Bon à savoir

Communiqué de Générations Futures sur les pesticides

Communiqué de Génération FuturesFormule De Laboratoire

Victoire de Générations Futures : il n'y aura pas, dans notre pays, de dérogation à l'interdiction de produire, stocker et vendre des pesticides interdits dans l'Union européenne.

L'une des principales missions de Générations Futures est de surveiller, suivre et influencer les lois françaises et européennes en matière de pesticides. Régulièrement, nous attaquons en justice des réglementations que nous jugeons illégales

"Mardi 5 mars 2024, nous avons gagné une victoire juridique importante. Grâce à nos avocats, nous avons fait annuler les dispositions d'un décret qui ont tenté d'introduire des dérogations à l'interdiction de produire, stocker et vendre des pesticides interdits dans l'UE. Cette victoire réaffirme le fait que la législation visant à protéger l'environnement et la santé publique doit être respectée, sans chercher à l'affaiblir par des dérogations injustifiées ! "

La collecte des encombrants est peu à peu réorganisée dans la ville de Sète.

La collecte des encombrants est peu à peu réorganisée dans la ville de Sète. Un jour fixe de collecte est désormais attribué à chaque secteur de la ville.

Après le quartier des Métairies début juillet 2023, ce fut les secteurs de la Pointe Courte, de la Plagette, du Barrou et du Pont-Levis. Ces secteurs sont collectés uniquement le mardi après-midi.

Cette expérimentation a été ensuite étendue en novembre au secteur Corniche (les jeudis après-midi), et en décembre 2023 sur le secteur Saint-Clair (les mercredis après-midi).

Le centre-ville :  ramassage des encombrants dans ses rues à jours fixes, deux fois par semaine, le lundi et vendredi, à compter de mi-mars prochain.

 Plus d’infos sur www.sete.fr.

Depuis le 17 octobre 2023, la collecte des encombrants, gérée par la société Nicollin, a lieu uniquement le mardi après-midi, de 12h à 19h, afin de contribuer à rationnaliser ce service avec pour objectifs :

– augmenter la valorisation par le réemploi des matières et des objets en allant les déposer à la déchetterie de Sète située 695 Avenue des Eaux Blanches, Zone d’Activités des Eaux Blanches (du lundi au samedi de 8h15 à 16h ; le dimanche de 8h30 à 12h. Espace don ouvert du mardi au samedi de 08h15 à 12h).

– réduire significativement les trop nombreux « dépôts sauvages » impactant quotidiennement le cadre de vie.

– permettre à la Police Municipale d’optimiser son action sur les incivilités.

 

Modalités de la collecte des mardis après-midi :

– Appelez le 0800 080 380 afin de prendre rendez-vous les jours précédant la collecte dans le cas où vous ne pourriez pas vous déplacer en déchetterie, (limite de 5 objets maximum par foyer)

– Déposez au droit de votre habitation les dits objets le mardi matin entre 7h et 12h dès lors que vous avez pris rendez-vous

– Tout objet déposé en dehors de ce jour de ramassage et sans avoir pris rendez-vous auprès du service sera considéré comme un dépôt sauvage. Il ne sera pas collecté avant le mardi suivant, et sera susceptible d’une amende.

Il est rappelé que les 7 déchetteries du territoire sont à la disposition de tous les habitants de Sète Agglopôle méditerranée pour l’élimination des déchets autres que les ordures ménagères, les emballages et le verre.

Le Belem, trois-mâts à phare carré et coque en acier, sera une des stars d'Escale à Sète

Le Belem, trois-mâts à phare carré et coque en acier, est le dernier des grands voiliers de commerce français du 19ème siècle encore navigant. Une aventure maritime qui dure depuis plus de 120 ans en ayant vécu pas moins de cinq vies, changé trois fois de nationalité pour finir par retrouver le pavillon tricolore de ses origines, trompant la mort, survivant là où des milliers d’autres voiliers, plus grands, plus puissants, plus neufs, ont disparu à jamais… Le Belem est protégé par sa bonne étoile. Découvrez son incroyable histoire.

Pour le  visiter lors d'Escale à Sète : 

Belem

 Un peu d’histoire  :

 dji-0284-11997929

10 juin 1896

Construit dans les chantiers Dubigeon à Chantenay-sur-Loire, il est mis à l’eau en 1896 à Nantes par l’armement Denis Crouan Fils, après 6 mois de construction. Destiné au transport de marchandises, il doit son nom “Belem” au nom de son comptoir de commerce situé au Brésil.

 

Jusqu’en 1914

Jusqu’en 1914, il sillonne l’Atlantique pour le compte de 3 armateurs successifs. Il transporte notamment des fèves de cacao d’Amazone pour le célèbre chocolatier Menier, puis par la suite, du rhum et de la canne à sucre.

 

1914

À l’orée de la Première Guerre mondiale qui cause la destruction de nombreux voiliers de commerce, sa carrière commerciale est interrompue, concurrencée par les “vapeurs” plus rapides. Il est alors acheté par le duc de Westminster qui l’équipe de moteurs et le transforme en yacht de luxe.

 

1921

En 1921, le Belem devient le “Fantôme II après avoir été racheté par Sir Arthur Ernest Guinness, vice-président des brasseries et grand amateur de navigation.

 

1923 - 1924

De 1923 à 1924, Arthur Ernest Guinness fait le tour du monde en famille à bord de son “Happy Yacht”, réempruntant le canal de Panama et celui de Suez. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, le navire est désarmé à l’île de Wight où il demeure durant tout le conflit.

 

1951

Vittorio Cini, puissant capitaine d’industrie italien, rachète aux héritiers d’Arthur Ernest Guinness, l’élégant trois mâts nommé Fantôme II. Il destine le bateau à la Fondation Giorgio Cini qu’il vient de créer au début de cette même année 1951 en mémoire de son fils Giorgio, mort dans un accident d’avion en août 1949.

 

La Fondation Giorgio Cini a pour vocation initiale la restauration de l’Ile San Giorgio Maggiore (et de son ancien couvent bénédictin) dégradée par 150 ans d’occupation militaire et sa transformation en centre culturel de renommée internationale. Mais sur l’île, Vittorio Cini installe également des centres d’enseignement professionnel, notamment le Centro Marinaro, destiné à former aux métiers de la marine marchande (mécanique, opérateur radio…). Il achète le trois-mâts pour offrir aux élèves du Centro Marinaro et de l'Istituto Scilla un navire-école dédié à leur apprentissage. Il le rebaptise alors “Giorgio Cini”, du nom de la Fondation éponyme.

 

1967 - 1978

Le Giorgio Cini effectue sa dernière croisière au cours de l’été 1967. Trop vétuste pour répondre aux impératifs de la formation navale moderne, il est remisé à quai sur l'île San Giorgio Maggiore durant cinq ans. En 1972, les carabinieri, qui aspirent à disposer d’un navire-école de prestige, proposent de financer les travaux pour sa remise à neuf. Ils confient le navire aux Cantieri Navali ed Officine Mecchaniche di Venezia (CNOMV), qui réalisent alors, dans l’arsenal, d'importants travaux de restauration et redonnent au Giorgio Cini son gréement d’origine, celui d’un trois-mâts barque. Mais les travaux de restauration coûtent cher. En dédommagement financier, c’est finalement le navire lui-même qui est cédé aux chantiers navals en 1976, lesquels se voient contraints de le mettre alors en vente pour se rembourser des frais engagés.

 

1978 

Fin 1978, plusieurs candidats étrangers sont en lice pour acquérir le Giorgio Cini, et parmi eux des Français. Car l’origine nantaise du trois-mâts a été découverte dès 1970 par un passionné de vieux gréement, le docteur Luc-Olivier Gosse, qui apprenant sa mise en vente, a réussi à attirer l‘attention de ses compatriotes. Malgré une forte mobilisation à Venise, le Giorgio Cini est finalement cédé en janvier 1979 à de nouveaux mécènes, les Caisses d’Epargne françaises, qui ont réussi à réunir les fonds nécessaires à son acquisition. Le 15 août 1979, les Vénitiens pleurent le départ de leur trois-mâts.

 

1979

La Caisse d’Epargne rachète le Giorgio Cini qui retrouve son nom d’origine en hommage à son passé prestigieux. Elle le ramène en France grâce au concours de la Marine nationale.

 

1980

La Caisse d’Epargne crée la Fondation Belem, qui sera reconnue d’utilité publique. Elle lui fait don du navire et en devient le mécène historique. Il est décidé que le Belem sera exploité comme navire école civil. Les travaux nécessaires pour refaire naviguer le Belem sont confiés à Jean Randier, ancien officier de la marine marchande.

 

1984

Le Belem est classé Monument Historique.

 

1987

Après cinq années de restauration, le Belem est transformé en navire-école civil ouvert à tous.

 

2002

La Fondation Belem organise un voyage mémorial sur les routes des premières navigations transatlantiques du navire. Près d’un siècle après y avoir chargé des marchandises pour la dernière fois, le Belem entre à nouveau dans le port de Belém do Parà, au Brésil.

 

2023

Le Belem est choisi pour transporter la Flamme Olympique des Jeux de Paris 2024 entre Athènes et Marseille (8 mai 2024).

 

Si vous souhaitez en savoir davantage sur l’histoire du Belem, nous vous invitons à consulter le site web de la Fondation Belem (français).

 

Quelques éléments clés :

- Gréement : Trois-mâts

- Date de construction : 1896

- Longueur hors-tout : 58 m 

- Pavillon : France

- Port d’attache : Nantes (France)

 

Définition :

 

Un trois-mâts est un terme générique pour désigner un navire à voiles comportant trois mâts verticaux : mâts de misaine (avant), grand-mât et mât d’artimon (arrière).

Le Belem, trois-mâts à phare carré et coque en acier, sera une des stars d'Escale à Sète

Le Belem, trois-mâts à phare carré et coque en acier, est le dernier des grands voiliers de commerce français du 19ème siècle encore navigant. Une aventure maritime qui dure depuis plus de 120 ans en ayant vécu pas moins de cinq vies, changé trois fois de nationalité pour finir par retrouver le pavillon tricolore de ses origines, trompant la mort, survivant là où des milliers d’autres voiliers, plus grands, plus puissants, plus neufs, ont disparu à jamais… Le Belem est protégé par sa bonne étoile. Découvrez son incroyable histoire.

Pour le  visiter lors d'Escale à Sète : 

Belem

 Un peu d’histoire  :

 dji-0284-11997929

10 juin 1896

Construit dans les chantiers Dubigeon à Chantenay-sur-Loire, il est mis à l’eau en 1896 à Nantes par l’armement Denis Crouan Fils, après 6 mois de construction. Destiné au transport de marchandises, il doit son nom “Belem” au nom de son comptoir de commerce situé au Brésil.

 

Jusqu’en 1914

Jusqu’en 1914, il sillonne l’Atlantique pour le compte de 3 armateurs successifs. Il transporte notamment des fèves de cacao d’Amazone pour le célèbre chocolatier Menier, puis par la suite, du rhum et de la canne à sucre.

 

1914

À l’orée de la Première Guerre mondiale qui cause la destruction de nombreux voiliers de commerce, sa carrière commerciale est interrompue, concurrencée par les “vapeurs” plus rapides. Il est alors acheté par le duc de Westminster qui l’équipe de moteurs et le transforme en yacht de luxe.

 

1921

En 1921, le Belem devient le “Fantôme II après avoir été racheté par Sir Arthur Ernest Guinness, vice-président des brasseries et grand amateur de navigation.

 

1923 - 1924

De 1923 à 1924, Arthur Ernest Guinness fait le tour du monde en famille à bord de son “Happy Yacht”, réempruntant le canal de Panama et celui de Suez. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, le navire est désarmé à l’île de Wight où il demeure durant tout le conflit.

 

1951

Vittorio Cini, puissant capitaine d’industrie italien, rachète aux héritiers d’Arthur Ernest Guinness, l’élégant trois mâts nommé Fantôme II. Il destine le bateau à la Fondation Giorgio Cini qu’il vient de créer au début de cette même année 1951 en mémoire de son fils Giorgio, mort dans un accident d’avion en août 1949.

 

La Fondation Giorgio Cini a pour vocation initiale la restauration de l’Ile San Giorgio Maggiore (et de son ancien couvent bénédictin) dégradée par 150 ans d’occupation militaire et sa transformation en centre culturel de renommée internationale. Mais sur l’île, Vittorio Cini installe également des centres d’enseignement professionnel, notamment le Centro Marinaro, destiné à former aux métiers de la marine marchande (mécanique, opérateur radio…). Il achète le trois-mâts pour offrir aux élèves du Centro Marinaro et de l'Istituto Scilla un navire-école dédié à leur apprentissage. Il le rebaptise alors “Giorgio Cini”, du nom de la Fondation éponyme.

 

1967 - 1978

Le Giorgio Cini effectue sa dernière croisière au cours de l’été 1967. Trop vétuste pour répondre aux impératifs de la formation navale moderne, il est remisé à quai sur l'île San Giorgio Maggiore durant cinq ans. En 1972, les carabinieri, qui aspirent à disposer d’un navire-école de prestige, proposent de financer les travaux pour sa remise à neuf. Ils confient le navire aux Cantieri Navali ed Officine Mecchaniche di Venezia (CNOMV), qui réalisent alors, dans l’arsenal, d'importants travaux de restauration et redonnent au Giorgio Cini son gréement d’origine, celui d’un trois-mâts barque. Mais les travaux de restauration coûtent cher. En dédommagement financier, c’est finalement le navire lui-même qui est cédé aux chantiers navals en 1976, lesquels se voient contraints de le mettre alors en vente pour se rembourser des frais engagés.

 

1978 

Fin 1978, plusieurs candidats étrangers sont en lice pour acquérir le Giorgio Cini, et parmi eux des Français. Car l’origine nantaise du trois-mâts a été découverte dès 1970 par un passionné de vieux gréement, le docteur Luc-Olivier Gosse, qui apprenant sa mise en vente, a réussi à attirer l‘attention de ses compatriotes. Malgré une forte mobilisation à Venise, le Giorgio Cini est finalement cédé en janvier 1979 à de nouveaux mécènes, les Caisses d’Epargne françaises, qui ont réussi à réunir les fonds nécessaires à son acquisition. Le 15 août 1979, les Vénitiens pleurent le départ de leur trois-mâts.

 

1979

La Caisse d’Epargne rachète le Giorgio Cini qui retrouve son nom d’origine en hommage à son passé prestigieux. Elle le ramène en France grâce au concours de la Marine nationale.

 

1980

La Caisse d’Epargne crée la Fondation Belem, qui sera reconnue d’utilité publique. Elle lui fait don du navire et en devient le mécène historique. Il est décidé que le Belem sera exploité comme navire école civil. Les travaux nécessaires pour refaire naviguer le Belem sont confiés à Jean Randier, ancien officier de la marine marchande.

 

1984

Le Belem est classé Monument Historique.

 

1987

Après cinq années de restauration, le Belem est transformé en navire-école civil ouvert à tous.

 

2002

La Fondation Belem organise un voyage mémorial sur les routes des premières navigations transatlantiques du navire. Près d’un siècle après y avoir chargé des marchandises pour la dernière fois, le Belem entre à nouveau dans le port de Belém do Parà, au Brésil.

 

2023

Le Belem est choisi pour transporter la Flamme Olympique des Jeux de Paris 2024 entre Athènes et Marseille (8 mai 2024).

 

Si vous souhaitez en savoir davantage sur l’histoire du Belem, nous vous invitons à consulter le site web de la Fondation Belem (français).

 

Quelques éléments clés :

- Gréement : Trois-mâts

- Date de construction : 1896

- Longueur hors-tout : 58 m 

- Pavillon : France

- Port d’attache : Nantes (France)

 

Définition :

 

Un trois-mâts est un terme générique pour désigner un navire à voiles comportant trois mâts verticaux : mâts de misaine (avant), grand-mât et mât d’artimon (arrière).

Le Belem, trois-mâts à phare carré et coque en acier, sera une des stars d'Escale à Sète

Le Belem, trois-mâts à phare carré et coque en acier, est le dernier des grands voiliers de commerce français du 19ème siècle encore navigant. Une aventure maritime qui dure depuis plus de 120 ans en ayant vécu pas moins de cinq vies, changé trois fois de nationalité pour finir par retrouver le pavillon tricolore de ses origines, trompant la mort, survivant là où des milliers d’autres voiliers, plus grands, plus puissants, plus neufs, ont disparu à jamais… Le Belem est protégé par sa bonne étoile. Découvrez son incroyable histoire.

Pour le  visiter lors d'Escale à Sète : 

Belem

 Un peu d’histoire  :

 dji-0284-11997929

10 juin 1896

Construit dans les chantiers Dubigeon à Chantenay-sur-Loire, il est mis à l’eau en 1896 à Nantes par l’armement Denis Crouan Fils, après 6 mois de construction. Destiné au transport de marchandises, il doit son nom “Belem” au nom de son comptoir de commerce situé au Brésil.

 

Jusqu’en 1914

Jusqu’en 1914, il sillonne l’Atlantique pour le compte de 3 armateurs successifs. Il transporte notamment des fèves de cacao d’Amazone pour le célèbre chocolatier Menier, puis par la suite, du rhum et de la canne à sucre.

 

1914

À l’orée de la Première Guerre mondiale qui cause la destruction de nombreux voiliers de commerce, sa carrière commerciale est interrompue, concurrencée par les “vapeurs” plus rapides. Il est alors acheté par le duc de Westminster qui l’équipe de moteurs et le transforme en yacht de luxe.

 

1921

En 1921, le Belem devient le “Fantôme II après avoir été racheté par Sir Arthur Ernest Guinness, vice-président des brasseries et grand amateur de navigation.

 

1923 - 1924

De 1923 à 1924, Arthur Ernest Guinness fait le tour du monde en famille à bord de son “Happy Yacht”, réempruntant le canal de Panama et celui de Suez. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, le navire est désarmé à l’île de Wight où il demeure durant tout le conflit.

 

1951

Vittorio Cini, puissant capitaine d’industrie italien, rachète aux héritiers d’Arthur Ernest Guinness, l’élégant trois mâts nommé Fantôme II. Il destine le bateau à la Fondation Giorgio Cini qu’il vient de créer au début de cette même année 1951 en mémoire de son fils Giorgio, mort dans un accident d’avion en août 1949.

 

La Fondation Giorgio Cini a pour vocation initiale la restauration de l’Ile San Giorgio Maggiore (et de son ancien couvent bénédictin) dégradée par 150 ans d’occupation militaire et sa transformation en centre culturel de renommée internationale. Mais sur l’île, Vittorio Cini installe également des centres d’enseignement professionnel, notamment le Centro Marinaro, destiné à former aux métiers de la marine marchande (mécanique, opérateur radio…). Il achète le trois-mâts pour offrir aux élèves du Centro Marinaro et de l'Istituto Scilla un navire-école dédié à leur apprentissage. Il le rebaptise alors “Giorgio Cini”, du nom de la Fondation éponyme.

 

1967 - 1978

Le Giorgio Cini effectue sa dernière croisière au cours de l’été 1967. Trop vétuste pour répondre aux impératifs de la formation navale moderne, il est remisé à quai sur l'île San Giorgio Maggiore durant cinq ans. En 1972, les carabinieri, qui aspirent à disposer d’un navire-école de prestige, proposent de financer les travaux pour sa remise à neuf. Ils confient le navire aux Cantieri Navali ed Officine Mecchaniche di Venezia (CNOMV), qui réalisent alors, dans l’arsenal, d'importants travaux de restauration et redonnent au Giorgio Cini son gréement d’origine, celui d’un trois-mâts barque. Mais les travaux de restauration coûtent cher. En dédommagement financier, c’est finalement le navire lui-même qui est cédé aux chantiers navals en 1976, lesquels se voient contraints de le mettre alors en vente pour se rembourser des frais engagés.

 

1978 

Fin 1978, plusieurs candidats étrangers sont en lice pour acquérir le Giorgio Cini, et parmi eux des Français. Car l’origine nantaise du trois-mâts a été découverte dès 1970 par un passionné de vieux gréement, le docteur Luc-Olivier Gosse, qui apprenant sa mise en vente, a réussi à attirer l‘attention de ses compatriotes. Malgré une forte mobilisation à Venise, le Giorgio Cini est finalement cédé en janvier 1979 à de nouveaux mécènes, les Caisses d’Epargne françaises, qui ont réussi à réunir les fonds nécessaires à son acquisition. Le 15 août 1979, les Vénitiens pleurent le départ de leur trois-mâts.

 

1979

La Caisse d’Epargne rachète le Giorgio Cini qui retrouve son nom d’origine en hommage à son passé prestigieux. Elle le ramène en France grâce au concours de la Marine nationale.

 

1980

La Caisse d’Epargne crée la Fondation Belem, qui sera reconnue d’utilité publique. Elle lui fait don du navire et en devient le mécène historique. Il est décidé que le Belem sera exploité comme navire école civil. Les travaux nécessaires pour refaire naviguer le Belem sont confiés à Jean Randier, ancien officier de la marine marchande.

 

1984

Le Belem est classé Monument Historique.

 

1987

Après cinq années de restauration, le Belem est transformé en navire-école civil ouvert à tous.

 

2002

La Fondation Belem organise un voyage mémorial sur les routes des premières navigations transatlantiques du navire. Près d’un siècle après y avoir chargé des marchandises pour la dernière fois, le Belem entre à nouveau dans le port de Belém do Parà, au Brésil.

 

2023

Le Belem est choisi pour transporter la Flamme Olympique des Jeux de Paris 2024 entre Athènes et Marseille (8 mai 2024).

 

Si vous souhaitez en savoir davantage sur l’histoire du Belem, nous vous invitons à consulter le site web de la Fondation Belem (français).

 

Quelques éléments clés :

- Gréement : Trois-mâts

- Date de construction : 1896

- Longueur hors-tout : 58 m 

- Pavillon : France

- Port d’attache : Nantes (France)

 

Définition :

 

Un trois-mâts est un terme générique pour désigner un navire à voiles comportant trois mâts verticaux : mâts de misaine (avant), grand-mât et mât d’artimon (arrière).

La Ville de Poussan recherche un(e) Chargé(e) d'urbanisme et du foncier

Merci d’adresser vos CV et lettre de motivation (de préférence dactylographiée) avant le 8 avril 2024 au plus tard, à l’attention de Madame le Maire de Poussan, en les envoyant par courriel à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et en précisant la référence « CHARGE(E) D’URBANISME ET DU FONCIER » dans le titre.
Informations complémentaires auprès de Fabienne REINALDOS, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / 06 80 63 55 14
Peut être une image de texte qui dit ’VILLE DE POUSSAN’

L'exposition participative itinérante « Aire Marine Protégée » voyage

Le Syndicat mixte du bassin de Thau a lancé en 2023 une exposition participative itinérante « Aire Marine Protégée » visant à montrer à tous les publics la richesse de l’environnement naturel remarquable de la lagune de Thau.
L’exposition s’est installée pour la première fois à Mèze en mai dernier dans le château Girard, puis en septembre à Bouzigues dans l’espace Fringadelle. Elle voyage sur tout le territoire de Thau...
Pour sa prochaine halte, le SMBT vous donne rendez-vous à la Maison Noilly Prat, vermoutherie depuis 1813 située sur le port de Ville de Marseillan, du 22 au 24 mars de 10h à 12h et de 14h30 à 17h. L'occasion pour les visiteurs de découvrir un environnement naturel remarquable, niché pour cette halte de 3 jours dans un lieu de renommée mondiale (entrée gratuite).
Un événement qui s’inscrit pleinement dans la prise de conscience qui doit être la nôtre face à l'urgence de préserver la biodiversité de notre milieu et de bâtir de nouveaux liens avec la nature en relation avec les activités humaines (conchyliculture, activités touristiques, sports d’eau, sorties de découverte et de plein air, etc.).
Une première étape pour l'exposition Aire Marine Protégée - Syndicat mixte du bassin de Thau

Egalité Femmes/Hommes : découvrez le rapport 2023 de l’Agglopôle

L’égalité entre les femmes et les hommes doit rester l’objet de toutes les attentions.

Les précédents rapports établis l’attestent : Sète agglopôle méditerranée, volontariste et investie pleinement sur le sujet, s’engage pour favoriser une société plus égalitaire. Signataire de la charte européenne pour l’égalité entre les femmes et les hommes dans la vie locale le 15 septembre 2019, elle affirme de manière forte notre volonté d’accentuer notre action dans l’ensemble de nos politiques.

Sète agglopôle méditerranée en sa qualité d’employeur, est particulièrement attentive à la gestion du personnel, respectueuse des principes d’égalité professionnelle, de lutte contre les discriminations et d’équilibre des temps de vie. Nous avons fait le choix, de créer un comité d’élus référents égalité représenté par quatorze élus désignés par les Maires du territoire, afin de nous permettre d’agir territorialement, de manière encore plus ambitieuse.

Le rapport 2023 sur l’égalité entre les hommes et les femmes le montre : de nombreuses actions ont été menées en interne et dans les communes du territoire par le comité des élus référents égalité pour donner aux femmes la place qu’elles méritent dans la société et lutter contre les violences dont elles peuvent être victimes.

Téléchargez le rapport 2023 sur l'égalité entre les femmes et les hommes de Sète agglopôle méditerranée 

L’égalité des sexes, c’est l’affaire de tous, une société juste, équitable et démocratique se construit à la fois avec les femmes et les hommes.

"Des fadas", Emmanuel Macron s’emporte contre les "fausses informations" circulant autour de son épouse

Le chef de l’État a dénoncé, vendredi, "les scénarios montés" par les théories conspirationnistes affirmant que Brigitte Macron serait "une femme transgenre". Il a ainsi appelé à un renforcement des règles sur le "numérique".

Un message ferme et un appel à l’action. À l’occasion du scellement de la loi inscrivant l’avortement dans la Constitution, Emmanuel Macron a fustigé les "fausses informations" et "les scénarios montés" relatifs à son épouse Brigitte Macron, comme l’a rapporté ce vendredi 8 mars, Ouest-France. Depuis plusieurs années, la Première dame de France fait l’objet de nombreuses théories conspirationnistes affirmant sa transidentité.

Selon Orange.fr : 

Président de la cérémonie sur la constitutionnalisation de l’interruption volontaire de grossesse (IVG), le chef de l’État a pris la parole en marge de l’événement organisé à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes. Il a ainsi reconnu que ces accusations affectent son "intimité". Son élection a agi comme un effet tremplin pour ces thèses complotises. À tel point que Brigitte Macron, ciblée, a déjà engagé des poursuites judiciaires en 2022. Mais ces dernières ont finalement été annulées.

D’autres femmes politiques visées par les thèses complotistes.................. Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/des-fadas-emmanuel-macron-s-emporte-contre-les-fausses-informations-circulant-autour-de-son-epouse-magic-CNT000002cPAZ3.html

Carole Delga : « Donnons-nous les moyens de redevenir un modèle ferroviaire international, comme l’est aujourd’hui le Japon »

 

A l’occasion de son déplacement au Japon, la présidente de la Région Occitanie s’est penchée sur l’organisation des transports ferroviaires nippons, dont la ponctualité et la fiabilité sont enviées par les Suisses. Quatre réunions de travail ont permis d’étudier les différents aspects, points communs et différences avec le système français :

https://www.datapressepremium.com/rmdiff/2984/CaroleDelga-Japon.jpeg

 

-          L’aménagement du territoire grâce à la réouverture et au maintien de lignes de trains dans les territoires ruraux a été le sujet principal discuté avec Shuichi Abe, gouverneur de Nagano, et vice-président de l’association des Gouverneurs du Japon ;

 

-          L’exploitation du réseau ferroviaire, la ponctualité, la fiabilité et le cadencement ont été abordés avec Seigo Tsuboi, manager de la division internationale de Japan Railways Central ;

 

-          Les trains à grande vitesse et l’organisation des transports ferroviaires au niveau national ont été les thèmes évoqués lors de sa rencontre avec Yuki Tanaka, directrice générale des Affaires internationales au Ministère des transports puis de son rendez-vous avec Jean-Eric Paquet, Ambassadeur de l’Union Européenne au Japon.

 

Référence au niveau national, Carole Delga a également présenté la politique ferroviaire innovante menée en Occitanie depuis plusieurs années. A l’issue de ces rencontres, Carole Delga a déclaré :

 

« 1er pays au monde à proposer un train à grande vitesse en 1964, le Japon peut nous inspirer pour plusieurs raisons. La densité et la performance de son réseau ferroviaire permettent aujourd’hui aux entreprises l’exploitant de proposer un service d’une efficacité incontestable. Avec seulement 0,3% des trains en retard, le modèle nippon fait même envier les Suisses. Résultat ? Le train est le principal moyen de transport des Japonais, notamment pour circuler entre les villes ou pour réaliser des déplacements interurbains. Une excellence vers laquelle la France doit tendre.

 

Mais pour cela, les moyens financiers consacrés au ferroviaire doivent être considérablement augmentés par l’Etat français. Avec les présidents de Régions, depuis 2022, nous réclamons un New Deal ferroviaire de 100 milliards d’euros sur 10 ans. Parce que le train représente à la fois une partie de l’histoire de notre pays et l’avenir des mobilités.

 

Je profite donc de mon déplacement international en Asie pour, à nouveau, interpeller le gouvernement français. Donnons-nous les moyens de redevenir un modèle ferroviaire au niveau international, comme l’est aujourd’hui le Japon »

 

photo de la réunion de travail avec Shuichi Abe, gouverneur de Nagano, et vice-président de l’association des Gouverneurs du Japon en pièce jointe (crédit photo : David Desaleux/ Région Occitanie)

 

 

L’appel des présidents de Région pour un New Deal ferroviaire : https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/10/22/l-appel-des-presidents-de-15-regions-francaises-pour-un-new-deal-ferroviaire-a-la-mesure-des-crises-des-defis-de-nos-generations-et-du-changement-climatique_6146872_3232.html

Plan des restrictions de voirie à Sète, à partir du 9 mars 2024

Plan des restrictions de voirie à Sète, à partir du 9 mars 2024 :

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