Ce dimanche 26 septembre, la dernière journée du Festival Les Automn'Halles.

Avec un programme tout aussi passionnant que les jours précédents.
DIMANCHE MATIN
 
On commence la journée dans le Quartier Haut, le « quartier napolitain » de Sète, là où les pêcheurs italiens qui suivaient le poisson bleu s’étaient installés. Rendez-vous à 10 heures au Bar du Plateau (2 rue des Trois-Journées, 34200 Sète) où Christophe Lallia interrogera Renée Biascamano, une auteure sétoise qui fait revivre au travers de ses ouvrages ce que fut ce quartier de Sète.
 
Dès 11 heures, retour à la médiathèque François-Mitterrand (bd Danièle-Casanova, 34200 Sète) pour deux rencontres animées par Marie-Ange Hoffmann, sur le thème de l’auteur et son double, autrement dit, l’auteur et son traducteur.
On commence avec Serge Mestre traducteur de « Docile » de l’Espagnol Aro Sainz de la Maza.
Puis à 11 h 45, une traductrice pour le second volet avec Marguerite Pozzoli qui a traduit « L’Imposture du marronnier » de l’Italien Mariano Sabatini.
Les deux polars étant édités par Actes Sud.
 
Il est déjà 12 h 30. L’heure de l’annonce du palmarès du concours de nouvelles organisé sur le thème « Larguons les amarres ». Le président du jury, Sylvain Pelegrin, directeur du Lycée de la mer Paul Bousquet et Antoine Barral, auteur-éditeur, remettront leurs prix aux lauréats.
 
Puis la vigneronne historienne Florence Monferran (Flo Clos de Miège) proposera une dégustation de ses crus des clos des Mièges. Ainsi, de la surmaturation des raisins, évoquée par les Romains, l'autrice du "Breuvage d'Héraclès" signe la cuvée l’Originel, un vin naturellement doux.
 
DIMANCHE APRÈS-MIDI
 
On démarre à 14 h 30 par une table ronde sous des auspices très sombres avec une dystopie particulièrement réussie de Catherine Fradier « Et nous aurons l'éternité » (Au diable vauvert) et un hommage à peine déguisé à Ian Fleming (le père de James Bond) avec « La Confrérie des espadons » de Pierre Gobinet (Seuil Polar). Animation Claude Muslin et frissons garantis.
 
Suit à 15 h 15, une question d’importance : L'amour peut-il encore rimer avec toujours ? Des éléments de réponse avec Belinda Cannone qui nous présente son essai « Le nouveau nom de l'amour » (Stock). Animation par les « Collectives culottées ».
 
16 heures, elle est sur toutes les radios, télés, dans la presse nationale… Lydie Salvayre qui nous fait le plaisir de venir aux Automn’Halles pour présenter son roman « Rêver debout », sur l’utopiste Don Quichotte… C’est Patrick Auzet-Magri qui l’interrogera.
Clap final du festival à 16 h 45 avec la lecture théâtrale d’extraits de « Eux ou la prise de pouvoir » (Gallimard) d'Eduardo Manet par les comédiens Yves Ferry et Moni Grego.
 
 
L’équipe du Festival remercie tous ceux qui ont œuvré à la réussite de l’événement. À l’an prochain.