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Réforme des fourrières : quand mon département sera-t-il concerné ?

Voiture De Sport, Auto, Véhicule

 

De nouvelles règles concernant les fourrières automobiles entrent progressivement en vigueur dans les départements. Cette réforme visant à simplifier les démarches d'entrée, de sortie et de gestion des véhicules en fourrière sera déployée dans l'ensemble du territoire au 1er avril 2021. Quelles sont ces nouvelles règles ? Quels est le calendrier ? Trois arrêtés parus au Journal officiel le 14 novembre 2020 sont complétés par un nouvel arrêté le 27 janvier 2021.

Les principaux changements sont :

  • Chaque véhicule mis en fourrière fait désormais l'objet d'une nouvelle fiche descriptive plus détaillée comportant notamment l'état du véhicule (bon état, dégradé, dommages graves) et deux dessins du véhicule portant les symboles des dommages apparents (rayures, enfoncements, bris). Elle est établie par l'officier de police judiciaire (OPJ) ou l'agent de police judiciaire adjoint, si possible contradictoirement en présence du propriétaire ou du conducteur. Cette fiche s'ajoute au procès-verbal et à la fiche de circulation.
  • Le véhicule ne fait plus l'objet d'une expertise automobile comme il était d'usage 4 jours après sa mise en fourrière.
  • Un véhicule en mauvais état mis en fourrière est considéré comme abandonné :
    • si sa valeur marchande est estimée insuffisante. Cette valeur est établie en tenant compte de ses caractéristiques techniques, de sa date de première mise en circulation et, le cas échéant, des motifs de sa mise en fourrière. Auparavant, sa valeur devait être inférieure à 765 € ;
    • au bout de 10 jours à compter de la mise en demeure faite au propriétaire de retirer son véhicule + 1 jour ouvrable.

    L'officier de police judiciaire (OPJ) a toujours la possibilité de retirer à titre conservatoire le certificat d'immatriculation du véhicule (par exemple, si le véhicule est endommagé).
  • Si le propriétaire n'a pas pu récupérer son véhicule dans les délais impartis, il peut toujours venir le chercher tant que les domaines ne l'ont pas vendu. Dans ce cas, il devra régler les frais de mise en vente, plafonnés à 100 € pour une voiture particulière et 50 € pour un deux-roues, en plus des autres frais.
Calendrier de l'application des mesures dans les départements

Dates

Départements concernés

17 novembre 2020

Finistère, Indre-et-Loire, Nord, Pas-de-Calais, Seine-et-Marne, Vienne, Haute-Vienne, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne, Val-d'Oise

1er février 2021

Aisne, Bouches-du-Rhône, Charente, Charente-Maritime, Côtes-d'Armor, Eure, Eure-et-Loir, Gironde, Landes, Oise, Seine-Maritime, Yvelines, Somme, Var, Yonne, Essonne, Hauts-de-Seine

1er mars 2021

Ain, Alpes-de-Haute-Provence, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes, Ardèche, Calvados, Dordogne, Drôme, Gard, Gers, Ille-et-Vilaine, Isère, Loire, Lot-et-Garonne, Manche, Marne, Haute-Marne, Mayenne, Morbihan, Orne, Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Rhône, Sarthe, Savoie, Haute-Savoie, Vaucluse

1er avril 2021

Allier, Ardennes, Ariège, Aube, Aude, Aveyron, Cantal, Cher, Corrèze, Corse-du-Sud, Haute-Corse, Côte-d'Or, Creuse, Doubs, Haute-Garonne, Hérault, Indre, Jura, Loir-et-Cher, Haute-Loire, Loire-Atlantique, Loiret, Lot, Lozère, Maine-et-Loire, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Moselle, Nièvre, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Orientales, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Haute-Saône, Saône-et-Loire, Paris, Deux-Sèvres, Tarn, Tarn-et-Garonne, Vendée, Vosges, Territoire de Belfort, Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion, Mayotte

  A savoir : Dans le cadre de la mise en place du système d'information national des fourrières en automobiles (SI Fourrière), un téléservice de demande d'autorisation de sortie de fourrière permettra aux usagers de réaliser cette démarche en ligne, avec une instruction automatisée, sans avoir à se déplacer au commissariat ou à la gendarmerie.

Les deux-roues ne peuvent plus circuler entre deux files de voitures

L’expérimentation de la circulation inter-files (CIF) des motos et des scooters sur certaines routes de 11 départements français s’est achevée le 31 janvier 2021. Il est désormais interdit aux deux-roues et trois-roues motorisés de circuler entre deux files de voitures partout en France.

Cette expérimentation avait été mise en place depuis le 1er février 2016 dans les 8 départements de l’Île-de-France ainsi que dans les Bouches-du-Rhône (13), la Gironde (33) et le Rhône (69). Seules certaines voies de ces départements étaient concernées : les autoroutes et routes à deux chaussées séparées par un terre-plein central et dotées d’au moins deux voies chacune, où la vitesse maximale autorisée est supérieure ou égale à 70 km/h, entre les files de véhicules situées sur les deux voies, ayant le même sens de circulation, les plus à gauche d’une chaussée.

Selon la Sécurité routière qui s’appuie sur le rapport du Cerema remis en janvier 2021 (Centre d’études et d’expertises sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) , le bilan de l’expérimentation de l’accidentalité des deux-roues motorisés est décevant. Elle a augmenté de 12 % sur les routes où l’expérimentation a eu lieu alors qu’elle a baissé de 10 % sur les autres routes des départements concernés.

Cependant, cette expérimentation a renforcé la pédagogie sur la circulation inter-files. Aussi, une seconde expérimentation plus approfondie est envisagée avec de nouveaux éléments comme l’élargissement des zones géographiques concernées et de nouvelles règles de circulation.

  A savoir : Remonter une file en deux-roues vous expose à un retrait de 3 points sur votre permis de conduire et à une contravention de 4e classe, soit une amende forfaitaire de 135 €.

Tarifs réglementés de l'électricité : quelle augmentation au 1er février ?

 

À partir du 1er février 2021, les tarifs réglementés de vente d'électricité d'EDF et des Entreprises locales de distribution (ELD) augmentent en moyenne de 1,6 %. C'est ce qu'indique en effet le site du médiateur national de l'énergie.

 

Cette hausse appliquée par EDF concerne environ 23 millions de foyers. Elle se base sur une décision du ministère de la Transition écologique et solidaire et du ministère de l'Économie et des Finances publiée au Journal officiel du 31 janvier 2021.

Elle fait suite à l'augmentation de 1,54 % des tarifs réglementés de l'électricité pour les particuliers au 1er août 2020.

  A savoir : Les tarifs réglementés sont fixés en fonction des coûts de l'énergie, du coût d'acheminement et du coût de commercialisation.

Rénovation énergétique : élargissement des bénéficiaires de MaPrimeRénov'

Illustration 1Crédits : © Ministère de la Transition écologique et solidaire

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Afin de soutenir la rénovation énergétique des logements dans le cadre du Plan de relance annoncé le 3 septembre 2020 par le Gouvernement, le dispositif MaPrimeRénov' devient accessible à tous les propriétaires à compter du 1er janvier 2021. Il s'agit de favoriser les rénovations globales les plus efficaces et l'éradication des « passoires énergétiques ». Deux décrets et deux arrêtés parus au Journal officiel le 26 janvier 2021 précisent ces nouvelles dispositions.

Depuis le 1er janvier 2020, l'État propose MaPrimeRénov' pour aider les ménages à financer les travaux de rénovation énergétique dans leur logement.

Jusqu'à présent réservée aux propriétaires occupants modestes et très modestes, cette aide est désormais accessible à tous les propriétaires occupants, sans condition de ressources, et s'applique aux demandes de primes déposées auprès de l'Agence nationale de l'habitat (ANAH) à compter du 1er janvier 2021.

MaPrimeRénov' est également ouverte depuis le 1er janvier 2021 à l'ensemble des copropriétés (y compris celles qui ne se trouvent pas en situation de fragilité). Elle vient simplifier le financement des travaux grâce à une seule aide collective, versée au syndicat de copropriétaires, indépendamment des situations individuelles des copropriétaires.

À partir du 1er juillet 2021, les propriétaires bailleurs pourront déposer leur demande de prime. Cette prime vise à encourager la rénovation énergétique des logements du parc locatif privé.

Sont éligibles les travaux faisant l'objet d'un devis signé à partir du 1er octobre 2020.

Sont également prévus :

  • un bonus pour accélérer le traitement des « passoires thermiques » (logements énergivores F ou G) ;
  • une incitation pour les ménages plus aisés à effectuer des rénovations globales de leur logement qui permettent un gain énergétique de plus de 55 % ;
  • un bonus Bâtiment Basse Consommation (BBC) pour récompenser l'atteinte de l'étiquette énergie B ou A ;
  • un accompagnement des ménages avec la création d'un forfait Assistance à Maîtrise d'Ouvrage (AMO).

L'ANAH ne verse pas la prime lorsque son montant est inférieur à 80 €.

  A noter : Cette mesure est inscrite au projet de loi de finances pour 2021 qui a comme objectif d'accompagner le plan France Relance [application/pdf - 2.5 MB] .

  A savoir : Remplacé par MaPrimeRénov' le Crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE) a été supprimé le 1er janvier 2021.

Les vaisseaux fantômes de Sette.

En juillet-août 1793, la France révolutionnaire devait faire face à de nombreux périls. L'un d'eux était le manque de grains, pouvant engendrer disette et famine. "Sette" en était menacée, malgré les secours extérieurs et le rôle du port.

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L'examen des délibérations municipales de l'été 1793 nuance fortement les affirmations de l'Histoire de Sète (Privat 1986), selon lesquelles Sète ne manqua jamais de grains pendant la Révolution. Le port permettait sans doute d'approvisionner un "vaste hinterland méridional allant du piémont pyrénéen à l'Auvergne et au Dauphiné" (p.151). L'incontestable sérieux de l'ouvrage ne permet pas de douter de cette affirmation. Mais les Sétois, eux, étaient apparemment très mal servis par ce flux commercial. Le 15 juillet 1793, les documents municipaux notent que "la municipalité a été souvent dans des transes affreuses"..."nous avons été sur le point, la semaine dernière, de manquer totalement de pain" et le 16 juillet, il est noté la difficulté d'approvisionnement en grains dont cette ville est sur le point de manquer. Le 26 juillet, "pas de bleds au marché de Béziers". De même le 5 août, constatent les boulangers qui se sont déplacés en personne.

 Le 9 août, le scribe municipal consigne "le manque total de grains et farines". Pourtant, l'agglomération avait reçu de l'aide du département prise sur le fonds des "bleds nationaux". Mais la ville mettait ses espoirs dans le port qui commerçait avec Gênes. Certes, il fallait "payer les cargaisons des neutres" soit en vins, soit en numéraire. Cela rendait le blé fort cher, mais éloignait le spectre de la famine. Au début d'août 1793, on attendait l'arrivée de deux navires génois chargés de grains.

Or, ces vaisseaux étaient retenus à Marseille depuis plus de deux mois. Et les producteurs du département refusent de livrer leurs récoltes au demeurant fort réduites. L'année avait été mauvaise, la soudure difficile. Les Sétois en appellent au tribunal de commerce de Marseille. Cette instance rend son verdict : les cargaisons sont déclarées libres. Mais, arguent les Marseillais, elles risquent d'être saisies par les navires ennemis. Et puis, on manque aussi de blé à Marseille. La ville veut garder les grains et offre de payer leur valeur.

 Bien embarrassés, les édiles sétois écrivirent au ministre de la guerre. On ne sait ce que celui-ci décida, mais, décidément, face aux difficultés concrètes, ils paraissaient bien irréels ces navires génois.

Hervé Le Blanche.

Lutte contre le "séparatisme" : l'Assemblée nationale vote le "contrat républicain"

Un article central dans la lutte contre le "séparatisme" selon la majorité, mais vivement contesté par l'opposition. L'Assemblée nationale a voté en faveur d'un "contrat d'engagement républicain" pour les associations, une disposition du projet de loi "confortant le respect des principes de la République", vendredi 5 février dans la soirée. 

Adoptée par 81 voix contre 20, cette disposition figure à l'article 6 du projet de loi, débattu depuis lundi en première lecture à l'Assemblée nationale. L'article prévoit que toute association ou fondation sollicitant une subvention publique "s'engage, par un contrat d'engagement républicain, à respecter les principes de liberté, d'égalité, de fraternité, de respect de la dignité de la personne humaine".

En savoir beaucoup plus sur : https://www.francetvinfo.fr/societe/religion/religion-laicite/lutte-contre-le-separatisme-l-assemblee-nationale

Du 4 au 12 février, France Télévisions se mobilise pour faire découvrir aux élèves de 3e les métiers de l'audiovisuel

Du 4 au 12 février, France Télévisions se mobilise pour faire découvrir aux élèves de 3e les métiers de l'audiovisuel !
Au programme, des rencontres-métiers avec les professionnels, 
Samuel Etienne
Leïla Kaddour
Julien Pain

La Borne des Buralistes

La Borne des Buralistes a été créée et développée par Proxigital, qui est hébergée par la Confédération des buralistes.

Lancée par la start-up Proxigital, la Borne des buralistes est testée dans une cinquantaine de commerces en France : découvrir sur https://www.lemondedutabac.com/borne-des-buralistes-on-a-deja-pres-de-400-demandes

Ce sont des informaticiens passionnés et des anciens de Nickel très attachés au réseau des buralistes, tous prêts à relever d’incroyables challenges !

Une borne installée chez un buraliste proche de chez vous, c’est la possibilité de communiquer directement à votre cible naturelle, sans déperdition.

Pour les trouver : https://labornedesburalistes.fr/ou-nous-trouver/

Entreprises : publiez votre index de l'égalité femmes-hommes avant le 1er mars

Les entreprises d'au moins 50 salariés doivent calculer et publier leur index de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes au plus tard le 1er mars 2021. Obligation légale, l'index permet aux entreprises de mesurer l'égalité salariale femmes-hommes au sein de leur structure. Il met en évidence les points de progression sur lesquels agir quand ces disparités sont injustifiées.

Cet index permet aux entreprises concernées d'évaluer sur 100 points le niveau d'égalité entre les hommes et les femmes en s'appuyant sur les critères suivants :

  • écart de rémunération femmes-hommes ;
  • écart de taux d'augmentations individuelles ;
  • nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité ;
  • parité parmi les 10 plus hautes rémunérations ;
  • écart de taux de promotions (uniquement pour les entreprises de plus de 250 salariés).

Chaque année, l'employeur doit :

  1. calculer son index grâce au simulateur-calculateur  ;
  2. le déclarer à l'inspection du travail via le site Internet Index Egapro  ;
  3. publier la note de l'index sur son site internet (ou, à défaut de site internet, la transmettre aux salariés par tout moyen), et communiquer le détail des résultats obtenus au comité social et économique (CSE) via la base de données économiques et sociales (BDES).

Des pénalités pouvant atteindre 1 % de la masse salariale sont prévues si la note minimale de 75 points n'est pas atteinte au bout de 3 ans à partir de la publication de la 1re note ou si l'entreprise ne publie pas son index.

Pour faciliter la mise en œuvre du dispositif, le ministère du Travail a développé un dispositif d'accompagnement gratuit à destination des entreprises de 50 à 250 salariés : stages en classes virtuelles d'une demi-journée, module d'autoformation en ligne , questions-réponses et simulateur-calculateur .

  A savoir :  Initiative visant à supprimer les écarts de rémunération, depuis le 1er janvier 2019, l'index de l'égalité salariale femmes-hommes a été instauré par la Loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel .

Plan 1 jeune, 1 solution : l'aide à l'embauche des jeunes est prolongée

Faciliter l'entrée dans la vie professionnelle des jeunes particulièrement touchés par les conséquences de la crise sanitaire, orienter et former 200 000 d'entre eux vers les secteurs et les métiers d'avenir, accompagner ceux qui sont éloignés de l'emploi en construisant 300 000 parcours d'insertion sur mesure : le plan « 1 jeune, 1 solution » va accompagner les 16-25 ans pour les aider à construire leur avenir. Initialement prévue jusqu'au 31 janvier 2021, la compensation de charges de 4 000 € pour les entreprises recrutant un jeune de moins de 26 ans vient d'être prolongée de 2 mois.

En concertation avec les partenaires sociaux, les entreprises et les territoires (service public de l'emploi, services de l'État dans les territoires, associations de jeunes et d'apprentis, associations de représentation des élus locaux, entreprises qui s'engagent...), le plan 1 jeune, 1 solution [application/pdf - 7.0 MB] s'appuie notamment sur l'adaptation des outils nationaux aux spécificités locales, le choix des secteurs prioritaires ou encore la construction de partenariats avec les réseaux d'intervention auprès des jeunes.

En quoi consiste le plan « 1 jeune, 1 solution » ?

Le dispositif prévoit 3 axes :

  • Faciliter l'entrée dans la vie professionnelle
    • Une compensation de charges de 4 000 € pour les entreprises qui recrutent un jeune de moins de 26 ans en contrat à durée indéterminée ou à durée déterminée d'au moins 3 mois entre le 1er août 2020 et le 31 mars 2021 ;
    • Une aide exceptionnelle de 5 000 € pour le recrutement d'un alternant (en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation) de moins de 18 ans et de 8 000 € si celui-ci a plus de 18 ans ;
    • Des missions de service civique supplémentaires pour permettre à davantage de jeunes de s'engager.
  • Orienter et former 200 000 jeunes vers les secteurs et les métiers d'avenir
    • De nouvelles formations qualifiantes ou pré-qualifiantes à destination des jeunes sans qualification ou en échec dans l'enseignement supérieur ;
    • Des formations qualifiantes pour répondre aux besoins du secteur du soin et de la santé ;
    • Des formations numériques pour les jeunes non-qualifiés ;
    • Des parcours individualisés pour les décrocheurs entre 16 et 18 ans ;
    • Des places supplémentaires pour poursuivre des formations en études supérieures, en CAP et BTS à la rentrée 2020.
  • Accompagner des jeunes éloignés de l'emploi en construisant 300 000 parcours d'insertion sur mesure
    • Un renforcement des dispositifs d'accompagnement et d'insertion durable dans l'emploi.

  A savoir : Des dispositifs de soutien sont mis en place pour aider pour les étudiants en difficulté face à la crise sanitaire , notamment : le ticket de restauration U à 1 €, le gel des droits d'inscription universitaires pour 2020, le renforcement des prêts-études garantis par l'État, la revalorisation des barèmes des rémunérations des jeunes stagiaires, l'augmentation des dotations pour les jeunes en difficulté...

Clé des Arts Poussan : stage d'arts plastiques pendant les vacances

 23 et 24 février de 10 à 16h.
Pendant 2 jours,  pour dessiner et peindre chat, chien, et poules du jardin!
de belles créations en perspective!!
 
infos 06 60 17 51 85
Peut être une image de chien, chat et texte qui dit ’association à POUSSAN poulevard du riverain La clé des Arts Stage de dessin et peinture Chat, chien et poules, on les croque! le mardi 23 et mercredi 24 février de 10h à 16h distances de sécurité respectées Pendant ce stage Djely, Nanouk les poules au- ront le plaisir de poser pour vous! Dessin, pein- ture, collage, pastels, en petit et grand format.... Venez créer et vous expri- mer dans notre bel atelier et jardin. Repas pris sur place. Enfant partir de ans Résa: tel 0660175185’

Avant de partir en vacances d'hiver

Femme, L'Écart, Nature, Forest, Prairie

 

Pixabay Coronavirus

L'heure n'est pas au relâchement de nos efforts." Lors de sa conférence de presse, jeudi 4 février, le Premier ministre, Jean Castex, a rappelé que la situation sanitaire liée au Covid-19 était encore très incertaine. Les vacances de février débutent vendredi pour la zone A et de nombreux Français envisagent de partir en vacances. Mais, avant de faire ses valises, quelquesréponses à des questions ....

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-quatre-questions-que-vous-vous-posez-

Les étudiants vont pouvoir à nouveau manger sur place dans les restos U

A emporter... ou sur place ? Les étudiants vont pouvoir à nouveau "manger sur place" dans les restaurants universitaires "dans les jours à venir" avec "des règles sanitaires très strictes", a annoncé, vendredi 5 février, la ministre de l'Enseignement supérieur, Frédérique Vidal. Jusqu'ici, seule la vente à emporter était possible dans les "restos U", qui rouvrent progressivement depuis une semaine avec le retour partiel des étudiants dans les facs. Suivez l'évolution de la crise du Covid-19 sur : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/direct-covid-19-la-france-cherche-toujours-a-definir