Quête nationale du souvenir Français

COMMUNIQUE :

Du 30 octobre au 3 novembre aura lieu la quête nationale du Souvenir Français

Alors que le monde devient plus dangereux, alors que la France donne toute sa place à notre Armée, des tombes de combattants, morts pour la France, disparaissent chaque jour dans nos cimetières communaux.

Ils sont pourtant morts pour nous, pour notre Liberté. Or ces sépultures disparaissent dans notre indifférence.

Lutter contre ce temps de l’abandon, contre ce laisser-aller mémoriel, tel est le combat que mène le Souvenir Français.

En vous sollicitant à l’entrée des cimetières, mais aussi sur la voie publique, les bénévoles du Souvenir Français n’ont qu’un but : qu’aucune tombe de morts pour la France ne disparaisse de nos cimetières.

Aidez-nous. Il en va aussi du respect que nous devons aux soldats d’aujourd’hui.

Donner lors de la quête du Souvenir Français, c’est à la fois respecter le passé et donner un avenir au présent.

Pendant ces jours où il sollicitera votre générosité le Comité du Souvenir Français vous invite aussi à venir nombreux rendre hommage à ces morts lors de l’une des deux cérémonies qui auront lieu :

·         Le samedi 1er novembre à 11 h devant le carré militaire au cimetière de Balaruc le Vieux

·         Le dimanche 2 novembre à 11 h devant le caveau-monument du cimetière de la Cadole (entrée avenue de la Cadole) à Balaruc les Bains.

L'exposition "La guerre des crayons", réalisée grâce aux fonds du Musée de Montmartre, retrace l’histoire de la Grande Guerre à travers un fonds exceptionnel de dessins réalisés par des écoliers entre 1914 et 1918. Les œuvres reflètent la pédagogie et l’éducation d’une part et l’incroyable propagande anti germanique d’autre part

Elle nous montre sur une vingtaine de panneaux, la vision personnelle et crue des enfants pendant la Grande Guerre (1914-1918).

Sous l’impulsion de leurs instituteurs de 2 écoles de Montmartre qui leur demandent de dessiner la guerre, ces écoliers âgés de 6 à 13 ans nous dévoilent par le dessin, leur souffle patriotique, leur rêve d’héroïsme mais surtout leurs angoisses face à la guerre et l’absence des proches. Ils parlent de l’absence des pères, du rapport à la mort, de la violence, des mères restées seules, du rationnement, de la propagande, de leur place dans ce drame.