Expos

L’expo Chanklettes par Maël, à la galerie Zoom de Sète ! Tout sur le pied dans son éclatante nudité

L’artiste, qui expose actuellement à la galerie Zoom de Sète, a pris pour sujet cette partie de notre anatomie : le pied.

Exposition du 1er au 13 juillet Yuka Matsui "A quoi rêve le mont Saint-Clair" ? A l'Echappée Belle

Exposition du 1er au 13 juillet Yuka Matsui "A quoi rêve le mont Saint-Clair" ?  A l'Echappée Belle

"Lorsque les Nymphes s'invitent chez Bacchus" par Michel Richard, au Caves Notre Dame

"Lorsque les Nymphes s'invitent chez Bacchus" 
 
le  samedi 13 juillet 2024 à 12h30 
aux Caves Notre Dame, 2 rue frédéric Mistral, 34200 SETE

Plongez en...forêt bleue, au Musée ethnographique de l'étang de Thau (Bouzigues) !

Plongez en...forêt bleue, au Musée ethnographique de l'étang de Thau (Bouzigues) !
Cette exposition est le fruit de collectes, de photos, de sons, d’objets ramassés, de traces sur le sol, de traces de l’eau sur papiers. Autour des huitres et des zostères, ces herbiers qui ondulent comme des cheveux dans l’étang et que certains appellent forêt bleue.
Et les huitres avec la richesse de leurs formes, leurs nuances, leurs reflets, leurs dentelles, leur saveur aussi. Des amoncellements d’huitres au détail sous microscope, du naissain d’huitre à l’huitre fossile, c’est tout un monde fascinant à découvrir.
𝘾𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙪𝙣 𝙥𝙡𝙤𝙣𝙜𝙚𝙤𝙣 𝙖𝙪 𝙘œ𝙪𝙧 𝙙𝙚 𝙡'𝙚𝙩𝙖𝙣𝙜 𝙙𝙚 𝙏𝙝𝙖𝙪....
“Je suis venue plusieurs fois au bord de l'étang pour m'imprégner du lieu, de la lumière, des bruits, un lieu très vivant, toujours en mouvement, avec les oiseaux, les barques, les algues ou les zostères dans l'eau, les vagues. Pour apprivoiser le paysage aussi et mieux le ressentir” 𝙁𝙡𝙤𝙧𝙚𝙣𝙘𝙚 𝘽𝙖𝙧𝙗𝙚𝙧𝙞𝙨
Cette exposition est le fruit de collectes, de photos, de sons, d'objets ramassés, de traces sur le sol, de traces de l'eau sur papiers. Autour des huitres et des zostères, ces herbiers qui ondulent comme des cheveux dans l'étang et que certains appellent forêt bleue. Et les huitres avec la richesse de leurs formes, leurs nuances, leurs reflets, leurs dentelles, leur saveur aussi. Des amoncellements d'huitres au détail sous microscope, du naissain d'huitre à l'huitre fossile, c'est tout un monde fascinant à découvrir.
Plasticienne graveur, installée à Aubais dans le Gard, Florence Barbéris a travaillé en résidence en France et à l'étranger, Pologne, Corée, Laos, Vietnam, Danemark, Irlande, Québec... des temps d'immersion complète qui continuent d'animer son travail. Des liens entre ces mondes se créent, des histoires se tissent et aident à avancer et à donner du sens.
Entrée libre
Renseignement au 04.67.78.33.57
Musée Ethnographique de l'Etang de Thau

Expositions : La biodiversité : tout est vivant, tout est lié – L’eau, une ressource vitale


Expositions proposées par la ville de Frontignan la Peyrade, en partenariat avec le département de l’Hérault.

Visibles aux horaires d’ouverture de la capitainerie.

➡️ Rens. : 04 67 18 44 90

TROIS EXPOSITIONS DANS L’HERAULT POUR JEAN HUGO (1894 – 1984) DU 28 JUIN AU 13 OCTOBRE 2024

Ce vendredi, au musée Paul Valéry à Sète avait lieu le vernissage de : Entre ciel et terre inauguré par le maire de Sète François Commeinhes, le maire de Montpellier Michaël Delafosse, et Corinne Poleri adjointe à la culture représentante du maire de Lunel.
 
Trois expositions sur Jean Hugo à Montpellier au musée Fabre, à Sète au musée Paul Valéry et à Lunel au musée Médard (ville où il a vécu plus de 50 ans, au Mas de Fourques) 3 expositions sur Jean Hugo pour rendre hommage à cette grande figure artistique jusqu’au 13 octobre 2024 (jusqu’au 13 septembre pour Lunel)
 
Durant tout l’été 2024, dans le cadre d’une saison-hommage rendue à Jean Hugo (1894-1984) sur le territoire de l’Hérault, à l’occasion du quarantième anniversaire de sa disparition, c’est une séquence exceptionnelle qui s’ouvre cet été 2024 dans la connaissance et la reconnaissance de cet artiste trop longtemps méconnu. Arrière-petit-fils de Victor Hugo, il fut tour à tour décorateur, peintre, poète et écrivain. Né en 1894 et disparu en 1984, Jean Hugo a traversé presque tout le XXème siècle, à la fois acteur et fin observateur de tous les mondes sociaux et culturels dont il a fait partie, décennie après décennie.
À travers un ensemble d’œuvres de l’artiste dont de nombreux prêts d’institutions françaises et étrangères, les 3 expositions de Jean Hugo, ont pour ambition de présenter l’artiste et son œuvre, depuis les origines en 1914 jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, en dialogue avec ses amitiés artistiques. Ces expositions bénéficient de prêt exceptionnel dont le Centre Pompidou et le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles Occitanie.
Pour plus d’informations :

Pavillon Populaire à Montpellier

Le Pavillon Populaire est un espace d'art photographique ouvert gratuitement au public. Il affiche une programmation de haut niveau, en présentant les œuvres d’artistes de notoriété nationale et internationale. Trois expositions en moyenne s'y déroulent chaque année.

Exposition en cours : "Gabriele Münter, Eudora Welty. Au début la photographie"

Petite fille dans une rue-Gabriele Münter Petite fille dans une rue-Gabriele Münter

"Gabriele Münter, Eudora Welty. Au début la photographie" 26 juin-29 septembre 2024

Le Pavillon Populaire met sur le devant de la scène deux femmes artistes majeures du XXe siècle qui ont eu pour particularité de débuter leurs pratiques artistiques par la photographie avant de consacrer leurs carrières à d'autres champs disciplinaires : la littérature pour l'une et la peinture pour l'autre.

Cette exposition proposera donc deux regards complémentaires au travers des photographies réalisées par ces femmes artistes, à quelques années de différence, sur un territoire géographique commun : le sud-est des États-Unis, l'occasion de redécouvrir au travers de ces parcours de femmes, une lecture sensible et protéiforme de l'histoire du Sud des États-Unis au XXe siècle.

Zoom sur l'exposition par Isabelle Jansen et Gilles Mora, commissaires de l'exposition

Gabriele MÜNTER (1877-1962)

Gabriele MÜNTER est une peintre allemande reconnue, cofondatrice du groupe expressionniste Le Cavalier bleu (Der Blaue Reiter), et un temps la compagne de Vassily Kandinsky. Eudora WELTY, elle, est considérée comme l'une des plus talentueuses des écrivains et écrivaines sudistes américains, dont l'oeuvre n'a d'égale que celle de son compatriote William FAULKNER, natif comme elle de l'État Mississippi.

Avant d'être engagées dans la pratique intensive et passionnée de leur médium respectif, la peinture et la littérature, MÜNTER et WELTY se sont d'abord investies dans celle, tout aussi intensive et passionnée, de la photographie. Profitant d'une visite (1898-1900) à sa lointaine famille qui avait émigré aux États-Unis au milieu du XIXe siècle, la jeune Allemande réalise des centaines de prises de vues aussi bien dans l'État du Texas que ceux de l'Arkansas et du Missouri ou dans la ville de New York. N'ayant encore aucune idée de sa future profession de peintre, elle mélange cependant la prise de vue et le croquis au crayon, aiguisant ainsi sa vision dont bénéficiera sa peinture quelques années plus tard.

Crystal Springs-Eudora Welty Crystal Springs-Eudora Welty

Eudora WELTY (1909-2001)

Dès la fin de son adolescence, dans la seconde partie des années 1930, alors qu'elle vit avec ses parents à Jackson, capitale du Mississippi, elle devient une photographe accomplie, dans un style documentaire caractéristique de son temps, proche des clichés d'amateurs mais avec un solide point de vue. À la différence de MÜNTER, elle opère dans sa région natale dans un contexte de pauvreté et de racisme. Son activité photographique est portée par une grande attention aux femmes noires, à leur sensualité comme aux conditions de vie rurale.

Pour toutes les deux, MÜNTER et WELTY, photographier apparaît comme une propédeutique à leur future activité majeure, la peinture et la littérature. Plus qu'un simple hobby, la photographie, pratiquée par ces deux femmes à l'aube de leur carrière, annonce le développement des champs artistiques auxquels elles consacreront leurs vies. Une telle similitude, active sur un territoire commun - le sud-est des États-Unis-, ne peut que nous étonner et nous interroger.

Ces deux regards de femmes d'origine culturelle et de génération différente représentent également des témoignages passionnants et complémentaires sur cette région des États-Unis, leurs habitants et leurs mœurs.

Présentation du Pavillon Populaire

Le Pavillon Populaire est un équipement municipal d'expositions photographiques de la Ville de Montpellier, ouvert gratuitement au public. Il affiche une programmation de haut niveau en exposant des artistes de renom tels que Brassaï, Bernard Plossu, Patrick Tosani ou encore Tuggener.

Sous la direction artistique de Gilles Mora, avec pour principe l’invitation de commissaires et d’artistes nationaux et internationaux autour de thématiques établies, Montpellier se positionne ainsi parmi les tous premiers lieux d’exposition photographique contemporaine, en proposant des expositions entièrement créées pour le Pavillon Populaire. Ces rencontres sont pour la plupart des premières nationales voire internationales.

Depuis, avec trois expositions par an, le Pavillon Populaire a réussi à fidéliser un public nombreux, créant une forte attente.

Coordonnées

Esplanade Charles de Gaulle — 34000 Montpellier
T +33 (0)4 67 66 13 46
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Horaires d'ouverture

Du mardi au dimanche (sauf 25 décembre, 1er janvier et 1er mai) :

  • Hiver (5 septembre-17 juin) : 10h-13h et 14h-18h
  • Eté (18 juin-4 septembre) : 11h-13h et 14h-19h

Visites guidées gratuites

Visite famille :

  • Tous les mercredis et les dimanches
  • Vacances et période scolaire à 11h et 16h : une visite interactive de 45 minutes conçue pour les enfants (3-6 ans et 7-11ans) et leurs accompagnants.

Visite adultes :

  • Tous les mardis à 16h et tous les vendredis à 16h.
  • Tous les samedis et les dimanches à 11h et à 16h.
  • Durée : 1h15 environ

Entrée libre et gratuite pour tous les publics
Accessible aux personnes en situation de handicap

Saison 2024

« Dr Paul Wolff. L'homme au Leica », 17 janvier-14 avril 2024

Le Pavillon Populaire présente la première rétrospective française consacrée au Dr Paul Wolff (1887-1951). Elle permet de découvrir l’oeuvre multiforme d’un des photographes allemands les plus connus de la période de l’entre-deux guerres, mais très rarement montré.

Plutôt qu’un artiste au sens conventionnel du terme, Paul Wolff est le fondateur d’une agence photographique laquelle, avec son associé Alfred Tritschler, fournira, de la République de Weimar jusqu’au années nationales-socialistes, et après-guerre, une documentation fournie sur cette période agitée de l’Allemagne (près de 700 000 photographies).

Cette exposition donne à voir un corpus riche, marqué par la popularisation du petit format 35 millimètres et initié par la marque Leica dont Paul Wolff deviendra l’ardent protagoniste à partir de 1926.

Paul Wolff joue, auprès de milliers de photographes amateurs de son époque, le rôle de « passeur » des formes de la modernité photographique de son temps, de la Nouvelle Objectivité à la Nouvelle Vision. Son incroyable popularité internationale (son livre, Mon aventure avec le Leica (1934) sera publié en plusieurs langues, et vendu à des dizaines de milliers d’exemplaires) en font un photographe omniprésent trop souvent négligé par les histoires de la photographie traditionnelle.

Au total, les photographies de Wolff sont inclues dans plus de 300 publications, et reprises dans les journaux du monde entier. Elles touchent au domaine du sport (en particulier autour des Jeux Olympiques de 1936), du travail, des loisirs, de la photographie industrielle, publicitaire, urbaine, ou de voyages. Aucun sujet n’échappera à Paul Wolff.

Son travail a rarement été montré, peut-être parce que, même s’il n’a jamais appartenu au parti national-socialiste, une bonne moitié de l’activité photographique de Paul Wolff s’est déroulée sous le régime nazi, de 1933 à la fin de la guerre. Il faut admettre qu’il s’est donc accordé passivement à un état de choses, se faisant dans son travail parfois l’écho des valeurs nationales-socialistes.

Les Boutographies, 4-26 mai 2024

Le Festival des Boutographies célèbrera en son 24e anniversaire 2024. Initié en 2000 par un groupe de passionnés de photographie, ce festival a acquis une solide renommée en France et à l’étranger au fil des ans.

Temps fort de la photographie dans la ville, le festival a rassemblé et présenté au fil de ces 23 dernières années, 567 photographes et 34 pays, toutes et tous nous faisant voyager dans leurs cultures et leurs imaginaires chaque fois singuliers.

La 24e édition est à découvrir au Pavillon Populaire et dans d’autres lieux de la ville du samedi 4 mai au dimanche 26 mai 2024.

En savoir plus

« Gabriele Münter & Eudora Welty. Au début, la photographie » 26 juin-29 septembre 2024

Commissariat : Isabelle Jansen et Gilles Mora

Gabriele Münter (1877-1962) et Eudora Welty (1909- 2001) sont deux femmes – artistes majeures du XXe siècle : Gabriele Münter est un peintre reconnu, affiliée au groupe pictural d’avant-garde « Le Cavalier Bleu » et longtemps la compagne de Vassily Kandinsky. Eudora Welty, elle, est reconnue comme un des plus talentueux des écrivains sudistes américains, dont l’oeuvre n’a d’égale que celle de son compatriote William Faulkner, tous deux natifs de l’État du Mississippi.

Avant d’être engagées dans la pratique intensive et passionnée de leurs mediums respectifs, la peinture et la littérature, Münter et Welty se sont d’abord investies dans celle, intensive et passionnée, de la photographie.

À l’occasion d’une visite de sa lointaine famille émigrée au Texas (1898/1900), la jeune allemande en profite pour réaliser une centaine de prises de vues, aussi bien dans l’État du Texas, que dans ceux de l’Arkansas, du Missouri, ou de la ville de New York, à l’occasion de son périple américain. N’ayant aucune idée de sa future activité de peintre, elle mélange cependant la prise de vue et celle du croquis au crayon, aiguisant ainsi sa vision dont bénéficiera sa future activité picturale.

Quant à Eudora Welty, dès la fin de son adolescence, dans la seconde partie des années 1930, alors qu’elle vit avec ses parents à Jackson, capitale de l’État du Mississippi, elle devient une photographe accomplie, dans un style documentaire caractéristique de son temps, proche des clichés d’amateurs, mais avec un solide point de vue. À la différence de Münter, elle opère dans sa région natale, le Mississippi, dans un contexte de pauvreté et de racisme. Son activité photographique est portée par une grande attention aux femmes noires, à leur sensualité, comme aux conditions de vie rurales.

Pour toutes les deux, Münter et Welty, photographier apparaît alors comme une propédeutique à leur future activité majeure, peinture et littérature. Plus qu’un simple hobby, la photographie – pratiquée chez ces deux femmes à l’aube de leurs carrières – annonce, le développement à venir de leurs futurs champs artistiques. Une telle similitude active sur un territoire photographique commun (le Sud-Est des États-Unis), ne peut que nous étonner et nous interroger.

L’exposition montrera environ une soixantaine de tirages pour chacune des deux artistes.

« Gisèle Freund. Une écriture du regard. », 6 novembre 2024-9 février 2025

Commissariat : Lorraine Audric et Teri Wehn-Damisch

Mettant en lumière une partie souvent ignorée de l’œuvre de cette figure majeure de la photographie du XXe siècle, l’exposition Gisèle Freund, une écriture du regard présentera le travail documentaire de cette reporter-photographe à la trajectoire singulière, où s’entrelacent un fort engagement politique, une approche sociologique, une double expérience de l’exil, un attrait pour l’innovation technologique, et une véritable soif d’aventure.

Trop souvent réduite à son impressionnante galerie de portraits de personnalités du monde de l’art et de la littérature, l’œuvre de Gisèle Freund entretient pourtant un rapport beaucoup plus riche et complexe à la photographie, au cœur duquel se trouve l’écriture. Sociologue de formation devenue historienne de la photographie, et autrice de nombreux ouvrages, dont l‘incontournable Photographie et Société, Gisèle Freund occupe en effet une position à part dans le monde de la photographie: celle d’une créatrice d’images qui n’a eu de cesse de réfléchir à leur sens et leur impact sur notre manière de percevoir le monde.

C’est cette double activité, à la fois d’actrice et de penseuse de la photographie, qui sera ici explorée dans un parcours thématique centré sur son engagement politique et son attachement à la sociologie. Il mettra en dialogue ses écrits avec ses images, et sera jalonné de documents d’archives, de publications, d’objets personnels, d’extraits de films et, naturellement, d’une large sélection de photographies présentant le médium dans toute sa matérialité et son polymorphisme.

EN JUIN, AU MIAM, UNE NOUVELLE EXPOSITION : "BEAUBADUGLY, L'AUTRE HISTOIRE DE LA PEINTURE"

Au Musée International des Arts Modestes - Sète

Du 27 juin 2024 au 9 mars 2025

 

Avec : Giovanni Bragolin, André Brasilier, Bernard Buffet, RS Clemente, 

Lynette Cook, Leonor Fini, The Highwaymen, Margaret Keane, Thomas Kinkade, Robin Koni, Félix Labisse, JH Lynch, Charles Mc Phee, Louis Shabner, 

Stephen Pearson, Vera Pegrum, Bob Ross, Michel Thomas, Louis Toffoli,

 Vladimir Tretchikoff. 

 

Pierre Ardouvin, Josse Bailly, Hsia-Fei Chang, Nina Childress, Mathis Collins, 

Pablo Cots, Somaya Critchlow, John Currin , Gabriele Di Matteo, Bert Duponstoq, Cyril Duret, Richard Fauguet, Gérard Gasiorowski, Jef Geys, Piro Kao, 

Philippe Katerine, Pierre & Gilles, Ernest T, Ida Tursic et Wilfried Mille, Julia Wachtel, Janet Werner, Stéphane Zaech.

 
 

Le MIAM–Hervé Di Rosa poursuit son travail de défrichage des territoires de l’art trop souvent ignorés. 

 

Qui n’a pas regardé avec admiration ou tendresse l’image encadrée d’un enfant qui pleure, d’un Poulbot aux joues rouges ou d’un clown de Bernard Buffet ? Pour beaucoup, la peinture c’est ça. 
Qui sont ces peintres ayant eu un moment de gloire populaire avant de tomber dans l’oubli, ces artistes au succès jamais démenti, pourtant relégués dans l’ombre de l’histoire ?

 

BEAUBADUGLYL’autre histoire de la peinture montrera sans complexe les peintures originales de ces artistes à la marge de l’imaginaire et du goût commun, qui ont parfois vendu des reproductions de leurs œuvres par milliers en supermarché et dont les posters nous sont familiers. Pour beaucoup, ce sera une première exposition en France. Ce panorama de la peinture commerciale, médiatique et populaire, de Vladimir Tretchikoff à Bob Ross sera mis en scène par Hervé Di Rosa et Jean-Baptiste Carobolante et s’attardera sur les différentes trajectoires qu’a pris ce champ pictural au XXe siècle : de l’idéalisation du corps féminin au paysage touristique, en passant par la médiatisation des peintres et la naissance d’un nouveau public artistique populaire. À chaque fois, les peintures présentées seront autant une réminiscence pour le public qu’une découverte radicale.


Cette exposition est particulièrement importante pour Hervé Di Rosa, qui, en plus du commissariat global de l’exposition avec Jean-Baptiste Carobolante, a été à l’initiative de la publication de la première bourse de recherche du MIAM, financée en intégralité par la Fondation Antoine de Galbert et encadrée par l’INHA. Jean-Baptiste Carobolante, lauréat de cette bourse, a entrepris depuis 2021 une recherche sur la peinture marchande, dont BEAUBADUGLY – L’autre histoire de la peinture sera le premier événement, avant la publication à venir d’un ouvrage. 

 

Au premier étage du musée, Colette Barbier et Nina Childress — commissaires associées pour cette partie de l’exposition – nous offriront des réponses conceptuelles, ironiques, potaches, admiratives, décalées, d’artistes contemporains de générations et d’origines diverses. Les trois-cents « croûtes » peintes au couteau, du très conceptuel Gabriele Di Matteo, toutes pareilles mais toutes différentes, feront le lien entre le rez-de-chaussée et le premier étage, entre l’histoire et le présent. Tout particulièrement, l’exposition présentera de nombreuses variations autour de l’héritage de la figure parisienne du « Petit Poulbot ». Cette sélection d’ œuvres contemporaines permettra de montrer l’importance de la « peinture marchande » dans l’imaginaire artistique contemporain. Elle donnera à voir à quel point le monde marchand est devenu un champ de référence iconographique incontournable pour comprendre les racines de la création contemporaine.  

 

BEAUBADUGLY – L’autre histoire de la peinture sera accompagnée d’un catalogue et d’un ouvrage scientifique. Jean-Baptiste Carobolante a bénéficié, pour le projet de recherche englobant cette exposition, d’une bourse MIAM/INHA, financée par la Fondation Antoine  De Galbert. 

 

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Informations pratiques
Musée International des Arts Modestes
23 quai Maréchal de Lattre de Tassigny - 34200 Sète - France
Accueil : +33 (0)4 99 04 76 44
www.miam.org.

 

Heures d'ouvertures :

Ouvert tous les jours de 10h à 18h00, sauf le lundi 

Du 2 novembre au 31 mars : ouvert tous les jours sauf le lundi de 9h30 à 12h00 et de 14h à 18h00

Fermetures annuelles: 1er novembre, 25 décembre, 1er janvier et 1er mai

 

Tarifs : Adultes : 5,60 € - Etudiants, 10-18 ans : 2,60 €

Groupes de plus de 10 personnes : 3,60 € 

Moins de 10 ans, demandeurs d'emploi, groupes scolaires sétois, premier dimanche du mois : gratuit 

LA PETITE ÉPICERIE  (service pédagogique du MIAM) propose des ateliers de pratiques artistiques destinés à tous. Rens. inscriptions, tarifs : 04 99 04 76 46 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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La chapelle st Pierre à Montbazin est heureuse de vous inviter à l'exposition qui réunit Annabelle VAUVECRY et Yannick FERNANDEZ (2)

Du mardi 25 juin au dimanche 7 Juillet2024 ,La chapelle st Pierre à Montbazin est heureuse de vous inviter à l'exposition qui réunit Annabelle VAUVECRY et Yannick FERNANDEZ.
L'univers d'Annabelle  est peuplé   d'enfants et de femmes jouant avec l'essentiel et le futile  et qui ont parfois du mal à trouver l'équilibre entre leur force et leur fragilité .
L'œuvre de Yannick est axée sur" l' humain " et "la main" ; ses sculptures réalisées en tors métalliques délimitent dans un espace exempt de toute signification , la forme cachée d'une vérité.
 "Sculpteur du vide", il donne une forme au vide ."L'important est ce que vous voyez entre deux tors métalliques et non les tors eux-mêmes".
Vernissage le vendredi 28 Juin à 19h...

"MAR NEGRA et la Saint Pierre", une exposition de Jean-Jacques SANTINI, au musée de la mer

MAR NEGRA et la Saint Pierre, une exposition de Jean-Jacques SANTINI

Au musée de la mer du 3 au 28 juillet.

Une présentation de 25 peintures sur bois dont des palettes industrielles et bois récupérés sur la plage.

"La Saint Pierre c’est la fête des pêcheurs. Des fleurs sont jetées à la mer en hommage aux marins disparus, c’est l’un des thèmes de cette exposition.

Il y a également des joutes, très stylisées, pour magnifier le mouvement. Toutes les figures sont représentées, tel le bouquet."

"Sur tous les tableaux, les reflets du fond noir animent les flots.

Les sculptures de joutes ne sont pas fréquentes, un bronze sera présenté."

Jean-Jacques SANTINI (JJS), neurochirurgien et ancien Professeur d’anatomie au CHRU de Tours, ayant exercé principalement en France mais également en Afrique et en Asie, a toujours su associer à sa passion de la médecine, celles de l’écriture, de la peinture, de la sculpture et de l’art de la mosaïque.

Exposition "Senteurs célestes. Arômes du passé" au site archéologique Lattara du 20 juin 2024 au 3 février 2025

En latin, en égyptien ou en grec anciens, il n’existe pas de mot pour désigner le parfum. Les termes employés, qui pouvaient être connotés aussi bien positivement que négativement, signifient plutôt odeur. À partir de la documentation archéologique et historique qui nous est parvenue, l’exposition présentera les substances aromatiques employées au cours de l’Antiquité en Égypte, en Grèce et en Étrurie.

Les aromates étaient alors autant utilisés en médecine qu’en parfumerie et des propriétés curatives, médicinales et rituelles leur étaient attribuées. Même si ces substances, principalement des onguents, étaient devenues nécessaires à l’hygiène de chacun, voire à la séduction, il n’en reste pas moins qu’elles ont d’abord été utilisées dans le cadre de pratiques cultuelles. C’est cette histoire olfactive de l’Antiquité méditerranéenne que le visiteur pourra ainsi découvrir à travers une centaine d’oeuvres et des dispositifs sensoriels innovants.

Une exposition produite en partenariat avec l’université Paul-Valéry Montpellier 3 et le LabEx ARCHIMEDE, avec la participation exceptionnelle du musée du Louvre.

Informations pratiques

Tarifs :

  • Plein tarif : 5 €
  • Tarif réduit : 3 €
  • Entrée gratuite pour les - de 18 ans
  • Entrée gratuite le premier dimanche de chaque mois.

Horaires d'ouverture :

  • Semaine : 10h-12h et 13h30-17h30
  • Samedis, dimanches et jours fériés : 14h-19h jusqu’au 31 octobre 2024 et 14h-18h du 1er novembre 2024 au 3 février 2025
  • Fermé le mardi, le 14 juillet, le 15 août, le 1er nov., le 25 déc. et le 1er janvier.

Accès :

  • Par l’autoroute A709, prendre la sortie 30 « Montpellier Sud » ou la sortie 31 « Montpellier Ouest », suivre la direction de « Lattes », puis la direction « Site archéologique Lattara »
  • Par le tramway Terminus de la ligne 3 « Lattes Centre »
  • Par les pistes cyclables entre Montpellier, Palavas et Pérols.

À découvrir prochainement au Musée Paul Valéry, l’exposition « JEAN HUGO – ENTRE CIEL ET TERRE »

Du 29 juin au 13 octobre 2024.
Entre ciel et terre
Pour son grand temps fort estival, le musée Paul Valéry a choisi d'offrir à ses visiteurs, une ode à la nature selon Jean Hugo. À la fois peintre, décorateur et écrivain, il demeure 40 ans après sa disparition un artiste majeur et singulier. Afin de présenter une vision la plus complète possible de son œuvre, les musées Paul Valéry, Fabre et Médard se sont associés pour que l'hommage prenne la forme de trois volets, présentés simultanément à Sète, Montpellier et Lunel, dans l'esprit de complémentarité initié par la candidature commune au label de capitale européenne de la culture pour 2028. À Sète, l’exposition « Jean Hugo, entre ciel et terre » a pour projet de montrer, à travers un important ensemble d’œuvres dominé par la question du paysage, que la représentation de la nature est pour Jean Hugo autant une célébration de l’ordre du monde dans son apparence qu’une volonté de faire ressentir ce qui l’anime. Elle vient compléter chronologiquement celle du musée Fabre de Montpellier qui s’attache à l’œuvre de Jean Hugo jusqu’à la Seconde Guerre mondiale et son appartenance aux avant-gardes au début du XXe siècle. Ces deux expositions révèleront au public l’ensemble d’une œuvre foisonnante dans toute sa richesse, diversité et complexité, et lui permettront d’embrasser la personnalité de Jean Hugo, arrière-petit fils de Victor Hugo, sous toutes ses facettes.
À travers plus d’une centaine d’œuvres - peintures, dessins, livres illustrés, objets d’art – le parcours de l’exposition « Jean Hugo, entre ciel et terre » se développera dans les espaces d’exposition temporaire du musée, sur plus de 600 m², et invitera le visiteur à approfondir sa découverte de Jean Hugo, l’artiste et l’homme. Pendant quarante ans, entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et sa disparition en 1984, Hugo a poursuivi avec humilité une trajectoire artistique originale et rare, loin des avant-gardes et de leurs tendances iconoclastes.
Mondain et retiré dans sa propriété de Fourques à Lunel depuis 1929, parisien et rural, Jean Hugo a toujours considéré avec bienveillance la comédie humaine, dont il se voyait aussi comme un acteur. Il n’a cependant jamais cessé de porter un regard ardent et attentif sur les choses qu’il nous est donné de ressentir, de voir, de toucher, de sentir et de goûter, de la plus humble créature au produit le plus élaboré du travail des hommes. Corporelle et sensuelle, l’œuvre de Jean Hugo chante la nature comme une présence splendide.
Mais, nourrie d’une connaissance des territoires autant que d’une expérience intime, elle semble s’en éloigner dans le mouvement même où elle s’en approche. Le parcours de visite sera complété par un focus consacré au groupe Montpellier-Sète, bien représenté dans les collections du musée, avec lequel Jean Hugo avait partagé les murs d’expositions importantes et un autre dédié à Vincent Bioulès, avec qui Hugo entretenait des liens forts d’amitié. Avec l'exposition concomitante qui sera donnée à voir au musée Fabre de Montpellier, ainsi que l'exposition qui se tiendra au musée Médard de Lunel, l’événement sétois pourra permettre au public de mesurer combien cet artiste a pu relever le défi de porter le nom d’Hugo au rang du meilleur de la création artistique.
La spirituelle Louise de Vilmorin avait elle-même lancé : « Il est très difficile d’être descendant de Victor Hugo ; aussi il ne s’agit plus de descendre, il faut remonter. »
C’est ce que fit, Jean Hugo, arrière-petit- fils de Victor, avec toute la pudeur et l’élégance qui le caractérisaient. 2024, tout un territoire rend hommage à Jean Hugo (1994-1984) Né en 1894 et disparu en 1984, ce brillant arrière-petit-fils de Victor Hugo, a traversé presque tout le XXe siècle.
Tour à tour décorateur, peintre, poète et écrivain, il a réalisé plus de 1000 peintures et 3000 dessins, collaboré à près d’une cinquantaine de mises en scène théâtrales ou dansées, et ce tout au long de son existence. Il a largement contribué à plusieurs projets décoratifs et participé à de grands programmes artistiques à l’étranger. Illustrant les plus célèbres auteurs de son temps, il a montré une grande invention dans sa relation féconde avec l’éditeur Pierre-André Benoît. Enfin il a déployé un remarquable don d’écrivain dans des Mémoires où l’humour le dispute à la poésie, d’après des carnets de notes scrupuleusement tenus « an par an » qui font de lui un témoin exceptionnel du XXe siècle, acteur reconnu et fin observateur de tous les mondes sociaux et culturels qui l’ont constitué.
Après les rétrospectives de Toronto en 1973, Sète en 1974, Paris en 1976 et Montpellier en 1978 et 1995, cette saison-hommage dédiée à Jean Hugo en Occitanie en 2024, avec ses temps forts à Sète et Montpellier et aussi d’autres événements,- comme à Lunel, ville où il aura demeuré plus de cinquante ans -, espère marquer une nouvelle étape dans l’historiographie de cet artiste aussi grand qu'il était attachant.
Commissariat
Sous le commissariat général de Michel Hilaire, Directeur du Musée Fabre et de Florence Hudowicz, conservatrice en chef du patrimoine, responsable des arts graphiques et décoratifs au Musée Fabre, l’exposition « Jean Hugo. Entre ciel et terre » est placée sous le commissariat de Stéphane Tarroux, Directeur du Musée Paul Valéry, et d’Ingrid Junillon, conservatrice du patrimoine au Musée Paul Valéry. Catalogue Co-édité avec le musée Fabre de Montpellier aux Éditions Snoeck
En partenariat avec
Jean Hugo, Plantation d’une vigne, 1957. Huile sur contreplaqué. Musée des Beaux-Arts, Nîmes. © Florent Gardin
Musée Paul Valéry
148, rue François Desnoyer - 34200 - Sète
Tél. : (33) 04 99 04 76 16
www.museepaulvalery-sete.fr
Jours et horaires d’ouverture
Du mardi au dimanche de 10h à 18h.
(le musée est fermé le lundi).
Visites commentées le mercredi et le samedi à 15h (4 personnes minimum)

Le nouveau plan du MaCO se dévoile.

Depuis 2008, des artistes phares ou émergents de l'art contemporain, rassemblés grâce au K-Live festival, laissent leurs traces sur les murs de la ville, pour en faire un Musée à Ciel Ouvert.
Des visites guidées sont aussi organisées par Sète - Office de tourisme Archipel de Thau.
Retrouvez tous les spots des œuvres ici : https://cutt.ly/ZepVy6kW