Les roselières : habitats emblématiques des zones humides :
Film d'animation réalisé dans le cadre du projet Roselières Littorales d'Occitanie mené par l'ADENA. Plus d'infos : www.roselieres-occitanie.fr ou www.adena-bagnas.fr
Les roselières : habitats emblématiques des zones humides :
Film d'animation réalisé dans le cadre du projet Roselières Littorales d'Occitanie mené par l'ADENA. Plus d'infos : www.roselieres-occitanie.fr ou www.adena-bagnas.fr
Jean-François Eliaou, Nicolas Démoulin et Christophe Euzet, Députés LREM, organisent le vendredi 19 novembre à 18 h 30 à Sète une réunion publique... Au Café Saint Clair sur le Thème des Problématiques de l'Etang de Thau.
Les violences sexistes et sexuelles constituent l’une des plus graves expressions de la persistance des inégalités entre les femmes et les hommes. Lors du Grenelle de lutte contre les violences conjugales lancé le 3 septembre 2019, 180 groupes de travail se sont réunis sur tout le territoire et ont permis de définir une feuille de route nationale. Afin de renforcer son exécution, le Premier ministre prescrit par circulaire du 3 septembre 2021 la mise en œuvre d’une action systémique englobant les aspects judiciaires, sociaux et sanitaires du sujet.
Ainsi, le vendredi 1er octobre 2021, s’est tenu, sous la présidence du préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh, et des procureurs de la République de Montpellier, Fabrice Belargent, et de Béziers, Raphaël Balland, le comité départemental des violences faites aux femmes.
Cette instance de gouvernance territoriale associe les partenaires suivants : Police nationale, Gendarmerie nationale, Direction Départementale de l’Emploi du Travail et des Solidarités, Protection Judiciaire de la Jeunesse, Services Pénitentiaires d'Insertion et de Probation, Agence Régionale de Santé, CAF , Conseil Départemental de l’Hérault, Ville de Montpellier et les associations en charge de ces questions. Ce comité départemental permettra de coordonner l’ensemble des acteurs de cette politique publique prioritaire. Les prochains comités associeront par ailleurs l’ensemble des collectivités territoriales du département.
Cette nouvelle instance assurera également un suivi des moyens conséquents déjà déployés dans le département de l’Hérault pour écouter, prendre en charge et protéger les femmes et les enfants victimes de violences :
Des moyens renforcés pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles :
6 postes d’intervenants sociaux en commissariat et en gendarmerie (ISCG) sont répartis dans le département (3 en zone police et 3 en zone gendarmerie). Rattachés au Conseil Départemental, ces intervenants constituent un maillon essentiel pour l’accueil et l’accompagnement des femmes victimes ;
10 réseaux interinstitutionnels et interprofessionnels dédiés à la lutte contre les violences faites aux femmes maillent le territoire et renforcent la coordination départementale. Leur mise en œuvre résulte d’un partenariat étroit entre la délégation départementale aux droits des femmes, la CAF et les collectivités territoriales ;
2 structures d’hébergement dédiées aux femmes victimes de violences se situent à des points clefs du département. Le foyer de Béziers comprend un dispositif innovant qui permet aux forces de sécurité intérieure l’accès à un appartement 24 heures/24 heures afin de mettre une femme et ses enfants à l’abri ;
Des signatures de protocoles entre les établissements de santé, la Justice et les forces de l’ordre pour le dépôt de plainte ;
Un plan de formation de sensibilisation des agents d’accueil des services publics, les agents de police des commissariats (Montpellier, Béziers et Sète), les policiers municipaux de Béziers, de Bédarieux et les professionnels de 1ère ligne (les écoutants du 115 par exemple). En parallèle, la gendarmerie nationale déploie un module spécifique et compte à ce jour 570 gendarmes formés dans l’Hérault ;
Des permanences de juristes et de psychologues du CIDFF renforcées dans les secteurs en tension (Béziers et Montpellier) et les zones rurales.
Des moyens renforcés pour lutter contre la récidive :
Un centre de suivi et d’accompagnement pour les auteurs de violences à Montpellier porté par l’association d’entraide et de reclassement social a été créé en 2020. Il constitue une porte d’entrée pour les hommes violents dans la perspective d’une prise en charge globale (sociale, accès aux soins…) dans le cadre d’une mesure judiciaire ou dans une démarche volontaire ;
La mise en œuvre en 2021 de la Mesure d’Accompagnement Protégée et de l’Espace Rencontre Protégé pour les ressorts du tribunal judiciaire de Béziers et du tribunal judicaire de Montpellier. Ces dispositifs visent à éviter tout contact entre la victime et l’auteur des violences pour l’exercice de l’autorité parentale (droits de visite et d’hébergement après la séparation).
33 bracelets anti-rapprochement ont été prononcés et 22 "téléphones grave-danger" ont été délivrés depuis le 1er octobre 2020 par les tribunaux judiciaires de l’Hérault.
Mise en place du dispositif d’éviction du conjoint violent : 2 places d’hébergement à Montpellier, comprenant une prise en charge socio-éducative dans le cadre d’un contrôle judiciaire et prochainement 1 place à Béziers.
Campagne de sensibilisation pour la lutte contre les violences sexistes et sexuelles
Vous êtes une entreprise ou une collectivité ? Les services de l’État dans l'Hérault vous invitent à prendre part à la campagne de sensibilisation et à apposer l'affiche ci-dessous au format A3 dans votre structure, notamment dans les sanitaires (pour la discrétion des personnes concernées) :
Cliquez ici pour plus d'informations
Des perspectives
Enfin, un observatoire départemental des violences faites aux femmes et intrafamiliales devrait prochainement voir le jour dans le département de l’Hérault. Fruit d’un travail concerté entre l’Etat, le Conseil départemental et la CAF, ce dernier permettra de recenser les besoins au plus près des territoires et de cartographier les actions et les dispositifs à déployer.
Depuis 2020, la crise sanitaire a fortement impacté la vie des habitants des quartiers prioritaires. Face à cette situation, l’objectif de l’appel à projet 2022 est de favoriser les projets ou actions présentant un caractère innovant, adaptés à ce contexte de sortie de crise.
Vous êtes porteur d’un projet, d’une action sur les quartiers prioritaires ?
Le Contrat de Ville peut soutenir vos actions, vos projets, dès lors qu’ils s’inscrivent dans ses objectifs et ses orientations, dans les domaines de la cohésion sociale, du développement économique-emploi et du cadre de vie.
Ces subventions sont exclusivement destinées aux actions en faveur des quartiers prioritaires de Sète (Ile de Thau, Centre-ville/Ile Sud) et Frontignan (les 2 Pins).
Vous trouverez ci-dessous la note de cadrage et un ensemble de pièces annexes pour vous guider dans la rédaction et le dépôt des dossiers.
Face à la forte hausse du coût des énergies, de l’essence en particulier, 38 millions de Français gagnant moins de 2 000 euros net par mois (salariés, indépendants, retraités, bénéficiaires du RSA ou de l'allocation aux adultes handicapés...) vont percevoir une indemnité inflation d'un montant de 100 euros. Qui la recevra ? Quand ? Le point sur les modalités.
Cent euros. C’est la somme que vont percevoir quelque 38 millions de Français. Une indemnité inflation destinée à préserver le pouvoir d’achat des personnes les plus vulnérables et des classes moyennes. Notamment face à la flambée du prix des carburantsconstatée en cette fin d’année.
L’indemnité inflation sera versée aux actifs – salariés, travailleurs non-salariés, demandeurs d’emploi – aux invalides et aux retraités dont les revenus d’activité et les pensions d’invalidité ou de retraite sont inférieurs à 2 000 euros nets par mois.
Elle sera également versée aux personnes bénéficiaires des allocations ou prestations sociales suivantes :
Les étudiants, boursiers et non boursiers autonomes, percevant une aide au logement, ainsi que les jeunes en recherche d’emploi ou inscrits dans un parcours d’insertion (apprentis, services civiques, stagiaires de la formation professionnelle, volontaires en Établissement pour l'insertion dans l'emploi (EPIDE) font également partie du dispositif.
Il s’agit d’un versement de 100€, en une seule fois, à chaque bénéficiaire. Ce montant ne sera soumis à aucun prélèvement fiscal ou social. Il ne sera pris en compte ni dans les conditions de ressources pour le bénéfice des aides sociales, ni pour le calcul de l’impôt sur le revenu.
L’aide sera versée aux salariés du secteur privé et aux agents publics (titulaires et contractuels de la fonction publique) par leur employeur. En fonction de leur situation au mois d’octobre 2021, sans démarche à entreprendre. Y compris pour les personnes qui ne sont plus employées au moment du versement, les salariés à temps partiel, en congés ou absence, quel qu’en soit le motif.
L’aide sera visible sur une ligne dédiée du bulletin de paie sous le libellé « Indemnité inflation ».
Cas spécifique de certains salariés :
Les URSSAF verseront directement l’aide aux travailleurs indépendants non agricoles ainsi qu’aux salariés de particuliers employeurs. Les caisses de la mutualité sociale agricole seront responsables du versement au bénéfice des exploitants agricoles.
L’aide sera versée par les caisses de retraite, par la caisse d’allocations familiales (CAF) et la mutualité sociale agricole (MSA) pour le RSA et l’allocation aux adultes handicapés (AAH) notamment. Pôle Emploi octroiera l’aide aux demandeurs d’emploi.
Focus sur les demandeurs d'emploi
L’indemnité inflation sera versée à tous les demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi au mois d’octobre 2021 et dont l’allocation est inférieure ou égal à 2 000€ net par mois :
Les demandeurs non indemnisés de ces catégories sont aussu éligibles. L’indemnité sera versée par Pôle Emploi à l’ensemble des bénéficiaires en janvier 2022.
Pour les demandeurs d’emploi qui ont eu une activité en octobre, c’est l’employeur ou l’URSSAF qui versera l’indemnité. Les bénéficiaires de minima sociaux recevront l’aide des CAF ou des caisses de la MSA.
Les jeunes d’au moins 16 ans sont éligibles s’ils remplissent une des conditions suivantes :
Leur situation sera appréciée au mois d’octobre.
L'aide sera versée en décembre par les CROUS aux boursiers. Par la Région aux étudiants inscrits dans une formation sanitaire et sociale de la Région. Et directement par leur école aux boursiers inscrits dans des écoles dont les bourses ne sont pas opérées par les CROUS.
Les boursiers qui ont exercé une activité professionnelle en octobre devront se signaler au CROUS afin que celui-ci ne leur verse pas l’indemnité. Elle sera octroyée par l’employeur. Tout comme les apprentis et les stagiaires en milieu professionnel et selon les mêmes modalités que les autres salariés.
L’indemnité sera versée par la CAF ou la caisse de la MSA aux étudiants ayant une aide au logement, non boursiers, et sans activité professionnelle, au mois de janvier 2022.
Selon Orange.fr :
Pour la Défenseure des droits Claire Hédon, la santé mentale de l'enfant devait devenir une "priorité publique".
La crise sanitaire a mis à rude épreuve la santé mentale des jeunes. Dans son rapport annuel sur les droits de l'enfant, la Défenseure des droits Claire Hédon alerte ce mercredi 17 novembre sur cette situation, constatant une augmentation des troubles dépressifs et une insuffisante prise en charge psychiatrique."Il a été démontré que le premier confinement a conduit à une hausse générale des syndromes dépressifs et même à un doublement chez les 15-24 ans (10% d'entre eux présentaient un syndrome dépressif en 2019, contre plus de 20% en 2020)", relève-t-on dans ce rapport qui rapporte une hausse des "troubles anxieux" et "phobies sociales".
"La première année d'application de la mesure sera pédagogique", a annoncé le secrétaire d'Etat à la Ruralité Joël Giraud, alors que la nouvelle réglementation entrera en vigueur le 1er novembre.
La mesure deviendra bien obligatoire le 1er novembre mais les sanctions ne tomberont pas avant l'automne 2022. Alors que la loi Montagne II entrera en application au début du mois de novembre, le gouvernement a apporté des précisions lundi 4 octobre.
La loi prévoit que les automobilistes qui circulent dans 48 départements montagneux français ont dorénavant l'obligation d'être équipés de pneus neige, de chaînes ou de chaussettes de pneu à partir du 1er novembre et jusqu'au 31 mars.
Pour les poids lourds avec remorque ou semi-remorque....................................... Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/pneus-neige-chaines-ou-chaussettes-obligatoires-en-montagne-pas-de-contravention-cette-annee
L’Agence Régionale de Santé recense ce soir, 1 852 personnes hospitalisées (262 en réanimation et soins critiques) et 2682 décès constatés en établissements de santé.
Prochain bulletin d'information : Vendredi 5 février 2021
Pour comparer
Bulletin d'information COVID-19 en Occitanie : vendredi 29/01/2021
Bulletin d'information COVID-19 en Occitanie : mardi 26/01/2021
Bulletin d'information COVID-19 en Occitanie : vendredi 22/01/2021
Il incombera aux instances nationales de santé publique de prendre la décision de procéder à l'injection d'une troisième dose de vaccin pour les personnes âgées de 18 ans et plus.
L'Agence européenne des médicaments (EMA) craint une baisse de la protection contre le Covid-19 après les deux premières injections de vaccin. Le régulateur européen a ainsi approuvé lundi 4 octobre l'administration d'une troisième dose du sérum Pfizer/BioNTech pour les plus de 18 ans.
Des doses supplémentaires des vaccins Moderna et Pfizer pour les personnes dont le système immunitaire est gravement affaibli ont également été approuvées par l'Agence européenne des médicaments.