Pour les Goélands leucophées comme pour les autres oiseaux, vigilance

Selon France Info : Un million d’hectares dévorés par les flammes dans la région de l’Alberta. Sans les averses soutenues de ces derniers jours, combien de temps encore le feu se serait-il propagé ? Depuis trois semaines, les pompiers luttaient sans relâche, et les journalistes qui couvraient ces incendies ne pouvaient que déplorer le désastre.
Selon France Info :
En France, l’an dernier, nous avons touché du doigt le changement climatique. Ce n’était plus une question de blocs de glace se décollant dans les zones polaires, à l’autre bout de la planète. Les incendies du sud de la Gironde et du bassin d’Arcachon ont révélé la notion d’urgence, sous nos yeux, devant chez nous. Et cette année, la pénurie d’eau, alors que l’été n’a pas commencé, des robinets à secs et des piscines qui doivent rester vides. Tout cela est inédit en France.
Au Canada, c’est déjà de l’histoire ancienne, si l’on peut dire. La banquise qui fond, les feux de forêt, l’hiver qui se réduit dans le temps, la neige de plus en plus tard, les saisons chaudes encore plus chaudes. Et le narratif journalistique, devant ces épisodes à répétition, s’exerce sur des logiques de record sans cesse battus.
Si l’on regarde statistiquement la tragédie des feux de l’Alberta, toutes les valeurs sont historiques. Un million d’hectares, soit 12 fois la ville de Calgary et sa banlieue, le pire incendie de l’histoire de la Province. On est à peine dans les beaux jours canadiens, que les valeurs s’accompagnent du terme "jamais vu, jamais connu". Heureusement que la pluie a prêté main forte aux pompiers...
Aller plus loin https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/profession-reporter/au-canada-entre-la-banquise-qui-fond-et-les-forets-qui-brulent_
Selon France Info :
“L'objectif numéro un quand on est allergique aux pollens, c’est de réduire son exposition”, explique le médecin et journaliste Damien Mascret, sur le plateau du 19/20, vendredi 26 mai. Cela veut dire qu’il faut par exemple “éviter les promenades à la campagne quand il y a du vent et a fortiori quand l’orage couve, car l’humidité favorise la libération des allergènes des pollens”, poursuit-il. “Si vous êtes obligé de sortir en plein pic, portez un masque pour réduire la quantité d’allergènes inhalés”, affirme le médecin.
Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/sante/pollens-comment-se-proteger-face-aux-pics_5850047.html
Désormais implanté dans 71 départements, et principalement actif entre mai et novembre, le moustique tigre (Aedes albopictus) est une espèce très invasive qui peut être vectrice de maladies comme la dengue, le chikungunya et le Zika. Grâce au site Signalement Moustique, vous pouvez participer à sa surveillance. Service-Public.fr vous informe.
Originaire des forêts tropicales d’Asie du Sud-Est, le moustique tigre (Aedes albopictus) s’est adapté au milieu urbain en profitant d’une multitude de récipients dans lesquels il peut pondre ses œufs. Il peut être vecteur de virus tels que ceux de la dengue, du chikungunya ou du Zika. Répertorié dans 71 départements en France, il fait ainsi l'objet d'une surveillance particulière.
Consultez la carte des départements.
À noter : un portail spécifique a été mis en place pour signaler la présence du moustique tigre sur le territoire français : signalement-moustique.
Pour tout signalement, vous devrez vous munir d'une photo d'un moustique tigre ou d'un spécimen permettant son identification, et répondre à trois questions concernant les caractéristiques du moustique signalé.
Le moustique tigre se distingue des autres moustiques :
La femelle du moustique pond dans des réservoirs d'eau artificiels. Chaque ponte peut être constituée de plusieurs centaines d'oeufs. Il convient donc d'éviter de laisser à disposition des lieux de ponte :
Attention : il faut que ces gestes soient réalisés par tout le monde. Il suffit qu'un seul de vos voisins ne suive pas ces recommandations pour que les moustiques reviennent.
Quand vous êtes à l'extérieur :
La première caractéristique de la piqûre du moustique tigre est une sensation de démangeaison arrivant très rapidement, et s'intensifiant pendant plusieurs minutes après la piqûre. Ensuite se forme un bouton ressemblant à une cloque un peu plate, comme une ampoule, de 5 millimètres à 2 centimètres de diamètre, un peu plus claire que la couleur de la peau, avec un halo rouge pouvant s’élargir selon les réactions personnelles. Le bouton est généralement dur, chaud et douloureux.
La piqûre du moustique tigre gratte donc quasiment instantanément puis les démangeaisons disparaissent. Elles peuvent néanmoins réapparaître pendant plusieurs jours en cas de variation de température (après une douche par exemple).
Cartes de présence du moustique tigre (Aedes albopictus) en France métropolitaine
Ministère chargé de la santé
Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses)
S'informer sur le moustique tigre
Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses)
Selon Météo France :
La masse d'air se réchauffe en fin de semaine alors qu'un anticyclone centré vers l’Irlande protège la majeure partie du pays. Les températures se maintiendront à des niveaux élevés, notamment sur la moitié nord où les maximales seront souvent proches des normales d’un début juillet.
La masse d’air se réchauffe ce vendredi sur une grande partie du pays, même si de l’air plus frais résiste du côté des Hauts-de-France.
Ainsi, si les températures matinales sont de saison, les maximales, en hausse sensible, se situent en moyenne 2 à 3 degrés au-dessus des normales, avec 20 à 25 °C sur la moitié nord (un peu moins près des côtes de Manche), et 24 à 28 sur la moitié sud, jusqu’à localement 29 à 30 °C sur le Gard, le Vaucluse et le Var notamment.
Samedi et dimanche, la situation évolue peu. Un anticyclone centré vers l’Irlande protège la majeure partie du pays. Les matinées sont largement ensoleillées. Samedi après-midi, le développement d’averses parfois orageuses se limite aux abords immédiats du relief. Dimanche cependant, des averses localement orageuses s'étendent à plus basse altitude vers l’Aquitaine, le Limousin, l’Auvergne-Rhône-Alpes et l’intérieur de PACA.
Les températures continuent à monter, avec des maximales atteignant ou dépassant souvent les 25 °C sur la moitié nord, les 26 à 30 °C sur la moitié sud.
La situation météorologique devrait très peu évoluer en première partie de semaine prochaine. Le temps restera très ensoleillé sur la moitié nord, et légèrement plus instable au sud, avec des averses parfois orageuses touchant surtout le relief et ses abords. Les températures se maintiendront à des niveaux élevés, notamment sur la moitié nord où les maximales seront souvent proches des normales d’un début juillet..................
Aller plus loin : https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/meteo-une-tendance-estivale
|
|
|
|
|