Région Occitanie sur cette cible.

 

Avec les professionnels du bassin de Thau, nous sommes tous #ThauMedAddict !

Le marché du bitcoin dépasse 1.000 milliards de dollars

Une nouvelle flambée du prix du bitcoin vendredi porte la valeur de l'ensemble des bitcoins créés depuis 2009 à plus de 1.000 milliards de dollars, un marché dopé par l'engouement de certaines grandes entreprises et malgré les inquiétudes des régulateurs.

Vers 16H40 GMT (17H40 à Paris), le bitcoin a atteint un nouveau plus haut historique à 54.790 dollars, en hausse de 5,5% sur la séance. Vers 19H30 GMT, il était encore plus haut, aux alentours de 55.155 dollars.

Avec plus de 18,6 millions de bitcoins créés depuis son lancement en 2009 par des anonymes, l'ensemble du marché représente potentiellement 1.015 milliards de dollars, selon le site Coinmarketcap.com.....................

Aller plus loin : https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/le-marche-du-bitcoin-depasse-1-000-milliards-de-dollars-CNT000001xfknC/photos/a-1-000-milliards-de-dollars-le-marche-du-bitcoin

Qu'est-ce que l'imposition forfaitaire des entreprises de réseaux (IFER) ?

 

Êtes-vous concerné par l'IFER ?

Instauré par la loi de finances pour 2010 au profit des collectivités territoriales et de leurs établissements publics (EPCI), l’IFER est une imposition forfaitaire sur les entreprises de réseaux. L’IFER concerne les entreprises exerçant leur activité dans le secteur de l’énergie, du transport ferroviaire et des télécommunications.

L’IFER se divise en 10 composantes correspondant à l’une des catégories suivantes : 

  • imposition sur les éoliennes et hydroliennes
  • imposition sur les installations de production d’électricité d’origine nucléaire ou thermique à flamme
  • imposition sur les centrales de production d’électricité d’origine photovoltaïque ou hydraulique
  • imposition sur les transformateurs électriques
  • imposition sur les stations radioélectriques
  • imposition sur les installations gazières et sur les canalisations de transport de gaz naturel, d’autres hydrocarbures et de produits chimiques
  • imposition sur le matériel ferroviaire roulant utilisé sur le réseau ferré national pour les opérations de transport de voyageurs
  • imposition sur certains matériels roulant utilisés sur les lignes de transport en commun de voyageurs en Ile-de-France
  • imposition sur les répartiteurs principaux de la boucle locale cuivre et certains équipements de commutation téléphonique
  • imposition sur les installations de production d’électricité d'origine géothermique.

Lire aussi : Tout savoir sur la cotisation foncière des entreprises (CFE)

Quel est le montant de l’IFER ?

Chaque catégorie d’installation fait l’objet de règles d’assiette et de calcul de l’imposition spécifique. L’IFER est dû chaque année par l’exploitant de l’installation concernée au 1er janvier de l’année d’imposition.

Le montant de l’IFER est revalorisé chaque année.

IFER sur les éoliennes et les hydroliennes

Sont concernées les installations dont la puissance est supérieure ou égale à 100 kilowatts.

Le tarif annuel d’imposition forfaitaire est de 7,65 € par kilowatt de puissance installée au 1er janvier d’imposition.

IFER sur les centrales nucléaires ou thermiques

Il s’agit des centrales nucléaires et des centrales thermiques à flamme produisant de l’électricité. Seules les centrales dont la puissance électrique est supérieure ou égale à 50 mégawatts sont concernées.

Le montant de l’IFER est établi en fonction de la puissance installée dans chaque installation. Il s’élève à 3187 € par mégawatt de puissance installée au 1er janvier d’imposition.

IFER sur les centrales photovoltaïques ou hydrauliques

L’IFER s’applique aux centrales de production d’énergie électrique d’origine photovoltaïque ou hydrauliques (à l’exception des hydroliennes) dont la puissance est supérieure ou égale à 100 kilowatts.

Le montant de l’IFER est fixé de la manière suivante :

  • 3,187 € par kilowatt de puissance installée pour les centrales de production d’énergie électrique d’origine hydraulique
  • 7,65 € par kilowatt de puissance installée pour les centrales de production d’énergie électrique d’origine photovoltaïque.

IFER sur les transformateurs électriques

L’imposition s'applique aux  transformateurs électriques relevant des réseaux publics de transport et de distribution d’électricité.

Le montant de l’imposition est calculé en fonction de la tension en amont des transformateurs (tension électrique en entrée du transformateur) au 1er janvier de l’année d’imposition selon le barème suivant :

  • 151 536€ par transformateur pour une tension en amont supérieure à 350 kilovolts
  • 51 425 € par transformateur pour une tension en amont supérieure à 130 et inférieure ou égale à 350 kilovolts
  • 14 770 € par transformateur pour une tension en amont supérieure à 50 et inférieure ou égale à 130 kilovolts.

IFER sur les stations radioélectriques

L’IFER s’applique aux stations radioélectriques dont la puissance impose un avis, un accord ou une déclaration à l’Agence nationale des Fréquences (ANFR). Il s’agit du matériel permettant d’assurer un service de radiocommunication (émetteurs, récepteurs, antennes, auxiliaires…) comme les « antennes relais ».

Le montant de l’impositionest fixé à 1674 € par station électrique détenue au 1er janvier d’imposition. Ce montant peut être réduit de 75 % pour les nouvelles stations au titre des 3 premières années d'imposition.

Il faut noter que :

  • Pour tout émetteur assurant la couverture de zones du territoire national par un réseau de radiocommunications mobiles et pour lequel n'est pas requis l'accord ou l'avis de l'Agence nationale des Fréquences, le montant de l'imposition forfaitaire est fixé à 10 % du montant.
  • Les stations ayant fait l'objet d'un avis, d'un accord ou d'une déclaration à l'Agence nationale des Fréquences à compter du 1er janvier 2010 et destinées à desservir les zones dans lesquelles il n'existe pas d'offre haut débit terrestre à cette date ne sont pas imposées.
  • Les stations radioélectriques de téléphonie mobile construites en zone de montagne entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2020 ne sont pas soumises à cette imposition.
  • Les stations radioélectriques de téléphonie mobile que les opérateurs de radiocommunications mobiles ont l'obligation d'installer pour couvrir les zones caractérisées par un besoin d'aménagement numérique conformément à leurs autorisations d'utilisation de fréquences radioélectriques prévues à l'article L. 42-1 du code des postes et des communications électroniques, et qui sont installées entre le 3 juillet 2018 et le 31 décembre 2022, ne sont pas soumises à cette imposition au titre de leurs 5 premières années d'imposition.

IFER sur les installations gazières

L'IFER s'applique aux installations de gaz naturel liquéfié, aux sites de stockage souterrains de gaz naturel, aux canalisations de transports de gaz naturel, d'autres hydrocarbures et produits chimiques ainsi qu'aux stations de compression utilisées pour le fonctionnement d'un réseau de transport de gaz naturel.

Le tarif de l’IFER varie en fonction des équipements.

IFER sur le matériel ferroviaire roulant

Il s’agit du matériel ferroviaire roulant utilisé sur le réseau ferré national (RFN) pour le transport de voyageurs ou sur les lignes de transport en commun de voyageurs en Ile-de-France.

Le montant de l’IFER est fixé en fonction de la nature du matériel roulant et de son utilisation selon un barème spécifique.

IFER sur les répartiteurs principaux de la boucle locale de cuivre

L’IFER s’applique aux répartiteurs principaux de la boucle locale cuivre. La boucle locale cuivre est la partie de la ligne téléphonique allant du répartiteur de l'opérateur jusqu'au point de terminaison dans les locaux de l'abonné.

Le montant de l’imposition de chaque répartiteur principal dépend du nombre de ligne en service qu’il comporte au 1er janvier d’imposition.

IFER sur les installations de production d’électricité d'origine géothermique

En vertu de l'article 1519 HB du CGI et du II de l'article 1635-0 quinquies du CGI, le tarif de l’IFER est fixé, pour l'année 2021, à 20,12 € par kilowatt de puissance électrique installée au 1er janvier de l’année d’imposition.

Lire aussi : Qu'est-ce que la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) ?

Comment déclarer votre IFER ?

L'IFER suit le régime applicable à la CFE (cotisation foncière des entreprises) en matière de recouvrement, garanties, sûretés et privilèges.

La déclaration de l’IFER doit s’effectuer au plus tard le 2ème jour ouvré suivant le 1er mai de l’année d’imposition.

Si votre entreprise est redevable de l’IFER, votre avis d’IFER figure sur votre avis d’imposition de CFE uniquement disponible sur le site impots.gouv.fr.

Votre IFER ou solde d'IFER en cas d'acompte éventuel, est exigible à la même date que celle fixée pour la CFE due au titre de la même année.

Comment payer votre IFER ?

Comme la CFE, le paiement de l’IFER doit être réglé par un moyen de paiement dématérialisé  :

  • prélèvement automatique (mensuel ou à l’échéance) ou
  • paiement direct en ligne.

Pour les professionnels déjà titulaires d’un contrat de prélèvement automatique, les montants à payer sont prélevés sans nouvelle démarche dans les jours qui suivent la date limite de paiement (généralement le 15 décembre minuit de chaque année).

Si vous n'êtes pas titulaire d'un contrat de prélèvement automatique, muni de votre numéro fiscal, de la référence de votre avis d’impôt et de vos coordonnées bancaires, vous pouvez adhérer au prélèvement à l’échéance. En 2021, vous aviez jusqu’au 31 mai minuit pour adhérer au prélèvement à échéance, sur le site impots.gouv.fr ou auprès de votre Centre Prélèvement Service (CPS) dont les coordonnées figurent dans le cadre « Vos démarches » de l’avis.

Si vous préférez payer directement en ligne, cliquez sur le bouton « Payer » au‑dessus de votre avis. Vous accéderez directement, sans saisie de vos références, au service de paiement dès lors que le compte bancaire à utiliser a été préalablement déclaré dans votre espace professionnel. En 2021, l'adhésion pour le prélèvement mensuel peut se faire jusqu'au 15 juin. La validation de votre règlement doit, elle, intervenir au plus tard le 15 décembre minuit de chaque année.

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