Un beau film, soutenu par Sète agglopôle et réalisé par les élèves de Cultures Marines du Lycée de la Mer Paul Bousquet, à Sète.

Un beau film, soutenu par Sète agglopôle et réalisé par les élèves de Cultures Marines du Lycée de la Mer Paul Bousquet, à Sète.
Construite autour du thème de la pollution plastique dans et autour de l’étang de Thau, cette œuvre de fiction, histoire de jeunes conchyliculteurs en formation, sensibilise intelligemment à la fragilité de cet écosystème unique.
Jamais trop Thau - Sète Agglopôle Méditerranée,plus qu'une identité une culture

"Un milieu à protéger"

"L’étang de Thau est un milieu vivant. Fragile et unique, il nécessite d’être protégé. Conchyliculture, pêche, viticulture, activités touristiques et sites industriels doivent coexister dans le respect de l’environnement. De nombreuses actions sont mises en place afin de veiller à la bonne gestion du territoire et à l’impact de ces activités sur les eaux de l’étang."

Primé au festival Lumexplore 2020, ce film a été réalisé par Arnault Labaronne, les élèves du lycée de la mer Paul Bousquet a Sète et soutenu par les Amis du musée de l'étang de Thau.
Accompagné de son making of, il vient enrichir la collection de films du site "vivre avec l'étang". Partez à la découverte de ces témoignages autour de notre lagune. 

Bouzigues au cours des siècles

Le fait « d'être à l'écart de la grand-route » a longtemps valu à Bouzigues la réputation d'être « un village sans histoire » : les voyageurs pressés ayant trop souvent confondu la quiétude ambiante et la pérennité du cachet pittoresque de la localité avec un isolement, envié et idyllique, par rapport à la marche du monde. Cet ouvrage est le déni absolu de cette opinion hâtive et superficielle. Le portrait que François Baqué et Antoine Rouquette brossent, en effet, de ce village du littoral au cours des siècles ne permet aucun doute à ce sujet. L'habitat fut très ancien sur le terroir et « la situation exceptionnelle » de la petite cité méditerranéenne, face à l'étang de Thau qui, « par les belles journées ensoleillées, brille de mille feux » ne doit pas faire oublier que Bouzigues (et toute sa région) fut une terre de passage (les Grecs, les colons de Marseille, les armées d'Annibal) et d'invasions (Romains, Wisigoths, Sarrasins, Normands) et que le nom de Bouzigues (Polygium) apparaît dès le IVe siècle sous la plume de Festus Avienus. Ensuite, c'est le destin de la seigneurie (mentionnée comme vassale de la seigneurie de Loupian au début du XIIe siècle) et celui de la communauté (administration des consuls) que les auteurs font revivre pendant plus de six siècles jusqu'à la Révolution au cours de laquelle les biens des « ci-devant privilégiés » sont étroitement surveillés (un voleur de raisins de douze ans est emprisonné), le...» suite chez Amazon