De Paris à Marseille en passant par la Bretagne, un classement des lieux à éviter pour Halloween, à moins que vous ne soyez un zombie, un vampire ou un fantôme…ou que vous ne soyez taphophile ! La taphophilie est la passion pour les cimetières, pour différentes raisons potentielles : une fascination pour l’ambiance ou pour l’histoire de ces lieux, pour la beauté ou encore l’agencement des cimetières, ou pour les sépultures de célébrités. Le mot taphophilie provient du grec taphos (tombe), et philie (l’amour). 

En France, les cimetières ne sont pas seulement des espaces de recueillement, mais aussi des lieux historiques, culturels et patrimoniaux. Par leur taille et leur symbolisme, ils contribuent à l’identité des villes qui les abritent. Cette récente étude propose un classement des plus grands cimetières de France, en s’appuyant sur des données chiffrées recueillies auprès des Offices de tourisme et services des cimetières des différentes villes.

Classement des plus grands cimetières de France 

Découvrez des informations sur chacun de ces cimetières avec l’étude complète de Preply.

Top 5 des cimetières les plus anciens en France

Certains des plus anciens cimetières de France racontent des siècles d’histoire. Voici un top 5 des plus anciens lieux de sépulture du pays :

1. Cimetière des Innocents (Paris) Date de création : ~12e siècle (fermé en 1780). Ce cimetière, situé près des Halles à Paris, fut pendant des siècles l'un des plus grands et anciens du pays. Fermé et vidé au XVIIIe siècle, ses ossements furent transférés aux Catacombes de Paris.
2. Cimetière juif de Carpentras (Vaucluse) Date de création : ~14e siècle. Ce cimetière est l'un des plus anciens en activité en Europe. Témoignage précieux du passé juif en Provence, il contient des tombes vieilles de plusieurs siècles.
3. Cimetière Saint-Véran (Avignon) Date de création : 14e siècle. Ce cimetière historique a résisté aux aléas du temps et offre une vue sur plusieurs siècles de pratiques funéraires dans la région d’Avignon.
4. Cimetière Saint-Paul (Strasbourg) Date de création : 14e siècle. Utilisé sans interruption depuis le Moyen Âge, ce cimetière alsacien incarne l’histoire riche de Strasbourg, marqué par les influences catholiques et protestantes.
5. Cimetière Montparnasse (Paris) Date de création : 1688. Bien qu’il ait été temporairement fermé, ce cimetière emblématique de Paris fut réouvert en 1824 et abrite aujourd’hui les tombes de nombreuses personnalités célèbres.

Pour un classement exhaustif des plus anciens cimetières de France encore existants, il faudrait aussi inclure des cimetières locaux de petites villes qui ont parfois des sépultures datant de plusieurs siècles, même si leur notoriété est moindre comparée aux grands cimetières citadins.

Au-delà de leur taille ou de leur notoriété, chaque cimetière raconte une histoire unique, reflet des traditions et des cultures locales. Halloween, avec son ambiance mystérieuse et ses célébrations, rappelle l'importance de ces lieux sacrés dans nos vies. 

En cette période de l'année, il est essentiel de ne pas oublier que les cimetières sont des espaces de paix et de réflexion, invitant chacun à se souvenir, à honorer et à respecter ceux qui nous ont quittés. En parcourant ces sites, nous découvrons non seulement l’histoire des individus, mais aussi celle des communautés et des croyances qui ont façonné notre patrimoine culturel. L’étude en ligne de Preply s’intéresse également aux cimetières les plus mythiques !

(photo : Pexels - Charles Parker)

• Les épigés, entre 1 et 5 cm de long, vivent en surface et se nourrissent des premiers centimètres de matières organiques mortes (litière, fumier, compost, déchets verts en décomposition). Ils participent à la fragmentation ce celles-ci. Les épigés (nos vers de compost) ne représente que 1 % de la masse, ils vivent dans la litière, dans des anfractuosités. Ils sont pigmentés et très prolifiques, pour échapper en partie à la forte prédation, ce sont eux que l’on utilise pour le compostage ou le lombricompostage.
• Les endogés, entre 1 et 20 cm de long, ils se nourrissent de terre pauvre en matières organiques. Ils creusent de profondes galeries horizontales dans les 30 premiers centimètres du sol. Les endogés représente 20 % de la masse, ils défèquent dans leurs galeries.
• Les anéciques (80% de la population de lombrics) parcourent le sol à la verticale. Ainsi ils permettent l’enfouissement de matières organiques et de terre ingérée, de la surface, jusqu’à plus de 5 mètres de profondeur. Ils mesurent entre 10 et 110 cm de long. Les Anéciques représentent 80 % de la masse, ils parcourent le sol verticalement. Ce sont eux qui fabriquent les turricules. Avec une tête effilée et une queue en fer de lance Durant la nuit, ils sortent se nourrir de la litière qu’ils emmènent avec eux tout en laissant le bout de leur queue dans leur galerie.

Les répercussions du contexte socio-économique et politique sur l’évolution professionnelle 

Particulièrement instable en raison des crises successives – sociale, économique et politique – l’année 2024 se caractérise par un recentrage des salariés sur deux éléments fondamentaux lorsqu’ils évoquent leur envie d’évoluer :

• La rémunération tout d’abord : 65% des actifs en Occitanie (+4 points vs moyenne nationale) placent l’amélioration de leur salaire au premier rang de leurs priorités professionnelles. Cette donnée reflète les inquiétudes des Français face à la perte de pouvoir d’achat et l’inflation persistante : preuve d’une pression ressentie par les ménages pour maintenir leur niveau de vie dans un climat économique tendu. D’ailleurs, 94% des salariés considèrent le salaire comme « déterminant ou important » dans le souhait d’évoluer
• La stabilité de l’emploi ensuite : 70% des répondants souhaitent évoluer au sein de leur entreprise actuelle (un score en augmentation de 9 points par rapport à juillet 2023 et qui se place au-dessus de la moyenne nationale à 65%, soit +5 points) et 68% dans le même secteur d’activité (soit +18 points vs 2023 et +8 points vs moyenne). Les salariés partagent un besoin de sécurité qui se traduit par la priorité donnée à une évolution en interne, avec l’objectif de consolider leur position plutôt que d’initier des changements radicaux.

Téléchargez l'infographie complète du baromètre 2024

IA, transition écologique et flexibilité : de nouveaux enjeux de l’évolution professionnelle 

Si la rémunération et la stabilité s’imposent parmi les préoccupations des actifs, deux grands facteurs de transformation du travail se dégagent pour l’avenir : l’intelligence artificielle (IA) et la transition écologique. Ces tendances émergentes distinctes redéfinissent les attentes des salariés. 

Aussi, près de 28% des salariés en Occitanie identifient l’IA comme le facteur le plus susceptible de bouleverser leur métier, un chiffre en augmentation de 5 points par rapport à juillet 2023.

Cette innovation dans les modes de travail est particulièrement prépondérante dans le secteur des services (45%) dont l’activité se prête plus à l’intégration de l’IA. 

Parallèlement à l’IA, la transition écologique intègre aussi les réflexions des salariés dans leur rapport à l’évolution professionnelle. 14% d’entre eux considèrent que la transition écologique impactera profondément leur métier dans les prochaines années. 

Les enjeux de qualité de vie au travail dominent aussi fortement cette année, avec une exigence accrue en Occitanie par rapport à l’ensemble des salariés de France métropolitaine: ainsi plus de 8 salariés sur 10 valorisent-ils le fait d’avoir une moindre pression au travail (84%, +5 points vs moyenne nationale), de nouvelles missions (83%, +4 points vs 2023 et +3 points vs moyenne), une meilleure ambiance de travail (83%, +3 points vs moyenne) ainsi qu’une une charge de travail plus raisonnable (81%, +3 points vs 2023 et par rapport à la moyenne nationale). 

Mon CEP par Avenir Actif : un service public de mieux en mieux identifié 

Cette année a marqué un tournant pour Mon conseil en évolution professionnelle (Mon CEP) avec :

• Le lancement de la marque « Avenir Actifs » qui réunit ses opérateurs régionaux sous une bannière commune,
• Une meilleure reconnaissance du service, aujourd’hui identifié par 43% des salariés français.

Cependant, si la notoriété du dispositif progresse, la connaissance de l’offre de services reste à développer. En effet, bien que 83% des salariés interrogés estiment qu’il s’agit d’un service public qui propose des conseils de qualité, beaucoup méconnaissent l’entièreté de ses prestations. 49% des actifs savent qu’ils peuvent bénéficier d’un accompagnement pour se former, mais seulement 1 salarié sur 3 en a conscience lorsqu’il s’agit d’apprendre à mieux dialoguer avec son employeur au sujet de son évolution professionnelle.

« Même si Mon CEP est bien identifié par les actifs, des efforts devront être poursuivis pour toucher un public plus large, notamment les salariés en questionnement ou en début de réflexion sur leur évolution professionnelle. Les Semaines de l’Évolution Professionnelle, qui se dérouleront du 7 au 18 octobre, offriront ainsi une opportunité pour mieux faire connaître les services de Mon CEP. »

précise Marie Delon, Directrice de projet CEP qui représente Avenir Actifs en région Occitanie. 

Programme & inscriptions : https://www.semaines-evolution-professionnelle.fr/.

Une nouvelle étude concernant l'utilisation problématique d'internet chez les jeunes a été lancée. Il s’agit du projet BootStRaP (Boosting Societal Adaptation and Mental Health in a Rapidly Digitalizing Post-Pandemic Europe) qui se déroule dans 14 pays européens. Le Pr Diane Purper Ouakil, cheffe du service de Psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent – secteur 1 au CHU de Montpellier et son équipe coordonnent le volet français de ce projet. 400 élèves de Montpellier et Castries vont y participer. Les habitudes quotidiennes des jeunes en ligne seront étudiées à l'aide d'une application mobile (BootstrApp). Les jeunes seront directement impliqués
dans la co-création de l'application et, plus globalement, dans le déroulement de cette étude.

10 à 17 % de la population mondiale touchée

Les scientifiques du projet ont pour ambition d'aider les parents, les enseignants et les professionnels de santé à identifier les risques et à comprendre dans quels contextes l’utilisation d’internet peut être préjudiciable ou néfaste pour la santé mentale des jeunes notamment.

En effet, 10 à 17 % de la population mondiale est touchée par une utilisation problématique d'internet. Les comportements en ligne tels que les jeux d'argent, les jeux de hasard, les achats, la pornographie, les réseaux sociaux, la « cyberintimidation » et la « cyberchondrie » sont connus pour leurs répercussions tant sur le plan individuel que familial en raison de la perte de contrôle de l'activité en ligne.

L'Organisation Mondiale de la Santé reconnait les jeux d'argent en ligne, les jeux de hasard et les comportements sexuels compulsifs comme étant des troubles addictifs.

Plusieurs milliers d'adolescents recrutés

“ Nous recruterons plusieurs milliers d'adolescents par l'intermédiaire de collèges dans toute l'Europe afin d'étudier la manière dont les jeunes utilisent internet et la façon dont cette utilisation est liée à leur bien- être. Dans une seconde partie du projet, nous développerons et évaluerons un outil de prévention numérique
qui pourra être personnalisé selon le profil d’usage problématique. Nous formulerons ensuite des lignes directrices pour une utilisation plus saine d'internet et déterminerons comment les changements de comportement peuvent réduire les risques et empêcher l'utilisation problématique d'internet de se développer. Notre objectif est de formuler des recommandations politiques pour lutter contre l'utilisation problématique d'internet, sur la base de preuves scientifiques solides“, explique la coordinatrice de l’ensemble du projet, le Pr Naomi A. Fineberg (Université du Herforthshire).

Les habitudes quotidiennes des jeunes en ligne seront étudiées à l'aide d'une application mobile (BootstrApp). Les jeunes seront directement impliqués dans la co-création de l'application et, plus globalement, dans le déroulement de cette étude.

400 élèves de Montpellier et ses alentours

A Montpellier et ses alentours, il est prévu que 400 élèves participent à cette étude. Ces élèves sont scolarisés dans les collèges Jeu de Mail, Croix d’Argent, Marcel-Pagnol et Les Pins à Castries. Dans chaque collège, des professeurs et des élèves se sont engagés en tant qu’ambassadeurs pour porter ce projet.

Ces ambassadeurs auront pour mission de communiquer et d’accompagner les participants dans les différentes étapes de l’étude. Certains d’entre eux auront également l’opportunité de se rendre au mois de novembre à Porto. Ils participeront à un « Bootcamp » où ils travailleront sur le développement des outils de prévention avec les scientifiques. Ils rencontreront également les ambassadeurs des autres pays Européens.

Après la communication des informations relatives à ce projet aux familles dans le courant du 1er trimestre de l’année scolaire, les jeunes participants à l’étude seront invités à télécharger l’application BootsTrApp qui permettra de recueillir différentes informations portant sur leur utilisation d’internet.

BootStRaP est financé par le programme Horizon Europe, le programme de recherche et d'innovation du Royaume-Uni et le Secrétariat d'État suisse à l'éducation, à la recherche et à l'innovation.

Pour plus d’informations : www.internetandme.eu

Lancement dans 13 lycées d’Occitanie des inscriptions à l’expérimentation de l’application SafeBear 

Pour lutter contre le cyberharcèlement, la Région lance ce mardi 15 octobre l’expérimentation de l’application SafeBear dans 13 lycées d’Occitanie, un par département, grâce au financement de 1 000 licences. Cette application permet de conserver les messages hostiles dans un coffre-fort numérique et d’alerter les parents, avec l’accord de leurs enfants. C’est la première fois que SafeBear est mise en place à l’échelle d’une région. 

Principaux vecteurs du cyberharcèlement, les réseaux sociaux nécessitent une régulation pour en évincer les contenus malveillants et discriminants. L’application SafeBear permet ainsi de stocker ces derniers dans un espace dédié et d’alerter les parents en cas de messages problématiques. Ce coffre-fort constitue également des preuves matérielles en cas de poursuites judiciaires. L’application concerne aujourd’hui les réseaux sociaux X (ex-Twitter), TikTok, Snapchat et Instagram, et devrait se développer sur d’autres canaux, à l’instar des services de messagerie WhatsApp et Telegram. 

L’expérimentation est lancée dans 13 lycées d’Occitanie, un par département, sélectionnés en partenariat avec les rectorats. Les élèves volontaires ont désormais jusqu’à la mi-novembre pour s’inscrire sur la plateforme de SafeBear et recevront un code d’activation pour l’application au moment de son lancement effectif. 

« Les chiffres sont éloquents : un jeune sur six en France est victime de cyberharcèlement et 24% des familles y sont confrontées. Face à ce fléau contemporain, et à ses répercussions souvent durables sur la santé mentale des jeunes, il est de notre responsabilité de protéger les élèves et d’accompagner les parents. En Occitanie, nous expérimentons donc pour la première fois dans 13 lycées l’application novatrice SafeBear, véritable pare-feu face aux contenus haineux en ligne. Nous démontrons ainsi qu’il est possible d’agir pour que rien n’entrave la réussite et l’épanouissement des lycéens. » a déclaré Carole Delga, présidente de la Région Occitanie. 

« Face à l’ampleur du cyberharcèlement, nous avons mis au point une solution technologique qui détecte les contenus toxiques, alerte les parents et facilite le dépôt d’une plainte auprès des autorités judiciaires grâce à des preuves certifiées et opposables. Sur la base du volontariat, les lycéens occitans pourront ainsi se doter de l’application et se protéger de la toxicité sur les réseaux sociaux. SafeBear s'inscrit dans une démarche continue pour assurer un environnement numérique plus sûr et plus inclusif. » a déclaré Christian Guillon, co-fondateur de l’application SafeBear. 

À propos de SafeBear : 

Fondée en 2022, SafeBear est une start-up française qui a développé sa propre intelligence artificielle pour détecter et analyser les contenus toxiques grâce à une contextualisation sémantique optimisée. La raison d’être de la start-up est de protéger les utilisateurs des plateformes en ligne (réseaux sociaux, jeux, rencontres) et de faciliter les procédures judiciaires. SafeBear a déposé 2 brevets internationaux qui font d’elle la seule solution qui certifie les preuves dans le cadre d’un dépôt de plainte. Pour plus d’informations : https://safebear.ai

(photo Yan Krukau)

À l’occasion des vacances de la Toussaint 2024, les Sites d’Exception en Languedoc vous propose une sélection de BONS PLANS pour profiter, en famille, d’activités et de visites à moindre coût !

Monuments historiques, musées captivants et merveilles naturelles... vous trouverez des activités passionnantes à découvrir en famille, encore plus accessibles grâce à ces bons plans tarifs réduits avec CODES PROMOS, gratuités ….

Une belle opportunité de partager des moments joyeux et enrichissants avec vos proches, dans les lieux emblématiques de la destination !

Découvrez le programme complet ici : https://www.sitesdexception.fr/les-vacances-de-la-toussaint-en-famille-nos-bons-plans-dactivites/

Le 4 octobre 2024 à Lyon, le conseil d’administration de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse a adopté le 12e programme 2025-2030 Sauvons l’eau.
Près de 60 ans après la loi qui a créé les agences de l’eau, ce nouveau programme porte une ambition renouvelée et des moyens renforcés. Doté d’une capacité d’aide de 520 millions d’euros par an en moyenne, soit une augmentation de plus de 25% comparé au précédent programme, il va permettre d’accompagner un plus grand nombre d’actions et de territoires pour répondre aux défis majeurs de la restauration du bon état des eaux, de la reconquête de la biodiversité et de l’adaptation au changement climatique.
Le 12e programme, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2025, pour 6 ans, constitue un des leviers principaux de la mise en œuvre des Schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) Rhône-Méditerranée et de Corse et du Plan Eau.
 

Les grandes orientations et nouveautés du 12e programme Sauvons l’eau 2025-2030
 
Dans un contexte de tension croissante sur la ressource en eau, l’adaptation des territoires au changement climatique est renforcée. La sobriété et le partage de l’eau en sont les leviers essentiels. Dès 2025, l’agence pourra accompagner les économies d’eau sur tous les territoires et pour tous les usagers. Elle accordera aussi des aides à la substitution (retenues, transferts d’eau) dans le cadre des projets de territoires pour la gestion de l’eau.

L’adaptation au changement climatique passe également par la préservation des zones humides et des milieux en bon état, en soutenant de nombreuses actions, dont les changements des pratiques agricoles. L’objectif est de rendre les écosystèmes aquatiques résilients pour mieux supporter les effets du réchauffement climatique. En milieu urbain comme en zone rurale, le 12e programme introduit également des aides pour préserver la fonctionnalité des sols, dont le rôle est essentiel dans le cycle de l’eau.

La restauration des milieux aquatiques et humides dégradés est élargie à l’ensemble des territoires et la préservation des milieux en bon état devient un nouvel objectif. Côté mer, l’effort se poursuit pour restaurer les habitats marins en zone côtière et protéger les petits fonds côtiers.

Limiter l’érosion de la biodiversité est une ambition désormais pleinement intégrée au programme de l’agence de l’eau grâce à des aides pour la restauration des habitats naturels, aquatiques et terrestres, des espèces inféodées à l’eau.

La solidarité entre territoires, contribuant en particulier au rattrapage structurel des services publics d’eau et assainissement situés dans les territoires ruraux les plus défavorisés, s’appuiera désormais sur le zonage France Ruralité Revitalisation (FRR).

De nouvelles aides à l’adaptation des services publics d’eau et d’assainissement aux enjeux émergents permettront aux collectivités de faire face à de nouvelles normes, comme le traitement des PFAS pour l’eau potable, et à la réduction de la pollution par les plastiques. En contrepartie, un prix minimum de l’eau est attendu afin de s’assurer d’un niveau de gestion durable des services.

Pour amplifier l’émergence de projets sur tous les territoires, l’agence de l’eau pourra proposer aux collectivités de nouveaux contrats "eau et climat", afin de leur offrir un large panel d’aides, pour les accompagner sur des solutions innovantes en matière de gestion des milieux aquatiques, d’eau potable et d’assainissement.
Autre nouveauté du programme, le soutien aux démarches territoriales de réduction des substances toxiques intégrant tous les usages émetteurs de pollution qu’ils soient domestiques, agricoles et industriels.

> Lire le dossier complet ici <

(Photo de Matthias Zomer) 

Les maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer touchent 1,3 million de Français et 11% des Français de plus de 30 ans ont un parent ou conjoint en souffrant. Cette pathologie est la 4ème cause de mortalité et la 1ère cause de dépendance en France et contrairement aux idées reçues, elle ne touche pas que les personnes âgées. 

Le rôle des aidants dans cette maladie est essentiel. Les personnes atteintes d’Alzheimer ont besoin de soutien au quotidien. Agathe Natanson, actrice, a malheureusement dû accompagner plusieurs fois ses proches dans cette maladie. D’abord sa mère, dont l’Alzheimer est détecté à ses 50 ans puis son mari Jean-Pierre Marielle, acteur également, décédé en 2019 à la suite de cette maladie. 

Agathe Natanson peut témoigner sur l’importance et les difficultés de ce rôle d’aidant face à une personne atteinte d’Alzheimer :

    • Qui sont les aidants qui accompagnent les personnes malades ?
    • Quels sont les droits en tant qu’aidant ?
    • Est-ce que des solutions sont mises en place pour soutenir les aidants ?
    • A quelles difficultés font face les aidants dans leur quotidien ?
    • Comment accompagner aux mieux les personnes atteintes d’Alzheimer ? 

Les experts de la Fondation Recherche Alzheimer peuvent répondre à vos questions autour de la maladie :

    • Quels sont les premiers signes d’une personne malade d’Alzheimer ? Vers qui se tourner si on a un doute ?
    • Quel avenir pour la recherche maintenant que le Leqembi a été refusé en Europe ?
    • Quelles autres pistes ont les chercheurs pour faire face à cette maladie ?
    • Au-delà des traitements, comment limiter le développement de cette maladie ? Est-ce que notre mode de vie impacte le développement de cette maladie ? 

La Docteur Olivier de Ladoucette, Président de la Fondation Recherche Alzheimer vient de publier un podcast sur le burn out des aidants que vous pouvez écouter sur ce lien.