Bon à savoir

Transhumance Villeveyrac – Mèze : rendez-vous le 13 avril !

Amoureux de nature et de traditions notez bien cette date !
Samedi 13 avril, Michel Ibanez, le berger de Mèze et ses brebis vous donnent rendez-vous pour la transhumance Villeveyrac -Mèze.
Une balade de 13 kilomètres au rythme des animaux pour profiter du grand air et des paysages de garrigues qui surplombent l’étang de Thau. Entre Villeveyrac et Mèze, le parcours passera par les communes de Poussan et Loupian.
Cette promenade champêtre offre une très belle occasion de vivre la journée d’un berger, de découvrir son métier, d’admirer le travail de ses chiens…


Le départ de la transhumance sera donné à 10h30, rue de la Gare à Villeveyrac.
Une pause avec repas tiré du sac aura lieu vers 12h30.
L’arrivée à la halle du Sesquier de Mèze est prévue aux alentours de 16h.
Un covoiturage sera organisé à partir de 9h30 depuis le parking du stade du Sesquier à Mèze.
Attention ! les chiens, même tenus en laisse sont strictement interdits sur la transhumance.

Thau Alabri : Le nouveau dispositif pour adapter le bâti face aux inondations.

Le Syndicat mixte du bassin de Thau lance l’opération THAU ALABRI à destination des propriétaires d’un logement ou d’une entreprise situé(e) en zone inondable. Particuliers, commerçants, artisans, chefs d’entreprise peuvent bénéficier d’un accompagnement complet pour adapter leur bien face aux inondations.

Du constat au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les récentes études menées par la Stratégie Locale de Gestion du Risque Inondation (SLGRI) de Thau ont mis en lumière les risques importants d’inondations auxquels sont exposés le territoire et ses habitants, avec des impacts sur l’économie locale. Les analyses révèlent les conséquences des phénomènes de pluies intenses et de coups de mer, susceptibles de causer des dommages notables aux infrastructures publiques, aux bâtiments résidentiels et commerciaux, au secteur agricole, et de manière plus générale, à l’activité économique sur le Bassin de Thau.

Les constats au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les résultats de l’étude indiquent que près de 10 000 habitations et 800 entreprises seraient en première ligne face à un évènement décennal (caractérisé par une probabilité de 10 % de se produire chaque année). Le scénario s’aggrave encore pour un évènement centennal, avec 15 000 habitations et 2 000 entreprises potentiellement menacées.

Bien que la majorité des bâtiments concernés soient exposés à un risque faible ou modéré, avec des projections d’inondation inférieures à 50 cm, plusieurs centaines pourraient se retrouver sous plus d’un mètre d’eau, soulignant la gravité des menaces en cas de crue majeure.
La typologie des dégâts analysés révèle que les dommages aux habitats constituent une part majeure des risques, représentant entre 24 % et 48 % des dégâts totaux estimés selon les communes. Cette prédominance des dommages liés au secteur résidentiel a motivé les pouvoirs publics à prendre des mesures proactives pour adapter le bâti.
Ces chiffres soulignent l’urgence et la nécessité d’une action coordonnée entre les pouvoirs publics, les entreprises et les citoyens pour renforcer la résilience du territoire face aux risques d’inondation.

Pour rappel, le bassin de Thau est soumis à trois types d’aléas :

  • le débordement de cours d’eau,
  • le ruissellement urbain,
  • la submersion marine.

Dès l’élaboration de la SLGRI, ces 3 aléas ont été pris en compte dans les études réalisées.

Le Programme d’Études Préalables (PEP) au Programme d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) qui a été élaboré et validé par les services de l’État à l’automne 2022 se donne pour objectif de réduire la vulnérabilité du territoire à ces risques. Vingt-six actions portées par 7 maîtres d’ouvrage ont été retenues puis labellisées par l’État pour une mise en œuvre dès 2023 et jusqu’à fin 2024. Cette labélisation a permis ainsi au territoire de Thau de pouvoir être aidé par le Fond d’état dit Barnier afin de mettre en œuvre ces actions. Le Fond Barnier est un fond assurantielle piloté par le ministère de l’environnement pour engager des politiques publiques nationales à locales, structurelles et conjoncturelles, vis-à-vis des risques naturels (inondation, sècheresse, glissement de terrain séisme, etc.).

Parmi les actions inscrites et portées par le SMBT, on peut citer la pose de repères de crue et des diagnostics de vulnérabilité des habitations particulières.
Ainsi, le SMBT porte le dispositif THAU ALABRI, visant à offrir un service public dédié à tous ceux confrontés à des enjeux d’inondation sur notre territoire. Cette démarche a pour objectif d’accompagner les habitants dans la réduction des risques et des dommages liés aux inondations.

Avec Thau Alabri, un diagnostic gratuit et personnalisé

Le dispositif est en place depuis le 1er mars. Les demandeurs sont accompagnés à chaque étape du programme THAU ALABRI.

La première étape consiste à réaliser un diagnostic individuel et gratuit pour identifier les équipements susceptibles d’être endommagés par la montée du niveau d’eau causé par les inondations.

Le diagnostic est entièrement pris en charge par l’Etat (50 %), la Région Occitanie (20 %), le Département de l’Hérault (10 %) et le SMBT (20 %).

À l’issue de ce rendez-vous, un rapport détaillé et confidentiel est adressé au demandeur avec les solutions possibles pour adapter le bien étudié.

Certaines mesures, parfois simples, permettent de limiter considérablement les dégâts causés par une inondation : batardeaux en travers des ouvertures, clapet anti-retour sur l’évacuation des eaux usées, mise hors d’eau des équipements électriques, etc.

Ce service public porté par le SMBT permettra d’accompagner les administrés en zone inondables (particuliers ou entreprises) avec l’aide d’un professionnel qui leur fournira l’ensemble des éléments techniques et des conseils pour améliorer la résilience de leur bien mobilier et immobilier.

Et des solutions financées jusqu’à 80 %…

Avec ce dispositif, il s’agit de protéger les personnes, limiter les dommages sur les biens et enfin assurer le retour à la normale le plus rapidement en cas d’inondation ainsi que d’améliorer la résilience et la continuité de l’activité économique.

batiment avec solutions thau alabri

Rappelons que de nombreuses habitations sont aussi le siège de petite entreprise ou professions libérales.

C’est pourquoi les coûts liés aux solutions préconisées dans le diagnostic THAU ALABRI peuvent être subventionnés.

Pour les particuliers, les aides peuvent aller jusqu’à 80 % du montant des travaux engagés. Pour les commerçants, artisans, chefs d’entreprises de moins de 20 salariés, un subventionnement est possible à hauteur de 40 %. La prise en charge étant dans les deux cas assurée par l’Etat (sans condition de revenus).

Pour faciliter les démarches, le bureau d’études OSGAPI mandaté par le SMBT accompagne les demandeurs de la réalisation des travaux aux demandes de financement.

Je suis propriétaire d’un logement situé en zone inondable ?

Je suis concerné(é) !

mockup plaquette thau alabri

  • Je télécharge la plaquette d’informations sur le site sur le dispositif THAU ALABRI en cliquant ici !
  • Je contacte la société Osgapi : 09 74 76 93 52 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.https://osgapi.com/thaualabri

Le saviez-vous ?

Le bassin de Thau fait partie des 122 Territoires à Risque Important (TRI) d’inondation, recensés au plan national. Mieux connaître, anticiper et limiter les risques d’inondation, par ruissellement, débordement ou submersion, tel est l’objectif de la SLGRI (Stratégie Locale de Gestion des Risques d’Inondation) que pilote le SMBT depuis 2017. Elle intègre 25 communes situées sur le bassin versant de la lagune de Thau et de l’étang d’Ingril (Agde, Aumelas, Aumes, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Castelnau-de-Guers, Cournonsec, Cournonterral, Florensac, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Loupian, Marseillan, Mèze, Montagnac, Montbazin, Pinet, Pomerols, Poussan, Saint-Pons-deMauchiens, Sète, Vic-la-Gardiole et Villeveyrac).

La démarche vise à identifier précisément les zones les plus sensibles, à entreprendre et à prioriser les travaux de protection et d’adaptation nécessaires.
Dans le sillage de ces études, fort utiles dans la gestion du risque sur le bassin versant de Thau et d’Ingril, l’élaboration d’une démarche de PAPI (Programme d’Actions de Prévention des Inondations) a été lancée en 2021.

Orchestré par le SMBT, porteur de la démarche avec les services de la DDTM, la première phase de la démarche a consisté à élaborer un Programme d’études préalables (PEP), avant d’envisager des actions de mitigation et de prévention des risques dans le cadre du PAPI.

Thau Alabri : Le nouveau dispositif pour adapter le bâti face aux inondations.

Le Syndicat mixte du bassin de Thau lance l’opération THAU ALABRI à destination des propriétaires d’un logement ou d’une entreprise situé(e) en zone inondable. Particuliers, commerçants, artisans, chefs d’entreprise peuvent bénéficier d’un accompagnement complet pour adapter leur bien face aux inondations.

Du constat au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les récentes études menées par la Stratégie Locale de Gestion du Risque Inondation (SLGRI) de Thau ont mis en lumière les risques importants d’inondations auxquels sont exposés le territoire et ses habitants, avec des impacts sur l’économie locale. Les analyses révèlent les conséquences des phénomènes de pluies intenses et de coups de mer, susceptibles de causer des dommages notables aux infrastructures publiques, aux bâtiments résidentiels et commerciaux, au secteur agricole, et de manière plus générale, à l’activité économique sur le Bassin de Thau.

Les constats au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les résultats de l’étude indiquent que près de 10 000 habitations et 800 entreprises seraient en première ligne face à un évènement décennal (caractérisé par une probabilité de 10 % de se produire chaque année). Le scénario s’aggrave encore pour un évènement centennal, avec 15 000 habitations et 2 000 entreprises potentiellement menacées.

Bien que la majorité des bâtiments concernés soient exposés à un risque faible ou modéré, avec des projections d’inondation inférieures à 50 cm, plusieurs centaines pourraient se retrouver sous plus d’un mètre d’eau, soulignant la gravité des menaces en cas de crue majeure.
La typologie des dégâts analysés révèle que les dommages aux habitats constituent une part majeure des risques, représentant entre 24 % et 48 % des dégâts totaux estimés selon les communes. Cette prédominance des dommages liés au secteur résidentiel a motivé les pouvoirs publics à prendre des mesures proactives pour adapter le bâti.
Ces chiffres soulignent l’urgence et la nécessité d’une action coordonnée entre les pouvoirs publics, les entreprises et les citoyens pour renforcer la résilience du territoire face aux risques d’inondation.

Pour rappel, le bassin de Thau est soumis à trois types d’aléas :

  • le débordement de cours d’eau,
  • le ruissellement urbain,
  • la submersion marine.

Dès l’élaboration de la SLGRI, ces 3 aléas ont été pris en compte dans les études réalisées.

Le Programme d’Études Préalables (PEP) au Programme d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) qui a été élaboré et validé par les services de l’État à l’automne 2022 se donne pour objectif de réduire la vulnérabilité du territoire à ces risques. Vingt-six actions portées par 7 maîtres d’ouvrage ont été retenues puis labellisées par l’État pour une mise en œuvre dès 2023 et jusqu’à fin 2024. Cette labélisation a permis ainsi au territoire de Thau de pouvoir être aidé par le Fond d’état dit Barnier afin de mettre en œuvre ces actions. Le Fond Barnier est un fond assurantielle piloté par le ministère de l’environnement pour engager des politiques publiques nationales à locales, structurelles et conjoncturelles, vis-à-vis des risques naturels (inondation, sècheresse, glissement de terrain séisme, etc.).

Parmi les actions inscrites et portées par le SMBT, on peut citer la pose de repères de crue et des diagnostics de vulnérabilité des habitations particulières.
Ainsi, le SMBT porte le dispositif THAU ALABRI, visant à offrir un service public dédié à tous ceux confrontés à des enjeux d’inondation sur notre territoire. Cette démarche a pour objectif d’accompagner les habitants dans la réduction des risques et des dommages liés aux inondations.

Avec Thau Alabri, un diagnostic gratuit et personnalisé

Le dispositif est en place depuis le 1er mars. Les demandeurs sont accompagnés à chaque étape du programme THAU ALABRI.

La première étape consiste à réaliser un diagnostic individuel et gratuit pour identifier les équipements susceptibles d’être endommagés par la montée du niveau d’eau causé par les inondations.

Le diagnostic est entièrement pris en charge par l’Etat (50 %), la Région Occitanie (20 %), le Département de l’Hérault (10 %) et le SMBT (20 %).

À l’issue de ce rendez-vous, un rapport détaillé et confidentiel est adressé au demandeur avec les solutions possibles pour adapter le bien étudié.

Certaines mesures, parfois simples, permettent de limiter considérablement les dégâts causés par une inondation : batardeaux en travers des ouvertures, clapet anti-retour sur l’évacuation des eaux usées, mise hors d’eau des équipements électriques, etc.

Ce service public porté par le SMBT permettra d’accompagner les administrés en zone inondables (particuliers ou entreprises) avec l’aide d’un professionnel qui leur fournira l’ensemble des éléments techniques et des conseils pour améliorer la résilience de leur bien mobilier et immobilier.

Et des solutions financées jusqu’à 80 %…

Avec ce dispositif, il s’agit de protéger les personnes, limiter les dommages sur les biens et enfin assurer le retour à la normale le plus rapidement en cas d’inondation ainsi que d’améliorer la résilience et la continuité de l’activité économique.

batiment avec solutions thau alabri

Rappelons que de nombreuses habitations sont aussi le siège de petite entreprise ou professions libérales.

C’est pourquoi les coûts liés aux solutions préconisées dans le diagnostic THAU ALABRI peuvent être subventionnés.

Pour les particuliers, les aides peuvent aller jusqu’à 80 % du montant des travaux engagés. Pour les commerçants, artisans, chefs d’entreprises de moins de 20 salariés, un subventionnement est possible à hauteur de 40 %. La prise en charge étant dans les deux cas assurée par l’Etat (sans condition de revenus).

Pour faciliter les démarches, le bureau d’études OSGAPI mandaté par le SMBT accompagne les demandeurs de la réalisation des travaux aux demandes de financement.

Je suis propriétaire d’un logement situé en zone inondable ?

Je suis concerné(é) !

mockup plaquette thau alabri

  • Je télécharge la plaquette d’informations sur le site sur le dispositif THAU ALABRI en cliquant ici !
  • Je contacte la société Osgapi : 09 74 76 93 52 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.https://osgapi.com/thaualabri

Le saviez-vous ?

Le bassin de Thau fait partie des 122 Territoires à Risque Important (TRI) d’inondation, recensés au plan national. Mieux connaître, anticiper et limiter les risques d’inondation, par ruissellement, débordement ou submersion, tel est l’objectif de la SLGRI (Stratégie Locale de Gestion des Risques d’Inondation) que pilote le SMBT depuis 2017. Elle intègre 25 communes situées sur le bassin versant de la lagune de Thau et de l’étang d’Ingril (Agde, Aumelas, Aumes, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Castelnau-de-Guers, Cournonsec, Cournonterral, Florensac, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Loupian, Marseillan, Mèze, Montagnac, Montbazin, Pinet, Pomerols, Poussan, Saint-Pons-deMauchiens, Sète, Vic-la-Gardiole et Villeveyrac).

La démarche vise à identifier précisément les zones les plus sensibles, à entreprendre et à prioriser les travaux de protection et d’adaptation nécessaires.
Dans le sillage de ces études, fort utiles dans la gestion du risque sur le bassin versant de Thau et d’Ingril, l’élaboration d’une démarche de PAPI (Programme d’Actions de Prévention des Inondations) a été lancée en 2021.

Orchestré par le SMBT, porteur de la démarche avec les services de la DDTM, la première phase de la démarche a consisté à élaborer un Programme d’études préalables (PEP), avant d’envisager des actions de mitigation et de prévention des risques dans le cadre du PAPI.

Thau Alabri : Le nouveau dispositif pour adapter le bâti face aux inondations.

Le Syndicat mixte du bassin de Thau lance l’opération THAU ALABRI à destination des propriétaires d’un logement ou d’une entreprise situé(e) en zone inondable. Particuliers, commerçants, artisans, chefs d’entreprise peuvent bénéficier d’un accompagnement complet pour adapter leur bien face aux inondations.

Du constat au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les récentes études menées par la Stratégie Locale de Gestion du Risque Inondation (SLGRI) de Thau ont mis en lumière les risques importants d’inondations auxquels sont exposés le territoire et ses habitants, avec des impacts sur l’économie locale. Les analyses révèlent les conséquences des phénomènes de pluies intenses et de coups de mer, susceptibles de causer des dommages notables aux infrastructures publiques, aux bâtiments résidentiels et commerciaux, au secteur agricole, et de manière plus générale, à l’activité économique sur le Bassin de Thau.

Les constats au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les résultats de l’étude indiquent que près de 10 000 habitations et 800 entreprises seraient en première ligne face à un évènement décennal (caractérisé par une probabilité de 10 % de se produire chaque année). Le scénario s’aggrave encore pour un évènement centennal, avec 15 000 habitations et 2 000 entreprises potentiellement menacées.

Bien que la majorité des bâtiments concernés soient exposés à un risque faible ou modéré, avec des projections d’inondation inférieures à 50 cm, plusieurs centaines pourraient se retrouver sous plus d’un mètre d’eau, soulignant la gravité des menaces en cas de crue majeure.
La typologie des dégâts analysés révèle que les dommages aux habitats constituent une part majeure des risques, représentant entre 24 % et 48 % des dégâts totaux estimés selon les communes. Cette prédominance des dommages liés au secteur résidentiel a motivé les pouvoirs publics à prendre des mesures proactives pour adapter le bâti.
Ces chiffres soulignent l’urgence et la nécessité d’une action coordonnée entre les pouvoirs publics, les entreprises et les citoyens pour renforcer la résilience du territoire face aux risques d’inondation.

Pour rappel, le bassin de Thau est soumis à trois types d’aléas :

  • le débordement de cours d’eau,
  • le ruissellement urbain,
  • la submersion marine.

Dès l’élaboration de la SLGRI, ces 3 aléas ont été pris en compte dans les études réalisées.

Le Programme d’Études Préalables (PEP) au Programme d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) qui a été élaboré et validé par les services de l’État à l’automne 2022 se donne pour objectif de réduire la vulnérabilité du territoire à ces risques. Vingt-six actions portées par 7 maîtres d’ouvrage ont été retenues puis labellisées par l’État pour une mise en œuvre dès 2023 et jusqu’à fin 2024. Cette labélisation a permis ainsi au territoire de Thau de pouvoir être aidé par le Fond d’état dit Barnier afin de mettre en œuvre ces actions. Le Fond Barnier est un fond assurantielle piloté par le ministère de l’environnement pour engager des politiques publiques nationales à locales, structurelles et conjoncturelles, vis-à-vis des risques naturels (inondation, sècheresse, glissement de terrain séisme, etc.).

Parmi les actions inscrites et portées par le SMBT, on peut citer la pose de repères de crue et des diagnostics de vulnérabilité des habitations particulières.
Ainsi, le SMBT porte le dispositif THAU ALABRI, visant à offrir un service public dédié à tous ceux confrontés à des enjeux d’inondation sur notre territoire. Cette démarche a pour objectif d’accompagner les habitants dans la réduction des risques et des dommages liés aux inondations.

Avec Thau Alabri, un diagnostic gratuit et personnalisé

Le dispositif est en place depuis le 1er mars. Les demandeurs sont accompagnés à chaque étape du programme THAU ALABRI.

La première étape consiste à réaliser un diagnostic individuel et gratuit pour identifier les équipements susceptibles d’être endommagés par la montée du niveau d’eau causé par les inondations.

Le diagnostic est entièrement pris en charge par l’Etat (50 %), la Région Occitanie (20 %), le Département de l’Hérault (10 %) et le SMBT (20 %).

À l’issue de ce rendez-vous, un rapport détaillé et confidentiel est adressé au demandeur avec les solutions possibles pour adapter le bien étudié.

Certaines mesures, parfois simples, permettent de limiter considérablement les dégâts causés par une inondation : batardeaux en travers des ouvertures, clapet anti-retour sur l’évacuation des eaux usées, mise hors d’eau des équipements électriques, etc.

Ce service public porté par le SMBT permettra d’accompagner les administrés en zone inondables (particuliers ou entreprises) avec l’aide d’un professionnel qui leur fournira l’ensemble des éléments techniques et des conseils pour améliorer la résilience de leur bien mobilier et immobilier.

Et des solutions financées jusqu’à 80 %…

Avec ce dispositif, il s’agit de protéger les personnes, limiter les dommages sur les biens et enfin assurer le retour à la normale le plus rapidement en cas d’inondation ainsi que d’améliorer la résilience et la continuité de l’activité économique.

batiment avec solutions thau alabri

Rappelons que de nombreuses habitations sont aussi le siège de petite entreprise ou professions libérales.

C’est pourquoi les coûts liés aux solutions préconisées dans le diagnostic THAU ALABRI peuvent être subventionnés.

Pour les particuliers, les aides peuvent aller jusqu’à 80 % du montant des travaux engagés. Pour les commerçants, artisans, chefs d’entreprises de moins de 20 salariés, un subventionnement est possible à hauteur de 40 %. La prise en charge étant dans les deux cas assurée par l’Etat (sans condition de revenus).

Pour faciliter les démarches, le bureau d’études OSGAPI mandaté par le SMBT accompagne les demandeurs de la réalisation des travaux aux demandes de financement.

Je suis propriétaire d’un logement situé en zone inondable ?

Je suis concerné(é) !

mockup plaquette thau alabri

  • Je télécharge la plaquette d’informations sur le site sur le dispositif THAU ALABRI en cliquant ici !
  • Je contacte la société Osgapi : 09 74 76 93 52 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.https://osgapi.com/thaualabri

Le saviez-vous ?

Le bassin de Thau fait partie des 122 Territoires à Risque Important (TRI) d’inondation, recensés au plan national. Mieux connaître, anticiper et limiter les risques d’inondation, par ruissellement, débordement ou submersion, tel est l’objectif de la SLGRI (Stratégie Locale de Gestion des Risques d’Inondation) que pilote le SMBT depuis 2017. Elle intègre 25 communes situées sur le bassin versant de la lagune de Thau et de l’étang d’Ingril (Agde, Aumelas, Aumes, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Castelnau-de-Guers, Cournonsec, Cournonterral, Florensac, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Loupian, Marseillan, Mèze, Montagnac, Montbazin, Pinet, Pomerols, Poussan, Saint-Pons-deMauchiens, Sète, Vic-la-Gardiole et Villeveyrac).

La démarche vise à identifier précisément les zones les plus sensibles, à entreprendre et à prioriser les travaux de protection et d’adaptation nécessaires.
Dans le sillage de ces études, fort utiles dans la gestion du risque sur le bassin versant de Thau et d’Ingril, l’élaboration d’une démarche de PAPI (Programme d’Actions de Prévention des Inondations) a été lancée en 2021.

Orchestré par le SMBT, porteur de la démarche avec les services de la DDTM, la première phase de la démarche a consisté à élaborer un Programme d’études préalables (PEP), avant d’envisager des actions de mitigation et de prévention des risques dans le cadre du PAPI.

Les Français sont en bonne santé par rapport à leurs voisins, selon une étude réalisée avant la pandémie de Covid-19

Selon France Info : Les chercheurs confirment notamment qu'ils sont moins atteints par des pathologies cardiovasculaires par rapport aux autres pays d'Europe de l'Ouest.

Ai Généré, Cœur, Corps Humain, Anatomie

La santé des Français s'est constamment améliorée lors des dernières décennies et se situe à un excellent niveau par rapport aux autres pays d'Europe de l'Ouest, conclut une étude de référence relayée mercredi 20 mars par l'Assurance-maladie, s'arrêtant toutefois avant la pandémie de Covid-19.

"Sur la période considérée – 1990 à 2019 –, l'espérance de vie à la naissance en France s'est améliorée au fil du temps", souligne dans un communiqué l'Assurance-maladie, à propos de cette étude publiée fin février dans le Lancet Regional Health. Mené par des chercheurs de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), de l'université de Bordeaux et du CHU de Bordeaux, avec l'aide de Santé publique France (SPF) et l'Assurance-maladie, ce travail vise à constituer une référence.

Moins de pathologies cardiovasculaires 

Il se base sur les chiffres du "Global burden of disease", un vaste programme financé par la fondation Bill & Melinda Gates et visant à réunir les données de santé de la plupart des pays..

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/sante/les-francais-sont-en-bonne-sante-par-rapport-a-leurs-voisins-selon-une-etude_6436021.html

Climat : des cumuls de précipitations excédentaires, mais pas partout

Pluie, Bottes, Nature, Parapluie

AVEC Météo France

La saison de recharge, habituellement entre les mois de septembre et mars, est la période pendant laquelle les stocks d’eau peuvent se reconstituer : humidification des sols, remplissage des nappes, hausse du débit des rivières, reconstitution du manteau neigeux. Après 2 saisons de recharges déficitaires en pluies (-20 % sur la saison 2021-2022 et -10 % sur la saison 2022-2023), la saison 2023-2024 s'annonce d'ores et déjà excédentaire en moyenne sur la France.

Des précipitations souvent au dessus des normales sauf en Languedoc-Roussillon

Dans le détail et en moyenne sur la France, les mois d'octobre et novembre on été fortement excédentaire (respectivement 1,4 et 1,5 fois la normale) suivi de mois de décembre et janvier proches des normales à légèrement déficitaires. Les pluies ont ensuite fait leurs retours avec un mois de février atteignant 1.5 fois la normale et un mois de mars qui devrait être dans la même lignée.

Toutefois, tous les territoires n'ont pas été logés à la même enseigne. Si la Nouvelle-Aquitaine et le Nord-Pas-de-Calais enregistrent actuellement leur seconde saison de recharge la plus pluvieuse depuis 1959 (données jusqu'au 18 mars) avec des cumuls respectivement de 870 mm (+50 % par rapport à la normale) et 700 mm (+45 %), le Languedoc-Roussillon a enregistré 450 mm (déficit de 25 %) en moyenne sur la région. De manière plus locale, les Pyrénées-Orientales ont enregistré seulement 228 mm et 290 mm sur l'Aude depuis le 1er septembre.

Le Sud-est de la France a connu un épisode de fortes pluies du 8 au 10 mars qui a principalement touché les départements du Gard, de la Lozère et de l'Ardèche avec des cumuls dépassant les 200 mm sur ces 2 journées. Ces valeurs ne sont pas exceptionnelles en comparaison aux épisodes méditerranéens que l'on peut rencontrer à l'automne. 

Quelques cumuls remarquables de précipitations enregistrés du 1er septembre 2023 au 18 mars 2024 :

Valeurs remarquablement faibles :

  • 93,2 mm à ILLE-SUR-TET (Pyrénées-Orientales) ;
  • 107,8 mm à LEUCATE (Aude) ;
  • 119,0 mm à PERPIGNAN (Pyrénées-Orientales).

Valeurs remarquablement élevées :

  • 1370,0 mm à BIARRITZ (Pyrénées-Atlantiques) ;
  • 1376,5 mm à BRENNILIS (Finistère) ;
  • 1207,3 mm à BAINGHEN (Pas-de-Calais) ;
  • 1044,7 mm à LOUZAC ST ANDRE (Charente).

Du côté de l'enneigement, les Alpes bénéficient d'un enneigement très excédentaire en haute altitude, mais nettement inférieur aux normales en basse altitude. Du côté des Pyrénées, l'enneigement tardif de fin février dernier ne permet pas de retrouver une situation normale pour la saison et les Pyrénées restent déficitaires en enneigement.

En conséquence de ces pluies, les sols se sont fortement ré-humidifiés grâce aux précipitations d’octobre et novembre 2023, et se sont ensuite maintenus dans des niveaux d’humidité proches des normales de saison en décembre et janvier avant de se ré-humidifier à nouveau en février.  Au 18 mars 2024, les sols sont en moyenne sur la France hexagonale plus humides que la normale. Cependant, sur les départements du Languedoc-Roussillon, les sols sont restés nettement plus secs que la normale sur toute la saison de recharge.

Poursuivre sur : https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/precipitations-excedentaires-pas-partout

Le classement 2024 des pays les plus heureux du monde

Le classement 2024 des pays les plus heureux du monde

Lac, Ridge, Punkaharju, Finlande, Route

Voir et lire sur : https://actu.orange.fr/monde/diaporamas/le-classement-2024-des-pays-les-plus-heureux-du-monde-CNT000002d4k75/photos/1-finlande-68297e199d91c79e993a1b37811224d0.html

1. Finlande

Cette année encore, la Finlande se place en tête des pays les plus heureux du monde. Un sacre qu'elle conserve pour la 7ème année consécutive.

Opération "place nette" à Marseille : "On a bien rigolé devant la télé", s'amuse un trafiquant de drogue en prison

Selon France Info : 

Condamné à une lourde peine pour trafic de stupéfiants et blanchiment, ce "haut placé" du trafic local ironise sur l'efficacité du dispositif XXL défendu mardi à Marseille par Emmanuel Macron. Il s'est exprimé auprès de franceinfo à l'aide d'un téléphone portable clandestin.
Alcatraz, Prison, En Prison

"Tous les prisonniers, on a bien rigolé devant la télé", s'amuse mercredi 20 mars au micro de franceinfo un détenu marseillais, au lendemain de la visite surprise d'Emmanuel Macron à Marseille pour vanter les mérites de l'opération dite "place nette XXL" commencée lundi dans les Bouches-du-Rhône contre les trafics de drogue. Cette opération d'envergure doit durer plusieurs semaines, avec 900 policiers, gendarmes et douaniers déployés dans la cité phocéenne, essentiellement dans les quartiers Nord.

Un détenu marseillais se confie à franceinfo, dénonçant l'inefficacité de ce dispositif. Cet homme d'une trentaine d'années, condamné à une lourde peine pour trafic de stupéfiants et blanchiment, témoigne sous couvert d'anonymat depuis sa cellule, à l'aide d'un téléphone portable clandestin avec lequel il continue de toute évidence à garder le lien avec l’extérieur. Il raconte avoir notamment suivi la couverture médiatique de l'opération "place nette" avec les autres détenus à travers la télévision. "Ça nous a fait rire", martèle-t-il. Il estime que ce dispositif est fait "pour les médias, pour montrer que [les forces de l'ordre] sont présentes, qu'elles font leur travail". Mais il considère que "ça ne change pas grand-chose".

La prison n'est pas un frein au trafic................. Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/societe/drogue/document-franceinfo-operation-place-nette-a-marseille-on-a-bien-rigole-derriere-la-tele-s-amuse-un-trafiquant-de-drogue-en-prison_6435637.html

Un contrat de réciprocité entre agglos voisines

Ce mardi 19 mars, le Président de Sète agglopôle méditerranée, François Commeinhes accueillait dans nos locaux administratifs, Michaël Delafosse, Président de la Métropole de Montpellier et Armand Rivière, 1er vice-Président de la Communauté d’agglomération Hérault Méditerranée, pour la signature d’un contrat de réciprocité entre nos trois intercommunalités voisines, qui représentent environ 700 000 habitants (soit plus de la moitié du Département).

L’objectif est de renforcer les complémentarités et partenariats existants afin de promouvoir un équilibre des espaces urbains, périurbains et ruraux, dans une logique de développement durable, au cœur des enjeux de la transition écologique. Une illustration de la coopération a été particulièrement mise en lumière, ces dernières années, avec notre candidature commune à la capitale européenne de la culture. Et même si l’issue n’a pas été celle que nous espérions, ce travail commun a constitué un véritable « accélérateur » de bonnes pratiques et projets fédérateurs pour nouer un dialogue productif entre élus, services et acteurs des territoires.

Le contrat s’articule autour de sept axes forts :

  • favoriser les continuités et les connexions pour fluidifier les mobilités
  • fédérer les énergies créatrices d’emplois et de valeurs
  • accroître ensemble la connaissance du territoire et développer une vision et des outils partagés d’aménagement
  • définir des réponses communes en matière de transition écologique et énergétique
  • porter la dynamique de la candidature Capitale Européenne de la Culture (CEC]
  • prolonger les coopérations initiées au titre des Jeux Olympiques 2024
  • croiser les expériences et initier des projets pour optimiser nos administrations.

Une gouvernance partagée et définie entre les trois intercommunalités, offrira cet espace de dialogue et de concertation afin de suivre et d’évaluer la mise en œuvre du Contrat de réciprocité. Elle pourra proposer des évolutions concernant notamment les thématiques abordées.

Bientôt la transhumance de Villeveyrac à Mèze

Bientôt la transhumance de Villeveyrac à Mèze

Bientôt la transhumance de Villeveyrac à Mèze

Bientôt la transhumance de Villeveyrac à Mèze

Contrat de partenariat 2024-2026 entre Montpellier Méditerranée Métropole, Sète Agglopôle Méditerranée et la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée

Mardi 19 mars 2024, Montpellier Méditerranée Métropole, Sète Agglopôle Méditerranée et la Communauté d'Agglomération Hérault Méditerranée ont signé un contrat de partenariat 2024-2026 portant sur de nombreuses thématiques interterritoriales, notamment les mobilités, le développement économique et l'emploi, l'aménagement du territoire, la transition écologique et énergétique, la culture et le sport.

Le périmètre du contrat



Les thématiques de coopérations interterritoriales du contrat

Les mobilités

L’objectif est de favoriser les continuités et les connexions pour fluidifier les mobilités, avec :

  • Une optimisation des cadencements, des dessertes et des aménagements des pôles d’échanges multimodaux le long de l’axe ferroviaire Nîmes-Narbonne dans le cadre du futur Service Express Régional Métropolitain,
  • Une structuration d’une gouvernance globale des mobilités à l’échelle des 3 territoires et du bassin des mobilités : harmonisation des horaires, coordination des réseaux, complémentarité modes actifs-transports collectifs,
  • Une mise en commun d’outils de gestion, de communication et de planification : logiciel de modélisation des déplacements/plateformes de co-voiturage,
  • La continuité des pistes cyclables :

Développement économique et emploi

L’objectif est de fédérer les énergies créatrices d’emploi et de valeurs en :

  • Renforçant et développant les filières d’excellence des 3 territoires par une connaissance partagée et des politiques de soutien concertées; notamment : économie bleue/ industrie culturelle et créative/énergie renouvelable et «cleantech /sport santé et bien-être/ économie circulaire,
  • Mettant en synergie les écosystèmes, les structures d’accompagnement et d’innovation notamment dans le cadre de BLUE et de l’Agence de Développement et des Transitions du bassin de vie,
  • Développant des actions en faveur du commerce de proximité et de l’emploi notamment lutte contre le chômage de longue durée,
  • Ayant une connaissance partagée de l’immobilier d’entreprise et de ses évolutions pour mieux faire face aux défis de la raréfaction foncière et de la hausse des coûts : extension de l’Observatoire de l’immobilier 3M-Pays de l’Or à SAM puis CAHM

Aménagement du territoire, urbanisme et habitat

L’objectif est d’accroître la connaissance du territoire/développer une vision et des outils partagés d’aménagements grâce à :

  • Une mise en œuvre concertée du principe de Zéro Artificialisation Nette,
  • Le partage d’expérience, d’outils et de méthodologie en matière d’urbanisme et d’habitat : Orientations de Programmation et d’Aménagements biodiversité et paysage dans le futur PLUi métropolitain, établissements zones A et N, Office Foncier Solidaire, permis de louer, baux glissant,
  • Une coordination des gouvernances en matière de gestion du retrait du trait de côte et de recomposition spatiale : création de l’Entente Intercommunale du Golfe d’Aigues Mortes,
  • Le renforcement des échanges et des réflexions pour mieux répartir la croissance démographique notamment dans le cadre des opérations d’aménagements autour des gares,
  • Le développement d’outils d’observations et d’analyse communs: mutualisation observatoire du littoral/ partage des notes de conjoncture sur le foncier, partage des données des Programmes Locaux de l’Habitat.

Transition écologique et énergétique, littoral et étangs

L’objectif est de définir des politiques communes en matière de transition écologique et énergétique avec :

  • Le partage d’expérience en matière de politique agricole et agro-alimentaire,
  • Un maillage des circuits de proximité alimentaire,
  • Un travail commun sur les mesures compensatoires environnementales notamment dans la perspective de la réalisation de la Ligne Nouvelle Montpellier-Perpignan (mise en service prévue en 2032) avec impact de plus de 1 200 hectares sur les 3 territoires,
  • Une gestion commune ou coordonnée (étangs palavasiens/réserve du Bagnas),
  • Un partage d’expertise à la fois technique et juridique en matière de retrait du trait de côte : dispositifs S-ABLE et Sea Boost à Vias et au Grau d’Agde, Projet Partenarial d’Aménagement recomposition spatiale porté par Sète agglopôle, Frontignan et Sète et cofinancé par plusieurs partenaires Etat, Banque des Territoires, EPF Occitanie, Région Occitanie, Département de l’Hérault,
  • Une complémentarité des équipements de collecte et de valorisation des déchets notamment aux franges des territoires (déchèteries/ plateformes de compostage) mais aussi des filières de traitement (biodéchets/ tri déchets recyclables),
  • Un partage d’expérience économie circulaire notamment filière de recyclage,
  • Un travail en commun sur les ENR notamment l’hydrogène vert.

Culture et patrimoine culturel, valorisation et mise en réseau

L’objectif est de pérenniser la dynamique de la candidature capitale européenne de la Culture en :

  • Poursuivant les projets établis dans le cadre de la candidature Capitale européenne notamment sur la thématique centrale de l’eau : canaux/fleuves/ lidos et littoral,
  • Développant des projets en matière d’archéologie : réalisation de deux Centres de Conservation et d’Etudes à Agde (projet sur le site de la Méditerranéenne) et à Lattes (musée Lattara) + mise en synergie des sites : Agde/Loupian/Murviel les Montpellier/ Lattara,
  • Renforçant les coopérations muséales : expo commune musées Fabre et Paul Valéry consacré à Jean Hugo,
  • Structurant une offre culturelle : canal du Midi – Canal du Rhône à Sète.

Sport

L’objectif est de prolonger les coopérations initiées au titre des Jeux Olympiques 2024 en :

  • Mettant en complémentarité les offres spécifiques des 3 territoires: SAM (sports nautiques et thermalisme régénérateur)/ 3M (infrastructures sportives -clubs élite -sports urbains) / CAHM ( marque « destination sport » avec une offre de grande qualité notamment golf et tennis),
  • Développant en commun le volet Sport-Santé à la fois sur les aspects récupération et performance sportive mais aussi bien-être et prévention, développement économique, recherche et développement (intégration dans le projet Medvallée),
  • Valorisant la candidature commune Sète agglopôle méditerranée-Millau-Montpellier Méditerranée Métropole « Terres de jeu 2024 »: parcours de la flamme olympique le 13 mai 2024 et territoires hôtes de nombreuses délégations,
  • Développant les continuité pédestres + VTT/VTC notamment Canal du Midi et Canal du Rhône à Sète + réserve du Bagnas.

Plus de fluidité et de sécurité sur la RD612 à Mireval

Dans le cadre des aménagements de la desserte de Mireval, les travaux se poursuivent avec une 3ème phase dès la fin du mois de mars. L’objectif de ces travaux : recréer un nouvel accès, plus sécurisé, entre la route départementale et la ville.

Travaux, Signalisation, Voirie

 La circulation de transit sur la route départementale 612 sera rétablie à partir du 25 mars sur la chaussée Nord nouvellement créée et le giratoire sera partiellement mis en circulation.

L’accès principal à la commune depuis cette route reste inchangé, ainsi que la desserte du lotissement de la Baussas.

Cette configuration de circulation permettra de finaliser les travaux de raccordement et d’aménagement, tout en maintenant une signalisation spécifique de chantier et une limitation de vitesse à 50km/h.

 Les usagers sont appelés à la plus grande prudence à l’approche de la zone de travaux.