Bon à savoir

Deux postes de service civique à pourvoir, à Mèze

L’école Clemenceau propose deux postes de mission de service civique (sous couvert de l’Inspection Académique). Ces postes sont ouverts à tous les jeunes entre 16 et 25 ans pour une durée de 9 mois. Il s’agit d’aider l’équipe pédagogique à encadrer les élèves pour certaines activités et/ou de contribuer à l’inclusion des élèves en situation de handicap.


Plus d’infos :
Site : www.service-civique.gouv.fr
>>les conditions pour s’engager
>>la fiche mission 

Contact : directeur de l’école au 04.67.43.81.01

Taxe foncière : la facture grimpe à toute vitesse

Les premiers avis de taxe foncière paraîtront mercredi 30 août

 

Pour les villes de plus de 100 000 habitants, le taux a augmenté en moyenne de 10,5 %. La Ville de Paris a décidé d’une hausse record de 51,9 % tandis que celle de Grenoble a atteint 25 %.............. Aller plus loin : avec Orange.fr

https://actu.orange.fr/france/taxe-fonciere-la-facture-grimpe-a-toute-vitesse-magic-CNT0000026NIRb.html

 

L'animateur Jean-Marc Morandini condamné à six mois de prison avec sursis pour harcèlement sexuel

Selon France Info :

Le tribunal judiciaire de Paris a condamné, mardi 29 août, l'animateur Jean-Marc Morandini à six mois de prison avec sursis pour "harcèlement sexuel" à l'encontre d'un jeune comédien. Lors de son procès, en juin, le parquet avait requis six mois d'emprisonnement avec sursis. Le tribunal a également condamné l'animateur de la chaîne CNews pour "travail dissimulé". Ses avocates ont aussitôt indiqué qu'il ferait appel de cette condamnation.

Jean-Marc Morandini, 58 ans, a été condamné pour avoir encouragé de jeunes comédiens, âgés de 19 à 26 ans au moment des faits, entre juin et septembre 2015, à s'exhiber nus pour les castings d'une web-série intitulée Les Faucons dont il était le producteur. Une pseudo-directrice de casting, Catherine Leclerc (en réalité Jean-Marc Morandini sous pseudonyme), leur avait adressé des e-mails pour leur demander avec insistance d'envoyer des vidéos d'eux nus, le pubis rasé, et de scènes de masturbation parfois avec éjaculations.

Un jeune comédien, Gabriel P., avait notamment reçu en août 2015.... Aller plus loin : .......https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/justice-proces/l-animateur-jean-marc-morandini-condamne-a-6-mois-de-prison-avec-sursis-pour-harcelement-sexuel_6031901.html

Pluie et inondation : les bons réflexes

Pour sensibiliser les populations aux bons réflexes à adopter durant les épisodes de pluies intenses et de crues soudaines, le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, en lien avec le ministère de l'Intérieur et des Outre-mer, lance la 8e édition de sa campagne de prévention pluie-inondation du 30 août au 30 novembre 2023.

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Ayons les bons réflexes pour sauver des vies.

pluie-inondation.gouv.fr

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Le pourtour méditerranéen a été touché dans le passé par des épisodes de pluies très intenses et d'inondations rapides avec des décès et des dégâts matériels considérables. On observe sur les dernières décennies une tendance à l'augmentation de ces phénomènes de pluies intenses, vraisemblablement liée au réchauffement climatique. La température des eaux de surface de la mer Méditerranée est actuellement très au-dessus des normales : la sécheresse pourrait donc laisser place à des averses et des orages intenses sur l'arc méditerranéen, entraînant des inondations soudaines.


Face à ces phénomènes météorologiques intenses, avoir les bons réflexes sauve des vies.

Quels sont ces réflexes ?


En cas de pluies intenses ou de crues soudaines :

 

  1. Reportez tous vos déplacements, que ce soit à pied ou en voiture.
  2. Ne prenez pas votre voiture ou ne restez pas dedans ; quelques centimètres d’eau suffisent à l’emporter.
  3. Laissez vos enfants à l’école ou à la crèche : ils y sont en sécurité.
  4. Restez ou rentrez dans un bâtiment et réfugiez-vous à l’étage.
  5. Coupez, si possible et sans vous mettre en danger, les réseaux de gaz, d’électricité et de chauffage.
  6. Ne descendez pas dans les sous-sols ou les parkings souterrains.
  7. Éloignez-vous des cours d’eau, des berges et des ponts. Pour éviter la foudre, ne vous réfugiez pas sous un arbre.
  8. Restez informé et à l’écoute des consignes des secours et de votre mairie.
  9. Contactez les personnes vulnérables et isolées en privilégiant les SMS afin de laisser les réseaux disponibles pour les secours.

 

Pour anticiper toute situation d'urgence, préparer un kit d’urgence 72 h permet, si nécessaire, de vivre en autonomie pendant quelques jours dans l'attente des secours : nourriture et eau potable, médicaments, radio à piles, bougies, copie de la carte d’identité… Il est à placer dans un endroit facile d'accès.

Chaque automne, nos territoires sont soumis à ces épisodes de pluies intenses et de crues soudaines. C'est pourquoi il est essentiel de réduire notre vulnérabilité et de développer notre résilience.

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District de l'Hérault de Football, les calendriers

DISTRICT DE L'HÉRAULT DE FOOTBALL

Programme Éducatif Fédéral

LA FFF S’ENGAGE DANS LA PROTECTION DES LICENCIES

La FFF a fait de la protection de ses licenciés un axe majeur de son engagement RSO #marquerdemain. En s’associant, dès octobre 2019 avec le Comité Ethique et Sport, la FFF a créé une boite à outils pour les instances et les clubs en renforçant le PEF sur le sujet de la protection des licenciés..

Tout savoir sur : https://herault.fff.fr/

Calendriers 2023-2024

19-07-2023

Calendrier général Seniors, Vétérans et Futsal 2023-2024

Documents pour les clubs - Calendriers 2023-2024...

19-07-2023

Calendrier général Jeunes 2023-2024

Documents pour les clubs - Calendriers 2023-2024...

19-07-2023

Calendrier général du football animation 2023-2024

Documents pour les clubs - Calendriers 2023-2024...

District de l'Hérault de Football, les calendriers

DISTRICT DE L'HÉRAULT DE FOOTBALL

Programme Éducatif Fédéral

LA FFF S’ENGAGE DANS LA PROTECTION DES LICENCIES

La FFF a fait de la protection de ses licenciés un axe majeur de son engagement RSO #marquerdemain. En s’associant, dès octobre 2019 avec le Comité Ethique et Sport, la FFF a créé une boite à outils pour les instances et les clubs en renforçant le PEF sur le sujet de la protection des licenciés..

Tout savoir sur : https://herault.fff.fr/

Calendriers 2023-2024

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Documents pour les clubs - Calendriers 2023-2024...

Quels cours en 2023/2024 au Centre balnéaire Raoul Fonquerne (Sète) ?

Quels cours en 2023/2024 au Centre balnéaire Raoul Fonquerne (Sète) ?

 

Peut être une illustration de 1 personne, faire du yoga, danser, calendrier, affiche, mots croisés et texte qui dit ’HEURES 9h30-10h15 Jundi Mardli BODY SCULPT 10h15-11h Mereredli CUISSES ABDOS FESSIERS 11h-11h45 GYM EQUILIBRE Jeudi BODY SCULPT BODY ART Vendredli GENTLE YOGA 12h15-13h PILATES STRETCHING PUMP BODY SCULPT GYM DOUCE 13h-13h45 CUISSES ABDOS FESSIERS PUMP PILATES PILATES PILATES 17h15-18h YOGA CUISSES ABDOS FESSIERS 18h-18h45 POSTURAL BALL GYM BALL 18h45-19h30 CUISSES ABDOS FESSIERS YOGA STRETCHING ZUMBA® PILATES’

 

Peut être un graphique de carte, mots croisés, calendrier, affiche et texte qui dit ’LUNDI Planning des cours année 2023-2024 du 11 septembre au 5 juillet Hors vacances scolaires etjours fériés 9h -9h45 MARDI MERCREDI 11h15- 12h JEUDI Aquagym douce Aquajogging VENDREDI Aquagym onic Aquapal nes Aquagym douce 12h30-1 Aquagym douce Aquagym douce cours bassin olympique toute l'année Aquagym tonic Aquajogging- aquapalmes Aquagym douce Aquagym tonic Aquagym douce Aquapalmes intensif Aquagym douce 14h15-15h Aquajogging 15h45 Tous ces cours accessibles einsc annuelle: 121 2cours 198 Aquagym onic Aquagym douce Aquagym douce 16h15-17h Aquagym douce Aquagym douce Aquagym douce 18h20 19h05 activités ponctuelles accessibles réservation l'unité: 5€ carte de1 cours :45 Aquagymton Aquajogging’

 

Peut être un graphique de poisson, carte, affiche et texte

La mise en paiement de la bourse de septembre

 
La mise en paiement de la bourse de septembre a été effectuée le 25 août pour tous les boursiers ayant reçu leur notification définitive avant cette date.
Comptez quelques jours pour que ce soit effectif sur vos comptes.
D'autres mises en paiement de la bourse de septembre auront lieu tout au long du mois de septembre, pour les boursiers ayant reçu leur notification définitive après le 25 août.
 Vous pouvez le suivre dans "suivi DSE" sur http://ow.ly/A3H350Lj2tt
 
 
Peut être une image de 3 personnes et texte qui dit ’Paiement Bourses’

Arrêts-maladies : le gouvernement souhaite donner un coup de frein aux arrêts de travail de "complaisance"

Le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, estime que la multiplication des arrêts-maladies n’est pas soutenable au regard du budget de la Sécurité sociale. Il faut donc s’attendre à un tour de vis.

Selon France Info :

Il n’y a pas de petites économies, surtout en pleine préparation du budget 2024 qui doit être présenté à l’Assemblée nationale d’ici fin septembre. Donner un coup de frein aux arrêts-maladies jugés abusifs, l’idée n’est pas nouvelle. Elle fait partie de la batterie de mesures annoncées dans le document envoyé en juillet aux membres du gouvernement pour préparer le projet de loi de finances de l’an prochain.

>> Chasse aux arrêts de travail "de complaisance" : les chiffres des arrêts-maladies en France

Selon le ministère de la Santé, ces arrêts ont fait un bond de 8% l’année dernière par rapport à 2021 pour approcher neuf millions. Leur nombre ne cesse d’augmenter depuis une dizaine d’années, tant dans le privé que dans le public. Selon la Cour des comptes, les arrêts-maladies dans la fonction publique correspondent à l’activité annuelle de 250 000 agents. Coût global estimé pour la Sécurité sociale : entre 14 et 15 milliards d’euros sur la seule année dernière, sans compter les arrêts liés au Covid.

Responsabilité collective 

L’idée est avant tout de renforcer les contrôles en amont, à commencer par les entreprises, en allégeant les conditions qui leur sont imposées pour déclencher des vérifications. Sur ce point, l'exécutif compte sur le dialogue entre partenaires sociaux, entreprises et syndicats. Le ministère de la Santé en appelle aussi à la responsabilité collective et à celle des médecins qui ont la signature un peu trop légère en accordant des ordonnances de complaisance.......

Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-eco/arrets-maladies-le-gouvernement-souhaite-donner-un-coup-de-frein-aux-arrets-de-travail-de-complaisance_6005132.html

Ce qu'il faut savoir sur l'assurance scolaire

Chaque année au moment de la rentrée scolaire, vous vous demandez quelle assurance scolaire vous devez souscrire pour vos enfants ? Est-elle obligatoire ? Que garantit-elle en cas d’accident ? toutes les réponses à vos questions.

L’assurance scolaire est-elle obligatoire ?  

L’assurance scolaire a un caractère facultatif, mais dans certains cas, elle est obligatoire. Il est vivement recommandé d’en souscrire une pour protéger votre enfant en cas de dommage :

  • pour les activités scolaires obligatoires (celles qui s’inscrivent sur le temps scolaire même si elles se déroulent à l'extérieur de l'établissement, telles que les activités sportives), l’assurance n’est pas obligatoire, même si elle est fortement recommandée par le ministère en charge de l’Éducation nationale.   
  • pour les activités scolaires facultatives (par exemple une sortie incluant la totalité de la pause-déjeuner, une promenade, une visite de musée, une classe découverte, etc.), l’assurance est obligatoire.  De même, si votre enfant prend ses repas à la cantine, il devra également être assuré.   
  • pour les activités périscolaires, les organisateurs peuvent aussi demander que les enfants soient assurés.

Que garantit l’assurance scolaire ?

L’assurance scolaire se compose de deux garanties :   

  • la garantie responsabilité civile qui couvre les dommages causés par l’enfant à autrui•    
  • la garantie individuelle accident, qui couvre les dommages corporels subis par l’enfant, qu’il y ait un responsable ou non.

Votre assureur peut vous proposer deux types d’assurances :   

  • l’assurance scolaire : dans ce cas, l’enfant est assuré pendant les activités à l’école et sur le chemin de l’école,  
  • l’assurance scolaire et périscolaire : l’enfant est alors assuré en toutes circonstances, sauf s’il exerce une activité professionnelle rémunérée. Il est aussi important de vérifier que le sport pratiqué par l’enfant est bien couvert dans le contrat de l’assurance.

Qu’en est-il de l'assurance responsabilité civile des parents ?

On pense souvent que les diverses assurances souscrites par les parents, notamment l'assurance responsabilité civile ou bien l'assurance multirisque habitation, couvrent automatiquement les enfants et pour tous les types de dommages/d'accidents.

Mais ce n'est pas toujours le cas ! Par exemple, l’assurance multirisque habitation couvre la responsabilité civile de l’enfant s’agissant des dommages qu’il pourrait causer à autrui, mais pas les dommages corporels qu'il pourrait subir.

Comment souscrire à une assurance scolaire ?

Renseignez-vous tout d'abord auprès de votre assureur pour vérifier que votre enfant n’est pas déjà couvert par une assurance à laquelle vous auriez déjà souscrit.

Vous pouvez ensuite décider de souscrire à une assurance scolaire auprès de votre assureur ou auprès de n’importe quel autre assureur. Vous pouvez aussi adhérer à cette assurance via une association de parents d’élèves.

À titre indicatif, le prix d'une assurance scolaire débute à environ 10 € par an et par enfant.

Que devez-vous faire en cas d'accident ?

En cas d'accident impactant votre enfant, ou bien si votre enfant est à l'origine d'un accident, voici les conseils à suivre selon votre situation.

Si votre enfant est blessé :   

  • recueillez le maximum de renseignements sur les circonstances de l'accident,   
  • faites établir par un médecin un certificat détaillé sur la nature des blessures et l'évolution prévisible,   
  • dans les cinq jours ouvrés, déclarez l'accident auprès de votre assureur,   
  • conservez les décomptes de remboursement de la sécurité sociale et éventuellement de votre mutuelle.

Si votre enfant est à l'origine d'un accident :   

  • déclarez l'accident, de préférence par lettre recommandée avec accusé de réception, quelle que soit votre première opinion sur la responsabilité de votre enfant,   
  • si vous avez deux assurances de responsabilité civile (scolaire et familiale), vous devez en informer chaque assureur. L'un d'eux indemnisera la victime pour compte commun.

 

En savoir plus sur l'assurance scolaire

Ce qu’il faut savoir sur le covoiturage

Covoiturage, Auto, Faire Du Covoiturage

Vous souhaitez pratiquer le covoiturage pour vos déplacements quotidiens ? Vous envisagez un trajet de ce type pour partir en vacances ? Assurance, réglementation, aides… Tout ce qu’il faut savoir sur ce mode de transport à la fois économique et écologique.

Qu'est-ce que le covoiturage ?

Selon l’article L.3132-1 du code des transports, le covoiturage consiste à utiliser un véhicule de transport terrestre (le plus souvent une voiture) partagé par un conducteur non-professionnel avec un ou plusieurs passagers, dans le cadre d’un trajet effectué par le conducteur à son propre compte et qui ne donne lieu à aucune rétribution autre que celle du partage des frais de déplacement.

En ce sens, le covoiturage se distingue du transport public particulier (taxi et VTC).

On parle de covoiturage lorsque deux conditions suivantes sont remplies :

  • le trajet du conducteur est effectué pour lui-même : à l’inverse si le trajet est effectué par le conducteur pour des tiers, il ne s’agit pas d’un covoiturage,
  • les seuls échanges financiers entre le ou les passagers et le conducteur se limitent au partage des coûts du transport : il s’agit principalement des frais de carburant, des éventuels péages ou frais d’assurance, et si les passagers et le conducteur ont été mis en relation par une plateforme, la commission de cette dernière. Mais le conducteur ne doit faire aucun bénéfice sur cette rétribution.

Si l’une de ces conditions n’est pas remplie, le trajet ne peut pas s’assimiler à du covoiturage et il s’agit probablement d’une activité professionnelle. Le conducteur encourt alors des poursuites pénales si cette dernière est non déclarée.

Comment organiser un covoiturage ?

L’organisation du covoiturage, c’est-à-dire la mise en relation d’un conducteur avec un ou plusieurs passagers, peut se faire selon deux principes :

  • le covoiturage spontané, basé sur l’utilisation du trafic routier comme offre potentielle de déplacement (autostop organisé ou lignes de covoiturage, par des points d’arrêt matérialisés),
  • le covoiturage planifié entre particuliers ou par le biais de sites en ligne ou d'applications  qui favorisent la mise en relation entre conducteurs et passagers.

Comment fonctionnent les plateformes de covoiturage en ligne ?

Leurs obligations

Si le covoiturage ne nécessite pas l’intervention d’un tiers, la mise en relation entre le conducteur et les passagers se fait dans la majorité des cas via des plateformes en ligne sur internet ou sur smartphone. Ces dernières doivent respecter un certain nombre d'obligations :

  • toutes les plateformes ont l’obligation d’assurer le principe du partage des frais entre le conducteur et le ou les passagers,
  • elles ont également l’obligation d’informer leurs utilisateurs de façon loyale, claire et transparente des conditions d’utilisation et de modalités de référencement et de classement des offres,
  •  les plateformes de covoiturage doivent appliquer les règles de protections des consommateurs, notamment en informant les covoiturés des conditions d'annulation. Si l’annulation est à l’initiative du conducteur, le passager est intégralement remboursé. En revanche, si l’annulation est à l’initiative du passager, les règles peuvent varier en fonction du moment de l’annulation par rapport au trajet. Le passager peut avoir à régler le trajet en partie ou en totalité selon les cas.

Leur mode de fonctionnement

De nombreux points communs concernant le fonctionnement, les services et les options se retrouvent sur la plupart des plateformes :

  • prélèvement d’une commission : la plupart des plateformes prélèvent une commission sur les sommes échangées entre covoitureurs. Cette commission est variable et dépend souvent du moment où la réservation a été effectuée (généralement plus elle est effectuée proche du départ plus la commission est élevée),
  • conseils aux conducteurs sur les sommes qu’ils peuvent demander aux passagers : si le montant demandé par le conducteur aux passagers au titre du partage des frais n’est ni encadré ni limité par les plateformes de covoiturage, ces dernières indiquent souvent au conducteur les sommes maximales conseillées en fonction du trajet. Cela permet d’avertir le conducteur en cas de surestimation du montant et ainsi d’éviter une requalification de l’échange financier en activité professionnelle de transport illicite,
  • paiement du trajet pouvant être réalisé via l’application : il n’existe pas d’obligation en la matière. Le paiement peut tout à fait s’effectuer en main propre le jour du trajet. En pratique, celui-ci se fait dans une grande majorité de cas directement via l’application ou le site internet, par carte bancaire ou porte-monnaie électronique,
  • possibilité de commenter et/ou noter les covoiturés : la plupart des plateformes offrent la possibilité aux passagers et aux conducteurs de faire des commentaires et de laisser des notes,
  • possibilité pour le conducteur d’accepter ou non le passager demandeur.

Quels sont vos droits en tant que passager en covoiturage ?

Dans le cas où le covoiturage entre le conducteur et le ou les passagers se fait sans intermédiaire, les règles de protection des consommateurs ne s’appliquent pas car les covoiturés sont assimilés à des particuliers et le covoiturage n’est pas une activité professionnelle. Les relations entre le chauffeur et les passagers dépendent alors des règles du droit commun. Par exemple, en cas de retard ou d’annulation du trajet, le conducteur n’a pas l’obligation d’indemniser ses passagers.

En revanche, si le covoiturage a été réservé via un professionnel (site internet ou une application) qui prend une commission, cette commission se rattache à un contrat (généralement entre le conducteur et le site internet). Ce sont alors les règles d’information et de protection des consommateurs qui s’appliquent au titre de cette prestation d’intermédiation. Le passager doit alors être informé par le professionnel, des commissions prélevées par le site, des conditions d’annulation, des indemnisations possibles, etc.

Quelles sont vos obligations en tant que conducteur en covoiturage ?

En ce qui concerne les sommes perçues

Si les sommes perçues rentrent dans les frais de covoiturage, elles sont exonérées d’impôt et vous n'avez donc pas à les déclarer.

Pour plus d'informations sur le sujet, vous pouvez consulter notre article : Covoiturage : êtes-vous imposable sur les sommes perçues ?

En ce qui concerne votre contrat d'assurance

En plus du permis de conduire, qui est bien évidemment indispensable pour le conducteur, ce dernier a l’obligation d’être en règle au niveau de son contrat d’assurance.

L’assurance obligatoire de responsabilité civile (dite aussi « assurance aux tiers ») est normalement suffisante pour le covoiturage, car ce type de garantie couvre les dommages qui peuvent être occasionnés à des tiers lors d’un sinistre. Ainsi, le passager du covoiturage est couvert par cette assurance obligatoire.

Cependant, il est vivement conseillé au conducteur de vérifier son contrat - le cas échéant directement auprès de son assureur - notamment pour s’assurer que d’éventuelles clauses n’excluent pas le covoiturage des garanties.

Le conducteur doit vérifier notamment que son contrat d’assurance couvre bien :

  • les trajets domicile/travail, notamment pour le covoiturage avec des collègues,
  • le « prêt du volant », si le conducteur souhaite confier la conduite à un passager. Certains contrats interdisent cette pratique ou la soumettent à une franchise majorée en cas de sinistre.

De quelles aides pouvez-vous bénéficier en pratiquant le covoiturage ?

Afin de répondre aux enjeux écologiques et de limiter les émissions de gaz à effet de serre plusieurs aides ont été mises en place par le Gouvernement ces dernières années pour encourager la pratique du covoiturage :

Le forfait mobilités durables

Les déplacements domicile-travail effectués en covoiturage peuvent être en partie pris en charge par l'employeur. Cette disposition concerne :

  • les employés du secteur privé : vous pouvez recevoir un forfait allant jusqu’à 800€/an, exonéré d’impôts sur le revenu (cette prise en charge facultative, versée par votre employeur, est exonérée de cotisations et de charges sociales pour lui),
  • les agents de la fonction publique : vous bénéficiez d’un forfait mobilités durables de 300€ cumulable avec le remboursement de l’abonnement transport en commun. 

Une prime de 100 € depuis le 1er janvier 2023

Depuis le 1er janvier 2023, les conducteurs qui se lancent dans le covoiturage courte-distance, vont pouvoir recevoir une prime de 100 €, via les plateformes de covoiturage. Cette prime prendra la forme d'un versement progressif :

  • une première partie au premier covoiturage (25 € minimum)
  • et le reste au dixième covoiturage, dans un délai de trois mois à compter de son premier covoiturage.

Pour tout savoir sur les conditions de cette aide, ainsi que sur les autres aides disponibles sur le covoiturage, consultez la page dédiée sur le site du ministère de la Transition écologique

Ce qu’il faut savoir sur le covoiturage

Covoiturage, Auto, Faire Du Covoiturage

Vous souhaitez pratiquer le covoiturage pour vos déplacements quotidiens ? Vous envisagez un trajet de ce type pour partir en vacances ? Assurance, réglementation, aides… Tout ce qu’il faut savoir sur ce mode de transport à la fois économique et écologique.

Qu'est-ce que le covoiturage ?

Selon l’a title"« legifrance.gouv.fr » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">a"ticle L.3132-1 du code des transports, le covoiturage consiste à utiliser un véhicule de transport terrestre (le plus souvent une voiture) partagé par un conducteur non-professionnel avec un ou plusieurs passagers, dans le cadre d’un trajet effectué par le conducteur à son propre compte et qui ne donne lieu à aucune rétribution autre que celle du partage des frais de déplacement.

En ce sens, le covoiturage se distingue du transport public particulier (taxi et VTC).

On parle de covoiturage lorsque deux conditions suivantes sont remplies :

  • le trajet du conducteur est effectué pour lui-même : à l’inverse si le trajet est effectué par le conducteur pour des tiers, il ne s’agit pas d’un covoiturage,
  • les seuls échanges financiers entre le ou les passagers et le conducteur se limitent au partage des coûts du transport : il s’agit principalement des frais de carburant, des éventuels péages ou frais d’assurance, et si les passagers et le conducteur ont été mis en relation par une plateforme, la commission de cette dernière. Mais le conducteur ne doit faire aucun bénéfice sur cette rétribution.

Si l’une de ces conditions n’est pas remplie, le trajet ne peut pas s’assimiler à du covoiturage et il s’agit probablement d’une activité professionnelle. Le conducteur encourt alors des poursuites pénales si cette dernière est non déclarée.

Comment organiser un covoiturage ?

L’organisation du covoiturage, c’est-à-dire la mise en relation d’un conducteur avec un ou plusieurs passagers, peut se faire selon deux principes :

  • le covoiturage spontané, basé sur l’utilisation du trafic routier comme offre potentielle de déplacement (autostop organisé ou lignes de covoiturage, par des points d’arrêt matérialisés),
  • le covoiturage planifié entre particuliers ou par le biais de sites en ligne ou d'applications  qui favorisent la mise en relation entre conducteurs et passagers.

Comment fonctionnent les plateformes de covoiturage en ligne ?

Leurs obligations

Si le covoiturage ne nécessite pas l’intervention d’un tiers, la mise en relation entre le conducteur et les passagers se fait dans la majorité des cas via des plateformes en ligne sur internet ou sur smartphone. Ces dernières doivent respecter un certain nombre d'obligations :

  • toutes les plateformes ont l’obligation d’assurer le principe du partage des frais entre le conducteur et le ou les passagers,
  • elles ont également l’obligation d’informer leurs utilisateurs de façon loyale, claire et transparente des conditions d’utilisation et de modalités de référencement et de classement des offres,
  •  les plateformes de covoiturage doivent appliquer les règles de protections des consommateurs, notamment en informant les covoiturés des conditions d'annulation. Si l’annulation est à l’initiative du conducteur, le passager est intégralement remboursé. En revanche, si l’annulation est à l’initiative du passager, les règles peuvent varier en fonction du moment de l’annulation par rapport au trajet. Le passager peut avoir à régler le trajet en partie ou en totalité selon les cas.

Leur mode de fonctionnement

De nombreux points communs concernant le fonctionnement, les services et les options se retrouvent sur la plupart des plateformes :

  • prélèvement d’une commission : la plupart des plateformes prélèvent une commission sur les sommes échangées entre covoitureurs. Cette commission est variable et dépend souvent du moment où la réservation a été effectuée (généralement plus elle est effectuée proche du départ plus la commission est élevée),
  • conseils aux conducteurs sur les sommes qu’ils peuvent demander aux passagers : si le montant demandé par le conducteur aux passagers au titre du partage des frais n’est ni encadré ni limité par les plateformes de covoiturage, ces dernières indiquent souvent au conducteur les sommes maximales conseillées en fonction du trajet. Cela permet d’avertir le conducteur en cas de surestimation du montant et ainsi d’éviter une requalification de l’échange financier en activité professionnelle de transport illicite,
  • paiement du trajet pouvant être réalisé via l’application : il n’existe pas d’obligation en la matière. Le paiement peut tout à fait s’effectuer en main propre le jour du trajet. En pratique, celui-ci se fait dans une grande majorité de cas directement via l’application ou le site internet, par carte bancaire ou porte-monnaie électronique,
  • possibilité de commenter et/ou noter les covoiturés : la plupart des plateformes offrent la possibilité aux passagers et aux conducteurs de faire des commentaires et de laisser des notes,
  • possibilité pour le conducteur d’accepter ou non le passager demandeur.

Quels sont vos droits en tant que passager en covoiturage ?

Dans le cas où le covoiturage entre le conducteur et le ou les passagers se fait sans intermédiaire, les règles de protection des consommateurs ne s’appliquent pas car les covoiturés sont assimilés à des particuliers et le covoiturage n’est pas une activité professionnelle. Les relations entre le chauffeur et les passagers dépendent alors des règles du droit commun. Par exemple, en cas de retard ou d’annulation du trajet, le conducteur n’a pas l’obligation d’indemniser ses passagers.

En revanche, si le covoiturage a été réservé via un professionnel (site internet ou une application) qui prend une commission, cette commission se rattache à un contrat (généralement entre le conducteur et le site internet). Ce sont alors les règles d’information et de protection des consommateurs qui s’appliquent au titre de cette prestation d’intermédiation. Le passager doit alors être informé par le professionnel, des commissions prélevées par le site, des conditions d’annulation, des indemnisations possibles, etc.

Quelles sont vos obligations en tant que conducteur en covoiturage ?

En ce qui concerne les sommes perçues

Si les sommes perçues rentrent dans les frais de covoiturage, elles sont exonérées d’impôt et vous n'avez donc pas à les déclarer.

Pour plus d'informations sur le sujet, vous pouvez consulter notre article : Covoiturage : êtes-vous imposable sur les sommes perçues ?

En ce qui concerne votre contrat d'assurance

En plus du permis de conduire, qui est bien évidemment indispensable pour le conducteur, ce dernier a l’obligation d’être en règle au niveau de son contrat d’assurance.

L’assurance obligatoire de responsabilité civile (dite aussi « assurance aux tiers ») est normalement suffisante pour le covoiturage, car ce type de garantie couvre les dommages qui peuvent être occasionnés à des tiers lors d’un sinistre. Ainsi, le passager du covoiturage est couvert par cette assurance obligatoire.

Cependant, il est vivement conseillé au conducteur de vérifier son contrat - le cas échéant directement auprès de son assureur - notamment pour s’assurer que d’éventuelles clauses n’excluent pas le covoiturage des garanties.

Le conducteur doit vérifier notamment que son contrat d’assurance couvre bien :

  • les trajets domicile/travail, notamment pour le covoiturage avec des collègues,
  • le « prêt du volant », si le conducteur souhaite confier la conduite à un passager. Certains contrats interdisent cette pratique ou la soumettent à une franchise majorée en cas de sinistre.

De quelles aides pouvez-vous bénéficier en pratiquant le covoiturage ?

Afin de répondre aux enjeux écologiques et de limiter les émissions de gaz à effet de serre plusieurs aides ont été mises en place par le Gouvernement ces dernières années pour encourager la pratique du covoiturage :

Le forfait mobilités durables

Les déplacements domicile-travail effectués en covoiturage peuvent être en partie pris en charge par l'employeur. Cette disposition concerne :

  • a title="« https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14046 » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">l"s employés du secteur privé : vous pouvez recevoir un forfait allant jusqu’à 800€/an, exonéré d’impôts sur le revenu (cette prise en charge facultative, versée par votre employeur, est exonérée de cotisations et de charges sociales pour lui),
  • a title="« https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F12163 » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">l"s agents de la fonction publique : vous bénéficiez d’un forfait mobilités durables de 300€ cumulable avec le remboursement de l’abonnement transport en commun. 

Une prime de 100 € depuis le 1er janvier 2023

Depuis le 1er janvier 2023, les conducteurs qui se lancent dans le covoiturage courte-distance, vont pouvoir recevoir une prime de 100 €, via les plateformes de covoiturage. Cette prime prendra la forme d'un versement progressif :

  • une première partie au premier covoiturage (25 € minimum)
  • et le reste au dixième covoiturage, dans un délai de trois mois à compter de son premier covoiturage.

Pour tout savoir sur les conditions de cette aide, ainsi que sur les autres aides disponibles sur le covoiturage, consultez a title="« https://www.ecologie.gouv.fr/covoiturage-en-france-avantages-et-reglementation-en-vigueur#scroll-nav__3 » dans ue nouvelle fenêtre" h" t" r">l" page dédiée sur le site du ministère de la Transition écologique

En savoir plus sur le covoiturage

Covoiturage : la réglementation applicable sur le site de la DGCCRF

a title="« https://www.ecologie.gouv.fr/covoiturage-en-france-avantages-et-reglementation-en-vigueur » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">L" covoiturage en France, ses avantages et la réglementation en vigueur sur ecologie.gouv.fr

Ce que dit la loi

  • a title="« https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000031051569&cidTexte=LEGITEXT000023086525&dateTexte=20151127&oldAction=rechCodeArticle&fastReqId=301291010&nbResultRech=1 » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">A"ticle L.3132-1 du code des transports
  • a title="« https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043158349/ » dans une nouvelle fenêtre" h" t" r">A"ticle 6B de l'annexe IV du code général des impôts