Les vœux de l'Association Francophonie Avenir

Madame, Monsieur,

Nous vous souhaitons une excellente année 2022 ! Comme tous les ans, le Bureau de l'Afrav réuni vous souhaite ses meilleurs vœux​ pour l'année nouvelle ! Prenons des forces pour cette année 2022 qui commence, car, hélas, les angliciseurs de tout poil ne cesseront pas leur sale besogne. N'oubliez pas de vous réadhérer ou de faire des dons à l'association, car, plus que jamais, l'Afrav a besoin de fortifier ses fiances au vu des procès que nous avons lancés en 2020 et en 2021 contre les anglomanes, 16 à ce jour. Les procès en bonne voie pour être jugés cette année sont :

- l'affaire contre l'appellation "Lorraine Airport" devrait être jugée dans le premier trimestre 2022 ;

- l'affaire contre la marque "Oh my Lot !" devrait être jugée, elle aussi, dans le premier trimestre 2022 ;

- le procès contre la carte nationale d'identité désormais bilingue français-anglais va passer au Conseil d'État via notre avocat Me Nicolaÿ

- le procès au Conseil d'État contre l'arrêt de la ministre Vidal qui a instauré l'obligation de passer une certification en langue anglaise pour l'obtention de toute licence, est également en bonne voie puisque l'avocat qui nous défend a transmis son mémoire au CE ; 

- le procès au Tribunal administratif de Nîmes contre l'affichage bilingue français-anglais de panneaux descriptifs à Vaison-Ventoux, devrait avoir lieu en septembre 2022 ;

- Les autres procès en cours feront l'objet d'une relance auprès des tribunaux concernés, procès contre les marque "La French Tech", "Choose France", "Next 40", "Health data hub", "French Impact", "Vrai ou Fake", 

- Le 16e procès a été lancé le 30 décembre 2021 (pour bien finir l'année). Il s'agit de dénoncer l'écriture inclusive pratiquée par la maire de Paris, Mme Anne Hidalgo.

Le temps presse, les lettres que nous faisions pour tenter de persuader nos décideurs de ne pas céder à l'anglais ne servent plus à rien, tant ils sont imbibés d'anglo-certitudes. Désormais, les seules lettres que nous leur adresserons seront des recours gracieux, préludes, s'ils ne répondent pas positivement à notre demande de respect de la langue française, à un futur procès. Haut les cœurs  !

Régis Ravat, président de l'Afrav.