Bon à savoir
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Du 23 novembre 2023 au 26 novembre 20230
Les dizaines d’ateliers ludiques et éducatifs, permettent aux enfants de plonger au coeur de la radio, de décrypter la fabrication de l’info, de créer des sons et des contenus, et de découvrir des innovations sonores fascinantes.
Le Festival primé en 2023 pour ses qualités attractives aux Oui Love Audio Awards* renforce sa programmation en accueillant 15 nouveaux ateliers innovants, engagés et inclusifs.
Exemples d'ateliers :
- La Yourte avec du son spatialisé par Onyo,
- spectacles Fiction Radio Live par le Collectif Wow,
- atelier Beatbox par Soudure Urbaine,
- coulisses de fabrication du podcast Merci Rémi par Julien Moch,
- création d’un podcast Enfants-Parents par Unison,
- la notion de Fake News abordée dans l’atelier Esprit’Critik par le Club de la Presse Occitanie,
- blind test historique avec Quelle Histoire,
- débats radiophoniques avec l’atelier Le monde des ados par la maison du podcast,
- Le mystère du chat disparu pour nos journalistes en herbe par Médiaclic,
- atelier autour des écogestes par l’Assemblée régionale des radios associatives,
- expérience humoristique T’es son ou quoi par Oaquadi,
- création d’un nouvel univers sonore avec Compose le nouveau son de la Halle par Jérôme Hoffmann et François Ceccaldi,
- déambulation au milieu des douches sonores par Marc Calas et l’expérience musicale avec Immersive Now par Orange...
Halle Tropisme
121 rue de Fontcouverte
34000 Montpellier
Téléphone : 04 67 84 58 10
E-mail :
Site web : www.tropisme.coop/
Selon Orange.fr
Le président français s'est félicité sur X, mercredi 22 novembre, de l'accord trouvé entre Israël et le Hamas pour libérer 50 otages israéliens et permettre une trêve humanitaire à Gaza. Il recevra dans l'après-midi plusieurs ministres des Affaires étrangères de pays arabes, rapporte Europe 1.
Après l'accord trouvé dans la nuit du mardi 21 au mercredi 22 novembre entre le Hamas et le gouvernement israélien, Emmanuel Macron "salue" cette annonce. L'entente porte sur la libération de 50 otages, tous femmes et enfants, détenus dans la bande de Gaza, à raison de 10 libérations par jour. En échange, un cessez-le-feu et une trêve humanitaire de quatre jours sont prévus dans l'enclave, s'est félicité le Hamas. Israël évoque pour sa part une "pause dans les combats". 150 prisonniers palestiniens détenus par Israël doivent aussi être libérés........
Aller plus loin : https://actu.orange.fr/monde/guerre-israel-hamas-emmanuel-macron-salue-l-accord-sur-une-treve-humanitaire-et-la-liberation-d-otages-magic-CNT0000029wJnb.html
Selon France Info :
"On peut tous subir ce que j'ai subi." Visiblement émue, la députée Sandrine Josso a témoigné pour la première fois, lundi 20 novembre, sur le plateau de "C à vous", depuis la révélation de l'affaire Joël Guerriau. L'élue accuse le sénateur de l'avoir droguée en vue de l'agresser sexuellement ou de la violer lors d'une soirée au domicile parisien de son collègue. Des prélèvements ont révélé la présence d'ecstasy dans son organisme, drogue également retrouvée lors d'une perquisition chez Joël Guerriau. "Je ne viens pas pour parler de moi, a assuré Sandrine Josso, encore bouleversée. Je viens pour parler de ce fléau [la soumission chimique]. On ne peut plus détourner le regard."
Dans une enquête de 2021, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) définit la soumission chimique comme l'administration, à des fins criminelles ou délictuelles, de substances psychoactives à l'insu de la victime ou sous la menace. Elisabeth*, elle aussi, tient à alerter sur ce danger. Elle se souvient précisément du couloir étroit menant à la cuisine de l'appartement familial dans lequel elle a grandi. Au milieu se trouvait une armoire à pharmacie et, à l'intérieur, des médicaments par dizaines : calmants, antihistaminiques, antiépileptiques… "J'en ai toujours eu cinq à six brefs souvenirs qui survenaient régulièrement, je vivais avec", raconte-t-elle. Elle se revoit aussi, à neuf ans, dans un train à couchettes avec son père, ingérant à plusieurs reprises des comprimés rangés dans une petite boîte..................
A la veille de la prochaine réunion plénière de la CICTA (Commission Internationale de Conservation des Thonidés de l’Atlantique), la Coopérative des Pêcheurs de Sète (SATHOAN) continue de montrer son engagement pour promouvoir une pêche durable et locale via la pêcherie de « Thon rouge de Ligne – Pêche Artisanale » de Méditerranée.
Pour répondre aux exigences des ecolabels « MSC » et « Pêche Durable », la Coopérative des Pêcheurs de Sète (SATHOAN) poursuit son engagement au travers de projets scientifiques pour continuer d’améliorer les connaissances sur les interactions de la pêcherie « Thon rouge de ligne – Pêche Artisanale » avec les écosystèmes hauturiers de Méditerranée. Le dernier projet en date : le projet PROTECT-MED, « Protection des écosystèmes marins pélagiques par diminution de l’impact des activités de pêche sur la biodiversité méditerranéenne ».
Participer à l’élaboration des analyses risques pêche
Améliorer la sélectivité de l’engin de pêche
Continuer de former et sensibiliser les professionnels sur les problématiques de captures accidentelles
Participer à l’élaboration de recommandations sur les espèces et habitats d’intérêts communautaires
Ce projet porté par la SATHOAN en collaboration avec IFREMER et l’IRD, bénéficie d’un financement du Feampa, du Fond Vert (OFB) et du WWF. PROTECT-MED
Ce projet, comme les précédents, constituera une base d’expérimentation en relation étroite avec les organismes scientifiques (IFREMER, CNRS, IRD) et ONG environnementales. Il est prévue qu’il dure 3 ans.
La SATHOAN regroupe, 14 thoniers senneurs et 60 petits métiers (canneurs/ligneurs, palangriers), la coopérative gère 75% du quota de thon rouge en Méditerranée (4 160 t pour 2023, 350 marins)
Créée et financée par la Région, l’École régionale du numérique (ERN) permet aux personnes les plus éloignées de l’emploi d’accéder à des formations qualifiantes dans le numérique, partout en Occitanie. Bilan d’un dispositif qui affiche un excellent taux d’insertion professionnelle, suite à l’ouverture en septembre de sa 20e antenne.
« Je m’éclate totalement dans mon nouveau métier ! » Ludovic Vinsonneau, 41 ans, est désormais technicien support informatique et administrateur IAM gestion des accès réseaux au sein de la société Inetum à Toulouse. Cet ancien graphiste, qui ne pouvait plus exercer son métier, s’est reconverti grâce à une formation dispensée dans le cadre de l’École régionale du numérique (ERN), un dispositif unique en France, créé et financé par la Région.
Une décision heureuse. Ludovic Vinsonneau, qui s’est tourné vers LDNR, l’un des organismes chargés de dispenser les formations, a validé la certification professionnelle de niveau Bac + 2, reconnue par le ministère du Travail, à l’issue de son cursus de dix mois, et trouvé un emploi.
Ludovic Vinsonneau n’est pas le seul dans ce cas. Conçue sous la forme d’un réseau innovant de formation couvrant les 13 départements de la région, l’ERN accompagne les publics les plus éloignés du marché du travail vers des métiers d’avenir : développeur web / mobile et maintenance réseau.
Un dispositif ouvert aux demandeurs d’emploi sans critère d’âge
Les formations visent les demandeurs d’emploi sans condition de diplôme et sans critère d’âge, la moitié des apprenants ayant un niveau Bac ou moins. Priorité est donnée aux femmes, aux personnes issues des quartiers Politique de la Ville et à celles en situation de handicap. L’ERN les forme au plus près de chez elles. Ce d’autant que son maillage continue de se densifier, une 20e antenne vient d’être inaugurée le 18 septembre à Sète (Hérault) et trois autres sont en projet.
Afin de permettre à ceux qui n’ont pas le budget pour se déplacer d’avoir accès aux formations, la Région passe des marchés avec des organismes de formation présents dans tous les territoires d’Occitanie. Des partenariats sont également noués avec les communes et structures d’accueil locales pour la mise à disposition de salles de cours.
Un taux d’insertion de 80 %
Un choix volontariste de la Région. À ce jour, 61 % des apprenants accueillis avaient au maximum le niveau bac et 24 % étaient des femmes. Plus de 1 700 stagiaires ont déjà été formés et les résultats obtenus sont à la hauteur des attentes : 87 % de réussite à la certification et un taux d’insertion professionnelle à 18 mois de 80 %.
« La force du dispositif est d’aller chercher des personnes qui ne s’autorisaient pas à se diriger vers ces formations au numérique, alors qu’elles rêvaient de travailler dans ce secteur d’activité », observe Nina Buchner, la responsable du centre de formation LDNR à Labège (Haute-Garonne).
L’ERN est plébiscitée par les entreprises régionales. « Nous avons déjà pris en stage et embauché plusieurs collaborateurs issus de ce dispositif et c’est un réel succès », confirme Cyril Gousse, le président de la société Prosoluce, un opérateur télécom et hébergeur, dont le siège est installé à Saint-Gaudens (Haute-Garonne). Pour lui, pas de doute : « L’ERN constitue une chance pour les territoires, car elle permet de retenir en local les compétences, en offrant aux apprenants une formation de qualité et des stages en entreprises ouvrant sur des embauches qualifiées. »
Les métiers porteurs du numérique
Les formations ciblent, c’est vrai, des métiers qui sont en forte tension, où les besoins sont immenses. « L’un des grands atouts de l’ERN est de former à des métiers porteurs, car très recherchés », observe Éric Vella, le directeur des centres AFPA d’Albi (Tarn), de Rodez (Aveyron) et, par intérim, du centre de Montauban (Tarn-et-Garonne).
Ce que confirme Bérangère Grosset, 42 ans. « Je n’avais jamais travaillé dans le numérique. Et, en dix mois, j’ai appris tout ce que doit connaître un développeur web et web mobile, en particulier le langage de programmation », dit- celle qui a suivi sa formation à l’ERN de Moissac (Tarn-et-Garonne).
Sa certification validée, Bérangère Grosset s’est ensuite formée à la gestion de projet digital et elle n’a pas, elle non plus, tardé à trouver un emploi. Aujourd’hui, elle est cheffe de projet chez Web et Solutions. « Je ne regrette pas du tout mon choix. Si c’était à refaire, je referais le même », conclut Bérangère Grosset.
Le 23 novembre est le 327ème jour de l'année du calendrier grégorien. Il reste 38 jours avant la fin de l'année. C'était généralement le 3ème jour du mois de frimaire dans le calendrier révolutionnaire français, officiellement dénommé jour de la chicorée.
Bon si c'est l'heure du petit-déjeuner, on vous souhaite une bonne journée à tous !
Selon France Info : Au milieu des blouses de soignants, les nez rouges de Kratère et Mistral détonnent. Tenue orange pour la première, rose et jaune pour la seconde, les deux clowns enchaînent les chambres au service pédiatrie de l'hôpital Louis-Mourier à Colombes, près de Paris, un établissement de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP). En France, 135 clowns professionnels vont ainsi à la rencontre d'enfants hospitalisés pour leur offrir des moments de bonheur. Cela représente 90 000 enfants par an, et une nouvelle campagne d'appel aux dons - "On soigne mieux un enfant heureux" - est lancée mercredi 22 novembre par l'association Le Rire médecin. Dans une des chambres de l'hôpital Louis-Mourier, Mistral connaît déjà le garçon de 15 ans qui est alité et perfusé. Il a été hospitalisé à plusieurs reprises pour des problèmes gastroentérologiques. Mais même épuisé, il sourit de bon cœur. "Ils sont marrants, même si j'ai peur des clowns. Ils sont drôles dans leur manière de parler. Ça me fait des amis au moins, il n'y a personne qui vient me voir à part ma mère."......... Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/reportage-des-clowns-a-l-hopital-redonnent-le-sourire-aux-enfants-malades-ca-me-fait-des-amis-au-moins_6198087.html
Conseil Municipal de Sète du 20 novembre 2023 :
A Sète se tenait ce lundi 20 novembre 2023 le conseil municipal du mois avec 36 points à l'ordre du jour et bien sur sujets prêtant à discussions. Il fut d'ailleurs présenté le rapport sur les orientations budgétaires 2024 Ci-dessous le résumé de quelques points qui ont été débattus par les élus présents lors de la séance retransmise en direct (dès 17h) sur le Site de Sète.fr.
Il était à suivre en direct sur le site internet de la ville. : Vous pouvez le revoir sur : Cliquez ici : https://www.sete.fr/article/
Revivez les débats de la séance, sur certains points soumis à délibération ===> Plus précisément sur : https://www.sete.fr/
Mais avant d'aborder l'ensemble du Conseil Municipal il est bon de retenir qu'il était particulier car plusieurs élus de l'opposition de gauche (Ensemble pour Sète) animaient et avaient organisé un conseil municipal alternatif à 18 h 30, ce 20 novembre motivés particulièrement par le fait que ceux qui se tiennent en Mairie ne sont plus ouverts directement au public depuis la crise sanitaire du covid. Si Mr Denaja était à priori excusé, étaient donc présents en mairie pour le groupe d'opposition (gauche) : Mme Lesage, Mr Hercé, Mr Carabasse
Une question sur le centre commercial de l'Ile de Thau : https://youtu.be/xGZYl-dqn_U
Voir sur : https://thau-infos.fr/index.php/commune/sete/175701-un-conseil-municipal-alternatif-a-sete-5
Des questions furent donc posées à ce sujet. Car une partie de l'opposition de Droite pense que Monsieur le Maire a trop peur de l'opinion publique pour rendre le conseil public et elle estime aussi qu'avec le jugement en cours, un climat délétère se développe en ville. Pour elle il serait souhaitable que le maire se mettre en retrait. Pour autant, l'Union des Droites restera présente au conseil municipal car pour l'organisation d'un conseil alternatif, ce sont des pitreries. Les discussions ce sont concentrées principalement sur ce sujet, toujours sur le problème du parking souterrain, place Aristide Briand et sur la façon de respecter "la démocratie" dans la gestion du conseil municipal.
Sébastien Pacull, conseiller municipal, Union des droites, précisait : "Nous regrettons l’attitude de l’extrême-gauche qui a décidé d’organiser un conseil municipal alternatif. Fidèle à la doctrine séparatiste de la NUPES, nos collègues se mettent encore en marge des règles de la République et de la démocratie locale. Si nous aussi nous regrettons que les conseils ne se déroulent pas dans de meilleures conditions, nous vous invitons à réagir face à de telles manœuvres pour que nos assemblées deviennent un lieu d’échanges constructifs et respectueux. Nous ne sommes pas dupes et savons très bien que l’opposition rouge et verte de Madame Calueba vous arrange, tombant ainsi dans le panneau de sa propre décrédibilisation. Mais attention car, si à l’époque, le rouge et le vert nous faisaient penser à la pastèque rouge à l’intérieur et verte à l’extérieur, le fruit a pourri ! Et si le rouge révolutionnaire perdure, le vert devient l’emblème d’un regard bienveillant et clientéliste envers la frange islamiste radicale de notre société. A un moment où l’heure est grave pour les valeurs fondamentales de notre république, nous vous invitons à un conseil municipal empreint de respect, et surtout, à tout mettre en œuvre pour que d’autres initiatives de ce genre ne se reproduisent pas..."
D'autres précisons furent demandées.
L'on pouvait alors aborder les points à l'ordre du jour du Conseil municipal avec en premier lieu la lecture du rapport égalité femmes-hommes qui montre que les choses progressent mais qu'il faut poursuivre lles efforts, du recrutement au temps de ravail, de la fomation jusqu'aux conditions de travail et aaux rémunérations. Il fut pris acte du rapport.
Des points à retenir :
En premier lieu, le débat d’orientation budgétaire 2023 (Délib N°2)
La Mairie de Sète précise qu'en 2024, la commune de Sète au même titre que les entreprises et les ménages continuera à supporter l’effet de l’inflation sur le coût de ses achats mais sera confrontée, du fait du resserrement des politiques monétaires, à un renchérissement du coût du crédit à un moment où ses efforts sans précédent en matière d’investissements nécessiteront un recours accru à l’emprunt.
Et elle rajoute : "Outre la problématique que fait peser l’inflation sur les finances communales le budget va s’inscrire dans un contexte économique marqué par une croissante atone en France. La prévision de croissance du PIB retenue par le gouvernement dans le projet de loi de finances pour 2024 est de 1,4 %, après une croissance qui devrait s’établir à 0,9% en 2023.
Le projet de loi de finances 2024 se traduit par une légère augmentation des concours financiers de l’Etat aux collectivités territoriales et plus particulièrement au bénéfice du bloc communal (la DGF est ainsi abondée de + 220 M€).
Le budget de la Ville de Sète s’élèvera à environ 137millions d’euros en 2024 (budget principal et budgets annexes, exprimés en flux réels) dont 88M€ pour les seules dépenses de fonctionnement.
Les orientations budgétaires proposées pour la Ville de Sète en 2024 sont caractérisées par un effort particulier en matière d’investissement avec un volume très important de 33,8M€ tous budgets confondus.
En terme de fiscalité, les orientations budgétaires 2023 sont marquées par une stabilité des taux de taxes foncières et le maintien de la majoration de 60% du produit de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires.
Le budget 2024 est construit pour permettre à l’ensemble du plan d’actions municipales de se poursuivre dans tous les domaines : culture, sport, éducation, jeunesse, animation, action sociale, sécurité, renouvellement urbain, aménagement. Le rayonnement culturel de Sète va continuer à se déployer en 2024 au travers de ses nombreuses actions culturelles, de la fin de la réhabilitation de l’école des beaux-arts, ainsi que de la candidature à Capitale Européenne de la Culture 2028."
"En matière sportive, outre les actions quotidiennes en faveur de sa jeunesse, les travaux d’extension de la Halle Marty qui accueille l’équipe de l’Arago seront engagés pour un montant de 1,5 M€ en 2024 (8,5 M€ sont prévus pour le projet d’extension). Le programme pluriannuel de rénovation des écoles va également se poursuivre, avec l’école Anatole France (plus de 1,9M€ sont prévus pour ce projet en 2024). Concernant la restauration scolaire et malgré les fortes hausses des coûts des denrées (+42% en 18 mois), aucune hausse de tarifs ne sera appliquée afin de permettre au plus grand nombre d’enfants d’avoir accès à des repas de qualité. En matière d’action sociale, il est à noter que la participation versée au CCAS sera à nouveau en hausse en 2024 (8,1M€ en 2024, soit +0,4 M€ par rapport à 2022 et + 1,8 M€ en montant annuel comparativement à l’année 2021). Sur la période 2021-2024, la hausse de la subvention communale s’est ainsi accrue de 29,1%"
Et Mr Escarguel, Adjoint au maire délégué aux finaces rajoutait :
"La sécurité est également une priorité de la Ville de Sète qui dispose de la 84ème police municipale de France sur les 4 525 communes dotées d’une PM et est au 17ème rang des villes de même strate de population. 2024 sera aussi l’année de livraison du nouvel hôtel de police municipale et de son CSU qui sera déployé au niveau du secteur sud de la ZAC est de la ville. Parmi les autres programmes de travaux et d’aménagement sont également prévus pour 2024 : l’aménagement de la place Aristide Briand (3,7 M€), l’aménagement de l’avenue Victor Hugo (1,5 M€), la rénovation des voiries (2,6 M€), l’aménagement des espaces verts (pour près de 711K€).
Enfin, 2024 sera l’occasion de lancer, pour la première fois une démarche de budget participatif, en allouant une enveloppe budgétaire à des projets proposés par les habitants. Pour rappel, la commande publique de la Ville de Sète représente environ 40M€ injectés dans le tissu économique, dont plus de 40% bénéficient aux entreprises du bassin de Thau."
"C’est un programme ambitieux en fonctionnement et en investissement (avec 31,5M€ de dépenses d’équipement prévus au budget principal, un volume encore jamais atteint) qui sera proposé en 2024. Grâce à des recettes dynamiques et une masse salariale maîtrisée, la Ville devrait dégager, malgré ce programme et malgré la forte inflation, une épargne nette d’environ 4,5 M€ et maintenir une capacité de désendettement de 6,7 années pour l’ensemble de ses budgets, soit un niveau bien en dessous du seuil de vigilance qui est de 12 années."
Pour Monsieur Pacull, "si tout va aussi bien , pourquoi ne pas baisser les impôts qui sont très élevés et la taxe d'habitation pour les logements secondaires, aussi. La fiscalité est très élevée. Mais il faut être attentif selon lui : " Il y aura des baisses de prix, de volumes, et le stock de dettes va augmenter mais on ne peut plus faire monter les impôts". et il rajoutait : "la fracture fiscale demeure, l'horizon s'assombrit, ce budget sera incolore et inodore. Les discussions se poursuivaient entre problèmes de taxes et de logements, entre endettement de la ville et préparations des prochaines échéances municipales."
Mais Mr Escarguel assurait que si les bons résultats le permettaient, fin 2024, l'on pourrait tendre vers une légère baisse des impôts fonciers et aytres taxes......
Il fut aussi approuvé le bilan de la réhabilitation des logements en cœur de ville
La Mairie précisait
"Depuis 25 ans, la Ville de Sète ainsi que Sète agglopôle méditerranée se sont engagées dans une stratégie volontariste de reconquête du centre-ville.
L’intervention sur l’habitat ancien du centre-ville a été progressive, consacrant en premier lieu la valeur patrimoniale du cœur de ville. Le point le plus remarquable est la mobilisation conjointe de plusieurs dispositifs conjuguant :
- Une approche incitative (5 OPAH successives dont 1 OPAH-RU 2017-2021, plans façades) qui ont permis de réhabilités 1365 logement en 25 ans.
- Des dispositifs coercitifs mise en œuvre, par la SAELIT, après un accompagnement social, technique et financier incitant les propriétaires et copropriétaires à réhabiliter leurs immeubles.
"Le recours à ces outils d’intervention tels les Périmètres de Restauration Immobilière (PRI) et DUP de restauration immobilière permettent également de lutter contre les marchands de sommeil. Le Programme National de Requalification des Quartiers Anciens Dégradés (PNRQAD) vient consolider l’arsenal d’intervention, tout en s’appuyant sur les acquis et les dynamiques déjà existantes. Ces deux actions ont permis de réhabiliter 233 logements.Ce renouvellement urbain du cœur de ville a également permis un développement de la mixité social au sein du tissu urbain avec la création de 1298 logements HLM entre 1998 et 2022. L’équivalent du nombre de logement sociaux compris sur le quartier de l’Ile de Thau, « les barres HLM en moins ». Ces différents dispositifs ont déjà permis d’intervenir sur plus de 2896 logements. Les transformations de certains îlots, comme par exemple les rues Pierre Sémard, de Tunis, Jean Jaurès et Honoré Euzet sont aujourd’hui visibles et reconnues. Des signaux positifs sont enregistrés sur le marché immobilier : investisseurs locaux, promoteurs, propriétaires occupant acquièrent des biens sur le cœur de ville."
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Approuvé le fait que la Ville de Sète ait fait le choix de la sobriété énergétique via le PPP (partenariat public-privé) (Délib N°32)
"La Ville agit depuis plusieurs années déjà en faveur de la réduction de sa consommation en énergie. Bâtiments municipaux et éclairage public équipés d’éclairage Led, développement des énergies renouvelables… des programmes d’envergure ont été lancés dès 2013, et pour lesquels Sète se place en exemple en la matière. Si l’objectif premier était de limiter l’impact carbone de la collectivité, la Ville tire aussi profit de ces actions qui ont permis de réaliser de substantielles économies. Grâce à cette anticipation, l’impact de la hausse des coûts de l’énergie est moins important que dans d’autres communes.
Entré en vigueur en 2013 pour une durée de vingt ans, le Partenariat Public Privé (PPP) signé par la Ville de Sète avec le groupement d’entreprises SOGETRALEC - CITELUM a permis de moderniser l’intégralité du réseau d’éclairage municipal. La consommation relative à l’éclairage public, la signalisation des feux tricolores et les équipements électriques urbains a ainsi diminué de -55.1% passant de 6 238,4 MWh au 1er août 2013 à 2 852,2 GWh au 1er août 2023, générant un gain financier de 41%. Les économies d’énergie réalisées en cumulé depuis le démarrage de ce PPP atteignent désormais 27,14 GWh, ce qui représente un gain global de plus de 2.846 M€ depuis 2013. En 2023, grâce au PPP, c’est une économie de 275 945€ qui a été généré. Ces efforts ont permis à la ville de limiter l’impact de la hausse des prix de l’énergie pour 2023 en matière d’éclairage.
La Ville s’est également engagée dans un Contrat de Performance Energétique (CPE) avec l’entreprise Dalkia, depuis 2014, pour diminuer l’impact de ses 105 bâtiments municipaux (écoles, bureaux, piscines…). Depuis sa mise en service, la consommation en énergie de l’ensemble de ce patrimoine a baissé de -47,6% et les rejets en CO2 ont diminué de moitié. Pilotage centralisé de la consommation, travaux de rénovation des bâtiments, plusieurs leviers ont été actionnés pour atteindre ce résultat. Pour 2023, l’augmentation a été limitée à environ 100 000 € pour le chauffage au gaz. En l’absence de ces choix techniques réalisés dans le cadre du CPE, le coût aurait été pour l’année 2023 de 1,2 million d’euros"...
Selon Orange.fr
Lors d’une prise de parole mardi 21 novembre à l’Assemblée nationale, Éric Dupond-Moretti a accusé le Rassemblement national de récupération politique après le drame qui s’est déroulé dans la Drôme dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre.
Le sujet des violentes agressions qui ont eu lieu dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre à Crépol, dans la Drôme, qui ont causé la mort de Thomas, un jeune adolescent de 16 ans, était à l’ordre du jour mardi 21 novembre à l’Assemblée nationale. Un débat qui a été marqué par la prise de parole d’Éric Dupond-Moretti, le ministre de la Justice, accusant notamment le Rassemblement national de récupération politique, comme "pour la petite Lola ou le petit Clément"........
Aller plus loin : https://actu.orange.fr/politique/bal-mortel-a-crepol-eric-dupond-moretti-sort-de-ses-gonds-a-l-assemblee-magic-CNT0000029ubyJ.html
Selon France Info :
Ce qu'il faut savoir
La libération des otages détenus par le Hamas est-elle imminente ? "Nous sommes désormais très proches" d'un accord, a déclaré Joe Biden, mardi 21 novembre, depuis la Maison Blanche. Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a fait état, plus tôt dans la journée, de "progrès" dans les négociations avec le mouvement islamiste palestinien Hamas sur la libération des otages détenus à Gaza. Dans la soirée, Benyamin Nétanyahou a estimé, devant son gouvernement, que l'accord sur les otages est "la bonne décision". Le président américain Joe Biden a contribué à "améliorer le cadre qui vous est proposé (...) pour inclure plus d'otages à un moindre coût", a-t-il déclaré lors d'une réunion qui devait accoucher d'une décision dans la soirée. Suivez la situation dans notre direct..............
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