Les créatures de Catherine Lévêque s'épanouissent dans l'univers des magies sétoises de Philippe Ormières.
Les créatures de Catherine Lévêque s'épanouissent dans l'univers des magies sétoises de Philippe Ormières.
Karine Barrandon vous invite à son exposition, Double Album
Au Musée International des Arts Modestes - Sète
Du 27 juin 2024 au 9 mars 2025
Avec : Giovanni Bragolin, André Brasilier, Bernard Buffet, RS Clemente,
Lynette Cook, Leonor Fini, The Highwaymen, Margaret Keane, Thomas Kinkade, Robin Koni, Félix Labisse, JH Lynch, Charles Mc Phee, Louis Shabner,
Stephen Pearson, Vera Pegrum, Bob Ross, Michel Thomas, Louis Toffoli,
Vladimir Tretchikoff.
Pierre Ardouvin, Josse Bailly, Hsia-Fei Chang, Nina Childress, Mathis Collins,
Pablo Cots, Somaya Critchlow, John Currin , Gabriele Di Matteo, Bert Duponstoq, Cyril Duret, Richard Fauguet, Gérard Gasiorowski, Jef Geys, Piro Kao,
Philippe Katerine, Pierre & Gilles, Ernest T, Ida Tursic et Wilfried Mille, Julia Wachtel, Janet Werner, Stéphane Zaech.
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Informations pratiques
Musée International des Arts Modestes
23 quai Maréchal de Lattre de Tassigny - 34200 Sète - France
Accueil : +33 (0)4 99 04 76 44
www.miam.org.
Heures d'ouvertures :
Ouvert tous les jours de 10h à 18h00, sauf le lundi
Du 2 novembre au 31 mars : ouvert tous les jours sauf le lundi de 9h30 à 12h00 et de 14h à 18h00
Fermetures annuelles: 1er novembre, 25 décembre, 1er janvier et 1er mai
Tarifs : Adultes : 5,60 € - Etudiants, 10-18 ans : 2,60 €
Groupes de plus de 10 personnes : 3,60 €
Moins de 10 ans, demandeurs d'emploi, groupes scolaires sétois, premier dimanche du mois : gratuit
LA PETITE ÉPICERIE (service pédagogique du MIAM) propose des ateliers de pratiques artistiques destinés à tous. Rens. inscriptions, tarifs : 04 99 04 76 46 ou
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Du samedi 23 mars au dimanche 26 mai 2024
Tous les jours
de 10:00 à 18:00
Du 23 mars au 26 mai 2024, le musée Paul Valéry présente l’exposition « Pierre-Luc Poujol. Arborescences », réunissant un ensemble de plus de 50 peintures et sculptures sur bois. Situé au cœur du travail de Pierre-Luc Poujol, l’arbre n’est jamais dépeint ni traité de manière univoque.
Il est au contraire investi par une puissance constante d’évolution formelle. Variant les techniques – dripping, résille, toile délavée -, Pierre-Luc Poujol accentue les effets de décomposition propres à un motif qui est depuis longtemps caractéristique de la modernité : indissociable à ses débuts du genre du paysage avec quelques autres éléments, l’arbre a été souvent démembré en fragments sous l’effet du goût pour la vitesse et le mouvement.
Mais, en raison des catastrophes naturelles entraînées par le changement climatique, le motif de l’arbre se charge aujourd’hui dans le travail de Pierre-Luc Poujol d’une dimension nouvelle, emblématique des menaces qui pèsent sur notre monde : de l’arbre aux couleurs triomphantes, situé entre abstraction et figuration, Pierre-Luc Poujol a évolué vers des formes de plus en plus déstructurées, utilise des fragments de végétaux au lieu de pinceaux et ajoute des matériaux naturels, tels que la cendre ou le bois brûlé. Il ne travaille plus sur la nature mais littéralement avec elle.
Il en résulte des œuvres singulières : d’une grande économie de moyens, elles font des arbres autant d’idéogrammes secrets, que leur beauté rend désirable jusque dans la menace même de leur disparition.
Le 30 mars dernier, les amoureux du Biòu étaient présents aux côtés de Michel Arrouy, maire de Frontignan la Peyrade, conseiller communautaire, Valérie Maillard, adjointe déléguée à la culture, au patrimoine et à l’égalité hommes/femmes, Michel Cassagne, président du club taurin Lou Senglié et de nombreux membres du conseil municipal et autres afeciouna, pour la réouverture du musée municipal et le vernissage de l’exposition Pour l’amour du biòu, quand passion et tradition s’expriment dans l’arène, qui honore les traditions équestres et taurines du Sud de la France, très prégnantes à Frontignan la Peyrade.
Depuis, plus de 500 visiteurs se sont déplacés pour découvrir l’exposition et profiter du parcours, pensé et mis en scène par Culture Urbaine Sans Frontière (CUSF), en partenariat avec la direction culture et patrimoine de Frontignan la Peyrade.
Agrémenté de nombreux documents, photos, etc., le parcours offre au visiteur un comparatif des milieux naturels camarguais et frontignanais (faune, flore, espèces, activité salinière), une sélection iconographique ou encore un « passage au sein d’une manade » avec notamment la revue d’un gardian, sa tenue, sa selle, son matériel… La visite se poursuit par une immersion dans une arène, avec vidéos de courses camarguaises, mur d’images… et se conclut par un focus sur les 40 ans des arènes et les 50 ans du club taurin Paul-Ricard – Lou Senglié ainsi que sur la carrière du cocardier Le Sanglier, mais aussi un diaporama, des ouvrages en consultation libre, affiches… qui retrace avec brio 40 années de courses camarguaises et autres jeux équestres et taurins dont le fameux toropiscine.
L’exposition est visible jusqu’au 2 novembre 2024, du mardi au samedi, de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Rens. : 04 67 18 50 05 –
Entrée libre
Marie Plantier expose en duo, avec Audray Chemin, à Frontignan.
Parce que Jean Ribera est artiste, être heureux quelque part, c'est pouvoir y créer.
Projection mise en œuvre dans l'atelier-galerie Atout Fer (le sulpteur a choisi l'acier comme matériau de prédilection) qu'il occupe depuis deux ans, 33 Grand Rue Mario Roustan : aussi est-il heureux à Sète.
Avant de jeter l'ancre à l’île singulière et avoir navigué d'un galerie à l'autre pour y exposer ses œuvres, Jean Ribera ouvrit la sienne à Grenoble: « un espace toujours prêt à accueillir d'autres artistes. »
Mettre le travail d'autrui en lumière, c'est ce qu'il compte faire dorénavant à Sète aussi. Jusqu'au 20 avril ( c'est à dire qu''il faut s'y précipiter !), Atout Fer héberge une exposition exceptionnelle ! Il s'agit de reproductions tirées à la main à partir de bois gravés d'estampes de Sharaku Tôshûsaï, artiste japonais virtuose qui produisit 149 œuvres entre 1794 et 1795.
Ces portraits de personnages en habits traditionnels témoignent d'un savoir faire absolument prodigieux jouant un rôle déterminant dans l'histoire de l'art. La très vive expression de ces visages dont les traits sont emblématiques de la culture japonaise coudoient avec bonheur les sculptures à la fois puissantes et gracieuses de Jean Ribera qui revendique parmi ses influences l'artiste Michel Rauscher.
L'atelier de l'artiste qui raconte sa vie avec de l'acier vaut toujours le détour , avec de surcroit cette très rare exposition organisée par Yama-Shima, il est incontournable ! A découvrir jusqu'au 20 avril 33 rue Mario Roustan !
Le 4 mai dans le cadre de la deuxième édition du festival de Photographies Itinérance la galerie Atout Fer proposera un apéro musical pour le vernissage de Caroline Géolle.
Du 23 mars au 26 mai 2024, le musée Paul Valéry présente l’exposition « Pierre-Luc Poujol - Arborescences », réunissant un ensemble de plus de 50 peintures et sculptures sur bois. Situé au cœur du travail de Pierre-Luc Poujol, l’arbre n’est jamais dépeint ni traité de manière univoque. Il est au contraire investi par une puissance constante d’évolution formelle.
Arborescences réunit un ensemble de plus de 70 peintures et sculptures sur bois. Avec un unique et seul thème, l'arbre. Une exposition à parcourir comme une promenade dans les bois avec ses mystères et ses contemplations grâce à un accrochage qui court du sol au plafond. Une plongée dans l’arbre, sa matière, son écorce, sa symbolique naturelle…jusqu’au 26 mai au musée Paul Valéry (Sète).
Pierre Luc Poujol travaille depuis des années sur la thématique de l’arbre aussi bien dans sa figuration que l’utilisation des matériaux pour créer ses œuvres. Marqué par l’abstraction lyrique comme par l’action painting, l’artiste installé à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault) depuis 2018 aime à varier les techniques (acrylique, charbon), les méthodes (dessin, dripping, installation, volume), les outils (branche, fragment végétal).
« Pierre-Luc Poujol peut se faire explicitement engager contre le consumérisme et pour l’écologie : son empreinte n°568 figure un code-barres associé au chiffre de 42000000, qui correspond au nombre d’arbres coupés par jour dans le monde... Mais d’une manière générale, son art est allusif, et procède par capillarité poétique, symbolique. Il n’impose pas, il fait ressentir. On apprécie pour cela sa série “Arbographies”, avec ses empreintes de brindilles et branchettes bleues sur fond noir, notamment deux qui placées devant des négatoscopes, se scrutent comme des radiographies d’une fracture et d’un poumon. Il n’est plus là question d’analogie mais d’unicité du vivant »
« Dans la volonté de donner du sens, la direction de mes projections vont figurer un tronc, le feuillage, l’écorce… J’essaye d’organiser ma gestuelle et mon choix de couleurs en fonction de cette représentativité et sans la délivrer cash. Quand on regarde certaines de mes œuvres, à un mètre on est totalement dans l’abstraction et en prenant du recul, on voit un arbre, et encore un peu plus une forêt. Cette découverte s’opère en fonction de la distance avec le support. » Pierre-Luc Poujol
Artiste peintre autodidacte, Virginie Fongaro définit sa peinture de "slam pictural à tendance Humoristic'onirique".
Ses inspirations proviennent principalement de la littérature, bande-dessinée et écriture surréaliste que l'on peut retrouver aussi dans ses titres.
Virginie nous précise :
"Mes tableaux sont le miroir d'un bouillonnement de cadavres exquis, de mots-valises en farandole, d'allitérations trébuchantes et autres inconnus joueurs de mots que j’expulse en image dans une mise en scène à l'univers psychédélique... Mes toiles aux couleurs vives, puisées dans l'acrylique, encre de chine et bombe aérosol, vibrent de fantaisie, avec moult détails, humour et dérision. Par ce prisme onirique, vos pupilles vont rouler dans leurs orbites et vos neurones vont partir en bagatelle ! A travers mes choix littéraires, mon engagement artistique et ma démarche passée auprès de personnes atteintes de troubles psychiques, c’est une certaine humanité qui est décrite et j’en parle avec des mots et des pinceaux pour avant tout pour libérer les collisions magmagnétiques, pour connecter les paradoxes et pour partager nos étincelles d'émotions originelles… "
Virginie Fongaro