Bon à savoir

Un stage du 17 au 28 juin 2024, pour les élèves de seconde générale et technologique.

Entreprises, administrations, collectivités territoriales, associations, faites découvrir votre secteur d’activité & vos métiers à nos élèves de 2de GT !
15 jours en juin
stage d'observation - immersion dans le monde professionnel
Offrez l'opportunité d'une expérience enrichissante aux élèves de seconde. Ensemble, construisons leur avenir  https://stagedeseconde.1jeune1solution.gouv.fr/

Nouvelle exposition d'art urbain: Lek & Sowat à Pierresvives

Nouvelle exposition d'art urbain: Lek & Sowat à Pierresvives

 

L'art urbain se vit en grand à Pierresvives ! Du 29 mars au 27 juillet 2024, le Département de l’Hérault célèbre l’art urbain avec sa nouvelle Grande exposition dédiée au célèbre duo français Lek & Sowat.

Lek & Sowat, célèbre duo d’art urbain français, investit la galerie d’exposition de Pierresvives et la prestigieuse architecture de Zaha Hadid.

Quand Frédéric Malek (alias Lek) rencontre Mathieu Kendrick (alias Sowat) en 2010, c’est une évidence : le binôme partage une même appétence pour l’exploration et le graffiti.

Lek développe un style nourri par ses années d’études d’architecture dont le lettrage, l’abstraction et le futurisme signent son travail. Influencé par le style Bauhaus, Lek fait naitre des œuvres d’une forme de chaos. Sowat, son cadet de sept ans, est un Franco-Américain originaire de Marseille qui explore le calligraffiti. Ses toiles sont autant de déclinaisons d'un nouvel alphabet formant des phrases qui se transmuent.

Travaillant en binôme depuis plus de dix ans, ils partagent un goût commun pour l’Urbex – ou exploration urbaine – discipline qui consiste à explorer la ville à la recherche de ruines modernes. Poussant les limites du graffiti traditionnel, leurs expérimentations in situ réunissent vidéos, abstractions architecturales, installations et archéologie créant ainsi une forme moderne de land art urbain.

Parallèlement à cela, ils multiplient les collaborations avec des artistes d’horizons aussi variés que le poète beat John Giorno, les stylistes Agnès b. et Jean Charles de Castelbajac, les pionniers du graffiti que sont Futura, Mode2 et JonOne ou encore Jacques Villeglé, précurseur du street art.

 De l’Europe à l’Asie en passant par le Moyen-Orient, sillonnant des lieux abandonnés comme des musées. Chacune de leurs interventions a été immortalisée par des photographies ou des objets-souvenirs qui nourrissent aujourd’hui cette exposition résumant leur travail en 6 grandes étapes.

Enfin, à l’image de leurs actions sur la façade de l’Opéra de Lyon ou le Carreau du temple à Paris, les deux artistes exploitent l’architecture de Pierresvives pour mieux en souligner les lignes et les courbes. Une autre façon de regarder cet édifice hors norme.

 

Parce que notre priorité est de rendre l’art et la culture accessibles à toutes et tous, le Département de l’Hérault propose une fois encore, et gratuitement, une exposition exceptionnelle !

Kléber MESQUIDA
Président du Département de l’Hérault

Avant-première d'Escale à Sète : Paprec, la Mission Locale du Bassin de Thau et Sète Agglopôle Méditerranée s’unissent pour sensibiliser les jeunes aux enjeux environnementaux

A quelques jours de l'événement très attendu d'Escale à Sète, Paprec, leader français du recyclage et acteur majeur de la production d’énergies vertes, la Mission Locale d’Insertion des Jeunes du Bassin de Thau et le Service Education à l’Environnement de Sète Agglopôle Méditerranée, ont travaillé main dans la main pour organiser une action pédagogique commune afin de sensibiliser les jeunes à l'importance cruciale de la gestion des déchets.

 

Il y a quelques semaines, un groupe de jeunes a participé à un chantier d’implication, offre de service phare de la MLIJ, pour fabriquer une déchethèque. Ce chantier, encadré par l’ARDAM, s’est déroulé du 26 février au 15 mars au centre de collecte et de valorisation des déchets conchylicoles de COVED (filiale de Paprec Group) à Mèze. Il a permis aux jeunes d’être sensibilisés à la valorisation des déchets, mais aussi de découvrir la filière et ses métiers. Durant le chantier, les jeunes ont également eu l'occasion de visiter des installations de traitement des déchets, notamment le centre de tri mutualisé des emballages et papiers « Oekotri » situé à Saint-Thibery et l'Unité de Valorisation Énergétique de Sète (équipement de Sète Agglopôle Méditerranée gérée par Paprec Group).

 

Les 21 et 22 mars 2024, près de 300 jeunes, collégiens et lycéens de Sète et de Frontignan-La Peyrade, jeunes de la MLIJ et apprentis du CFA Nicolas Albano, auront l’opportunité de vivre une expérience unique et immersive à bord du Morgenster, un bateau historique amarré sur le quai d'Alger. Ils participeront à des animations éducatives pour découvrir et approfondir leurs connaissances sur les filières de recyclage et la valorisation des déchets.

 

A bord du voilier hollandais, ils suivront un parcours pédagogique mettant en vedette la déchethèque réalisée par les jeunes de la Mission Locale. Ils participeront ensuite à un jeu d’enquête interactif, proposé et animé par les médiateurs de l’environnement de l’Agglopôle. Ils seront sensibilisés aux enjeux environnementaux et découvriront notamment comment s’organise la collecte et la valorisation des déchets sur notre territoire : chiffres clés, consignes de tri, sensibilisation à la pollution de l’eau, au fléau des mégots, valorisation des déchets coquillés, transformation des biodéchets en compost, et visionnage d’un film sur l’Unité de Valorisation Energétique…  Le traitement et la seconde vie des déchets n’auront plus de secret pour eux !

 

A la fin de l’animation, chaque groupe de jeunes sera challengé lors d’un quizz final, où ils devront obtenir le plus de bonnes réponses attestant de leur bonne compréhension et des nouvelles connaissances acquises. Chaque participant se verra offrir un souvenir de cette animation éducative ludique à bord du Morgenster. Cette initiative menée en collaboration par Paprec Group, la MLIJ et Sète Agglopôle Méditerranée, promet d’éveiller et d'inspirer les jeunes générations à devenir des acteurs du changement pour un avenir plus durable.

 

Transhumance Villeveyrac – Mèze : rendez-vous le 13 avril !

Amoureux de nature et de traditions notez bien cette date !
Samedi 13 avril, Michel Ibanez, le berger de Mèze et ses brebis vous donnent rendez-vous pour la transhumance Villeveyrac -Mèze.
Une balade de 13 kilomètres au rythme des animaux pour profiter du grand air et des paysages de garrigues qui surplombent l’étang de Thau. Entre Villeveyrac et Mèze, le parcours passera par les communes de Poussan et Loupian.
Cette promenade champêtre offre une très belle occasion de vivre la journée d’un berger, de découvrir son métier, d’admirer le travail de ses chiens…


Le départ de la transhumance sera donné à 10h30, rue de la Gare à Villeveyrac.
Une pause avec repas tiré du sac aura lieu vers 12h30.
L’arrivée à la halle du Sesquier de Mèze est prévue aux alentours de 16h.
Un covoiturage sera organisé à partir de 9h30 depuis le parking du stade du Sesquier à Mèze.
Attention ! les chiens, même tenus en laisse sont strictement interdits sur la transhumance.

Thau Alabri : Le nouveau dispositif pour adapter le bâti face aux inondations.

Le Syndicat mixte du bassin de Thau lance l’opération THAU ALABRI à destination des propriétaires d’un logement ou d’une entreprise situé(e) en zone inondable. Particuliers, commerçants, artisans, chefs d’entreprise peuvent bénéficier d’un accompagnement complet pour adapter leur bien face aux inondations.

Du constat au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les récentes études menées par la Stratégie Locale de Gestion du Risque Inondation (SLGRI) de Thau ont mis en lumière les risques importants d’inondations auxquels sont exposés le territoire et ses habitants, avec des impacts sur l’économie locale. Les analyses révèlent les conséquences des phénomènes de pluies intenses et de coups de mer, susceptibles de causer des dommages notables aux infrastructures publiques, aux bâtiments résidentiels et commerciaux, au secteur agricole, et de manière plus générale, à l’activité économique sur le Bassin de Thau.

Les constats au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les résultats de l’étude indiquent que près de 10 000 habitations et 800 entreprises seraient en première ligne face à un évènement décennal (caractérisé par une probabilité de 10 % de se produire chaque année). Le scénario s’aggrave encore pour un évènement centennal, avec 15 000 habitations et 2 000 entreprises potentiellement menacées.

Bien que la majorité des bâtiments concernés soient exposés à un risque faible ou modéré, avec des projections d’inondation inférieures à 50 cm, plusieurs centaines pourraient se retrouver sous plus d’un mètre d’eau, soulignant la gravité des menaces en cas de crue majeure.
La typologie des dégâts analysés révèle que les dommages aux habitats constituent une part majeure des risques, représentant entre 24 % et 48 % des dégâts totaux estimés selon les communes. Cette prédominance des dommages liés au secteur résidentiel a motivé les pouvoirs publics à prendre des mesures proactives pour adapter le bâti.
Ces chiffres soulignent l’urgence et la nécessité d’une action coordonnée entre les pouvoirs publics, les entreprises et les citoyens pour renforcer la résilience du territoire face aux risques d’inondation.

Pour rappel, le bassin de Thau est soumis à trois types d’aléas :

  • le débordement de cours d’eau,
  • le ruissellement urbain,
  • la submersion marine.

Dès l’élaboration de la SLGRI, ces 3 aléas ont été pris en compte dans les études réalisées.

Le Programme d’Études Préalables (PEP) au Programme d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) qui a été élaboré et validé par les services de l’État à l’automne 2022 se donne pour objectif de réduire la vulnérabilité du territoire à ces risques. Vingt-six actions portées par 7 maîtres d’ouvrage ont été retenues puis labellisées par l’État pour une mise en œuvre dès 2023 et jusqu’à fin 2024. Cette labélisation a permis ainsi au territoire de Thau de pouvoir être aidé par le Fond d’état dit Barnier afin de mettre en œuvre ces actions. Le Fond Barnier est un fond assurantielle piloté par le ministère de l’environnement pour engager des politiques publiques nationales à locales, structurelles et conjoncturelles, vis-à-vis des risques naturels (inondation, sècheresse, glissement de terrain séisme, etc.).

Parmi les actions inscrites et portées par le SMBT, on peut citer la pose de repères de crue et des diagnostics de vulnérabilité des habitations particulières.
Ainsi, le SMBT porte le dispositif THAU ALABRI, visant à offrir un service public dédié à tous ceux confrontés à des enjeux d’inondation sur notre territoire. Cette démarche a pour objectif d’accompagner les habitants dans la réduction des risques et des dommages liés aux inondations.

Avec Thau Alabri, un diagnostic gratuit et personnalisé

Le dispositif est en place depuis le 1er mars. Les demandeurs sont accompagnés à chaque étape du programme THAU ALABRI.

La première étape consiste à réaliser un diagnostic individuel et gratuit pour identifier les équipements susceptibles d’être endommagés par la montée du niveau d’eau causé par les inondations.

Le diagnostic est entièrement pris en charge par l’Etat (50 %), la Région Occitanie (20 %), le Département de l’Hérault (10 %) et le SMBT (20 %).

À l’issue de ce rendez-vous, un rapport détaillé et confidentiel est adressé au demandeur avec les solutions possibles pour adapter le bien étudié.

Certaines mesures, parfois simples, permettent de limiter considérablement les dégâts causés par une inondation : batardeaux en travers des ouvertures, clapet anti-retour sur l’évacuation des eaux usées, mise hors d’eau des équipements électriques, etc.

Ce service public porté par le SMBT permettra d’accompagner les administrés en zone inondables (particuliers ou entreprises) avec l’aide d’un professionnel qui leur fournira l’ensemble des éléments techniques et des conseils pour améliorer la résilience de leur bien mobilier et immobilier.

Et des solutions financées jusqu’à 80 %…

Avec ce dispositif, il s’agit de protéger les personnes, limiter les dommages sur les biens et enfin assurer le retour à la normale le plus rapidement en cas d’inondation ainsi que d’améliorer la résilience et la continuité de l’activité économique.

batiment avec solutions thau alabri

Rappelons que de nombreuses habitations sont aussi le siège de petite entreprise ou professions libérales.

C’est pourquoi les coûts liés aux solutions préconisées dans le diagnostic THAU ALABRI peuvent être subventionnés.

Pour les particuliers, les aides peuvent aller jusqu’à 80 % du montant des travaux engagés. Pour les commerçants, artisans, chefs d’entreprises de moins de 20 salariés, un subventionnement est possible à hauteur de 40 %. La prise en charge étant dans les deux cas assurée par l’Etat (sans condition de revenus).

Pour faciliter les démarches, le bureau d’études OSGAPI mandaté par le SMBT accompagne les demandeurs de la réalisation des travaux aux demandes de financement.

Je suis propriétaire d’un logement situé en zone inondable ?

Je suis concerné(é) !

mockup plaquette thau alabri

  • Je télécharge la plaquette d’informations sur le site sur le dispositif THAU ALABRI en cliquant ici !
  • Je contacte la société Osgapi : 09 74 76 93 52 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.https://osgapi.com/thaualabri

Le saviez-vous ?

Le bassin de Thau fait partie des 122 Territoires à Risque Important (TRI) d’inondation, recensés au plan national. Mieux connaître, anticiper et limiter les risques d’inondation, par ruissellement, débordement ou submersion, tel est l’objectif de la SLGRI (Stratégie Locale de Gestion des Risques d’Inondation) que pilote le SMBT depuis 2017. Elle intègre 25 communes situées sur le bassin versant de la lagune de Thau et de l’étang d’Ingril (Agde, Aumelas, Aumes, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Castelnau-de-Guers, Cournonsec, Cournonterral, Florensac, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Loupian, Marseillan, Mèze, Montagnac, Montbazin, Pinet, Pomerols, Poussan, Saint-Pons-deMauchiens, Sète, Vic-la-Gardiole et Villeveyrac).

La démarche vise à identifier précisément les zones les plus sensibles, à entreprendre et à prioriser les travaux de protection et d’adaptation nécessaires.
Dans le sillage de ces études, fort utiles dans la gestion du risque sur le bassin versant de Thau et d’Ingril, l’élaboration d’une démarche de PAPI (Programme d’Actions de Prévention des Inondations) a été lancée en 2021.

Orchestré par le SMBT, porteur de la démarche avec les services de la DDTM, la première phase de la démarche a consisté à élaborer un Programme d’études préalables (PEP), avant d’envisager des actions de mitigation et de prévention des risques dans le cadre du PAPI.

Thau Alabri : Le nouveau dispositif pour adapter le bâti face aux inondations.

Le Syndicat mixte du bassin de Thau lance l’opération THAU ALABRI à destination des propriétaires d’un logement ou d’une entreprise situé(e) en zone inondable. Particuliers, commerçants, artisans, chefs d’entreprise peuvent bénéficier d’un accompagnement complet pour adapter leur bien face aux inondations.

Du constat au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les récentes études menées par la Stratégie Locale de Gestion du Risque Inondation (SLGRI) de Thau ont mis en lumière les risques importants d’inondations auxquels sont exposés le territoire et ses habitants, avec des impacts sur l’économie locale. Les analyses révèlent les conséquences des phénomènes de pluies intenses et de coups de mer, susceptibles de causer des dommages notables aux infrastructures publiques, aux bâtiments résidentiels et commerciaux, au secteur agricole, et de manière plus générale, à l’activité économique sur le Bassin de Thau.

Les constats au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les résultats de l’étude indiquent que près de 10 000 habitations et 800 entreprises seraient en première ligne face à un évènement décennal (caractérisé par une probabilité de 10 % de se produire chaque année). Le scénario s’aggrave encore pour un évènement centennal, avec 15 000 habitations et 2 000 entreprises potentiellement menacées.

Bien que la majorité des bâtiments concernés soient exposés à un risque faible ou modéré, avec des projections d’inondation inférieures à 50 cm, plusieurs centaines pourraient se retrouver sous plus d’un mètre d’eau, soulignant la gravité des menaces en cas de crue majeure.
La typologie des dégâts analysés révèle que les dommages aux habitats constituent une part majeure des risques, représentant entre 24 % et 48 % des dégâts totaux estimés selon les communes. Cette prédominance des dommages liés au secteur résidentiel a motivé les pouvoirs publics à prendre des mesures proactives pour adapter le bâti.
Ces chiffres soulignent l’urgence et la nécessité d’une action coordonnée entre les pouvoirs publics, les entreprises et les citoyens pour renforcer la résilience du territoire face aux risques d’inondation.

Pour rappel, le bassin de Thau est soumis à trois types d’aléas :

  • le débordement de cours d’eau,
  • le ruissellement urbain,
  • la submersion marine.

Dès l’élaboration de la SLGRI, ces 3 aléas ont été pris en compte dans les études réalisées.

Le Programme d’Études Préalables (PEP) au Programme d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) qui a été élaboré et validé par les services de l’État à l’automne 2022 se donne pour objectif de réduire la vulnérabilité du territoire à ces risques. Vingt-six actions portées par 7 maîtres d’ouvrage ont été retenues puis labellisées par l’État pour une mise en œuvre dès 2023 et jusqu’à fin 2024. Cette labélisation a permis ainsi au territoire de Thau de pouvoir être aidé par le Fond d’état dit Barnier afin de mettre en œuvre ces actions. Le Fond Barnier est un fond assurantielle piloté par le ministère de l’environnement pour engager des politiques publiques nationales à locales, structurelles et conjoncturelles, vis-à-vis des risques naturels (inondation, sècheresse, glissement de terrain séisme, etc.).

Parmi les actions inscrites et portées par le SMBT, on peut citer la pose de repères de crue et des diagnostics de vulnérabilité des habitations particulières.
Ainsi, le SMBT porte le dispositif THAU ALABRI, visant à offrir un service public dédié à tous ceux confrontés à des enjeux d’inondation sur notre territoire. Cette démarche a pour objectif d’accompagner les habitants dans la réduction des risques et des dommages liés aux inondations.

Avec Thau Alabri, un diagnostic gratuit et personnalisé

Le dispositif est en place depuis le 1er mars. Les demandeurs sont accompagnés à chaque étape du programme THAU ALABRI.

La première étape consiste à réaliser un diagnostic individuel et gratuit pour identifier les équipements susceptibles d’être endommagés par la montée du niveau d’eau causé par les inondations.

Le diagnostic est entièrement pris en charge par l’Etat (50 %), la Région Occitanie (20 %), le Département de l’Hérault (10 %) et le SMBT (20 %).

À l’issue de ce rendez-vous, un rapport détaillé et confidentiel est adressé au demandeur avec les solutions possibles pour adapter le bien étudié.

Certaines mesures, parfois simples, permettent de limiter considérablement les dégâts causés par une inondation : batardeaux en travers des ouvertures, clapet anti-retour sur l’évacuation des eaux usées, mise hors d’eau des équipements électriques, etc.

Ce service public porté par le SMBT permettra d’accompagner les administrés en zone inondables (particuliers ou entreprises) avec l’aide d’un professionnel qui leur fournira l’ensemble des éléments techniques et des conseils pour améliorer la résilience de leur bien mobilier et immobilier.

Et des solutions financées jusqu’à 80 %…

Avec ce dispositif, il s’agit de protéger les personnes, limiter les dommages sur les biens et enfin assurer le retour à la normale le plus rapidement en cas d’inondation ainsi que d’améliorer la résilience et la continuité de l’activité économique.

batiment avec solutions thau alabri

Rappelons que de nombreuses habitations sont aussi le siège de petite entreprise ou professions libérales.

C’est pourquoi les coûts liés aux solutions préconisées dans le diagnostic THAU ALABRI peuvent être subventionnés.

Pour les particuliers, les aides peuvent aller jusqu’à 80 % du montant des travaux engagés. Pour les commerçants, artisans, chefs d’entreprises de moins de 20 salariés, un subventionnement est possible à hauteur de 40 %. La prise en charge étant dans les deux cas assurée par l’Etat (sans condition de revenus).

Pour faciliter les démarches, le bureau d’études OSGAPI mandaté par le SMBT accompagne les demandeurs de la réalisation des travaux aux demandes de financement.

Je suis propriétaire d’un logement situé en zone inondable ?

Je suis concerné(é) !

mockup plaquette thau alabri

  • Je télécharge la plaquette d’informations sur le site sur le dispositif THAU ALABRI en cliquant ici !
  • Je contacte la société Osgapi : 09 74 76 93 52 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.https://osgapi.com/thaualabri

Le saviez-vous ?

Le bassin de Thau fait partie des 122 Territoires à Risque Important (TRI) d’inondation, recensés au plan national. Mieux connaître, anticiper et limiter les risques d’inondation, par ruissellement, débordement ou submersion, tel est l’objectif de la SLGRI (Stratégie Locale de Gestion des Risques d’Inondation) que pilote le SMBT depuis 2017. Elle intègre 25 communes situées sur le bassin versant de la lagune de Thau et de l’étang d’Ingril (Agde, Aumelas, Aumes, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Castelnau-de-Guers, Cournonsec, Cournonterral, Florensac, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Loupian, Marseillan, Mèze, Montagnac, Montbazin, Pinet, Pomerols, Poussan, Saint-Pons-deMauchiens, Sète, Vic-la-Gardiole et Villeveyrac).

La démarche vise à identifier précisément les zones les plus sensibles, à entreprendre et à prioriser les travaux de protection et d’adaptation nécessaires.
Dans le sillage de ces études, fort utiles dans la gestion du risque sur le bassin versant de Thau et d’Ingril, l’élaboration d’une démarche de PAPI (Programme d’Actions de Prévention des Inondations) a été lancée en 2021.

Orchestré par le SMBT, porteur de la démarche avec les services de la DDTM, la première phase de la démarche a consisté à élaborer un Programme d’études préalables (PEP), avant d’envisager des actions de mitigation et de prévention des risques dans le cadre du PAPI.

Thau Alabri : Le nouveau dispositif pour adapter le bâti face aux inondations.

Le Syndicat mixte du bassin de Thau lance l’opération THAU ALABRI à destination des propriétaires d’un logement ou d’une entreprise situé(e) en zone inondable. Particuliers, commerçants, artisans, chefs d’entreprise peuvent bénéficier d’un accompagnement complet pour adapter leur bien face aux inondations.

Du constat au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les récentes études menées par la Stratégie Locale de Gestion du Risque Inondation (SLGRI) de Thau ont mis en lumière les risques importants d’inondations auxquels sont exposés le territoire et ses habitants, avec des impacts sur l’économie locale. Les analyses révèlent les conséquences des phénomènes de pluies intenses et de coups de mer, susceptibles de causer des dommages notables aux infrastructures publiques, aux bâtiments résidentiels et commerciaux, au secteur agricole, et de manière plus générale, à l’activité économique sur le Bassin de Thau.

Les constats au plan d’actions pour prévenir les inondations

Les résultats de l’étude indiquent que près de 10 000 habitations et 800 entreprises seraient en première ligne face à un évènement décennal (caractérisé par une probabilité de 10 % de se produire chaque année). Le scénario s’aggrave encore pour un évènement centennal, avec 15 000 habitations et 2 000 entreprises potentiellement menacées.

Bien que la majorité des bâtiments concernés soient exposés à un risque faible ou modéré, avec des projections d’inondation inférieures à 50 cm, plusieurs centaines pourraient se retrouver sous plus d’un mètre d’eau, soulignant la gravité des menaces en cas de crue majeure.
La typologie des dégâts analysés révèle que les dommages aux habitats constituent une part majeure des risques, représentant entre 24 % et 48 % des dégâts totaux estimés selon les communes. Cette prédominance des dommages liés au secteur résidentiel a motivé les pouvoirs publics à prendre des mesures proactives pour adapter le bâti.
Ces chiffres soulignent l’urgence et la nécessité d’une action coordonnée entre les pouvoirs publics, les entreprises et les citoyens pour renforcer la résilience du territoire face aux risques d’inondation.

Pour rappel, le bassin de Thau est soumis à trois types d’aléas :

  • le débordement de cours d’eau,
  • le ruissellement urbain,
  • la submersion marine.

Dès l’élaboration de la SLGRI, ces 3 aléas ont été pris en compte dans les études réalisées.

Le Programme d’Études Préalables (PEP) au Programme d’Actions de Prévention des Inondations (PAPI) qui a été élaboré et validé par les services de l’État à l’automne 2022 se donne pour objectif de réduire la vulnérabilité du territoire à ces risques. Vingt-six actions portées par 7 maîtres d’ouvrage ont été retenues puis labellisées par l’État pour une mise en œuvre dès 2023 et jusqu’à fin 2024. Cette labélisation a permis ainsi au territoire de Thau de pouvoir être aidé par le Fond d’état dit Barnier afin de mettre en œuvre ces actions. Le Fond Barnier est un fond assurantielle piloté par le ministère de l’environnement pour engager des politiques publiques nationales à locales, structurelles et conjoncturelles, vis-à-vis des risques naturels (inondation, sècheresse, glissement de terrain séisme, etc.).

Parmi les actions inscrites et portées par le SMBT, on peut citer la pose de repères de crue et des diagnostics de vulnérabilité des habitations particulières.
Ainsi, le SMBT porte le dispositif THAU ALABRI, visant à offrir un service public dédié à tous ceux confrontés à des enjeux d’inondation sur notre territoire. Cette démarche a pour objectif d’accompagner les habitants dans la réduction des risques et des dommages liés aux inondations.

Avec Thau Alabri, un diagnostic gratuit et personnalisé

Le dispositif est en place depuis le 1er mars. Les demandeurs sont accompagnés à chaque étape du programme THAU ALABRI.

La première étape consiste à réaliser un diagnostic individuel et gratuit pour identifier les équipements susceptibles d’être endommagés par la montée du niveau d’eau causé par les inondations.

Le diagnostic est entièrement pris en charge par l’Etat (50 %), la Région Occitanie (20 %), le Département de l’Hérault (10 %) et le SMBT (20 %).

À l’issue de ce rendez-vous, un rapport détaillé et confidentiel est adressé au demandeur avec les solutions possibles pour adapter le bien étudié.

Certaines mesures, parfois simples, permettent de limiter considérablement les dégâts causés par une inondation : batardeaux en travers des ouvertures, clapet anti-retour sur l’évacuation des eaux usées, mise hors d’eau des équipements électriques, etc.

Ce service public porté par le SMBT permettra d’accompagner les administrés en zone inondables (particuliers ou entreprises) avec l’aide d’un professionnel qui leur fournira l’ensemble des éléments techniques et des conseils pour améliorer la résilience de leur bien mobilier et immobilier.

Et des solutions financées jusqu’à 80 %…

Avec ce dispositif, il s’agit de protéger les personnes, limiter les dommages sur les biens et enfin assurer le retour à la normale le plus rapidement en cas d’inondation ainsi que d’améliorer la résilience et la continuité de l’activité économique.

batiment avec solutions thau alabri

Rappelons que de nombreuses habitations sont aussi le siège de petite entreprise ou professions libérales.

C’est pourquoi les coûts liés aux solutions préconisées dans le diagnostic THAU ALABRI peuvent être subventionnés.

Pour les particuliers, les aides peuvent aller jusqu’à 80 % du montant des travaux engagés. Pour les commerçants, artisans, chefs d’entreprises de moins de 20 salariés, un subventionnement est possible à hauteur de 40 %. La prise en charge étant dans les deux cas assurée par l’Etat (sans condition de revenus).

Pour faciliter les démarches, le bureau d’études OSGAPI mandaté par le SMBT accompagne les demandeurs de la réalisation des travaux aux demandes de financement.

Je suis propriétaire d’un logement situé en zone inondable ?

Je suis concerné(é) !

mockup plaquette thau alabri

  • Je télécharge la plaquette d’informations sur le site sur le dispositif THAU ALABRI en cliquant ici !
  • Je contacte la société Osgapi : 09 74 76 93 52 – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.https://osgapi.com/thaualabri

Le saviez-vous ?

Le bassin de Thau fait partie des 122 Territoires à Risque Important (TRI) d’inondation, recensés au plan national. Mieux connaître, anticiper et limiter les risques d’inondation, par ruissellement, débordement ou submersion, tel est l’objectif de la SLGRI (Stratégie Locale de Gestion des Risques d’Inondation) que pilote le SMBT depuis 2017. Elle intègre 25 communes situées sur le bassin versant de la lagune de Thau et de l’étang d’Ingril (Agde, Aumelas, Aumes, Balaruc-les-Bains, Balaruc-le-Vieux, Bouzigues, Castelnau-de-Guers, Cournonsec, Cournonterral, Florensac, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Loupian, Marseillan, Mèze, Montagnac, Montbazin, Pinet, Pomerols, Poussan, Saint-Pons-deMauchiens, Sète, Vic-la-Gardiole et Villeveyrac).

La démarche vise à identifier précisément les zones les plus sensibles, à entreprendre et à prioriser les travaux de protection et d’adaptation nécessaires.
Dans le sillage de ces études, fort utiles dans la gestion du risque sur le bassin versant de Thau et d’Ingril, l’élaboration d’une démarche de PAPI (Programme d’Actions de Prévention des Inondations) a été lancée en 2021.

Orchestré par le SMBT, porteur de la démarche avec les services de la DDTM, la première phase de la démarche a consisté à élaborer un Programme d’études préalables (PEP), avant d’envisager des actions de mitigation et de prévention des risques dans le cadre du PAPI.

Les Français sont en bonne santé par rapport à leurs voisins, selon une étude réalisée avant la pandémie de Covid-19

Selon France Info : Les chercheurs confirment notamment qu'ils sont moins atteints par des pathologies cardiovasculaires par rapport aux autres pays d'Europe de l'Ouest.

Ai Généré, Cœur, Corps Humain, Anatomie

La santé des Français s'est constamment améliorée lors des dernières décennies et se situe à un excellent niveau par rapport aux autres pays d'Europe de l'Ouest, conclut une étude de référence relayée mercredi 20 mars par l'Assurance-maladie, s'arrêtant toutefois avant la pandémie de Covid-19.

"Sur la période considérée – 1990 à 2019 –, l'espérance de vie à la naissance en France s'est améliorée au fil du temps", souligne dans un communiqué l'Assurance-maladie, à propos de cette étude publiée fin février dans le Lancet Regional Health. Mené par des chercheurs de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), de l'université de Bordeaux et du CHU de Bordeaux, avec l'aide de Santé publique France (SPF) et l'Assurance-maladie, ce travail vise à constituer une référence.

Moins de pathologies cardiovasculaires 

Il se base sur les chiffres du "Global burden of disease", un vaste programme financé par la fondation Bill & Melinda Gates et visant à réunir les données de santé de la plupart des pays..

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/sante/les-francais-sont-en-bonne-sante-par-rapport-a-leurs-voisins-selon-une-etude_6436021.html

Climat : des cumuls de précipitations excédentaires, mais pas partout

Pluie, Bottes, Nature, Parapluie

AVEC Météo France

La saison de recharge, habituellement entre les mois de septembre et mars, est la période pendant laquelle les stocks d’eau peuvent se reconstituer : humidification des sols, remplissage des nappes, hausse du débit des rivières, reconstitution du manteau neigeux. Après 2 saisons de recharges déficitaires en pluies (-20 % sur la saison 2021-2022 et -10 % sur la saison 2022-2023), la saison 2023-2024 s'annonce d'ores et déjà excédentaire en moyenne sur la France.

Des précipitations souvent au dessus des normales sauf en Languedoc-Roussillon

Dans le détail et en moyenne sur la France, les mois d'octobre et novembre on été fortement excédentaire (respectivement 1,4 et 1,5 fois la normale) suivi de mois de décembre et janvier proches des normales à légèrement déficitaires. Les pluies ont ensuite fait leurs retours avec un mois de février atteignant 1.5 fois la normale et un mois de mars qui devrait être dans la même lignée.

Toutefois, tous les territoires n'ont pas été logés à la même enseigne. Si la Nouvelle-Aquitaine et le Nord-Pas-de-Calais enregistrent actuellement leur seconde saison de recharge la plus pluvieuse depuis 1959 (données jusqu'au 18 mars) avec des cumuls respectivement de 870 mm (+50 % par rapport à la normale) et 700 mm (+45 %), le Languedoc-Roussillon a enregistré 450 mm (déficit de 25 %) en moyenne sur la région. De manière plus locale, les Pyrénées-Orientales ont enregistré seulement 228 mm et 290 mm sur l'Aude depuis le 1er septembre.

Le Sud-est de la France a connu un épisode de fortes pluies du 8 au 10 mars qui a principalement touché les départements du Gard, de la Lozère et de l'Ardèche avec des cumuls dépassant les 200 mm sur ces 2 journées. Ces valeurs ne sont pas exceptionnelles en comparaison aux épisodes méditerranéens que l'on peut rencontrer à l'automne. 

Quelques cumuls remarquables de précipitations enregistrés du 1er septembre 2023 au 18 mars 2024 :

Valeurs remarquablement faibles :

  • 93,2 mm à ILLE-SUR-TET (Pyrénées-Orientales) ;
  • 107,8 mm à LEUCATE (Aude) ;
  • 119,0 mm à PERPIGNAN (Pyrénées-Orientales).

Valeurs remarquablement élevées :

  • 1370,0 mm à BIARRITZ (Pyrénées-Atlantiques) ;
  • 1376,5 mm à BRENNILIS (Finistère) ;
  • 1207,3 mm à BAINGHEN (Pas-de-Calais) ;
  • 1044,7 mm à LOUZAC ST ANDRE (Charente).

Du côté de l'enneigement, les Alpes bénéficient d'un enneigement très excédentaire en haute altitude, mais nettement inférieur aux normales en basse altitude. Du côté des Pyrénées, l'enneigement tardif de fin février dernier ne permet pas de retrouver une situation normale pour la saison et les Pyrénées restent déficitaires en enneigement.

En conséquence de ces pluies, les sols se sont fortement ré-humidifiés grâce aux précipitations d’octobre et novembre 2023, et se sont ensuite maintenus dans des niveaux d’humidité proches des normales de saison en décembre et janvier avant de se ré-humidifier à nouveau en février.  Au 18 mars 2024, les sols sont en moyenne sur la France hexagonale plus humides que la normale. Cependant, sur les départements du Languedoc-Roussillon, les sols sont restés nettement plus secs que la normale sur toute la saison de recharge.

Poursuivre sur : https://meteofrance.com/actualites-et-dossiers/actualites/precipitations-excedentaires-pas-partout

Le classement 2024 des pays les plus heureux du monde

Le classement 2024 des pays les plus heureux du monde

Lac, Ridge, Punkaharju, Finlande, Route

Voir et lire sur : https://actu.orange.fr/monde/diaporamas/le-classement-2024-des-pays-les-plus-heureux-du-monde-CNT000002d4k75/photos/1-finlande-68297e199d91c79e993a1b37811224d0.html

1. Finlande

Cette année encore, la Finlande se place en tête des pays les plus heureux du monde. Un sacre qu'elle conserve pour la 7ème année consécutive.

Opération "place nette" à Marseille : "On a bien rigolé devant la télé", s'amuse un trafiquant de drogue en prison

Selon France Info : 

Condamné à une lourde peine pour trafic de stupéfiants et blanchiment, ce "haut placé" du trafic local ironise sur l'efficacité du dispositif XXL défendu mardi à Marseille par Emmanuel Macron. Il s'est exprimé auprès de franceinfo à l'aide d'un téléphone portable clandestin.
Alcatraz, Prison, En Prison

"Tous les prisonniers, on a bien rigolé devant la télé", s'amuse mercredi 20 mars au micro de franceinfo un détenu marseillais, au lendemain de la visite surprise d'Emmanuel Macron à Marseille pour vanter les mérites de l'opération dite "place nette XXL" commencée lundi dans les Bouches-du-Rhône contre les trafics de drogue. Cette opération d'envergure doit durer plusieurs semaines, avec 900 policiers, gendarmes et douaniers déployés dans la cité phocéenne, essentiellement dans les quartiers Nord.

Un détenu marseillais se confie à franceinfo, dénonçant l'inefficacité de ce dispositif. Cet homme d'une trentaine d'années, condamné à une lourde peine pour trafic de stupéfiants et blanchiment, témoigne sous couvert d'anonymat depuis sa cellule, à l'aide d'un téléphone portable clandestin avec lequel il continue de toute évidence à garder le lien avec l’extérieur. Il raconte avoir notamment suivi la couverture médiatique de l'opération "place nette" avec les autres détenus à travers la télévision. "Ça nous a fait rire", martèle-t-il. Il estime que ce dispositif est fait "pour les médias, pour montrer que [les forces de l'ordre] sont présentes, qu'elles font leur travail". Mais il considère que "ça ne change pas grand-chose".

La prison n'est pas un frein au trafic................. Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/societe/drogue/document-franceinfo-operation-place-nette-a-marseille-on-a-bien-rigole-derriere-la-tele-s-amuse-un-trafiquant-de-drogue-en-prison_6435637.html

Un contrat de réciprocité entre agglos voisines

Ce mardi 19 mars, le Président de Sète agglopôle méditerranée, François Commeinhes accueillait dans nos locaux administratifs, Michaël Delafosse, Président de la Métropole de Montpellier et Armand Rivière, 1er vice-Président de la Communauté d’agglomération Hérault Méditerranée, pour la signature d’un contrat de réciprocité entre nos trois intercommunalités voisines, qui représentent environ 700 000 habitants (soit plus de la moitié du Département).

L’objectif est de renforcer les complémentarités et partenariats existants afin de promouvoir un équilibre des espaces urbains, périurbains et ruraux, dans une logique de développement durable, au cœur des enjeux de la transition écologique. Une illustration de la coopération a été particulièrement mise en lumière, ces dernières années, avec notre candidature commune à la capitale européenne de la culture. Et même si l’issue n’a pas été celle que nous espérions, ce travail commun a constitué un véritable « accélérateur » de bonnes pratiques et projets fédérateurs pour nouer un dialogue productif entre élus, services et acteurs des territoires.

Le contrat s’articule autour de sept axes forts :

  • favoriser les continuités et les connexions pour fluidifier les mobilités
  • fédérer les énergies créatrices d’emplois et de valeurs
  • accroître ensemble la connaissance du territoire et développer une vision et des outils partagés d’aménagement
  • définir des réponses communes en matière de transition écologique et énergétique
  • porter la dynamique de la candidature Capitale Européenne de la Culture (CEC]
  • prolonger les coopérations initiées au titre des Jeux Olympiques 2024
  • croiser les expériences et initier des projets pour optimiser nos administrations.

Une gouvernance partagée et définie entre les trois intercommunalités, offrira cet espace de dialogue et de concertation afin de suivre et d’évaluer la mise en œuvre du Contrat de réciprocité. Elle pourra proposer des évolutions concernant notamment les thématiques abordées.

Bientôt la transhumance de Villeveyrac à Mèze

Bientôt la transhumance de Villeveyrac à Mèze