Jacques et Evelyne Vanni, Mézois passionnés de photographie, ont réalisé de sublimes images du feu d’artifice de la Fête. Une fois encore, ils ont souhaité en faire profiter le public. Voici un avant-goût de ce reportage. Pour découvrir beaucoup d’autres images, rendez-vous sur leur galerie :> https://www.panosud-360.fr/photos/index.php?/category/530
Photographie
![Pavillon Populaire : l'exposition « Antoni Campañà. Les images méconnues de la guerre d’Espagne (1936-1939) » est prolongée jusqu'au 10 décembre 2023 Pavillon Populaire : l'exposition « Antoni Campañà. Les images méconnues de la guerre d’Espagne (1936-1939) » est prolongée jusqu'au 10 décembre 2023](https://www.montpellier.fr/uploads/Image/c4/IMF_FICHEEVT/GAB_MPL/46694_850_CAM-2000x740px.jpg)
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Outre le grand public, cette période complémentaire permettra notamment d'accueillir des élèves des écoles, collèges et lycées du territoire montpelliérain dans cette exposition, première grande présentation en France de l'œuvre du photographe catalan Antoni Campañà i Bandranas (1906-1989), consacrée à la Guerre d'Espagne.
Cachées pendant 80 ans, ces images de Barcelone en guerre illustrent la complexité du conflit et les tensions croisées qui éclatèrent à l'été 1936 et finirent par entraîner l'Europe dans la Deuxième Guerre mondiale.
Un travail présenté au Pavillon Populaire à travers une sélection de quelques 200 tirages, pour beaucoup inédits, accompagnés d'un matériau historique conséquent (documents iconographiques, objets, etc. ...) venant constituer un contexte explicatif nécessaire à la compréhension globale de cette période dramatique de l'histoire de l'Espagne, et au statut des images présentées.
L'exposition « Paul Wolff : l'homme au Leica » à voir du 17 janvier au 14 avril 2024
Dès le 17 janvier 2024, le Pavillon Populaire présentera « Paul Wolff (1887-1951) : L’homme au Leica ».
Cette première rétrospective montrée en France ouvre au public l’œuvre d’un des photographes allemands les plus significatifs, sur le plan culturel et historique, de la première partie du XXe siècle.
Paul Wolff est considéré comme l’un des pionniers dans l’utilisation du petit format photographique, né avec l’invention, en 1929, par la firme Leica, de l’appareil éponyme qui allait changer, par sa maniabilité, le devenir de la photographie moderne et contemporaine.
Technicien hors-pair, Wolff redéfinit le concept même de photographie illustrative, par le biais de ses reportages et de ses publications novatrices, magazines ou livres d’auteur. Sont ainsi documentés des pans entiers de l’histoire de l’Allemagne du XXe siècle, de la chute de l’empire prussien, en passant par l’échec de la République de Weimar, jusqu’aux affres de la Seconde Guerre mondiale, durant laquelle ont été détruites une partie des archives de Wolff.
Il pratique, et popularise à travers ses livres et ses reportages, les esthétiques les plus novatrices de son temps, de la Nouvelle Objectivité, en passant par la Nouvelle Vision et sa stylistique particulière. Aucun sujet ne lui échappe, aussi bien la transformation de la ville de Francfort, et du paysage urbain, le développement intensif de l’industrie allemande, les Jeux Olympiques de 1936, les débuts du tourisme de masse, et de la photographie de voyage, en train, voiture ou Zeppelin.
Extraordinaire passeur, auprès des amateurs, des esthétiques photographiques les plus radicales, auteur d’un des livres photographiques les plus influents et les plus vendus dans le monde entier (Meine erfahrungen mir der Leica, « Mes expériences avec le Leica », 1934), Paul Wolff est également l’un des acteurs les plus méconnus de la modernité photographique allemande, dont il convient, enfin, de souligner l’importance.
Cette exposition rassemblera, à partir de collections privées et publiques, l’essentiel de l’œuvre éditoriale et photographique de Paul Wolff.
![](https://scontent-frx5-2.xx.fbcdn.net/v/t1.6435-9/245302069_167615968891456_1422602817463309334_n.jpg?_nc_cat=109&_nc_rgb565=1&ccb=1-5&_nc_sid=340051&_nc_ohc=7xQRnswzEnIAX-rkf-z&_nc_ht=scontent-frx5-2.xx&oh=465d49d253fdf90ca672ebfb603858bb&oe=618F94CF)
Une fois n'est pas coutume, c'est de la photographie que la salle de la Macaronade propose aux visiteurs curieux. Du 14 au 23 août, l'association Les Quilles présente "l'Oeil du photographe" et vous invite à son vernissage le lundi 14 à partir de 18h30. A Sète.
v u e s d e s e t e . f r e e . f r
Le blog VUES DE SÈTE 2021a été réalisé grâce à la synergie de compétences des différents porteurs de cette action,qui s’est déroulée sur trois mois. Les six jeunes stagiaires ont été mobilisé.e.s par l’équipe de la Mission Locale d’Insertion des Jeunes du bassin de Thau dans le cadre de la Garantie Jeune.
Gilles Favier, photographe et directeur artistique d’ImageSingulières,a animé une master class photo au Centre photographique documentaire. Après avoir choisi ensemble les sujets de leurs reportages, Gilles Favier a accompagné les jeunes photographes sur la technique de prise de vue, en argentique comme en numérique,sur l’écriture photographique de leur reportage, sur le choix et la composition (l’éditing) et sur la rédaction des textes d’accompagnement du sujet.
La partie multimédia a été orchestrée par Concerthau avec l’apprentissage du logiciel nécessaire à la retouche et la mise en ligne sur le blog.
Chaqueannéedepuis2018, Concerthau et Image Singulières,en partenariat avec APS34 et la MLIJ, proposent la création d’un blog photo sur la ville de Sète, réalisé par et pour des jeunes de 18 à 25 ans.
Du 12octobre au 15décembre 2021, Aga, Antoine, Inesse, Kholoud, Sayed et Yohana sont partis en reportage photo à la découverte de Sète Cette année,le quotidien Midi Libre s’est associé au projet en proposant la publication des portfolios réalisés sur le site web du journal. Vous trouverez dans ce livret le fruit du travail de ces jeunes et leur vision de Sète.À retrouver aussi sur le blog qu’ils ont mis en ligne : vuesdesete.free.fr
POURSUIVRE SUR : https://imagesingulieres.com/wp-content/uploads/2021/12/Livret-VUES-DE-SETE-2021-BD.pdf
Quel regard portons sur les aînés et en particulier sur le corps vieillissant ? Avec cette exposition des photographies d’Ariane Clément, les Petits Frères des Pauvres brisent les tabous, participent à redéfinir les normes de beauté et à sortir les personnes âgées de l’invisibilité que la société leur impose. Arianne Clément est une photographe canadienne, spécialiste des personnes âgées, elle propose de regarder en face ces femmes et hommes qui sont entrés dans la vieillesse. Ils sont en corps, ils sont en vie ! Leurs corps parlent, ils racontent leurs vies, passées, présentes et à venir. L’artiste s’engage à la rencontre de l’autre, y ressent l’essentiel, l’humain qui vit, qui jouit, qui aime, qui vibre. Elle explore la joie, le désir et la tendresse de ces personnes dont l’âge ne les a pas privés.
Le corps âgé n’est pas qu’un objet de soins et les vulnérabilités et fragilités corporelles doivent prendre sens dans un monde d’apparences et de surfaces. C’est à nous à présent de regarder autrement, d’accepter individuellement et collectivement le vieillissement pour changer de regard sur les aînés.
Inaugurée au 19|46 (LAAN) le 12 octobre 2022, cette exposition a été un élément important du cycle de programmation culturel portant sur le rapport au corps vieillissant faisant écho à la sortie du rapport Petits Frères des Pauvres sur la vie affective, intime et sexuelle des personnes âgées. Le cycle a été clôturé par le défilé de mode à l’Hôtel de Ville de Paris.
En 2021, c'est la 11e édition « LE SUD » de cette exposition sous le parrainage du Ministère de la Culture
Et c'est aussi la seconde édition de cette exposition dans les halles de Sète
du 24 septembre au 31 octobre 2021
Depuis plus de 10 ans, le FIPC présente dans le monde entier la richesse et la modernité de la photographie liée à notre alimentation, un champ artistique nouveau aussi vaste que l’univers gastronomique qu’il célèbre.
François Commeinhes lors du vernissage de l'exposition, ce vendredi 24 septembre, précisait que a ville de Sète est très heureuse et fière d’accueillir le festival pour la seconde fois, ici dans les halles, au cœur de la cité, qui valorisent chaque jour des produits de très bonne qualité. Ce sera pour les visiteurs une très belle et gourmande découverte photographique dans les allées des halles de Sète, la cité gastronomique de caractère…
Vous y découvrirez le travail des 24 plasticiens internationaux festivaliers*. Deux photographies (recto/verso) ont été sélectionnées par photographe, soit 48 images pour illustrer les cuisines, les produits, les habitudes culinaires du SUD, de tous les SUDS…
Francesc Guillamet, photographe officiel & lauréat cette année du Grand Prix FIPC « LE SUD » a écrit : « Le Sud, théâtre d’ombres, dans la chaleur, des couleurs, des odeurs, des saveurs…Le Sud se rêve, le Sud se vit, le Sud se mange… »
*Gilles Auteroche, Elsa Barré, Victor Bellot, Yanne de Bongré, Thierry Borredon, Chang Ki Chung, Marc Combier, Anthony Cottarel, Sterenn Crahan, Pauline Daniel, Chloé Duloquin, Michaël Fok Bor, Sophie Gassmann, Francesc Guillamet, Franck Hamel, Bruno Le Gué, Claire Louiset, Sophie Loustau, Marion Monier, Aline Perier, Nicolas Ravinaud, Laurent Rodriguez, Robert Savio, Jonathan Thévenet
![](https://herault.fr/uploads/Actualite/e0/IMF_ACCROCHE/GAB_D34/126102_811_P24-Pantheres-2.jpg)
Mythique, insaisissable, fantôme des montagnes de l’Himalaya… la panthère des neiges est à découvrir au domaine de Restinclières. L’auteur Frédéric Larrey, nous livre les coulisses de son reportage.
Retour sur cette aventure incroyable !
« L’association Regard du Vivant m’a proposé de réaliser un reportage sur ce félin du Tibet, dont la population est en déclin notamment à cause du braconnage pour la médecine chinoise et du conflit avec l’élevage d’herbivores. Un berger tibétain m’a fait découvrir un lieu coupé du monde et préservé de la chasse à 4500 m d’altitude. J’y ai partagé pendant 6 mois le quotidien des bergers de yacks. Grâce à leur aide, j’ai pu photographier les panthères des neiges et des scènes magiques, comme celle d’une femelle avec ses deux petits… mon meilleur souvenir ! L’humain est capable de vivre en harmonie avec de grands prédateurs, comme ces bergers avec la panthère. Elle joue un rôle précieux dans l’équilibre fragile de cette zone, en régulant les troupeaux, ce qui évite le surpâturage. J’ai voulu en témoigner à travers mon objectif. » Frédéric Larrey, le photographe de l’exposition.
Découvrez l’exposition en extérieur, jusqu’au 3 janvier 2022 au domaine du Département Restinclières, à Prades-le-lez. Entrée gratuite. Plus d’informations sur domainederestinclieres.herault.fr
Depuis 2018, le festival ImageSingulières, le journal d’information Mediapart et l’ETPA, s’engagent autour de deux prix : le « Grand prix ISEM » (doté de 8000€, et ouvert aux photographes du monde entier) et le « Prix ISEM jeune photographe » (doté de 2000€ et ouvert aux moins de 26 ans résidant sur le sol français). Tous deux récompensent des travaux photographiques documentaires en cours.
Cette année, ils ont été décernés au centre photographique documentaire ImageSingulières (anciennement Maison de l’Image Documentaire) le vendredi 17 septembre, à 19 h, en présence du directeur du festival Gilles Favier, du public et de Claude Muslin, adjointe déléguée à l’éducation culturelle ainsi qu’aux musées. Le grand prix Isem 2021 a été remis à Myriam Boulos, qui a su brosser un fidèle portrait de Beyrouth, avec ses problèmes économiques, sanitaires, et humains. Le prix ISEM Jeune photographe, quant à lui, a été attribué à Cloé Harent, pour sa série Le temps d’une pause, qui documente avec une certaine tendresse la vie dans les fermes biologiques.
Outre la remise de prix, l’exposition Citizens de Christian Lutz a été inaugurée. Il a essentiellement travaillé sur le populisme en Europe. Concomitamment, Romain Laurendeau présentait aussi son travail avec Mister Nice Guys, une série de photos traitant d’un cannabis de synthèse extrêmement addictif et dangereux consommé en Cisjordanie et en Israël. Les deux expositions seront à voir du 16 septembre au 7 novembre.
Braderie de Noël au Centre photographique documentaire ImageSingulières, au 15 rue Lacan à Sète. Réductions sur les ouvrages et cadeaux dès 20 euros d'achat. Profitez-en !
![Peut être une image de 2 personnes et intérieur](https://scontent-mrs2-2.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/263458889_4411286288999912_6784250655169683087_n.jpg?_nc_cat=101&ccb=1-5&_nc_sid=730e14&_nc_ohc=1vQxXGs6ExoAX_nyExu&_nc_ht=scontent-mrs2-2.xx&oh=a7c33eface584d9948dbb8f1a4d8b24b&oe=61B3E840)
Réservations : 04 67 18 27 54 /
![](https://scontent-mrs2-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/241637558_4142042472590963_2513341180710263729_n.jpg?_nc_cat=111&ccb=1-5&_nc_sid=340051&_nc_ohc=Ye-8dqbrwZ0AX_vjFIn&_nc_ht=scontent-mrs2-1.xx&oh=ecce52c99e20e31de1d0c9affc30f5e0&oe=613D0A6F)
![APHOTO_83C0976](http://blog.ville-poussan.fr/wp-content/uploads/2022/12/APHOTO_83C0976.jpg)
![APHOTO_83C0981](http://blog.ville-poussan.fr/wp-content/uploads/2022/12/APHOTO_83C0981.jpg)
![APHOTO_83C0983](http://blog.ville-poussan.fr/wp-content/uploads/2022/12/APHOTO_83C0983.jpg)
Une exposition de Paris Match sur Georges Brassens s'affiche en ville, de la gare aux plages. Une bonne occasion d'en apprendre plus sur le poète sétois lors de vos balades.
Pour Paris Match, qui a suivi Georges Brassens durant de nombreuses années il était important de proposer à la ville de Sète et à tous les Sétois et visiteurs une exposition à partir des Archives de Paris Match car Brassens, c'est avant tout l'éternel enfant de Sète.
L'office de tourisme et la ville de Sète, nous communiqueront bientôt l'itinéraire conseillé pour découvrir toutes les affiches à découvrir en partant des Halles vers la Rue Gambetta, en rejoignant la Rue Alsace Lorraine... Pour repartir vers la Grand'Rue Mario Roustan, sans oublier l'Avenue Victor Hugo, en allant vers la Gare de Sète et le TMS.
Car à Sète, dans ce paradis souvent retrouvé, Georges Brassens chérissait les amitiés et les souvenirs.
Ceux d'un collégien réfractaire à l'éducation, animé par l'aventure de la poésie et l'amour de la chanson.
Pour les 100 ans de sa naissance, en partenariat avec Paris Match, sa ville natale et l'office de tourisme organisent donc, jusqu'en décembre 2021 "L'itinéraire Brassens" une exposition de photos à ciel ouvert...
Des souvenirs, de la Pointe courte à Bobino, le portrait d'un chanteur populaire, un copain d'abord.
Inauguration officielle en septembre en présence de journalistes de Paris Match.
"Il faut savoir que Roger Thérond, Sétois, fut directeur de la rédaction de Paris-Match de 1976 jusqu’en 1999. Sous sa direction, Paris Match renouera avec le succès et les ventes progresseront à nouveau. Thérond, celui qu’on avait surnommé « l’Œil », se retirera à 74 ans. En tant que sétois d'origine, il fut aussi un grand ami de Georges Brassens et il participa en particulier à l'ouvrage de Pierre Berruer Georges Brassens, la marguerite et le chrysanthème paru en 2001. (Wikipedia). Les archives photographiques ne manquent donc pas.)