LES 1er LIVES AU DANCING ! 
C’est l’heure du grand nettoyage au Centre balnéaire Fonquerne (1, chemin des poules d’eau à Sète) ! Jusqu’au dimanche 10 septembre inclus, les bassins intérieurs seront fermés au public (période de vidange). Seul le bassin extérieur « Laurent Vidal » sera ouvert du lundi au vendredi de 10h à 19h et les week-ends de 10h à 18h (SAUF les lundi 4 et mardi 5 septembre).
Ce samedi 23 octobre au matin, dans le cadre d’octobre Rose, six membres du Club AGORA Sète 28 et Marie, de l’association « Entre Nous » ont vendu des bonbons roses et blancs et des bijoux fantaisies au profit de l’association qui soutient et accompagne les femmes atteintes d’un cancer : un groupe d’écoute, de partage d’expériences, de soutien psychologique accouplée à une boutique spécialisée « La boutique de Marie » spécialisée dans l’accompagnement et le bien être des femmes concernées par un cancer.
Pour la circonstance, le stand Agora s’était paré de rose, stand qui dans sa partie droite mettait l’accent sur le fait que le cancer du sein peut aussi concerner les hommes (2% des malades)
Et malgré la matinée assez fraîche en cette fin d’octobre de nombreuses personnes se rendant aux Halles se sont arrêtées pour saluer les membres de l’AGORA et contribuer à l’action en achetant quelques petites choses ; comme quoi l’opération « Octobre Rose » est maintenant bien ancrée dans l’esprit des Sétois. Un grand merci à tous les donateurs.
L’équipe a par ailleurs eu le plaisir de recevoir la visite de Jocelyne Gizardin, Adjointe au Maire de Sète en charge de l’Action Sociale ; une visite accueillie comme un signe de reconnaissance et de soutien.
La boutique « Ma jolie Mama » de la rue Charles de Gaulle s’était pour l’occasion associée au Club Agora et avait ouvert un petit point de ventes de bonbons. une initiative accueillie très chaleureusement par les clientes de la boutique.
Une matinée solidaire qui au final a permis de recueillir près de 200€, somme qui va être très vite reversée à l’association « entre nous ».
Pour demander un renseignement ou signaler une anomalie, vous pouvez contacter :
Le Collectif rajoute : "l'action de sensibilisation a été faite en préfecture".
Pierre d'Augier de Bagnols, noble de robe et officier de justice, est celui qui fut chargé par le connétable de Montmorency de concrétiser les projets d'Henri IV "au cap de Cette". Il se dévoua à sa mission dont l'échec ne peut lui être imputé. En hommage à son action, aujourd'hui, une rue de Sète porte son nom. Elle relie en droite ligne le jardin de la Pierrerie au lieu-dit "Jardin des fleurs".
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Pierre d'Augier avait la haute direction des travaux ordonnés par le roi. Il avait sous ses ordres 2 officiers. L'un, Claude Jonet, puis Marc Martin, veillait à l'emploi des fonds pour la construction du port. L'autre, successivement Simon d'Alméras (1598), Marc de Martin (1599) et César Jonet (1600-1603) était chargé du contrôle général. Il avait l'obligation de résider à Cette. Au dessus d'eux se trouvait un surveillant des travaux ou "subrestan".
C'est l'ingénieur Jean Donnat Pitou, associé au sieur Emmanuel Desturbe, qui assurait la partie technique. C'est lui qui avait fait la meilleure offre pour la réalisation des travaux. Une sorte d'état-major veillait donc au travail des "trassaïres" (carriers), chargeurs et déchargeurs et des charretiers qui amenaient les blocs de pierre à pied d’œuvre. Pierre d'Augier, en quelque sorte le maître d’œuvre, consacra à ces travaux tout son temps, ses soins et son argent. Il négligea la charge de prévôt général du Languedoc, au point de cesser ses chevauchées à travers la province destinées à poursuivre "malfaiteurs et indésirables". Il s'en expliquera devant les états du Languedoc réunis à Pézenas. Et il allait même engager dans l'entreprise sa fortune personnelle.
En effet, à la suite du refus des états du Languedoc de participer au financement du projet royal en 1596, les fonds étaient fournis par une fraction de l'impôt sur le sel et par un impôt de 2 % sur les marchandises empruntant les graus de Frontignan et Maguelone. Et l'affaire va son train. En 1601, Pierre d'Augier assure que le port "est en bon état". Mais il fallut à nouveau solliciter les états du Languedoc : la fraction de l'impôt sur le sel avait été incorporée à la gabelle et l'impôt de 2 % était réduit de moitié. Le duc de Vantadour, représentant le connétable et gouverneur du Languedoc Montmorency, plaide par deux fois devant les états à Pézenas fin 1602. En vain. L'assemblée ne soutient pas le projet du roi et c'est à ce dernier de financer les travaux. Les fonds manquant, Pierre d'Augier emprunte sur son nom propre, engageant sa fortune personnelle en garantie de l'emprunt. Selon Degage (Histoire de Sète, Privat, 1987), la conduite des travaux ne peut que s'en ressentir : en 1603, une vingtaine d'ouvriers travaille à l'avancement du chantier des môles pendant 7 mois. Malgré certains progrès, d'Augier finit par se lasser et demande le remboursement des sommes avancées.
On peut méditer sur la nature du pouvoir royal à la fin du XVIè siècle, son degré d'autorité, ses faiblesses et le dévouement qu'il pouvait inspirer à certaines élites. Le cas du prévôt d'Augier était-il exceptionnel ?
Hervé Le Blanche
Les horaires, programmes et prochains évènements du Comoedia et du Nouveau Palace
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Le film que vous vouliez voir quitte l'affiche et vous n'avez pas trouvé le temps de venir dans votre cinéma préféré? Il vous reste encore quelques séances mardi, et avec notre tarif de dernière minute ultra-préférentiel : plus d'excuses pour rester chez soi !
Tous les mardis, les dernières séances pour les films qui quittent l'affiche sont à 4.50€ ! Et nous vous en informons ici même le lundi précédent.
Les films concernés pour le mardi 23 août seront les suivants:
RENDEZ-VOUS A TOKYO - LES BLAGUES DE TOTO - LES PROMESSES - ELEMENTAIRE au Comoedia
Le Nouveau Palace est fermé pour congés annuels jusqu'au 29 août
Offre valable uniquement le mardi, hors supplément, et hors films de festivals ou évènements.
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Chaque semaine le Comoedia ou le Nouveau Palace vous proposent une "Séance découvertes"
Cette séance est au tarif de 4,50 € pour tous. Elle a pour but de mettre un coup de projecteur et de faire découvrir un film qui nous a particulièrement touché mais dont la sortie sera modeste ou confidentielle, et dont vous n'entendrez pas forcément beaucoup parler dans la presse.
Prochaine séance: film INFILTRÉE le mercredi 23 août à 21h au Comoedia.
