Education

Quelle formation pour devenir enseignant ? De la licence au master MEEF

Après le baccalauréat, les étudiants qui se destinent aux métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation s'inscrivent en licence. L'obtention de la licence (ou d'un diplôme équivalent), leur permet d'accéder au master métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF), au cours duquel se déroulent les concours de recrutement des enseignants. Pour devenir enseignant, des parcours en alternance sont possibles dès la 1ère année de licence.

Des dispositifs en alternance pour devenir enseignant

Le parcours préparatoire au professorat des écoles (PPPE)

Le parcours préparatoire au professorat des écoles (PPPE) est adossé à un parcours de licence généraliste. Il est dispensé en partie dans un lycée et en partie dans une université pendant les trois années de licence (L1, L2 et L3).

Ce parcours préparatoire au professorat des écoles permet de se préparer à devenir professeur des écoles avec :

  • des enseignements de culture générale et pluridisciplinaires dispensés en lycée (français, mathématiques, histoire géographie, sciences, etc.)
  • des enseignements de spécialisation et d’approfondissement adossés à la recherche dispensés à l’université correspondant au parcours de licence choisi
  • des stages d’observation et de pratique accompagnée à l’école primaire en 1ère et 2e année de licence 
  • un stage de mobilité internationale en troisième année de licence

Les étudiants, tout en obtenant un diplôme national de licence, bénéficient donc d’un enseignement spécifique de renforcement disciplinaire afin de mieux appréhender le professorat des écoles.

24 parcours préparatoires au professorat des écoles, couvrant 22 académies, sont expérimentés à compter de la rentrée 2021 pour des promotions de 30 à 40 étudiants pour chaque parcours. La grande diversité des parcours de licence auxquels sont adossés les PPPE (mathématiques, lettres, sciences de l’éducation, sciences, administration économique et sociale, STAPS, arts plastiques) témoigne de la large ouverture des voies d’accès au professorat des écoles.

Pour postuler, rendez-vous sur Parcoursup.

Flyer PPPE

Plan de relance – Des mesures pour l’éducation nationale

Afin de redresser durablement l’économie française, un plan de relance exceptionnel de 100 milliards d’euros est lancé par le gouvernement. Retrouvez toutes les actions relatives à ce Plan de relance dans le champ de l’éducation nationale.

Des "Cordées de la réussite" de nouvelle génération

Logo Plan relance transparent

Les nouvelles "cordées de la réussite" visent à être, de l'accompagnement à l'orientation, un réel levier d'égalité des chances.
Grâce au Plan de relance, le nombre d’élèves accompagnés sera plus que doublé pour atteindre un total de 200.000 élèves sur tout le territoire dès l’année scolaire 2020/2021.

Les nouvelles cordées de la réussite bénéficient d’une dotation de 10 M€ dans le cadre du Plan France relance du Gouverneme

Les Cordées de la réussite : un programme de mise en réseau des établissements pour accompagner les projets d’orientation

Le but des Cordées de la réussite est de lutter contre l'autocensure des élèves par un accompagnement continu dès la classe de 4e, jusqu'au baccalauréat et au-delà.

Un établissement encordé et des établissements têtes de cordée mettent en place des actions pour  donner à chaque élève les moyens de sa réussite dans l'élaboration de son projet d'orientation, quel que soit le parcours envisagé, poursuite d'études dans l'enseignement supérieur ou insertion professionnelle.Une "Cordée de la réussite" repose sur le partenariat entre :

  • une "tête de cordée" qui peut être un établissement d'enseignement supérieur : grandes écoles, universités ou des lycées comportant une  CPGE   ou une STS (Section de Technicien Supérieur)
  • et des établissements dits "encordés" : collèges et lycées de la voie générale, technologique ou professionnelle qui relèvent plus particulièrement des réseaux d'éducation prioritaire, des quartiers prioritaires de la politique de la ville ou de zones rurales éloignées des métropoles.

Ce partenariat se traduit par un ensemble d'actions d'accompagnement mises en œuvre dans le collège ou le lycée "encordé" en faveur des élèves volontaires. Il ne se résume pas à une seule mise en relation entre un élève et un étudiant mais se concrétise par un programme d'accompagnement global conçu conjointement entre la tête de cordée et les établissements "encordés", avec le soutien des autorités académiques.

Qui est concerné par ce dispositif ?

Le dispositif peut être mis en place dès la classe de 4e. Il concerne les collégiens et les lycéens. Il y a une continuité de suivi du collège au lycée. Sont prioritairement concernés par le dispositif :

  • les élèves scolarisés en éducation prioritaire ou en quartier prioritaire politique de la ville (QPV) et en particulier dans les cités éducatives
  • les collégiens et lycéens de zone rurale et isolée dont les ambitions scolaires se trouvent souvent bridées par l'éloignement des grandes métropoles
  • les lycéens professionnels, qui, avec la transformation de la voie professionnelle, doivent pouvoir bénéficier de parcours plus personnalisés et progressifs

Il n'y a pas de sélection parmi les élèves d'un établissement encordé. Tous ceux qui sont souhaitent bénéficier des cordées de la réussite le peuvent. Il n'est pas nécessaire d'avoir de très bons résultats scolaires. Les élèves qui manquent de confiance en eux et qui n'oseraient pas le faire de leur propre initiative, sont d'ailleurs encouragés à s'y engager par l'équipe pédagogique et éducative. Les élèves en situation de handicap sont également concernés par ce dispositif, qui est pleinement inclusif.

Afin de constituer le groupe d'élèves concernés, le chef d'établissement informe les familles.

Il met en avant la plus-value du dispositif pour l'élève en termes d'accompagnement à l'orientation et d'élaboration progressive de son parcours. En dialoguant avec les familles, les élèves et les équipes pédagogiques, il arrête fin septembre la liste des élèves volontaires. Le chef d'établissement est également garant du suivi des élèves bénéficiaires du dispositif.

Le saviez-vous ?

Chaque année une semaine nationale des Cordées de la réussite se déroule la troisième semaine de janvier.

Des actions pour construire son projet d'orientation

Afin d’aider l’élève à construire son parcours de réussite du collège au lycée et du lycée vers la poursuite d’études de l’enseignement supérieur ou vers l’insertion professionnelle, l’équipe éducative s’appuie sur plusieurs actions. Celles-ci sont adaptées au degré de maturation du projet d’orientation de l’élève :

  • actions d'accompagnement et d'ouverture sociale et culturelle
  • actions de tutorat/mentorat
  • actions de préparation aux usages du numérique et d'éducation aux médias
  • opportunités pour découvrir d'autres lieux et d'autres secteurs professionnels
  • opportunités pour bénéficier de l'offre des internats du XXIe siècle, où un accompagnement pédagogique et éducatif de grande qualité sera proposé.
  • actions liées à la découverte des métiers pour permettre de faire évoluer la représentation de telle filière ou profession chez les élèves et de lutter contre les stéréotypes de genre.  
  • actions d'ouverture sociale et culturelle qui accordent une grande place à la prise de parole en public, aux activités orales propres à développer la confiance en soi
  • actions pour préparer les épreuves de terminale : grand oral du bac général ou évaluation du chef-d'œuvre en voie professionnelle

Les familles sont particulièrement associées au processus d'orientation des enfants.

Les élèves bénéficiaires des "cordées de la réussite" profitent ainsi :

  • d'un tutorat par un étudiant
  • de parrainage par des professionnels du secteur public
  • de parrainage par des professionnels du secteur privé

Ces tutorats et parrainages sont permis par la mobilisation des associations complémentaires de l'Éducation nationale

  • la mobilisation des fondations partenaires de l'égalité des chances.

Les Cordées de la réussite, un programme de mise en réseau des établissements

Une "Cordée de la réussite" repose sur le partenariat entre :

  • une "tête de cordée" qui peut être un établissement d'enseignement supérieur : grandes écoles, universités ou des lycées comportant une  CPGE   ou une STS (Section de Technicien Supérieur)
  • et des établissements dits "encordés" : collèges et lycées de la voie générale, technologique ou professionnelle qui relèvent plus particulièrement des réseaux d'éducation prioritaire, des quartiers prioritaires de la politique de la ville ou de zones rurales éloignées des métropoles.

Ce partenariat se traduit par un ensemble d'actions d'accompagnement mises en œuvre dans le collège ou le lycée "encordé" en faveur des élèves volontaires. Il ne se résume pas à une seule mise en relation entre un élève et un étudiant mais se concrétise par un programme d'accompagnement global conçu conjointement entre la tête de cordée et les établissements "encordés", avec le soutien des autorités académiques.

Comment encorder mon établissement ?

Un chef d'établissement ou un professeur qui souhaiterait faire adhérer son établissement à une cordée, pourra contacter le référent académique désigné par le recteur d'académie.

Pour en savoir plus, retrouvez toutes les ressources pour les établissements sur éduscol

Un engagement des étudiants au service des jeunes

Une Cordée de la réussite repose sur le partenariat entre, d'une part, une "tête de cordée" qui est un établissement d'enseignement supérieur (universités, grande école, école du service public) ou un lycée comportant une classe préparatoire au grandes écoles (CPGE) ou une section de techniciens supérieurs (STS) et, d'autre part, des établissements dits "encordés" : collèges et lycées de la voie générale, technologique ou professionnelle.

Retrouvez plus d'informations sur l'orientation dans le supérieur sur le site de l'Enseignement supérieur

nt afin d'accompagner la montée en charge du dispositif.

 

Les Cordées de la réussite : un programme de mise en réseau des établissements pour accompagner les projets d’orientation

Le but des Cordées de la réussite est de lutter contre l'autocensure des élèves par un accompagnement continu dès la classe de 4e, jusqu'au baccalauréat et au-delà.

Un établissement encordé et des établissements têtes de cordée mettent en place des actions pour  donner à chaque élève les moyens de sa réussite dans l'élaboration de son projet d'orientation, quel que soit le parcours envisagé, poursuite d'études dans l'enseignement supérieur ou insertion professionnelle.Une "Cordée de la réussite" repose sur le partenariat entre :

  • une "tête de cordée" qui peut être un établissement d'enseignement supérieur : grandes écoles, universités ou des lycées comportant une  CPGE   ou une STS (Section de Technicien Supérieur)
  • et des établissements dits "encordés" : collèges et lycées de la voie générale, technologique ou professionnelle qui relèvent plus particulièrement des réseaux d'éducation prioritaire, des quartiers prioritaires de la politique de la ville ou de zones rurales éloignées des métropoles.

Ce partenariat se traduit par un ensemble d'actions d'accompagnement mises en œuvre dans le collège ou le lycée "encordé" en faveur des élèves volontaires. Il ne se résume pas à une seule mise en relation entre un élève et un étudiant mais se concrétise par un programme d'accompagnement global conçu conjointement entre la tête de cordée et les établissements "encordés", avec le soutien des autorités académiques.

Qui est concerné par ce dispositif ?

Le dispositif peut être mis en place dès la classe de 4e. Il concerne les collégiens et les lycéens. Il y a une continuité de suivi du collège au lycée. Sont prioritairement concernés par le dispositif :

  • les élèves scolarisés en éducation prioritaire ou en quartier prioritaire politique de la ville (QPV) et en particulier dans les cités éducatives
  • les collégiens et lycéens de zone rurale et isolée dont les ambitions scolaires se trouvent souvent bridées par l'éloignement des grandes métropoles
  • les lycéens professionnels, qui, avec la transformation de la voie professionnelle, doivent pouvoir bénéficier de parcours plus personnalisés et progressifs

Il n'y a pas de sélection parmi les élèves d'un établissement encordé. Tous ceux qui sont souhaitent bénéficier des cordées de la réussite le peuvent. Il n'est pas nécessaire d'avoir de très bons résultats scolaires. Les élèves qui manquent de confiance en eux et qui n'oseraient pas le faire de leur propre initiative, sont d'ailleurs encouragés à s'y engager par l'équipe pédagogique et éducative. Les élèves en situation de handicap sont également concernés par ce dispositif, qui est pleinement inclusif.

Afin de constituer le groupe d'élèves concernés, le chef d'établissement informe les familles.

Il met en avant la plus-value du dispositif pour l'élève en termes d'accompagnement à l'orientation et d'élaboration progressive de son parcours. En dialoguant avec les familles, les élèves et les équipes pédagogiques, il arrête fin septembre la liste des élèves volontaires. Le chef d'établissement est également garant du suivi des élèves bénéficiaires du dispositif.

Le saviez-vous ?

Chaque année une semaine nationale des Cordées de la réussite se déroule la troisième semaine de janvier.

Des actions pour construire son projet d'orientation

Afin d’aider l’élève à construire son parcours de réussite du collège au lycée et du lycée vers la poursuite d’études de l’enseignement supérieur ou vers l’insertion professionnelle, l’équipe éducative s’appuie sur plusieurs actions. Celles-ci sont adaptées au degré de maturation du projet d’orientation de l’élève :

  • actions d'accompagnement et d'ouverture sociale et culturelle
  • actions de tutorat/mentorat
  • actions de préparation aux usages du numérique et d'éducation aux médias
  • opportunités pour découvrir d'autres lieux et d'autres secteurs professionnels
  • opportunités pour bénéficier de l'offre des internats du XXIe siècle, où un accompagnement pédagogique et éducatif de grande qualité sera proposé.
  • actions liées à la découverte des métiers pour permettre de faire évoluer la représentation de telle filière ou profession chez les élèves et de lutter contre les stéréotypes de genre.  
  • actions d'ouverture sociale et culturelle qui accordent une grande place à la prise de parole en public, aux activités orales propres à développer la confiance en soi
  • actions pour préparer les épreuves de terminale : grand oral du bac général ou évaluation du chef-d'œuvre en voie professionnelle

Les familles sont particulièrement associées au processus d'orientation des enfants.

Les élèves bénéficiaires des "cordées de la réussite" profitent ainsi :

  • d'un tutorat par un étudiant
  • de parrainage par des professionnels du secteur public
  • de parrainage par des professionnels du secteur privé

Ces tutorats et parrainages sont permis par la mobilisation des associations complémentaires de l'Éducation nationale

  • la mobilisation des fondations partenaires de l'égalité des chances.

Les Cordées de la réussite, un programme de mise en réseau des établissements

Une "Cordée de la réussite" repose sur le partenariat entre :

  • une "tête de cordée" qui peut être un établissement d'enseignement supérieur : grandes écoles, universités ou des lycées comportant une  CPGE   ou une STS (Section de Technicien Supérieur)
  • et des établissements dits "encordés" : collèges et lycées de la voie générale, technologique ou professionnelle qui relèvent plus particulièrement des réseaux d'éducation prioritaire, des quartiers prioritaires de la politique de la ville ou de zones rurales éloignées des métropoles.

Ce partenariat se traduit par un ensemble d'actions d'accompagnement mises en œuvre dans le collège ou le lycée "encordé" en faveur des élèves volontaires. Il ne se résume pas à une seule mise en relation entre un élève et un étudiant mais se concrétise par un programme d'accompagnement global conçu conjointement entre la tête de cordée et les établissements "encordés", avec le soutien des autorités académiques.

Comment encorder mon établissement ?

Un chef d'établissement ou un professeur qui souhaiterait faire adhérer son établissement à une cordée, pourra contacter le référent académique désigné par le recteur d'académie.

Pour en savoir plus, retrouvez toutes les ressources pour les établissements sur éduscol

Un engagement des étudiants au service des jeunes

Une Cordée de la réussite repose sur le partenariat entre, d'une part, une "tête de cordée" qui est un établissement d'enseignement supérieur (universités, grande école, école du service public) ou un lycée comportant une classe préparatoire au grandes écoles (CPGE) ou une section de techniciens supérieurs (STS) et, d'autre part, des établissements dits "encordés" : collèges et lycées de la voie générale, technologique ou professionnelle.

Retrouvez plus d'informations sur l'orientation dans le supérieur sur le site de l'Enseignement supérieur

L'obligation de formation des 16-18 ans

L'obligation de formation s'applique à tout jeune à l'issue de sa scolarité obligatoire et ce jusqu'à 18 ans. Il s'agit de proposer des solutions de retour à l'école, d'accès à la qualification et à l'emploi.Infographie - Obligation de formation : le numéro vert

Qui est concerné par cette obligation de formation ?

Près de 80 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans aucune qualification et 60 000 mineurs ne sont ni en études, ni en formation, ni en emploi. Ils rencontrent de grandes difficultés pour s'insérer dans le marché du travail et sont les
premières victimes de la pauvreté.
Ainsi depuis la rentrée 2020, afin qu'aucun jeune ne soit laissé dans une situation où il ne serait ni en études, ni en formation, ni en emploi, l'obligation de se former est prolongée jusqu'à l'âge de 18 ans.

L’obligation de formation permet de repérer et d'amener vers un parcours d'accompagnement et de formation les jeunes en risque d'exclusion.

Est concerné tout mineur de 16 à 18 ans :

  • en situation de décrochage du système scolaire
  • diplômé ou non et qui n'est ni en emploi ni en éducation ni en formation.

Les mineurs de 16 à 18 ans placés en centres éducatifs fermés (CEF) satisfont à l'obligation de formation au titre des programmes soutenus d'activités scolaires et professionnelles

Le dispositif concerne environ 60 000 jeunes entre 16 et 18 ans.

Un accompagnement sur mesure, des solutions variés et une mobilisation de tous les professionnels

A qui s'adresser pour s'informer ?

Deux outils sont dédiés aux jeunes ou aux familles qui souhaitent s'informer :

Au téléphone, les acteurs de l'orientation et de l'accompagnement, répondent en fonction de la région où habite le jeune, de manière à ce qu'il ait immédiatement en ligne un professionnel de sa région.

Des dispositifs de repérage

Éducation, formation, apprentissage, service public de l’emploi, Service civique…État, Régions et Départements, tous les acteurs concernés travaillent ensemble pour mettre en commun leurs solutions et assurer un suivi de qualité pour chaque jeune.

Les établissements d'enseignement du second degré collèges ou lycées public, privé ou agricole) et chaque centre de formation d'apprentis  peuvent transmettre les coordonnées de leurs anciens élèves ou apprentis qui ne sont plus inscrits dans un cycle de formation.

Il appartient à toute structure ayant repéré un jeune relevant de l'obligation de formation ou ayant accueilli un jeune se présentant spontanément de :

  • l'orienter vers la mission locale ou vers le CIO dont il dépend 
  • informer ces structures de ce repérage
  • remobiliser le jeune et à ne pas le perdre de vue.

Les missions locales sont chargées d’assurer le respect de cette obligation de formation, en lien étroit avec les autres acteurs : établissements scolaires, centres d’informations et d’orientation, Pôle emploi, structures de raccrochage scolaire (micro-lycées), écoles de la 2e chance, etc.

Des partenaires s'impliquent partout en France :

  • les structures du réseau de l'Information Jeunesse et des outils d'information des jeunes
  • les associations disposant d'un agrément Jeunesse Éducation populaire intervenant dans de multiples champs de l'animation, de l'accueil collectif de mineurs, du socio-éducatif, de la prévention spécialisée
  • les services de la protection judiciaire de la jeunesse
  • les associations spécialisées dans le handicap
  • les associations sportives qui peuvent contribuer au repérage du public concerné par l'obligation de formation.

Un parcours pour trouver des solutions

Entretien, diagnostic de sa situation, bilan de compétences…Tous les outils sont mis au service du choix du jeune. Ces solutions s’appuient sur les secteurs porteurs. L’orientation proposée aux jeunes prend en compte les filières qui offrent des perspectives solides : écologique, numérique, sanitaire et sociale, par exemple.

L'entretien de situation : poser un diagnostic de la situation

L'entretien de situation permet de faire le point sur la situation du jeune et de l'orienter vers une structure pour la poursuite de son parcours.

À l'issue de l'entretien de situation, le conseiller doit proposer au jeune un diagnostic approfondi qui peut être complété d'un bilan de compétences.

Construire un parcours grâce à un éventail de solutions

Le conseiller ou le référent construit  un parcours pouvant combiner plusieurs solutions avec le jeune et son représentant légal :

  • les dispositifs de lutte contre le décrochage scolaire
  • la formation initiale et continue
  • l'offre de services du service public de l'emploi et de ses partenaires
  • l'engagement et le volontariat

Le but est de permettre aux jeunes d'accéder à l'emploi et/ou à un diplôme ou une certification.

Quelles sont les offres de l'Éducation Nationale ?

L'offre de solutions de l'éducation nationale est proposée par les réseaux Foquale . Elle comprend :

  • le retour en formation dans un établissement scolaire, en voie générale, technologique ou professionnelle
  • des actions de remédiation menées au titre de la MLDS visant à préparer progressivement le retour en classe
  • des parcours personnalisés de retour en formation initiale
  • des actions de formation combinées avec une mission de Service civique ou un stage en entreprise
  • des actions de formation en lien avec les partenaires des PSAD
  • l'accueil de jeunes dans des structures de retour à l'école de type microlycée.

La construction des parcours des jeunes peut s'appuyer sur les mesures du plan de relance #1 jeune, 1 solution. Ce plan met l'accent sur plusieurs dispositifs qui constituent autant de solutions pour les jeunes au titre de l'obligation de formation.

L'engagement de service civique et le service national universel

L'engagement de Service civique est encouragé afin d'offrir un temps de remobilisation à ces jeunes leur permettant d'envisager ensuite de rentrer en formation ou en emploi dans des conditions plus favorables. En complément, il pourrait être proposé aux jeunes de s'engager dans des actions de bénévolat en s'appuyant sur le tissu associatif local.

L'engagement au Service national universel peut être fortement conseillé aux jeunes mineurs qui ne sont ni en emploi ni en éducation ni en formation depuis plus longtemps.

Comment le jeune est-il suivi ?

 Plusieurs cas de figure sont possibles :

  • soit le jeune choisit un retour en formation scolaire, il va donc continuer d'être suivi par les services de l'éducation nationale qui s'assureront de la disponibilité de sa formation et de son inscription
  • soit le jeune opte pour un dispositif d'accompagnement vers l'emploi et l'insertion mis en œuvre au sein des missions locales, qui s'assureront de sa mobilisation notamment par le biais de la signature d'un contrat d'engagement
  • soit le jeune est orienté vers un autre acteur pour poursuivre son parcours d'accompagnement ou de formation professionnelle.
    Dans l'optique du "Dites-le nous une fois", le référent s'assure que les informations sur le jeune et sur son diagnostic soient bien transmises, avec son accord et dans le respect de la RGPD .

Que se passe-t-il en cas de manquement ?

Que se passe-t-il si le contact avec le jeune concerné par l'obligation de formation n'est pas établi ?

Si l'acteur désigné par la plateforme de suivi et d'appui aux décrocheurs ( PSAD ) pour contacter le jeune n'y parvient pas, son représentant légal sera contacté. En cas de tentatives répétées et infructueuses, la PSAD devra en informer la mission locale, chargée du contrôle du respect de l'obligation de formation.

Que se passe-t-il lorsque le jeune a manqué à son obligation de formation sans motifs légitimes

Il y a manquement si :

  • le contact a été établi, mais le jeune ne se présente pas à l'entretien de situation ou pour l'entretien de diagnostic avec la structure en charge de son suivi, et ce malgré plusieurs relances
  • le jeune refuse toutes les solutions proposées
  • le jeune ne se présente pas, sans motif légitime, dans les structures, ateliers, cours, etc., proposés dans le cadre de son parcours,

Quelles sont les conséquences ?

  • le ou la directrice de la mission locale se met en contact avec les acteurs de l'accompagnement du jeune
  • le jeune et ses représentants légaux sont convoqués afin d'analyser les raisons du non-respect de l'obligation de formation
  • des mesures sont trouvées pour remédier à la situation

Que se passe-t-il si la situation persiste malgré les mesures mises en place ?

En cas de persistance du défaut de respect de l'obligation de formation, le directeur ou la directrice de la mission locale saisit le président du conseil départemental et lui transmet le dossier individuel de suivi du jeune. Il en informe préalablement les parents ou le représentant légal du mineur.

Le conseil départemental, selon son évaluation de la saisine, pourra mobiliser :

  • les services de l'insertion
  • les services de la prévention spécialisée
  • les services de l'assistance éducative.

Covid-19 : les classes de maternelle fermeront désormais une semaine si un élève est positif

L’image contient peut-être : personnes assises et ciel, texte qui dit ’CORONAVIRUS COVID-19: LES RÉPONSES À vOs QUESTIONS’Cliquez ici pour la consulter ⤵️ https://www.education.gouv.fr/coronavirus-covid-19-les...

 

La règle a changé. Désormais, si un élève de maternelle est testé positif au Covid-19, les autres élèves de sa classe seront considérés comme cas contacts, ce qui entraînera de facto sa fermeture, selon le dernier protocole sanitaire publié par le ministère de l'Education. "L'apparition d'un cas confirmé parmi les élèves implique que les autres élèves de la classe soient identifiés comme contacts à risque", souligne le ministère dans sa "foire aux questions" mise à jour lundi 1er février.

Concrètement il sera demandé à tous les élèves de la classe de "rester chez eux pendant sept jours", ce qui revient à une fermeture de la classe sur la période, a-t-on indiqué au ministère de l'Education.

Les détails sur : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-les-classes-de-maternelle-fermeront-desormais-une-

Lancement de la #SOP2021 : une semaine dédiée à la promotion de la pratique sportive chez les jeunes

Lancement de la #SOP2021 : une semaine dédiée à la promotion de la pratique sportive chez les jeunes et à la mobilisation de la communauté éducative autour des valeurs citoyennes et sportives.

Lancement de la semaine semaine olympique et paralympique !

On va vous faire aimer le lundi : demain débute la Semaine Olympique et Paralympique !
Face à la sédentarité des jeunes, on peut agir ! Rapidement, facilement et avec des bénéfices immédiats !
Il suffit de bouger 30 minutes par jour et on va tous s’y mettre ensemble  #SOP2021 #bougez30minutes
L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes qui pratiquent un sport, personnes qui dansent et texte

Découvrez les projets pédagogiques des enseignants de l’Académie de Montpellier et de leurs élèves dans MAPEDUC

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 https://mapeduc.ac-montpellier.fr/?fbclid=IwAR3jJh

 

Propositions pour approfondir et améliorer l’ensemble des 8 mesures pour l’Education au Développement Durable

Les élus du Conseil Académique de la Vie Lycéenne exposent au ministre Jean-Michel Blanquer leur propositions pour approfondir et améliorer l’ensemble des 8 mesures pour l’Education au Développement Durable et s’appuient sur les 17 objectifs du d2veloppement durable Nations Unies... Pour élaborer des propositions concrètes en établissement en faveur de la transition écologique.

Étudiants, futurs étudiants : vous avez jusqu’au 15 mai pour vos demandes de bourse et de logement

Illustration 1Crédits : © Ministère chargé de l’Enseignement supérieur

Illustration 1

Vous souhaitez demander une bourse d’étude, un logement social étudiant, des aides pour l’année universitaire 2021-2022 ? Une procédure en ligne unique est ouverte jusqu’au 15 mai 2021 pour constituer dès maintenant un Dossier social étudiant (DSE) qui vous permettra d’effectuer votre demande.

Il est important de remplir la demande de DSE dans les délais, même si vous n’avez pas tous les éléments d’appréciation de votre situation (il n’est pas nécessaire d’attendre les résultats d’examens ou d’admission).

Si vous n’avez pas constitué votre DSE avant le 15 mai 2021, votre dossier sera malgré tout examiné et traité, mais le paiement de la bourse pourra être retardé et ne s’effectuera que lorsque votre dossier sera complet.

Cette démarche est à renouveler chaque année.

La demande de bourse

La demande de bourse est formulée en plusieurs étapes par l’intermédiaire du DSE sur le portail MesServices.etudiant.gouv.fr . Pour cela il vous faut :

  1. Vérifier votre éligibilité sur le simulateur du Crous . Des renseignements sur les ressources et le nombre d’enfants à charge des parents, le nombre de frères et sœurs dans l’enseignement supérieur et l’éloignement du lieu d’études sont demandés et il faudra produire l’avis fiscal 2020 sur les revenus 2019. Le montant annuel de la bourse est précisé selon le niveau d’échelon.
  2. Constituer votre DSE sur MesServices.etudiant.gouv.fr jusqu’au 15 mai 2021. Pour que votre dossier soit validé, il vous faut impérativement aller jusqu’au dernier écran. À la fin de la saisie, un courriel de confirmation est envoyé.
  3. Ajouter les pièces justificatives.
  4. Renseigner vos vœux d’études dans les académies de votre choix (4 vœux dans la même académie ou dans des académies différentes, 1 vœu par formation).

Si votre dossier est complet, vous n’avez plus de démarches à effectuer.

Si votre dossier est incomplet, un mail vous est envoyé pour vous demander de déposer dans les meilleurs délais les documents manquants dans le suivi de votre dossier sur MesServices.etudiant.gouv.fr .

Il faut compter entre 1 et 3 mois pour le traitement de votre dossier initial. Vous pouvez suivre l’état d’avancement de votre demande sur le site.

  A savoir : Si vous devez utiliser Parcoursup, créez d’abord un compte sur la plateforme Parcoursup avant de faire votre DSE. Vos infos seront ainsi récupérées sur MesServices.etudiant.gouv.fr .

La notification conditionnelle

Les services du Crous vous donnent une réponse de principe en vous envoyant une notification conditionnelle par courriel en pièce jointe. Elle vous indique la décision d’attribution ou de rejet de votre demande de bourse. Vous pouvez également télécharger ce document dans le suivi de votre dossier sur MesServices.etudiant.gouv.fr .

Envoyée avant la confirmation de votre inscription en établissement, la notification est toujours conditionnelle. Elle doit être présentée au service scolarité de votre établissement au moment de l’inscription. Elle peut vous être utile pour être exonéré du paiement des droits d’inscription universitaires et de la contribution vie étudiante et de campus (CVEC) .

Vous pouvez informer le Crous de changements notables et durables de votre situation pendant l’année universitaire. Une nouvelle notification remplaçant et annulant la précédente vous sera envoyée.

  A noter : Le Crous de l’académie où vous faites actuellement vos études est votre interlocuteur unique durant l’instruction de votre dossier, même si vous souhaitez étudier dans une autre académie.

La confirmation

La notification devient définitive quand le Crous a reçu le justificatif de votre inscription de la part de votre futur établissement d’enseignement supérieur (entre juin et octobre 2021).

Vous recevez alors votre notification définitive et la mise en paiement de la bourse est générée.

  A savoir : Après votre admission dans un établissement d’enseignement supérieur, si vos vœux DSE et Parcoursup ne sont pas en correspondance et concernent des demandes dans des académies différentes de votre Crous d’accueil, rapprochez-vous de celui-ci, votre dossier sera simplement transféré.

La demande de logement dans une résidence Crous

La demande de logement passe également, comme la demande de bourse, par le DSE.

Le calendrier est le suivant :

  • 4 mai 2021 à 10h : affichage de l’offre de logement et ouverture du dépôt de vœux pour la phase principale ;
  • 22 juin 2021 à 10h : fermeture du dépôt de vœux ;
  • 29 juin 2021 : attribution de logements en phase principale ;
  • 9 juillet 2021 : ouverture de la phase complémentaire.

Début mai, vous recevez un courriel vous indiquant les modalités pour déposer vos vœux de logement sur la plateforme du Crous Trouver un logement dans une résidence universitaire (où vous pouvez trouver toutes les informations pour choisir votre logement Crous).

Vous pouvez demander 2 vœux par secteur (ville d’études), sur 3 secteurs maximum.

Pour une 1re demande, vous serez informé le 29 juin 2021 du résultat des affectations en résidence universitaire, par SMS et par courriel. Il faut donc consulter régulièrement votre messagerie à cette période pour connaître le résultat de votre demande et réserver votre logement dans les 7 jours. En cas de réponse positive, les modalités de réservation de votre logement vous seront communiquées (montant de réservation à régler en ligne et délai d’envoi du dossier d’admission).

Une phase complémentaire débutera le 9 juillet 2021, pendant laquelle les étudiants (notamment ceux qui acceptent tardivement une proposition dans le cadre de Parcoursup) peuvent consulter les offres de logements restant disponibles à l’issue de la phase d’attribution principale et réserver un logement immédiatement.

Si vous êtes déjà logé en résidence Crous, vous devez saisir votre demande dans votre espace Cité U dans MesServices.etudiant.gouv.fr .

  A savoir : En raison de la crise sanitaire, si vous souhaitez que votre demande de bourse soit réexaminée compte tenu d’une baisse durable et notable de vos revenus familiaux, vous avez la possibilité de faire une demande de révision du droit à bourse en vous rendant sur MesServices.etudiant.gouv.fr et en cliquant sur l’icône « Suivi du dossier social étudiant (DSE) ».

  A noter : Les étudiants internationaux doivent directement passer par la plateforme du Crous Trouver un logement dans une résidence universitaire à partir du 9 juillet 2021.

Baccalauréat 2021 : adaptation des modalités d'organisation de l'examen au contexte sanitaire

Pour tenir compte de l’impact de la crise sanitaire sur les conditions de préparation du baccalauréat général et technologique, plusieurs adaptations des épreuves ont été décidées. Ainsi les épreuves de spécialité du baccalauréat général et technologique seront évaluées en contrôle continu.

A titre exceptionnel pour cette année 2020-2021 et pour tenir compte des incertitudes liées à la crise sanitaire, les épreuves de spécialité du baccalauréat général et technologique seront évaluées en contrôle continu. Les épreuves terminales du mois de juin sont maintenues.

Les mesures décidées permettent aux élèves et aux professeurs de préparer sereinement les épreuves de juin et la suite de leurs  études supérieures et de disposer d’une  plus grande prévisibilité sur la deuxième moitié de l’année scolaire dans un contexte sanitaire incertain. 

Annulation des épreuves terminales d’enseignement de spécialité de mars

Les épreuves terminales d’enseignement de spécialité, qui devaient se tenir à compter du 15 mars sont annulées.

Pour l’obtention du baccalauréat, les notes de ces épreuves seront remplacées par les notes obtenues par les lycéens dans le cadre du contrôle continu, c’est-à-dire par la moyenne des moyennes semestrielles ou trimestrielles de l’année. Validée à l’issue des conseils de classe du mois de juin 2021, cette moyenne constituera la note prise en compte pour le baccalauréat dans les enseignements correspondants.

Afin de favoriser l’évaluation des élèves au fil de leur apprentissage, les sujets qui devaient être donnés aux épreuves de mars seront, à titre exceptionnel, divulgués dans la banque nationale de sujets. Les professeurs pourront organiser des évaluations, dans le cadre du contrôle continu, sur la base de ces sujets.

Enfin, l’égalité de traitement des candidats sera assurée par la publication d’un guide relatif à l’évaluation en contrôle continu et d’un cadre de travail national en matière d’harmonisation, afin d’organiser le travail des commissions d’harmonisation qui se tiendront à la fin de l’année. 

Maintien des épreuves terminales de fin d’année scolaire

Les épreuves terminales du mois de juin sont maintenues selon le calendrier initial.

Grand oral et épreuve de philosophie

Les épreuves du grand oral se dérouleront du 21 juin au 2 juillet.

L’épreuve de philosophie se tiendra le 17 juin et sera aménagée pour que soient prises en compte les conditions particulières d’apprentissage des élèves depuis mars 2020. Elle comportera 4 sujets au total, un sujet de commentaire analyse de texte et 3 sujets de dissertation, au lieu de 2 initialement, qui porteront sur des notions distinctes afin de couvrir le plus largement possible le programme de la classe terminale.

Epreuves anticipées de français

Pour les élèves de première, les épreuves anticipées écrites de français se tiendront le 17 juin ; les épreuves orales s’étendront du 21 juin au 2 juillet.

L’épreuve écrite de français demeure inchangée.

Pour l’épreuve anticipée orale de français, le nombre de textes à présenter par les élèves sera ramené :

  • à quatorze textes minimum (au moins trois extraits des œuvres intégrales au programme par objet d’étude, afin de soutenir la préparation des élèves à l’exercice écrit de la dissertation) dans la voie générale ; 
  • à sept textes minimum dans la voie technologique selon la répartition minimale suivante : au moins deux textes extraits d’une œuvre et un texte pour le  parcours dans le cadre de  l’objet d’étude « Littérature d’idées », auquel est directement corrélé l’exercice de contraction et d’essai ; au moins un texte (issu de l’œuvre choisie ou du parcours) pour chacun des trois autres objets d’étude.

Parcoursup

S’agissant de Parcoursup :

  • le calendrier de transmission des notes est maintenu en mars-avril avec les bulletins et notes de 1ère (résultats des épreuves anticipées de français, les épreuves de contrôle continu 1 et 2,  la spécialité abandonnée en fin de 1ère) ainsi que les bulletins des 1er et 2ème trimestres de terminale.
  • Les résultats du baccalauréat sont transmis aux formations de l’enseignement supérieur en juillet.

[Rappel] Adaptations des modalités du bac pour l'année 2020-2021 pour les élèves de 1ère et terminale : les évaluations communes

Pour tenir compte des conséquences de la crise sanitaire sur les conditions de préparation du baccalauréat général et technologique, et afin de privilégier le temps d’apprentissage des lycéens dans cette période, les trois évaluations communes de première et de terminale de l'année 2020-2021 sont annulées et remplacées par les moyennes des bulletins scolaires.

Les matières concernées par l'annulation des évaluations sont l’histoire-géographie, les langues vivantes, la spécialité qui n’est pas poursuivie en terminale, ainsi que les mathématiques pour la voie technologique et l’enseignement scientifique pour la voie générale.

Cette adaptation concerne les élèves de terminale, qui passeront leur bac en 2021, comme les élèves actuellement en première.

 

Les demandes de bourses et de logements auprès du Crous de Montpellier et dans toute la France

Les demandes de bourses et de logements auprès du Crous de Montpellier et dans toute la France peuvent être effectuées jusqu’au 15 mai !
 Il n’est pas nécessaire d’avoir choisi son futur lieu d’études pour créer son dossier !L’image contient peut-être : personnes assises, texte qui dit ’#BOURSES #LOGEMENT Les demandes de bourses et de logements CROUS, c'est jusqu'au 15 mai! Rendez-vous -vous sur: messervices.etudiants.gouv.fr AGEM’

La foire aux questions du Ministère de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports a été mise à jour

La foire aux questions du Ministère de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports a été mise à jour.L’image contient peut-être : personnes assises et ciel, texte qui dit ’CORONAVIRUS COVID-19: LES RÉPONSES À vOs QUESTIONS’

Parcoursup 2021 : les inscriptions ouvrent le 20 janvier !

Dès le 20 janvier 2021, vous pourrez vous inscrire aux formations de l'enseignement supérieur proposées en 2021. Cette année, les écoles vétérinaires, les bachelors universitaires de technologie et d'autres cursus rejoignent les 17 000 formations accessibles. Service-Public.fr vous rappelle le calendrier des phases principales de la procédure Parcoursup. Lycéens de Terminale, apprentis, étudiants en réorientation, découvrez les nouveautés 2021 et les dates des grandes étapes à retenir.

 

Nouveautés 2021

De nouvelles formations sélectives :

Pour les étudiants qui souhaitent devenir professeurs des écoles, des parcours préparatoires au professorat des écoles (PPPE) sont proposées dès la rentrée 2021. Ces nouveaux parcours de licence permettant de se préparer dès la 1re année de licence au concours de professeur des écoles seront assurés en lycée et à l'université.

  A savoir : Sur la fiche de présentation de chaque formation (sauf celles en apprentissage), vous pouvez désormais consulter le rapport public d'examen des vœux 2020, établi par l'établissement. Ces données vous permettent de mieux comprendre les critères utilisés par les formations qui vous intéressent.

De novembre 2020 à janvier 2021 : s'informer et découvrir les formations

Jusqu'en janvier 2021 : depuis l'ouverture du site d'information de Parcoursup 2021 le 21 décembre 2020, vous pouvez vous informer sur le déroulement de la procédure et consulter l'offre de formation disponible : les contenus, les attendus, les débouchés professionnels et les critères d'examen des dossiers.

Tout au long du 2e trimestre : vous poursuivez votre réflexion avec vos professeurs principaux en participant à la 2e semaine de l'orientation et aux journées portes ouvertes (certaines sont organisées en ligne) dans les établissements de l'enseignement supérieur.

Du 20 janvier au 11 mars 2021 : s'inscrire et formuler ses vœux

À partir du 20 janvier : vous vous inscrivez sur Parcoursup et créez votre dossier de candidat. Vous saisissez alors vos vœux : jusqu'à 10 vœux avec la possibilité de sous-vœux selon les formations sans avoir besoin de les classer.

Février-mars : au moment du 2e conseil de classe, chaque vœu que vous avez formulé fait l'objet d'une « fiche Avenir » comprenant les appréciations de vos professeurs et l'avis du chef d'établissement.

Jeudi 11 mars : dernier jour pour formuler vos vœux.

  A noter : À compter du 20 janvier 2021, le numéro vert 0 800 400 070 est à votre disposition pour toute assistance ainsi que la messagerie du dossier Parcoursup et les comptes sociaux Parcoursup (Twitter, Snapchat, Facebook et Instagram). Une foire aux questions est également disponible sur le site.

Du 12 mars au 8 avril 2021 : compléter son dossier et confirmer ses voeux

8 avril : dernier jour pour finaliser votre dossier avec les éléments demandés par les formations (par exemple, un projet de formation motivé) et confirmer vos vœux.

Si vous êtes lycéen : après votre conseil de classe, vous vérifiez que vos bulletins scolaires et votre fiche Avenir sont bien renseignés dans votre dossier.

Avril-mai : les formations examinent les vœux que vous avez formulés.

Du 27 mai au 16 septembre 2021 : consulter les réponses des formations et y répondre

27 mai : c'est l'ouverture de la phase principale d'admission. Vous prenez connaissance des réponses des formations sur la plateforme. Vous recevez des propositions d'admission au fur et à mesure des décisions des établissements et vous devez y répondre dans les délais indiqués par la plateforme.

16 juin : ouverture de la phase complémentaire pour formuler de nouveaux vœux si besoin et obtenir une proposition d'admission dans une formation disposant de places disponibles.

6 juillet : résultats du baccalauréat.

Avant le 16 juillet : inscription dans les formations choisies par les candidats selon les modalités précisées sur leur dossier. Fin de la phase principale d'admission.

16 septembre : fin de la phase complémentaire.

  A savoir : Un accompagnement si vous n'avez pas reçu de réponse

Après les résultats du baccalauréat, vous pourrez bénéficier de l'accompagnement individualisé de la commission d'accès à l'enseignement supérieur (CAES) de votre académie. Vous pourrez demander un conseil, un accompagnement individuel ou collectif, dans votre lycée ou au Centre d'Information et d'Orientation (CIO) pour envisager d'autres choix de formation, en particulier si vous n'avez reçu que des réponses négatives de la part de formations sélectives (BTS, IUT, écoles etc.).