Bon à savoir

Immeuble effondré à Bordeaux: une femme décédée, son compagnon toujours hospitalisé

Une femme de 88 ans a été retrouvée morte samedi après-midi et son compagnon de 89 ans était toujours hospitalisé, après l'effondrement "apocalyptique" de leur immeuble du centre de Bordeaux soufflé au matin par une violente explosion, probablement due au gaz.

La préfecture de la Gironde a confirmé à l'AFP le décès de la victime retrouvée après une journée d'intenses recherches au milieu des ruines de l'immeuble, dans des conditions d'accès difficiles et dangereuses pour les secours.

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/explosion-a-bordeaux-une-femme-decedee-son-compagnon-toujours-dans-

Le 8 février ce sera la Journée internationale de l'épilepsie

 
Journée internationale de l'épilepsie

L'épilepsie reste une maladie encore mal connue. C'est pourquoi, malades et médecins ont décidé de sortir l'épilepsie de l'ombre en organisant, depuis l'an 2000 une Journée nationale dédiée à l'épilepsie. La Journée Internationale de l'Epilepsie se déroule, depuis 2015, le 2ème lundi de février, et ce dans plus de 120 pays.

La plupart d'entre nous confondent l'épilepsie avec sa manifestation la plus spectaculaire, la crise tonico-clonique ou généralisée ; et seulement 20 % savent qu'elle traduit un dysfonctionnement du cerveau.

Il n'y a pas une mais des épilepsies...

L'épilepsie est une maladie neurologique. Elle est l'expression d'un fonctionnement anormal de l'activité du cerveau. Les influx naviguent depuis le corps de la cellule nerveuse via le nerf jusqu'au muscle à activer. Ils peuvent être assimilés à une activité électrique, qui est anormale chez les sujets épileptiques. Cet influx électrique excessif et anormal gagne toutes les cellules nerveuses de proche en proche et provoque la crise d'épilepsie. Cependant compte-tenu des diverses formes de ces crises et de leur évolution, il n'existe pas une mais des épilepsies.

Apprendre les bons gestes

Un des buts de cette journée est d'informer tout un chacun sur les bons gestes devant une personne en crise ; en particulier il est inutile de mettre un objet dans la bouche, ni de l'empêcher de se débattre. La meilleure attitude est de la placer en position latérale de sécurité et de la protéger des regards curieux ou effrayés.

Un traitement efficace

Les épileptologues (médecins neurologues spécialistes de l'épilepsie) se réjouissent de la panoplie de médicaments désormais à la disposition des malades. Une vingtaine de molécules actives ont été mises au point, qui agissent sur les différents types d'épilepsie. Aujourd'hui, 70 % des cas d'épilepsie peuvent être soignés avec succès. Après 2 à 5 ans sans nouvelle crise, environ 70 % des enfants et 60 % des adultes pourront suspendre, sous contrôle médical, le traitement sans risque de rechute.

Un thème pour 2021

"Mettre en lumière l'épilepsie et ceux qui la vivent"
Pratiquement, les mairies sont invitées à s'illuminer en violet le soir du 8 février. D'autres manifestations sont prévues pour combattre la méconnaissance et les préjugés autour de l'épilepsie à travers une campagne d'information dans les médias, l'organisation de webinaires et même un concours créatif ouvert à tous (dessins, photos, collages...).

Un site à visiter : www.epilepsie-france.com

Covid-19 : plus de 20 000 nouveaux cas en 24 heures, le nombre de patients hospitalisés recule encore

Le repli est faible mais rassurant. Pour le quatrième jour consécutif, la pression hospitalière liée au coronavirus a marqué un léger recul, samedi 6 février, selon les chiffres de Santé publique France. Les hôpitaux français accueillent désormais 27 369 patients hospitalisés dans l'Hexagone, soit environ 250 de moins que la veille. Parmi eux, 3 225 personnes se trouvent en réanimation (-20).

Le nombre de contaminations (20 586) est en baisse par rapport à la veille (22 139), mais reste sur un plateau élevé. ........................

Poursuivre sur : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-plus-de-20-000-nouveaux-cas-en-24

Violences conjugales : les armes des conjoints violents doivent être "systématiquement" saisies dès le dépôt de plainte

Il y a quelques jours, les préfets ont tous reçu la même instruction : le ministère de l'Intérieur leur demande de "systématiquement saisir les armes des conjoints violents, (...) et ce dès la plainte", a fait savoir la place Beauvau dans un communiqué publié samedi 6 février

Ce n'est pas tout. Les forces de l'ordre doivent aussi "questionner systématiquement les personnes présentes et les victimes sur la présence d'armes" lors des interventions et "vérifier les antécédents judiciaires – y compris mains courantes – des demandeurs de détention d'armes", est-il ajouté...............................................................................................

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/violences-conjugales-les-armes-des-

Information coronavirus : Suivi hebdomadaire des hôpitaux du Bassin de Thau

Hier, vendredi 5 février, 53 patients COVID étaient pris en charge aux Hôpitaux du Bassin de Thau dont 6 en réanimation (+1), 6 en médecine (-5), 11 en SSR (+6), 27 en EHPAD (-12) et 3 en HAD.
En 1 semaine, 13 nouveaux patients et résidents ont été pris en charge
 À retenir cette semaine :
 Une situation stable en médecine, réanimation et SSR pour un total de 21 patients
 Une amélioration très significative du cluster de l’EHPAD de Marseillan (3 positifs contre 13 la semaine dernière) et sur l’EHPAD d’Agde (17 positifs contre 24 la semaine dernière) avec de nombreux résidents qui se sont négativés.
 Mais mise sous surveillance l’EHPAD de Vias qui compte 6 résidents positifs.
Depuis le début de la 2ème vague, 609 patients Covid ont été pris en charge et 109 sont décédés (+ 3 dans la semaine) avec une moyenne d’âge des décès de 84,2 ans. Sur ces 109 décès, 34 concernent des résidents des EHPAD et USLD de Sète, Agde et Marseillan
Le processus de vaccination s’est poursuivi avec les deuxièmes injections pour les résidents et les professionnels.Aucune description de photo disponible.

Réforme des fourrières : quand mon département sera-t-il concerné ?

Voiture De Sport, Auto, Véhicule

 

De nouvelles règles concernant les fourrières automobiles entrent progressivement en vigueur dans les départements. Cette réforme visant à simplifier les démarches d'entrée, de sortie et de gestion des véhicules en fourrière sera déployée dans l'ensemble du territoire au 1er avril 2021. Quelles sont ces nouvelles règles ? Quels est le calendrier ? Trois arrêtés parus au Journal officiel le 14 novembre 2020 sont complétés par un nouvel arrêté le 27 janvier 2021.

Les principaux changements sont :

  • Chaque véhicule mis en fourrière fait désormais l'objet d'une nouvelle fiche descriptive plus détaillée comportant notamment l'état du véhicule (bon état, dégradé, dommages graves) et deux dessins du véhicule portant les symboles des dommages apparents (rayures, enfoncements, bris). Elle est établie par l'officier de police judiciaire (OPJ) ou l'agent de police judiciaire adjoint, si possible contradictoirement en présence du propriétaire ou du conducteur. Cette fiche s'ajoute au procès-verbal et à la fiche de circulation.
  • Le véhicule ne fait plus l'objet d'une expertise automobile comme il était d'usage 4 jours après sa mise en fourrière.
  • Un véhicule en mauvais état mis en fourrière est considéré comme abandonné :
    • si sa valeur marchande est estimée insuffisante. Cette valeur est établie en tenant compte de ses caractéristiques techniques, de sa date de première mise en circulation et, le cas échéant, des motifs de sa mise en fourrière. Auparavant, sa valeur devait être inférieure à 765 € ;
    • au bout de 10 jours à compter de la mise en demeure faite au propriétaire de retirer son véhicule + 1 jour ouvrable.

    L'officier de police judiciaire (OPJ) a toujours la possibilité de retirer à titre conservatoire le certificat d'immatriculation du véhicule (par exemple, si le véhicule est endommagé).
  • Si le propriétaire n'a pas pu récupérer son véhicule dans les délais impartis, il peut toujours venir le chercher tant que les domaines ne l'ont pas vendu. Dans ce cas, il devra régler les frais de mise en vente, plafonnés à 100 € pour une voiture particulière et 50 € pour un deux-roues, en plus des autres frais.
Calendrier de l'application des mesures dans les départements

Dates

Départements concernés

17 novembre 2020

Finistère, Indre-et-Loire, Nord, Pas-de-Calais, Seine-et-Marne, Vienne, Haute-Vienne, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne, Val-d'Oise

1er février 2021

Aisne, Bouches-du-Rhône, Charente, Charente-Maritime, Côtes-d'Armor, Eure, Eure-et-Loir, Gironde, Landes, Oise, Seine-Maritime, Yvelines, Somme, Var, Yonne, Essonne, Hauts-de-Seine

1er mars 2021

Ain, Alpes-de-Haute-Provence, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes, Ardèche, Calvados, Dordogne, Drôme, Gard, Gers, Ille-et-Vilaine, Isère, Loire, Lot-et-Garonne, Manche, Marne, Haute-Marne, Mayenne, Morbihan, Orne, Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Rhône, Sarthe, Savoie, Haute-Savoie, Vaucluse

1er avril 2021

Allier, Ardennes, Ariège, Aube, Aude, Aveyron, Cantal, Cher, Corrèze, Corse-du-Sud, Haute-Corse, Côte-d'Or, Creuse, Doubs, Haute-Garonne, Hérault, Indre, Jura, Loir-et-Cher, Haute-Loire, Loire-Atlantique, Loiret, Lot, Lozère, Maine-et-Loire, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Moselle, Nièvre, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Orientales, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Haute-Saône, Saône-et-Loire, Paris, Deux-Sèvres, Tarn, Tarn-et-Garonne, Vendée, Vosges, Territoire de Belfort, Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion, Mayotte

  A savoir : Dans le cadre de la mise en place du système d'information national des fourrières en automobiles (SI Fourrière), un téléservice de demande d'autorisation de sortie de fourrière permettra aux usagers de réaliser cette démarche en ligne, avec une instruction automatisée, sans avoir à se déplacer au commissariat ou à la gendarmerie.

Les deux-roues ne peuvent plus circuler entre deux files de voitures

L’expérimentation de la circulation inter-files (CIF) des motos et des scooters sur certaines routes de 11 départements français s’est achevée le 31 janvier 2021. Il est désormais interdit aux deux-roues et trois-roues motorisés de circuler entre deux files de voitures partout en France.

Cette expérimentation avait été mise en place depuis le 1er février 2016 dans les 8 départements de l’Île-de-France ainsi que dans les Bouches-du-Rhône (13), la Gironde (33) et le Rhône (69). Seules certaines voies de ces départements étaient concernées : les autoroutes et routes à deux chaussées séparées par un terre-plein central et dotées d’au moins deux voies chacune, où la vitesse maximale autorisée est supérieure ou égale à 70 km/h, entre les files de véhicules situées sur les deux voies, ayant le même sens de circulation, les plus à gauche d’une chaussée.

Selon la Sécurité routière qui s’appuie sur le rapport du Cerema remis en janvier 2021 (Centre d’études et d’expertises sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) , le bilan de l’expérimentation de l’accidentalité des deux-roues motorisés est décevant. Elle a augmenté de 12 % sur les routes où l’expérimentation a eu lieu alors qu’elle a baissé de 10 % sur les autres routes des départements concernés.

Cependant, cette expérimentation a renforcé la pédagogie sur la circulation inter-files. Aussi, une seconde expérimentation plus approfondie est envisagée avec de nouveaux éléments comme l’élargissement des zones géographiques concernées et de nouvelles règles de circulation.

  A savoir : Remonter une file en deux-roues vous expose à un retrait de 3 points sur votre permis de conduire et à une contravention de 4e classe, soit une amende forfaitaire de 135 €.

Tarifs réglementés de l'électricité : quelle augmentation au 1er février ?

 

À partir du 1er février 2021, les tarifs réglementés de vente d'électricité d'EDF et des Entreprises locales de distribution (ELD) augmentent en moyenne de 1,6 %. C'est ce qu'indique en effet le site du médiateur national de l'énergie.

 

Cette hausse appliquée par EDF concerne environ 23 millions de foyers. Elle se base sur une décision du ministère de la Transition écologique et solidaire et du ministère de l'Économie et des Finances publiée au Journal officiel du 31 janvier 2021.

Elle fait suite à l'augmentation de 1,54 % des tarifs réglementés de l'électricité pour les particuliers au 1er août 2020.

  A savoir : Les tarifs réglementés sont fixés en fonction des coûts de l'énergie, du coût d'acheminement et du coût de commercialisation.

Rénovation énergétique : élargissement des bénéficiaires de MaPrimeRénov'

Illustration 1Crédits : © Ministère de la Transition écologique et solidaire

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Afin de soutenir la rénovation énergétique des logements dans le cadre du Plan de relance annoncé le 3 septembre 2020 par le Gouvernement, le dispositif MaPrimeRénov' devient accessible à tous les propriétaires à compter du 1er janvier 2021. Il s'agit de favoriser les rénovations globales les plus efficaces et l'éradication des « passoires énergétiques ». Deux décrets et deux arrêtés parus au Journal officiel le 26 janvier 2021 précisent ces nouvelles dispositions.

Depuis le 1er janvier 2020, l'État propose MaPrimeRénov' pour aider les ménages à financer les travaux de rénovation énergétique dans leur logement.

Jusqu'à présent réservée aux propriétaires occupants modestes et très modestes, cette aide est désormais accessible à tous les propriétaires occupants, sans condition de ressources, et s'applique aux demandes de primes déposées auprès de l'Agence nationale de l'habitat (ANAH) à compter du 1er janvier 2021.

MaPrimeRénov' est également ouverte depuis le 1er janvier 2021 à l'ensemble des copropriétés (y compris celles qui ne se trouvent pas en situation de fragilité). Elle vient simplifier le financement des travaux grâce à une seule aide collective, versée au syndicat de copropriétaires, indépendamment des situations individuelles des copropriétaires.

À partir du 1er juillet 2021, les propriétaires bailleurs pourront déposer leur demande de prime. Cette prime vise à encourager la rénovation énergétique des logements du parc locatif privé.

Sont éligibles les travaux faisant l'objet d'un devis signé à partir du 1er octobre 2020.

Sont également prévus :

  • un bonus pour accélérer le traitement des « passoires thermiques » (logements énergivores F ou G) ;
  • une incitation pour les ménages plus aisés à effectuer des rénovations globales de leur logement qui permettent un gain énergétique de plus de 55 % ;
  • un bonus Bâtiment Basse Consommation (BBC) pour récompenser l'atteinte de l'étiquette énergie B ou A ;
  • un accompagnement des ménages avec la création d'un forfait Assistance à Maîtrise d'Ouvrage (AMO).

L'ANAH ne verse pas la prime lorsque son montant est inférieur à 80 €.

  A noter : Cette mesure est inscrite au projet de loi de finances pour 2021 qui a comme objectif d'accompagner le plan France Relance [application/pdf - 2.5 MB] .

  A savoir : Remplacé par MaPrimeRénov' le Crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE) a été supprimé le 1er janvier 2021.

Les vaisseaux fantômes de Sette.

En juillet-août 1793, la France révolutionnaire devait faire face à de nombreux périls. L'un d'eux était le manque de grains, pouvant engendrer disette et famine. "Sette" en était menacée, malgré les secours extérieurs et le rôle du port.

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L'examen des délibérations municipales de l'été 1793 nuance fortement les affirmations de l'Histoire de Sète (Privat 1986), selon lesquelles Sète ne manqua jamais de grains pendant la Révolution. Le port permettait sans doute d'approvisionner un "vaste hinterland méridional allant du piémont pyrénéen à l'Auvergne et au Dauphiné" (p.151). L'incontestable sérieux de l'ouvrage ne permet pas de douter de cette affirmation. Mais les Sétois, eux, étaient apparemment très mal servis par ce flux commercial. Le 15 juillet 1793, les documents municipaux notent que "la municipalité a été souvent dans des transes affreuses"..."nous avons été sur le point, la semaine dernière, de manquer totalement de pain" et le 16 juillet, il est noté la difficulté d'approvisionnement en grains dont cette ville est sur le point de manquer. Le 26 juillet, "pas de bleds au marché de Béziers". De même le 5 août, constatent les boulangers qui se sont déplacés en personne.

 Le 9 août, le scribe municipal consigne "le manque total de grains et farines". Pourtant, l'agglomération avait reçu de l'aide du département prise sur le fonds des "bleds nationaux". Mais la ville mettait ses espoirs dans le port qui commerçait avec Gênes. Certes, il fallait "payer les cargaisons des neutres" soit en vins, soit en numéraire. Cela rendait le blé fort cher, mais éloignait le spectre de la famine. Au début d'août 1793, on attendait l'arrivée de deux navires génois chargés de grains.

Or, ces vaisseaux étaient retenus à Marseille depuis plus de deux mois. Et les producteurs du département refusent de livrer leurs récoltes au demeurant fort réduites. L'année avait été mauvaise, la soudure difficile. Les Sétois en appellent au tribunal de commerce de Marseille. Cette instance rend son verdict : les cargaisons sont déclarées libres. Mais, arguent les Marseillais, elles risquent d'être saisies par les navires ennemis. Et puis, on manque aussi de blé à Marseille. La ville veut garder les grains et offre de payer leur valeur.

 Bien embarrassés, les édiles sétois écrivirent au ministre de la guerre. On ne sait ce que celui-ci décida, mais, décidément, face aux difficultés concrètes, ils paraissaient bien irréels ces navires génois.

Hervé Le Blanche.

Lutte contre le "séparatisme" : l'Assemblée nationale vote le "contrat républicain"

Un article central dans la lutte contre le "séparatisme" selon la majorité, mais vivement contesté par l'opposition. L'Assemblée nationale a voté en faveur d'un "contrat d'engagement républicain" pour les associations, une disposition du projet de loi "confortant le respect des principes de la République", vendredi 5 février dans la soirée. 

Adoptée par 81 voix contre 20, cette disposition figure à l'article 6 du projet de loi, débattu depuis lundi en première lecture à l'Assemblée nationale. L'article prévoit que toute association ou fondation sollicitant une subvention publique "s'engage, par un contrat d'engagement républicain, à respecter les principes de liberté, d'égalité, de fraternité, de respect de la dignité de la personne humaine".

En savoir beaucoup plus sur : https://www.francetvinfo.fr/societe/religion/religion-laicite/lutte-contre-le-separatisme-l-assemblee-nationale

Du 4 au 12 février, France Télévisions se mobilise pour faire découvrir aux élèves de 3e les métiers de l'audiovisuel

Du 4 au 12 février, France Télévisions se mobilise pour faire découvrir aux élèves de 3e les métiers de l'audiovisuel !
Au programme, des rencontres-métiers avec les professionnels, 
Samuel Etienne
Leïla Kaddour
Julien Pain

La Borne des Buralistes

La Borne des Buralistes a été créée et développée par Proxigital, qui est hébergée par la Confédération des buralistes.

Lancée par la start-up Proxigital, la Borne des buralistes est testée dans une cinquantaine de commerces en France : découvrir sur https://www.lemondedutabac.com/borne-des-buralistes-on-a-deja-pres-de-400-demandes

Ce sont des informaticiens passionnés et des anciens de Nickel très attachés au réseau des buralistes, tous prêts à relever d’incroyables challenges !

Une borne installée chez un buraliste proche de chez vous, c’est la possibilité de communiquer directement à votre cible naturelle, sans déperdition.

Pour les trouver : https://labornedesburalistes.fr/ou-nous-trouver/