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Budget PLFSS 2024 : des mesures au service de la santé et des solidarités collectives

Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2024 (PLFSS) a été présenté mercredi 27 septembre en Conseil des ministres. Détails des mesures phares de ce projet de loI

Communément appelé PLFSS, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale vise, entre autres, la maîtrise des dépenses sociales et de santé de l’année à venir, tout en permettant une meilleure prévision de ses recettes. C’est dans ce texte de loi, une fois adopté, que les dispositifs relevant de la Sécurité sociale seront mis en œuvre.

budget du PLFSS 2024

640
milliards d'euros

Le budget du PLFSS 2024 dont 252 milliards d’euros pour l’assurance maladie

Le budget du PLFSS est indissociable de son contexte. Durant les années Covid, par exemple, le Gouvernement a déployé des moyens inédits afin de protéger le pays, les Français et leur système de santé. Les revalorisations exceptionnelles, des prestations sociales versées, ont ainsi permis de protéger le pouvoir d’achat des citoyens face à la forte inflation.

Aujourd’hui, le PLFSS 2024 poursuit deux objectifs :

  • assurer la pérennité du modèle social, en poursuivant la transformation du système et en continuant de garantir sa résilience et sa soutenabilité,
  • continuer la modernisation du modèle de protection sociale au service de la santé, des retraites, et de la solidarité.

Ce double objectif est poursuivi via l’établissements de différentes mesures, qui doivent être présentées en octobre au Parlement, pour une entrée en vigueur à partir de janvier 2024.

Présentation du projet de loi de finances pour 2024

Se Brouiller, Graphique, Ordinateur

Présenté en Conseil des ministres par Bruno Le Maire et Thomas Cazenave mercredi 27 septembre, ce projet de loi de finances traduit les choix fiscaux et budgétaires effectués par le Gouvernement pour l’année 2024. Il met l’accent sur la lutte contre l’inflation et la protection du pouvoir d’achat des Français, la baisse du déficit public, et les investissements pour préparer l’avenir et tout particulièrement la transition écologique. Présentation

Le projet de loi de finances pour 2024 s’inscrit dans un environnement économique toujours complexe, marqué par la hausse des taux d’intérêt et des incertitudes géopolitiques majeures, qui résultent notamment de l’invasion russe en Ukraine. 

Chaque année, le projet de loi de finances (PLF) propose l’ensemble des recettes et dépenses de l’État pour l’année suivante. Il détermine ainsi le budget, c’est à dire la nature, le montant et l'affectation des ressources et des charges selon un équilibre économique et financier déterminé.

Pour 2024, le budget est articulé autour de trois chantiers prioritaires :

  • le régalien  – armée, police, justice –, en hausse de 4 milliards d’euros, 
  • la transition écologique, à hauteur 40 milliards d’euros avec 7 milliards d’euros de crédits supplémentaires,
  • l’éducation et la formation à hauteur de 5,5 milliards d’euros.

Ce nouveau budget mobilisera au total près de 25 milliards d’euros pour l’indexation des prestations sociales et des minimas sociaux, des retraites et de l’impôt sur le revenu. 

Les mesures détaillées ci-dessous doivent être présentées en octobre au Parlement, pour une entrée en vigueur à partir de janvier 2024.

Protéger les Français face à l’inflation

Indexer le barème de l’impôt sur le revenu

L'indexation du barème de l'impôt sur le revenu sur l'inflation doit permettre de préserver le pouvoir d'achat des Français, pour un coût estimé à 6,1 milliards d’euros. 

Revaloriser les prestations sociales

Les modalités de revalorisation des différentes aides de solidarité, indexées directement ou indirectement sur l’inflation, doivent elles aussi permettre de soutenir les ménages aux revenus les plus modestes.

De nombreuses aides bénéficieraient de ces revalorisations, qu’il s’agisse :

  • de l’allocation aux adultes handicapés (AAH), 
  • des aides au logement dont notamment l’aide personnalisée au logement (APL), 
  • de l’aide au retour à l’emploi (ARE), 
  • de l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA), 
  • ou encore du revenu de solidarité active (RSA). 

Aider les Français les plus modestes qui doivent utiliser leur véhicule

Cette mesure fait suite aux annonces du Président de la République le 24 septembre 2023. Une indemnité carburant travailleur devrait être mise en place à partir de janvier 2024, ciblée sur les 50 % des travailleurs les plus modestes, soit près de 4,3 millions de Français.

Elle représenterait une indemnité de 100 € par véhicule, soit une aide d’environ 20 centimes par litre pendant 6 mois pour un automobiliste moyen.

Améliorer l’accessibilité

Érigé au rang de priorité par le Président de la République, le renforcement de l’accessibilité bénéficierait de 1,5 milliard d’euros sur cinq ans. 

En matière de logements, le dispositif Ma Prime Adapt’, devrait être lancé le 1er janvier 2024. Ouvert aux personnes handicapées sans condition d’âge, il a pour objectif de soutenir l’accessibilité et l’adaptation des logements privés.

Des politiques de solidarité à destination de tous les étudiants, en particulier pour les plus modestes et les plus fragiles

Le Gouvernement souhaite poursuivre sa mobilisation en faveur du pouvoir d’achat des étudiants avec les mesures suivantes :

  • revalorisation du montant des bourses sur critères sociaux de l’enseignement supérieur de minimum 37 € par mois pour l’année universitaire 2023-2024,
  • augmentation du nombre de boursiers grâce à la revalorisation des barèmes, 
  • pérennisation de la tarification à 1 euro pour les étudiants boursiers et précaires dans les restaurants des CROUS,
  • prolongation du gel des loyers dans les résidences universitaires et des droits d’inscription à l’université en vigueur depuis la rentrée universitaire 2020-2021,
  • mise en œuvre progressive d'une aide financière pour les étudiants ne disposant pas d’une offre de restauration universitaire de proximité.

Construction d’une transition écologique solidaire

En matière de mobilité, le renforcement des aides à l'achat de vélos pour les publics les plus précaires serait prolongé. 

Faire face à l’urgence écologique 

Le projet de loi de finances (PLF) pour l’année 2024 présente un accroissement inédit de 7 milliards d’euros des crédits consacrés à la planification écologique par rapport à 2023, portant le total des dépenses favorables à l’environnement à 40 milliards d’euros.

Parmi les axes principaux présentés dans ce projet de loi de finances pour 2024 :

Accélérer la rénovation des logements

L’objectif est d’accélérer les rénovations énergétiques performantes, ainsi que la sortie des énergies fossiles via des changements de vecteur de chauffage. Ces deux objectifs correspondent aux deux piliers du dispositif MaPrimeRénov’ qui seraient mis en place pour l’année 2024.

Au total, près de 5 milliards d’euros d’engagement sont prévus en 2024 pour accompagner les Français dans la rénovation de leurs logements, soit une hausse de 1,6 milliard d’euros des engagements par rapport à 2024. 

Cette augmentation considérable viendra soutenir notamment la montée en charge des rénovations performantes aidées et accompagnées par MaPrimeRénov’, avec un objectif de 200 000 rénovations dès 2024.

Pour assurer le bon accompagnement des ménages souhaitant réaliser des rénovations performantes, le dispositif « MonAccompagnateurRénov’ » serait également déployé en 2024.

Le prêt à taux zéro (PTZ) serait prolongé mais recentré afin de renforcer son efficacité. Ainsi, la prorogation du PTZ :

  • exclut le financement de travaux pour l’installation de dispositifs de chauffage fonctionnant aux énergies fossiles,
  • maintient le financement de travaux d’amélioration de la performance énergétique des bâtiments
  • et prévoit de faire bénéficier aux logements les plus anciens réhabilités une exonération de longue durée de taxe foncière sur les propriétés bâties.

Soutenir le verdissement du parc automobile

Pour soutenir le verdissement du parc automobile français, le Gouvernement a mis en place des dispositifs d’aides à l’acquisition de véhicules moins polluants, notamment le bonus écologique et la prime à la conversion

Dans un contexte de forte dynamique des ventes de voitures électriques mais des prix unitaires encore élevés, les dispositifs d’aides devraient être mieux ciblés : dès 2024, un score environnemental complet du véhicule doit conditionner son éligibilité aux aides. Le barème du bonus écologique serait mieux différencié et dégressif en fonction des revenus des ménages

Les ménages les plus modestes bénéficieraient aussi du nouveau « leasing social » leur permettant de louer une voiture électrique neuve pour 100 € par mois, avec un système de pré-réservation des véhicules accessible dès novembre 2023.

Encourager l’épargne des jeunes grâce à la mise en place d’un plan épargne « avenir climat »

Annoncé dans le projet de loi pour l’industrie verte, ce nouveau produit d’épargne serait exclusivement réservé aux personnes âgées de moins de 21 ans. L’objectif de ce plan épargne « avenir climat » est de permettre aux jeunes français de constituer une épargne de long terme, orientée vers le financement de la transition écologique.

Décarboner l’industrie et encourager la compétitivité verte

L’État encourage les investissements dans l’innovation verte des entreprises : batteries de voitures électriques, développement de l’hydrogène décarboné, décarbonation des sites industriels.

Ils seront complétés par le crédit d’impôt et les garanties vertes, prévus dans le cadre du projet de loi industrie verte.  

Le crédit d’impôt « investissement industries vertes » (CI3V) doit permettre aux industriels de bénéficier d’un crédit d’impôt représentant de 20 à 45 % de leur investissement. Ce dispositif simple à mobiliser renforcera la souveraineté énergétique de la France et stimulera l’innovation dans les technologies vertes.

Le PLF 2024 engage également la réduction progressive des dépenses fiscales défavorables à l’environnement dites « dépenses fiscales brunes ». À cette fin, le PLF 2024 prévoit l’augmentation progressive du tarif d’accise sur l’achat de gazole non routier (GNR) consommé pour les besoins des travaux agricoles et les entreprises de travaux publics.

Nouvel album, "H2O", pour HIRIS2, un rappeur Sètois, qui vous plonge dans son univers hip-hop

Hiris2, artiste Sétois, écrit ses premiers textes à l'âge de 12 ans où il prend le pseudo de son grand frère (Hiris) pour y ajouter le numéro 2.

C'est à 14 ans qu'il se promet qu'un jour, son deuxième album s’appellera H2O, et c'est au double de cette âge qu'il réalisera cette promesse. Il présente aujourd’hui le fruit de 3 ans de travail au sein du studio GKO RECORDZ à Montpellier, l'album aquatique s'offre une pochette issue d'un shooting photo sous l'eau réalisé en compagnie d’Aurélien Evangelisti.

Une expérience dont il parlera dans le titre "Respirer" dont le clip s'illustre des images sous- marines de ce shooting.

H2O se veut être une plongée dans un univers hip-hop dans lequel le texte est placé en priorité. La musique quant à elle se permet toute les folies nécessaire à raconter cette odyssée intérieure et psychédélique d'un esprit borderline ; des sonorités égyptiennes de « Osiris » aux compositions orchestrales de « L'origine du mal » et du « Club des 27 » en passant par des productions évolutives dans « Déconstruction » ou « Twitter Contenders » et toucher les fonds marins avec des ambiances sombres dans « Avant toute chose » ou « Dilué ».

Un 2ème album qui se veut le double du premier, passant de 11 titres à 22 et qui sortira le 22 septembre. Bonne plongée et bonne écoute.

NOUVEL ALBUM H2O  : 

Il est disponible sur toutes les plateformes de streaming : https://songwhip.com/hiris2/h2o

Un Conseil national de la refondation sur les questions de sécurité aura lieu jeudi autour d’Elisabeth Borne

Selon France Info :

Sécurité, Protection, Antivirus

Un Conseil national de la refondation (CNR) aura lieu jeudi 5 octobre sur les questions de sécurité, a appris lundi franceinfo de sources gouvernementales, alors qu'Emmanuel Macron a annoncé la création de 239 nouvelles brigades de gendarmerie sur tout le territoire.

>> CARTE. Découvrez les 239 nouvelles brigades de gendarmerie

Cette édition du CNR, sur la sécurité, aura lieu jeudi autour de la Première ministre Elisabeth Borne, qui inaugurera vendredi une prison à Caen, dans le Calvados.

Le chef de l'Etat, qui a annoncé la création de ces nouvelles brigades de gendarmerie, a promis cet été "l'ordre, l'ordre, l'ordre" après les émeutes urbaines qui ont agité la France. L'exécutif avait également indiqué qu'il "reviendra dans les semaines qui viennent sur les émeutes" avec d'autres réponses, notamment le 9 octobre lors du comité interministériel des villes.

................ Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/politique/gouvernement-d-elisabeth-borne/un-conseil-national-de-la-refondation-sur-les-questions-de-securite-aura-lieu-jeudi-autour-d-elisabeth-borne_6097563.html

Le Centre communal d’action sociale alerte sur les visites, ces derniers jours, de faux agents du CCAS aux domiciles des seniors.

Avis aux bénéficiaires des services du CCAS : Le Centre communal d’action sociale alerte sur les visites, ces derniers jours, de faux agents du CCAS aux domiciles des seniors.
Toutes les personnes bénéficiant des services du CCAS doivent savoir que les agents du Centre d’action sociale qui se rendent au domicile des séniors, sont munis d’une carte professionnelle.
Ainsi, ces derniers doivent se montrer vigilants et ne pas laisser entrer un ou des inconnus à leur domicile. Le CCAS de la Ville de Sète est à la disposition de tous au 04 67 51 65 00 au moindre doute ou fait suspect.
Photo Ville de Sète
Peut être une image de thermostat et texte

À VOS AGENDAS | Semaine du 2 au 8 octobre 2023

Rendez-vous tous les lundis pour découvrir l’agenda de la semaine 
En attendant, n’hésitez pas à consulter tous les événements de l’Archipel de Thau sur son site web archipel-thau.com ou téléchargez l'agenda du mois directement ici : eqrcode.co/a/agendaThau

Flash : La série Demain nous appartient prépare ses épisodes pour Noël

 La série Demain nous appartient, à voir le soir sur TF1, va  tourner des épisodes de l'hiver et donc un décor de marché de Noël est à cet effet mis en place à Sète sur le quai du Mas Coulet et ce 2 octobre au matin, de grands sapins ont été livrés sur le site.

la délégation à la commune de Sète de la mise en oeuvre du dispositif du permis de louer a été approuvée en conseil communautaire

Le permis de louer  a été validé à Sète, en conseil municipal,  sur le centre ancien pour lutter contre l'habitat indigne et indécent. La délégation à la commune POUR la mise en oeuvre du dispositif a été approuvée en conseil communautaire. Une phase de test débutera à Sète le 1er avril 2023, pour lutter contre les locations insalubres et non-décentes.
Michel Arrouy, Maire de Frontignan Lapeyrade, souhaiterait que ce permis de louer soit élargi sur le territoire de SAM.  Pour l'instant il faut étudier cette possibilité mais si cette solution était retenue il faudrait des personnels, et donc un budget pour un nouveau service La ville de Sète avait déjà ces moyens. Le sujet sera abordé en commission.

 

Mais commet fonctionne le permis de louer : 

La loi ALUR du 24 mars 2014 offre la possibilité aux EPCI compétents en matière d’habitat d’instaurer le permis de louer afin de lutter plus efficacement contre l’habitat indigne et les marchands de sommeil.

43 communes de l’Hérault ont ainsi mis en œuvre la procédure de permis de louer qui oblige tout propriétaire d’un logement situé dans un périmètre défini par la collectivité à demander à la collectivité (mairie ou EPCI) une autorisation préalable avant la mise en location de son logement. C’est l’occasion pour la puissance publique de vérifier que le logement présente toutes les caractéristiques d’habitabilité exigées, avant sa location.

Volets, L'Architecture, La Fenêtre

Les sanctions

En cas de manquement (défaut de demande, location malgré refus d’autorisation, location sans autorisation d’un logement insalubre...), le propriétaire peut se voir sanctionner par une amende pouvant atteindre 15 000 euros, modulée en fonction de la nature de l’infraction.

Par arrêté en date du 28 décembre 2020, le préfet de l’Hérault a validé la grille de modulation du montant des amendes qui seront mises en œuvre systématiquement par les services de l’Etat en cas d’infraction à la procédure de permis de louer. Le produit de ces amendes sera reversé à l’ Agence nationale de l’habitat (Anah).

Premier jour de la semaine, retrouvez les statistiques opérationnelles du SDIS de l’Hérault

Sapeur Pompier, Alarme, Pompier, Urgence

Premier jour de la semaine, retrouvez les statistiques opérationnelles du SDIS de l’Hérault. A lire également l'info de la semaine des sapeurs-pompiers Héraultais sur le thème: « Randonner en toute sécurité pensant la période de chasse ».

Lire sur : https://www.facebook.com/SDIS34

Encore un programme bien rempli en octobre à la maison de l'orientation de Montpellier

Encore un programme bien rempli en octobre à la maison de l'orientation de Montpellier

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La récolte viticole est contrastée dans l’Hérault.

Le Président, Kléber Mesquida et le vice-président délégué à l’économie agricole et à l’aménagement rural, Yvon Pellet ont rencontré les viticulteurs au moment des vendanges. Millésime difficile compte tenu du manque d’eau et de la canicule d’août.

La récolte viticole est contrastée dans l’Hérault. Dans les secteurs irrigués ou ayant bénéficié d’une bonne pluviométrie, les vignerons s’attendent à une récolte de qualité. En revanche, les secteurs où il n’y a pas eu de pluie, comme sur le biterrois, les pertes peuvent atteindre 80% sur des parcelles non irriguées.

La tendance au niveau du département est une perte de 15 à 30% de la récolte. A noter que ces conditions sont particulièrement difficiles pour attirer et garder les jeunes vignerons.

« Les viticulteurs sont des acteurs majeurs de l’économie héraultaise. Ils façonnent l’Hérault et participent à sa notoriété. Le changement climatique impacte les activités agricoles et viticoles de l’Hérault, deuxième producteur de vin français. Face aux défis climatiques, environnementaux et économiques, nous sommes à leurs côtés », rappel Kléber Mesquida, Président du Département de l’Hérault.

Le Département apporte son aide aux viticulteurs !

Pour accompagner la transition écologique et climatique, le Département recherche des solutions pour transformer l’agriculture notamment à travers l’expérimentation de cépages résistants à la sécheresse et aux maladies. La nouveauté de cette année : le Département expérimente une nouvelle technique naturelle pour lutter contre des insectes ravageurs tout en protégeant le sol et l’eau des nappes !

Le Département envisage également la création de retenues hivernales pour irriguer des cultures, là où il n’existe aucune autre solution en été tout en sécurisant les ressources locales (alternative aux forages). La collectivité a lancé une étude pour savoir si la création de réserves alimentées en hiver par un prélèvement à partir de l’eau du Rhône serait faisable sur 3 territoires :

  • Florensac
  • Pouzolles, Coulobres
  • Caussiniojouls, Autignac, Magalas

A la différence des méga-bassines, aucun prélèvement ne se fera dans les nappes phréatiques. Ces retenues hivernales apporteraient localement un complément d’eau aux agriculteurs, collectivités et acteurs de la défense contre les incendies.

Un soutien pour l’Œnotourisme

Enfin, en partenariat avec les professionnels de deux filières Tourisme et Viticulture, le Département a créé l’Œnotour de l’Hérault : concept unique en France.

L’objectif ? Faire découvrir l’Hérault viticole au travers des activités de tourisme et de loisirs et hisser l’Hérault dans le top des destinations oenotouristiques d’Europe !

25 routes des vins maillent le territoire d’est en ouest et du nord au sud, plus de 800 caveaux ouverts au public, auxquels il faut ajouter 7 destinations Vignobles & Découvertes. Au cœur de tous ces parcours, 98 caveaux-étapes, 9 œnopôles et maisons des vins se sont engagés pour être les ambassadeurs de l’Œnotour. Ils accueillent les visiteurs pour une dégustation de leurs vins et les renseignent sur les sorties nature, sport, culture, les lieux à visiter, les restaurants ou hôtels à tester… autour de leur terroir, mais aussi pour des séjours dans des gîtes ou des chambres d’hôtes de grande qualité.

La bonne santé de la viticulture est cruciale pour l’environnement et l’économie de l’Hérault. « Il y a cette volonté de Kléber Mesquida et de sa majorité de continuer à soutenir l’agriculture et la viticulture de notre Département qui constituent le 2ème PIB de notre Département après le tourisme », précise Yvon Pellet, vice-président délégué à l’économie agricole et à l’aménagement rural.

 

Disparition de Lina : un témoin affirme l'avoir vue dans une voiture

Selon Orange.fr

La jeune fille a disparu il y a plus d’une semaine près de la gare de Saint-Blaise-la-Roche, dans le Bas-Rhin. Une information judiciaire a été ouverte pour "enlèvement ou séquestration".

Les recherches se poursuivent et aucune piste n’est écartée. Lina, une adolescente de 15 ans, reste introuvable depuis plus d’une semaine. Elle a disparu alors qu’elle se rendait à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, dans le Bas-Rhin. Dans l'émission 66 minutes, sur M6, un témoin raconte l’avoir vu passer à bord d’une voiture conduite par un homme.

Le jour de sa disparition, "je l'ai vue passer, dans une voiture bleue", affirme l’homme, au micro de M6. "Elle était habillée en clair. Elle a fait un coucou en passant”, se remémore le témoin. Selon lui, la jeune fille n’était pas inquiète : “Elle avait l'air normale, elle n'avait pas l'air soucieuse ou quoi". L'homme affirme également "qu'elle n'a pas fait d'appel ni de quoi que ce soit".

"Cette route mène à Strasbourg, le sens inverse de la gare"..........

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/disparition-de-lina-un-temoin-affirme-l-avoir-vue-dans-une-voiture-magic-CNT0000027MPZ2.html

Haut-Karabakh : "L'ONU arrive trop tard", déplore le représentant du Haut-Karabakh en France

Selon France Info : 

"L'ONU arrive trop tard", déplore le représentant du Haut-Karabakh en France lundi 2 octobre sur franceinfo Hovhannès Guévorkian, représentant du Haut-Karabakh en France, alors qu'une mission de l'ONU est arrivée dans la matinée dimanche 1er octobre, pour évaluer les besoins humanitaires sur place. "Je ne sais pas quel est l'objectif de l'ONU, d'aller dans un endroit où toute la population est partie. C'est pour protéger, mais pour protéger qui ?", s'interroge-t-il.

>> Haut-Karabakh : "Il faut sortir de la peur, il faut sortir du fantasme", affirme l'ambassadrice d'Azerbaïdjan

franceinfo : L'ambassadrice d'Azerbaïdjan affirme que les Arméniens "avaient le choix" et qu'ils "ont décidé volontairement de ne pas continuer à habiter dans la région". Qu'en pensez-vous ?

Hovhannès Guévorkian : Il y a trois ans, ce même gouvernement avait promis que toutes les divergences avec les Arméniens du Haut-Karabakh seraient réglées via les négociations. Ce gouvernement n'a pas respecté sa parole et a lancé une offensive. Il a signé un cessez-le-feu en 2020 et il l'a lui-même mis à la poubelle récemment en lançant une deuxième offensive au mois de septembre. Ce même gouvernement a imposé à mon peuple un blocus total pendant neuf mois, où nous n'avions ni nourriture, ni médicament, ni énergie. Comment expliquer que pratiquement toute la population, 120 000 personnes, quitte ce territoire ? Vous pensez que du jour au lendemain la population quitte sans raison leur région ? Ils sont contraints, ils fuient une mort certaine.

Qu'attendez-vous ?............ Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/conflit-dans-le-haut-karabakh/haut-karabakh-l-onu-arrive-trop-tard-deplore-le-representant-du-haut-karabakh-en-france_6096624.html