ECONOMIE

Crise sanitaire : les dispositifs de soutien pour les micro-entrepreneurs

Le Gouvernement a présenté les dispositifs auxquels peuvent faire appel les indépendants et micro-entrepreneurs dont l’activité est affectée par la crise sanitaire. Détails des aides.

Quelles aides pour les micro-entrepreneurs des secteurs les plus impactés par la crise ? Le Gouvernement a répondu à cette question, ce 28 janvier en précisant les dispositifs de soutien prévus.

Focus : Situation sanitaire : le calendrier d’allègement des mesures pour les professionnels

L’aide financière exceptionnelle (AFE)

Les travailleurs indépendants, y compris les micro-entrepreneurs, des secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, du monde de la nuit, de l’évènementiel et des agences de voyage pourront demander auprès de l’Urssaf une aide financière exceptionnelle (AFE), au titre de l’action sociale qui relève de la compétence du Conseil de la protection sociale des travailleurs indépendants (CPSTI).

Pour y prétendre, leur activité doit être particulièrement affectée par la situation sanitaire, avec une perte de plus de 50 % de chiffre d’affaires. L’aide est ouverte aux travailleurs indépendants et micro-entrepreneurs qui ne bénéficient pas du dispositif de couverture des coûts fixes.

Les travailleurs indépendants et micro-entrepreneurs pourront en faire la demande sur www.urssaf.fr ou www.secu-independants.fr (travailleurs indépendants) et www.autoentrepreneur.urssaf.fr (micro-entrepreneurs). Le montant de l’aide pourra par ailleurs être adapté en fonction de la fragilité de la situation.

Le dispositif de réduction des cotisations sociales

Les micro-entrepreneurs bénéficieront par ailleurs du dispositif de réduction des cotisations sociales qui sera mis en place pour décembre 2021 et janvier 2022, selon des modalités propres à leurs statut.

Les micro-entrepreneurs relevant des secteurs S1/S1bis ayant eu une baisse d’activité au moins égale à 65 % en décembre et ou en janvier bénéficieront d’une exonération totale de cotisations dues au titre de ce mois. Cette exonération s’élèvera à 50 % en cas de baisse d’activité entre 30 % et 65 %.

Comme pour les dispositifs précédents de réduction de cotisations sociales, les micro-entrepreneurs s’appliqueront cette exonération en réduisant l’assiette servant de base au calcul de leurs cotisations sur le mois donné, ou à défaut en répercutant le montant de cette baisse d’assiette sur l’échéance la plus proche du 1er trimestre 2022.

L’aide aux cotisants en difficulté

Enfin, les micro-entrepreneurs peuvent toujours bénéficier des aides de droit commun apportées par l’action sociale des travailleurs indépendants, notamment l’aide aux cotisants en difficulté (ACED), qui permet la prise en charge partielle ou totale de cotisations.

Commande publique : publication d’une édition spéciale Relance du guide du Médiateur des entreprises

La nouvelle version du guide « Les marchés publics au service de la relance économique des artisans, TPE et PME : rebondir avec les marchés publics » a été présentée le 10 mai. Élaboré pour les entreprises et, pour la première fois, pour les acheteurs publics, ce guide est le fruit d’un travail collaboratif associant le médiateur des Entreprises et la direction des Affaires juridiques de Bercy.

 

Une commande publique plus accessible

Depuis le début du quinquennat, le gouvernement a engagé une démarche pour rendre la commande publique plus accessible aux petites entreprises et plus cohérente. Elle a comme objectifs :

  • la simplification,
  • l’accessibilité,
  • l'innovation,
  • la transition économique et sociale.

Consultez le guide [PDF ; 891 Ko]

Des démarches facilitées

Depuis le 1er janvier 2020, les marchés inférieurs à 40 000€ HT peuvent être passés selon une procédure « allégée », simple et efficace. Il s’agit ainsi de faciliter les démarches pour les acheteurs et les fournisseurs.

Un accompagnement de la reprise

Dans le contexte de relance, il a été décidé d’assouplir encore les procédures notamment pour les marchés de travaux. En effet, le seuil en dessous duquel les marchés publics de travaux sont dispensés de publicité et de mise en concurrence préalables est ainsi relevé à 100 000€ HT jusqu’au 31 décembre 2022. C'est une réelle opportunité pour accompagner la reprise économique dans un secteur clé de l’économie nationale qui bénéficie en outre d’un plan d’investissement pour la rénovation énergétique des bâtiments publics.

Plus de souplesse pour les candidatures

Les différentes phases de modernisation des règles des marchés publics ont permis d’assouplir considérablement les conditions d’accès. Jusqu’au 31 décembre 2023, les entreprises ne peuvent être écartées en raison d’une baisse du chiffre d’affaires liée aux conséquences de la crise sanitaire dans l’appréciation de leur capacité économique et financière à exécuter un marché.

Une aide spécifique pour les TPE-PME

Le guide revient sur les mesures mises en place pour aider spécifiquement les TPE-PME. Dans les mois précédant la crise, plusieurs mesures phares avaient été mises en place comme la possibilité pour les acheteurs publics d’accorder des avances et des acomptes dans des conditions plus avantageuses et plus simples.

La loi ASAP

Avec l’apport de la loi d’Accélération et de Simplification de l’Action Publique (ASAP), tous les marchés globaux -marchés de partenariat, marchés de conception-réalisation, marchés globaux de performance ou marchés globaux sectoriels - devront réserver une part minimale de 10 % de leur exécution à des PME ou à des artisans.

Un renforcement de la trésorerie des entreprises

Dans le cadre des mesures de soutien aux entreprises pour faire face à la crise, il est possible de bénéficier d’un préfinancement dès la prise de commandes, sans attendre la livraison et l’émission des factures correspondantes. Garantis par l’État jusqu’au 30 juin 2021, ces nouveaux financements permettent de gagner en moyenne 45 jours de trésorerie par rapport à l’affacturage classique. Le paiement fournisseur anticipé promu par le médiateur des entreprises permet également d’être payé plus rapidement à moindre coût. Ces deux dispositifs peuvent être utilisés pour toutes les commandes que ce soit dans le cadre de la commande publique ou non.

Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, chargée de l'Industrie:

À l’heure où l’État investit 100 milliards d’euros dans le cadre de France Relance dans la transition écologique, l’amélioration de notre compétitivité et la cohésion sociale et territoriale, le levier de la commande publique doit être utilisé à plein pour rebondir et transformer notre économie. Dans le même temps, la commande publique se modernise : pour que ces nouvelles règles soient partagées et connues du plus grand nombre, le guide élaboré par le médiateur des Entreprises et la direction des Affaires juridiques en collaboration avec les organisations professionnelles et les chambres de commerce et de métiers, présente de façon claire et pédagogique les nouvelles mesures. Tous les acteurs de la commande publique doivent s’en saisir car 100 % des entreprises ont accès à la commande publique et 100 % des entreprises ont intérêt à y recourir. Diffuser ce message, c’est permettre à la commande publique d’être au rendez-vous de la reprise économique.

À propos

Le Médiateur des entreprises

Le Médiateur des entreprises vient en aide aux entreprises et aux organisations publiques afin de résoudre gratuitement leurs éventuels litiges et, plus largement, faire évoluer les comportements d’achats afin de rééquilibrer les relations clients fournisseurs. Il intervient également dans le domaine de l’innovation. Son réseau est présent dans toutes les régions. La saisine s’effectue depuis le site www.mediateur-des-entreprises.fr

La direction des Affaires juridiques (DAJ)

La DAJ exerce un rôle d’expertise juridique à vocation ministérielle et interministérielle, au service des politiques publiques. Outre ses fonctions d’agent judiciaire de l’État, elle analyse le droit de la commande publique et propose des réformes de la législation ou de la réglementation dans ce domaine.

Placements financiers : attention aux arnaques !

Placements financiers, livrets d'épargne... l'épidémie de Covid-19 s'accompagne d'une montée croissante d'escroqueries financières portant notamment sur l'usurpation de noms d'intermédiaires ou de produits financiers autorisés. L'Autorité des marchés financiers (AMF) et les associations et syndicats professionnels de gestion financière mettent en garde les épargnants et rappellent les bons réflexes à avoir avant tout investissement.

Les signaux qui doivent vous alerter :

  • vous ne connaissez pas la personne qui vous contacte ;
  • on vous promet des rendements très élevés et sans risque ;
  • vous devez prendre une décision rapidement ;
  • vous devez effectuer un virement sur un RIB à l'étranger.

Avant d'investir, assurez vous de l'identité de votre interlocuteur :

Avant d'investir, adoptez les bons réflexes :

  • ne communiquez pas vos coordonnées personnelles (téléphone, mail, pièces d'identité, RIB, IBAN, justificatifs de domicile...) à des sites dont vous ne pouvez attester la fiabilité ou en remplissant des formulaires sur internet après avoir cliqué sur une bannière publicitaire ;
  • ne donnez pas suite à des appels téléphoniques non sollicités ;
  • ne prenez pas pour argent comptant les informations données par un interlocuteur au téléphone, qui n'est pas forcément celui que vous croyez ;
  • ne cédez pas à l'urgence ou aux pressions de votre interlocuteur, prenez le temps de la réflexion ;
  • méfiez-vous des promesses de gains rapides sans contreparties : il n'y a pas de rendement élevé sans risque élevé.

  A noter : En cas de doute sur une proposition d'investissement, faites le test pour estimer le niveau de risque d'arnaque et contactez AMF Infos Service au 01 53 45 62 00 ou bien en remplissant ce formulaire.

Rachat de trimestres de cotisation : quel barème pour 2022 ?

Vous souhaitez racheter des années d'études ? Vous envisagez de racheter des trimestres manquants pour une retraite à taux plein ? La caisse nationale d'assurance vieillesse (CNAV) a publié le prix du rachat des trimestres de cotisation à la retraite de base pour 2022. Ce rachat est possible pour les salariés n'ayant pas la totalité de leurs trimestres, sous certaines conditions. Le prix de rachat tient compte de l'âge et du salaire de l'assuré.

Les assurés au régime général de la Sécurité sociale âgés de 20 ans et de moins de 67 ans souhaitant augmenter la durée d'assurance pour la retraite peuvent racheter des trimestres de cotisations, correspondant aux années d'études supérieures ou aux années de cotisations incomplètes. C'est également possible pour certaines périodes d'apprentissage, pour les assistantes maternelles ayant exercé leur activité entre entre le 1er janvier 1975 et le 31 décembre 1990 ou pour les enfants de harkis.

Il est possible de racheter 12 trimestres au maximum. Le coût de rachat des trimestres dépend du salaire ou du revenu annuel du demandeur, de son âge et de l'option choisie (taux et durée d'assurance ou taux seul). La Caisse nationale d'assurance retraite a actualisé ce barème pour l'année 2022 dans une circulaire publiée le 20 janvier 2022.

Vous pouvez consulter le barème applicable aux demandes déposées en 2022 (page 4 de la circulaire).

Commerce : les conditions de réouverture

Afin de concilier l’activité économique des commerces autorisés à accueillir du public et la protection sanitaire de la population, un protocole a été mis en place pour la réouverture des commerces le 19 mai 2021.

Magasin De Vêtements, Boutique

Ce protocole s’inscrit en complément du protocole nationale en entreprise (PNE).

Les mesures générales

Un référent Covid-19

Un référent Covid-19 en charge de la mise en œuvre des protocoles sanitaires est désigné pour être un interlocuteur privilégié en cas de contrôle ou d’investigation sanitaire par l’autorité sanitaire.

Une information sur les mesures et gestes barrières

Le commerçant doit procéder à :

  • l’affichage d’une information sur les mesures et gestes barrières à respecter en continu,
  • l’explication de l’importance de ces mesures pour atténuer la diffusion du SARS-CoV-2.

La capacité maximale de l’accueil de l’établissement doit être affichée et visible depuis l’extérieur de celui-ci. Les commerces s’engagent, en plus de cette information, à afficher à l’entrée du magasin pour faciliter la régulation des flux, les éléments suivants :

  • rappel des consignes sanitaires, notamment en matière de distanciation physique et de port obligatoire du masque dès l’âge de 11 ans (le port du masque est fortement recommandé pour les enfants de 6 à 10 ans),
  • conditions d’accès au magasin,
  • horaires d’ouverture et fermeture,
  • heures d’affluence.

Ils peuvent également afficher :

  • les modalités de retrait des marchandises lorsqu’elles sont spécifiques,
  • les modalités de pré-commande et de « click and collect / réserver et récupérer » lorsque cela est possible,
  • les recommandations aux clients de venir avec leurs sacs pour éviter la manipulation des emballages,
  • rappel des types de masques autorisés et conformes aux normes sanitaires,
  • le cas échéant et lorsque cela est possible, une limitation du temps de présence souhaitable des clients dans le commerce,
  • l’incitation au paiement électronique lorsqu’il est possible,
  • inviter les clients à télécharger et à activer l’application TousAntiCovid lors de l’entrée dans le magasin(à défaut les informer de la possibilité de s’inscrire sur un registre lorsque le commerçant en a mis un en place).

Les mesures particulières

Un renforcement de la jauge

À compter du 19 mai 2021, dans les commerces, la jauge est fixée, en prenant en compte les seuls clients:

  • les établissements dont la surface de vente est inférieure à 8 m2 ne peuvent accueillir qu’un client à la fois,
  • les établissements dont la surface de vente est supérieure à 8m2 peuvent accueillir un nombre de clients permettant de réserver à chacun une surface de 8 m2, dans la limite de l’effectif maximal admissible défini par la réglementation ERP applicable au regard de l’activité de l’établissement.

À compter du 9 juin 2021, la jauge sanitaire minimale est ramenée à 4m²/ client dans la limite de l’effectif maximal admissible défini par la réglementation ERP applicable au regard de l’activité de l’établissement.

À compter du 30 juin 2021, 100% de l’effectif autorisé au titre de la réglementation ERP pourra être accueilli dans le respect des mesures barrières et de distanciation.

Dans un souci de simplification, la jauge s’apprécie sur l’ensemble de la surface de vente. Une distanciation physique est souhaitable en tout lieu et en toute circonstance. Selon les possibilités spatiales et organisationnelles, cette distance peut être augmentée. Une tolérance est accordée pour les personnes :

  • accompagnées d’une même unité sociale (familles par exemple),
  • nécessitant un accompagnement (personne âgée, adulte handicapé etc.).

Il convient, dans la mesure du possible, de limiter à deux adultes le nombre de personnes par unité sociale. Dans les centres commerciaux accueillant du public, la jauge s’applique à la fois pour l’ensemble du centre et pour chacun des magasins ou boutiques le composant.

Des mesures renforcées pour garantir l’effectivité de la jauge et le respect des principes de distanciation physique et d’hygiène

Le contrôle de la jauge dans les magasins

Les commerces sont tenus de s’assurer du respect de la jauge à tout instant dans leur magasin.

  • Pour les magasins d’une surface de vente de 400m² et plus, cette obligation se décline par la présence d’une personne à l’entrée pour le comptage ou par la mise en place d’un dispositif de comptage.
  • Dans les magasins en-dessous de ce seuil, la présence d’une personne à l’entrée n’est pas requise, le commerçant doit être en situation de connaître le nombre de personnes dans son magasin et faire cesser les nouvelles entrées lorsque la capacité maximale d’accueil est atteinte.

Le respect de l’hygiène des mains à l’entrée et du contrôle du port du masque

  • Pour garantir l’hygiène des mains, les commerces s’engagent à prévoir, à l’entrée du magasin, la mise à disposition de produit hydro-alcoolique. Son utilisation est obligatoire dès l’âge de 11 ans. Il est recommandé de prévoir un contrôle de l’accomplissement de cette opération d’hygiène ainsi que le port du masque dès l’âge de 6 ans.
  • Le masque doit être un masque grand public filtration supérieure à 90% ou chirurgical, en parfaite intégrité et ne doivent pas comporter de valve. Il doit couvrir le nez, la bouche, et le menton en continu. En dehors des cas où la réglementation en vigueur prescrit ces équipements pour protéger la santé des salariés, les masques FFP2/FFP3 sont prioritairement réservés aux professionnels médicaux, y compris les personnels en charge du dépistage.

La recommandation d’un sens de circulation unique à l’entrée et dans le magasin

Lorsque la configuration s’y prête, à l’intérieur du magasin et pour garantir la régulation des flux de clients, un sens unique de circulation est mis en place. Lorsque cela est possible, une entrée distincte de la sortie doit être organisée et un marquage au sol doit être mis en place pour faciliter la compréhension du sens de circulation par le public et la distanciation physique. Un plan de circulation peut être affiché à l’entrée du magasin.En cas de risque de constitution d’une file d’attente à l’entrée du magasin, un marquage au sol est recommandé à l’extérieur en lien avec les autorités municipales, pour indiquer les lieux d’attente et faciliter le respect de la distanciation physique entre les clients.

La mise en place de dispositifs pour lutter contre les points de regroupement

À proximité des caisses, les commerces s’engagent à :

  • rappeler par voie d’affichage la nécessité de respecter la distanciation physique,
  • organiser, si la situation du magasin s’y prête, un marquage au sol indiquant l’espace à respecter entre chaque client.

Un dispositif permet de séparer physiquement le client de la personne tenant la caisse, par exemple via un plexiglass. Les espaces de regroupement doivent être adaptés, limités ou supprimés en fonction de l’espace de vente et de la capacité d’application des mesures pour limiter autant que possible les files d’attente.

La mise en place d’un système de rendez-vous ou de réservation de créneau horaire et la recommandation de la commande en ligne

La prise de rendez-vous est notamment recommandée pour la vente accompagnée et peut, de manière générale, être une solution pour éviter la constitution de files d’attente. Il en est de même de la commande en ligne d’un produit. Les commerces sont invités à proposer des créneaux horaires de faibles affluences pour les personnes vulnérables Cette démarche peut être facilitée par la mise en place d’une information sur les heures de forte influence.

Des mesures renforcées de nettoyage des locaux et de ventilation des locaux

Un plan de nettoyage

Les commerces s’engagent à décliner un plan de service de nettoyage périodique avec suivi, assurant le nettoyage désinfectant systématique de toutes les surfaces des mobiliers, matériels et ustensiles sujets aux contacts corporels et susceptibles de pouvoir être contaminés.

La ventilation des magasins

Les commerces s’engagent à:

  • aérer les locaux par une ventilation naturelle ou mécanique en état de marche. Lorsque cela est possible, privilégier une ventilation de la pièce par deux points distincts,
  • favoriser la mesure du dioxyde de carbone (gaz carbonique –CO2) dans l’air. La mesure du CO2 dans l’air doit être effectuée à des endroits significatifs de la fréquentation et à des périodes de réelle fréquentation chargé

Déployer la semaine de travail sur 4 jours

Une solution pour relancer l'économie locale après le Covid?

L'actuelle pandémie est une calamité mais elle aura une fin comme toutes celles qui l'ont précédé dans l'histoire des humains.
La priorité sera alors de relancer l'économie pour sauver ce qui peut encore l'être, les entreprises et les emplois. L'urgence sera aussi de redonner une visibilité professionnelle aux jeunes qui ont particulièrement souffert de la situation mais qui ont su rester solidaires de leurs ainés.

Les organisations patronales, Medef en tête, ont déjà fait part de leur proposition : allonger la durée du temps de travail. Pour les syndicats une telle idée n'a pas de sens, elle est même scandaleuse et ne servira à rien.

Les uns et les autres n'ont pas tout à fait tort.... Ni tout à fait raison… Mais comment concilier ces postures qui semblent antagonistes?
La réponse se trouve peut-être aux antipodes, à Auckland, où Jacinda Ardern est premier ministre de la Nouvelle-Zélande depuis 2017. L'une des plus jeunes chefs d' État du monde envisage de déployer la semaine de travail sur quatre jours plutôt que cinq afin de donner à ses concitoyens la possibilité de bénéficier de week-ends de 3 jours. L'idée est créer les conditions pour relancer le tourisme de proximité et la culture qui sont des secteurs économiques importants dans son pays, comme ils le sont dans de nombreux pays du monde dont la France.

Jacinda Ardern ne parle pas du temps de travail. C'est aux partenaires sociaux d'en discuter : le garder tel quel, le réduire ou l'allonger en fonction du contexte de chaque entreprise. L'idée séduit aussi les Canadiens qui lors d'un récent sondage se sont déclarés prêts, à 68%, à travailler jusqu'à 10 heures par jour pour gagner une journée supplémentaire de congé hebdomadaire.

Dans les pays anglo-saxons où la journée continue est la norme, c'est beaucoup plus facile d'allonger la durée de travail d'une journée que dans les pays où la coupure du midi est une tradition. Mais pourquoi ne pas se poser la question chez nous malgré tout?
Outre l'attrait de longs week-ends, ce serait aussi une façon d'éliminer des trajets, donc du temps de transports, de l'énergie et de la pollution.

Le moment est peut-être venu de devenir pragmatique et de laisser l'idéologie de coté, au moins pour quelque temps.

Éviter de réinventer l'eau tiède et s'approprier ce qui marche ailleurs ne serait-il pas une forme d'intelligence ?

Occitanie : Réouverture des cafés & restaurants (2)

Réouverture des cafés & restaurants -

La Région Occitanie et Pôle emploi lancent une opération de formations flash pour faciliter la reprise et maintenir l'emploi

 https://www.datapressepremium.com/rmdiff/2984/Visuel-formations-HCR.jpg

La réouverture des terrasses et restaurants se profile et les professionnels du secteur sont de plus en plus nombreux à embaucher pour assurer la reprise. La semaine dernière, une hausse de 35% des offres d'emploi a été enregistrée par Pôle emploi en Occitanie sur les métiers de l'hôtellerie, des cafés et de la restauration. Si l'ensemble des métiers sont concernés, 4 sont particulièrement recherchés : cuisine (commis de cuisine / cuisinier), service en salle et au bar, service d'étage et réceptionnistes.

Afin d'accompagner les professionnels de l'hôtellerie - restauration dans la réouverture prochaine de leurs établissements, la Région Occitanie et Pôle emploi viennent de lancer l'opération « Zoom métiers /Hôtellerie, Café,Restaurant en Occitanie ». Dès maintenant, les demandeurs d'emplois possédant une première expérience dans ces secteurs peuvent bénéficier de formations en vue d'une insertion professionnelle prochaine. Ces formations courtes, de 1 à 2 semaines maximum, sont accessibles via une procédure d'inscription accélérée et simplifiée.

Ces formations ont pour objectif de permettre aux demandeurs d'emplois d'être rapidement opérationnels pour postuler et être embauchés à l'issue. Parmi les contenus des formations proposées :

 - Cuisine (cuisinier/commis de cuisine) : production culinaire, rappels des règles d'hygiène ...

- Service: gestion de la relation client, connaissance commercialisation des produits ...

- Service d'étage : gestion du séjour, entretien des chambres, service petit déjeuner...

- Réceptionnistes : techniques de réception, communication appliquée à la réception ...


« Je sais combien ce mois de mai est important et attendu pour nos professionnels de l'hôtellerie - restauration, qui après une longue période d'incertitude vont pouvoir reprendre leurs activités. La Région est là pour leur offrir les accompagnements nécessaires afin d'assurer la relance de leur secteur durement affecté par la crise sanitaire. C'est dans ce contexte que nous nous engageons au côté de Pôle emploi pour permettre aux établissements de réembauchertout en facilitant la réinsertion professionnelle des demandeurs d'emplois. Nous devons tout faire pour que cette reprise se fasse dans les meilleures conditions pour notre économie, nos emplois et les consommateurs qui, je suis sûre, apprécieront un service de qualité exercé par des professionnels formés spécifiquement », a déclaré Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.

« Les équipes Pôle emploi en Occitanie sont pleinement mobilisées aux côtés de celles du Conseil régional, pour répondre aux difficultés de recrutement de la filière et aux besoins des employeurs.Elles sont aussi engagées pour non seulement identifier les demandeurs d'emploi directement employables, mais également les personnes qui auraient besoin d'une remise à niveau via des formations courtes, permettant d'être en situation de reprendre un emploi dès le mois de juin », a précisé Thierry Lemerle Directeur régional Pôle emploi Occitanie.

 

 


En bref - L'opération Zoom métiers / Hôtellerie,Café, Restaurant en Occitanie 

 

C'est quoi ?

 

- Des formations courtes de réentraînement d'une durée d'une à deux semaines

 

Quels objectifs ?

 

- Répondre aux besoins des professionnels des métiers de l'hôtellerie - restauration

- Accompagner les demandeurs d'emplois dans leur insertion professionnelle

 

Pour qui ?

 

- Les demandeurs d'emploi inscrits à Pôle Emploi et ayant déjà une expérience dans les métiers de l'hôtellerie-restauration

 

Comment ?

- Les personnes intéressées par ces formations sont invitées à contacter directement leur conseiller Pôle Emploi.

Plus d'infos sur :http://plmpl.fr/c/EedwU

Covid-19 : les entreprises pourront verser une prime défiscalisée de 1 000 euros à tous les salariés en 2021

Les entreprises seront-elles nombreuses à la verser ? Jean Castex a annoncé lundi 15 mars qu'il serait à nouveau possible pour elles, en 2021, de verser à tous leurs employés une prime allant jusqu'à 1 000 euros qui sera défiscalisée et exonérée de cotisations sociales. Un dispositif similaire, parfois appelé "prime Macron", avait été proposé en 2019, dans la foulée du mouvement des "gilets jaunes", et en 2020, face à la crise liée au Covid-19.

"Les travailleurs de la deuxième ligne", exerçant des activités jugées essentielles pour la continuité économique comme le commerce, la propreté, le bâtiment ou le transport routier, "devront bien entendu en être les bénéficiaires privilégiés", a estimé Jean Castex.........................

Aller plus loin sur https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-les-entreprises-pourront-verser-une-prime-defiscalisee-de-1-000-euros

Occitanie : Réouverture des cafés & restaurants

Réouverture des cafés & restaurants -

La Région Occitanie et Pôle emploi lancent une opération de formations flash pour faciliter la reprise et maintenir l'emploi

 https://www.datapressepremium.com/rmdiff/2984/Visuel-formations-HCR.jpg

La réouverture des terrasses et restaurants se profile et les professionnels du secteur sont de plus en plus nombreux à embaucher pour assurer la reprise. La semaine dernière, une hausse de 35% des offres d'emploi a été enregistrée par Pôle emploi en Occitanie sur les métiers de l'hôtellerie, des cafés et de la restauration. Si l'ensemble des métiers sont concernés, 4 sont particulièrement recherchés : cuisine (commis de cuisine / cuisinier), service en salle et au bar, service d'étage et réceptionnistes.

Afin d'accompagner les professionnels de l'hôtellerie - restauration dans la réouverture prochaine de leurs établissements, la Région Occitanie et Pôle emploi viennent de lancer l'opération « Zoom métiers /Hôtellerie, Café,Restaurant en Occitanie ». Dès maintenant, les demandeurs d'emplois possédant une première expérience dans ces secteurs peuvent bénéficier de formations en vue d'une insertion professionnelle prochaine. Ces formations courtes, de 1 à 2 semaines maximum, sont accessibles via une procédure d'inscription accélérée et simplifiée.

Ces formations ont pour objectif de permettre aux demandeurs d'emplois d'être rapidement opérationnels pour postuler et être embauchés à l'issue. Parmi les contenus des formations proposées :

 - Cuisine (cuisinier/commis de cuisine) : production culinaire, rappels des règles d'hygiène ...

- Service: gestion de la relation client, connaissance commercialisation des produits ...

- Service d'étage : gestion du séjour, entretien des chambres, service petit déjeuner...

- Réceptionnistes : techniques de réception, communication appliquée à la réception ...


« Je sais combien ce mois de mai est important et attendu pour nos professionnels de l'hôtellerie - restauration, qui après une longue période d'incertitude vont pouvoir reprendre leurs activités. La Région est là pour leur offrir les accompagnements nécessaires afin d'assurer la relance de leur secteur durement affecté par la crise sanitaire. C'est dans ce contexte que nous nous engageons au côté de Pôle emploi pour permettre aux établissements de réembauchertout en facilitant la réinsertion professionnelle des demandeurs d'emplois. Nous devons tout faire pour que cette reprise se fasse dans les meilleures conditions pour notre économie, nos emplois et les consommateurs qui, je suis sûre, apprécieront un service de qualité exercé par des professionnels formés spécifiquement », a déclaré Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.

« Les équipes Pôle emploi en Occitanie sont pleinement mobilisées aux côtés de celles du Conseil régional, pour répondre aux difficultés de recrutement de la filière et aux besoins des employeurs.Elles sont aussi engagées pour non seulement identifier les demandeurs d'emploi directement employables, mais également les personnes qui auraient besoin d'une remise à niveau via des formations courtes, permettant d'être en situation de reprendre un emploi dès le mois de juin », a précisé Thierry Lemerle Directeur régional Pôle emploi Occitanie.

 

 


En bref - L'opération Zoom métiers / Hôtellerie,Café, Restaurant en Occitanie 

 

C'est quoi ?

 

- Des formations courtes de réentraînement d'une durée d'une à deux semaines

 

Quels objectifs ?

 

- Répondre aux besoins des professionnels des métiers de l'hôtellerie - restauration

- Accompagner les demandeurs d'emplois dans leur insertion professionnelle

 

Pour qui ?

 

- Les demandeurs d'emploi inscrits à Pôle Emploi et ayant déjà une expérience dans les métiers de l'hôtellerie-restauration

 

Comment ?

- Les personnes intéressées par ces formations sont invitées à contacter directement leur conseiller Pôle Emploi.

Plus d'infos sur :http://plmpl.fr/c/EedwU

La Région Occitanie et Bpifrance lancent le « Prêt Relance Occitanie »

La Région Occitanie et Bpifrance lancent le « Prêt Relance Occitanie », destiné à accompagner les TPE et PME dans leur relance

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Carole Delga, présidente de la Région Occitanie et Véronique Védrine,directrice du réseau Sud de Bpifrance, annoncent le lancement du nouveau dispositif « Prêt Relance Occitanie » en partenariat avec l’Ordre des Experts Comptables. Dix-huit mois après la mise en place du plan régional de soutien d’urgence aux entreprises en proie aux difficultés liées à la crise sanitaire de la COVID-19, ce nouveau Prêt Relance Occitanie vise à accompagner la relance des TPE et PME de la région.

 

D’un montant moyen de 105 000et destiné aux TPE et PME de tous secteurs d’activité ayant plus d’un an d’activité et un bilan, le précédent Prêt Rebond Occitaniea permis d’accompagner 1 107 entreprises pour un montant global de 116 M€ face à des besoins immédiats de trésorerie.

 

Aujourd’hui,la Région Occitanie et Bpifrance mobilisent de nouvelles ressources pour lancer le dispositif du Prêt Relance Occitanie. Consenti à un taux fixe préférentiel de 0,20%, ce prêt finance les besoins de trésorerie des TPE / PME liés à la reprise de leur activité et/ou cherchant à faire évoluer leur modèle économique dans le cadre d’un programme de développement.

 

Ce nouveau Prêt Relance Occitanie s’adresse aux TPE et PME de tous secteurs d’activité, ayant plus de 3 ans d’existence[1]. Le montant des prêts distribués est compris entre 10 000 et 300 000. Les prêts inférieurs à 75 000[2]bénéficient d’un processus 100% dématérialisé. D’une durée de sept ans pour un différé de remboursement de deux ans, ou de cinq ans avec un différé de remboursement d’un an, ce prêt de soutien est accordé sans prise de garantie sur les actifs de l’entreprise ou le patrimoine du dirigeant. Un co-financement du même montant que le Prêt Relance Occitanie est toutefois obligatoire auprès des réseaux bancaires.

 

Financé à hauteur de 15 M€ par la Région Occitanie, le dispositif « Prêt Relance Occitanie » pourra engager jusqu’à 52,5 M€ de financement auprès des TPE/PME sous forme de prêts à taux préférentiel.Plus de 500 TPE/PME devraient bénéficier du Prêt Relance Occitanie.

 

Via le Prêt Relance Occitanie, la Région Occitanie et Bpifrance entendent renforcer la trésorerie des entreprises régionales pour leur permettre, dans un contexte exceptionnel de résoudre durablement leurs difficultés. La mobilisation forte des experts-comptables auprès de leurs clients permet de sécuriser l’ensemble du dispositif.

 

Ce dispositif mis en place conjointement par la Région et Bpifrance est une mesure de soutien à la trésorerie des entreprises complémentaire aux Prêts Garantis par l’Etat (PGE), accordés par les banques.

 

«Plus que jamais les entreprises de l’Occitanie ont eu besoin d’accompagnement pour faire face à la crise sanitaire et économique survenue en 2020. La Région est venue en appui avec un plan d’urgence et de relance permettant d’aider plus de 67 000 entreprises et de préserver 250 000 emplois. Parmi les dispositifs : le Prêt Rebond Occitanie conduit en partenariat avec Bpifrance a montré toute son efficacité. La Région souhaite poursuivre sa mobilisation et intervenir dans la phase de relance pour soutenir les TPE et PME régionales et maintenir leur activité et les emplois. C’est le sens du Prêt Relance Occitanie qui permettra aux entreprises de bénéficier d’une diminution du taux d’intérêt appliqué, de la mise en place d’un différé de remboursement et d’un allègement sur les garanties exigées»indique Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.

 

« Après le succès du Prêt Rebond Occitanie, il nous parait essentiel de poursuivre notre accompagnement auprès des entreprises Occitanes en leur apportant toute la trésorerie nécessaire durant la crise sanitaire que nous traversons. » ajoute Véronique Védrine, directrice du réseau Sud de Bpifrance. « Dans ce contexte de reprise de l’activité économique, la mise en œuvre de ce nouveau Prêt Relance Occitanie est un engagement fort de la Région et Bpifrance envers les entreprises régionales. »

 

Infos pratiques :https://hubentreprendre.laregion.fr/financement/pret-relance-occitanie


 

A propos de Bpifrance

Bpifrance finance les entreprises – à chaque étape de leur développement – en crédit, en garantie et en fonds propres. Bpifrance les accompagne dans leurs projets d’innovation et à l’international. Bpifrance assure aussi leur activité export à travers une large gamme de produits. Conseil, université, mise en réseau et programme d’accélération à destination des startups, des PME et des ETI font également partie de l’offre proposée aux entrepreneurs.

Grâce à Bpifrance et ses 50 implantations régionales, les entrepreneurs bénéficient d’un interlocuteur proche, unique et efficace pour les accompagner à faire face à leurs défis.

Plus d’information sur : www.Bpifrance.fr- https://presse.bpifrance.fr/

 

 

A propos de la Région Occitanie

 

Chef de file du développement économique, la Région se mobilise pour apporter les meilleures réponses permettant d’accompagner la création et le développement des entreprises d’Occitanie, leurs projets de croissance et d’innovation, leur consolidation financière.

 

La Région a fait de l’ingénierie financière un axe fort de sa stratégie d’accompagnement des entreprises afin de faciliter et amplifier leur accès aux financements privés, sur des aspects essentiels à leur consolidation et à leur développement. Elle agit en partenariat avec une cinquantaine d’opérateurs financiers en Occitanie, notamment Bpifrance dans le cadre d’un partenariat étendu, afin d’apporter les réponses les plus fines à chaque étape du développement des entreprises.

 

Plus d’informations : https://www.laregion.fr/entreprendre - https://hubentreprendre.laregion.fr/  

 

 


[1]Sont exclues: les SCI, les autoentrepreneurs, les entreprises individuelles, les entreprises d’intermédiation financière, de production, transformation et commercialisation du tabac et des produits du tabac, les entreprises de promotion et de locations immobilières, les entreprises agricoles ou du secteur de la sylviculture et exploitation forestière dont le CA est supérieur à 750 000 euros, à l’exception des entreprises forestières.

[2] Dans la limite des fonds propres pour les prêts supérieurs à 75 k€. Pour les prêts compris entre 10 et 75 k€, le montant du prêt est limité à 25% du chiffre d’affaires de l’entreprise emprunteuse, en prenant comme référence le chiffre d’affaires maximum enregistré entre l’année 2019 et l’année 2020.

Brexit : l'UE engage une procédure contre le Royaume-Uni, qu'elle accuse de violer le traité de retrait

Le Brexit a beau être achevé, le feuilleton n'est pas pour autant terminé. L'Union européenne a engagé lundi 15 mars la première étape d'une procédure d'infraction contre le Royaume-Uni pour violation du traité de retrait signé fin 2019. Elle accuse Londres de ne pas respecter le protocole spécifique à l'île d'Irlande, un des points sur lesquels les négociations avaient été les plus compliquées.

 

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Pour protéger le marché unique européen tout en évitant le retour de contrôles à la frontière entre l'Irlande du Nord, membre du Royaume-Uni, et la République d'Irlande, qui appartient à l'UE, le protocole prévoyait la mise en place de contrôles douaniers au sein du Royaume-Uni, entre l'Irlande du Nord et le reste du pays.

Mais.............................. Poursuivre sur https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/la-grande-bretagne-et-l-ue/

Emploi : chute de 19% des embauches de cadres en 2020 dans le privé

Les embauches de cadres dans les entreprises privées ont chuté de 19% l'an dernier par rapport à 2019, tandis que 2021 ne devrait pas retrouver "le niveau d'avant-crise" sanitaire, plaçant les jeunes diplômés dans "une situation préoccupante", selon une étude de l'Association pour l'emploi des cadres (Apec), publiée vendredi 7 mai.Bureau, Notes, Bloc Notes, Entrepreneur

Pixabay

Mais ce recul en 2020 des recrutements des cadres du privé est "moins vertigineux que les prévisions de l'automne ne le laissaient craindre".......................

En savoir plus sur : https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/chomage/cadres-chute-de-19-des-embauches-en-2020-

Livrets réglementés : quelles augmentations au 1er février 2022 ?

 

Plusieurs livrets d'épargne réglementés vont voir leur taux de rémunération augmenter en février. Parmi ceux-ci, le livret A, le livret d’épargne populaire (LEP) ou encore le livret développement durable et solidaire (LDDS). Détails.


LDDS, LEP, livret A. Ces trois placements réglementés vont connaître au 1er février prochain une augmentation de leur rémunération.

Le livret A

Dans le détail, le livret A, verra son taux de rémunération augmenter. Il passera de 0,5 % à 1 % du fait de l’augmentation de l'inflation ces six derniers mois.

Le livret A est plafonné à 22 950 euros. Les fonds collectés sur ces placements sont centralisés par la Caisse des dépôts et consignations. Ils permettent le financement de logements sociaux et le renouvellement urbain.

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Le livret développement durable et solidaire (LDDS)

Le livret développement durable et solidaire connaît également un relèvement de son taux de rémunération, aligné sur celui du livret A, de 0,5 % à 1 %.

Ce livret d'épargne réglementé, plafonné à 12 000 euros, permet notamment le financement de l’économie sociale et solidaire et de la transition énergétique.

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Le livret d’épargne populaire (LEP)

Le livret d’épargne populaire verra quant à lui son taux de rémunération de 1 % à 2,2 %. En effet, depuis 2020, son taux indexé sur celui du livret A ne peut plus être inférieur à la moyenne sur six mois de l'inflation annuelle hors tabac.

Ce placement, limité à 7 700 euros, est soumis à un plafond de revenus pour pouvoir être ouvert. En effet, il est destiné aux personnes aux revenus modestes. La banque de France rappelle par ailleurs que le LEP reste sous-utilisé, dans un contexte où près de 50 % des Français y seraient éligibles, et où les modalités d’ouverture en ont été simplifiées.

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Le livret jeune

À noter enfin, que le taux du livret jeune, librement fixé par les banques, ne peut être inférieur à celui du livret A. Sa rémunération minimum ne pourra plus être inférieure à 1 % contre 0,5 % actuellement.

Ce placement, plafonné à 1 600 euros, est uniquement destiné aux jeunes entre 12 et 25 ans.

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