En janvier ils ont vécu une catastrophe, depuis beaucoup d'amertume

Le 14 janvier à 6 h 30 leur vie à basculé dans leur logement à Poussan...

 Leur maison s'est effondrée de Bon matin.hhhhhhhhhhhCapture

Les enfants de Corinne étaient sous les décombres. Par miracle ils sont sortis indemnes mais choqués, des décombres,  et avec un traumatisme qui nécessite aujourd'hui un accompagnement psychologique.

 Tous ont été rapidement submergés par les élans de générosité, par les messages, par les appels et ont été très"touchés", ils tiennent à vous remercier...

Mais voilà, cela fait 6 mois que la maison s'est effondrée et ils en sont toujours au même point car un combat d'assurances, d'experts avec une série d'expertises, de renvois,  de plaintes, se poursuit

Corinne précise : "C'est pathétique, une histoire d'argent pour savoir qui va payer ? Pourtant, nous avons tout perdu. Nos souvenirs, nos papiers, nos photos, toute une vie et c'est bien triste.  Après avoir encaissé le choc nous commençons à rentrer dans l'absurdité, l'abandon, et dans le mépris des assurances. Nous continuons à payer le crédit de notre voiture sous les décombres tant que la cause n'est pas établie. Pour établir la cause peut-être faudrait t il déblayer ?....... Mais la scène est figée."

(Revenir sur l'événement : http://thau-infos.fr/index.php/commune/poussan/les-nouvelles-de-poussan/97617-une-maison-s-effondre-a-poussan-ce-jeudi-matin-3)

 Ils ont l'impression et le ressenti de mendier auprès de leur assurance habitation leur dû. S'ils ont eu la chance d'être entourés d'amour et de bien bienveillance,  de pouvoir rebondir car ils  n'avaient pas le choix, si l'assurance habitation a versé quelques semaines après le drame 5000 euros pour palier au plus urgent car ils n'avaient seulement ce qu'ils portaient sur le dos, aujourd'hui il faudrait que cela bouge...

 

Et Corinne conclut :  "Il faut faire bouger les consciences car nous avons l'impression d'être des numéros de contrat. Cela est fatigant, épuisant et nous donne un goût amer du monde dans le quel nous vivons."