Bon à savoir

Les soins dentaires sont désormais moins remboursés par l’Assurance maladie

Les actes de soins dentaires sont dorénavant pris en charge par l'Assurance maladie à hauteur de 60 %, contre 70 % auparavant. Si vous disposez d’une complémentaire santé, celle-ci prend en charge la part de dépenses restante lorsque le contrat que vous avez souscrit le prévoit.

Dentiste, Patient, Soins Dentaires

Un arrêté publié au Journal officiel le 14 octobre 2023 a indiqué que, concernant les frais d'honoraires des chirurgiens-dentistes et les actes relevant des soins dentaires, les assurés doivent prendre en charge à partir du 15 octobre 40 % des dépenses (sur la base des tarifs conventionnels), contre 30 % précédemment.

Par exemple, pour un détartrage, le tarif conventionnel est de 28,92 € :

  • précédemment, lorsque le taux de remboursement par l’Assurance maladie était à 70 %, le montant remboursé était de 20,24 € et le montant qui restait à la charge de l’assuré était de 8,68 € (30 % du tarif) ;
  • désormais, avec le taux de remboursement par l’Assurance maladie fixé à 60 %, le montant remboursé est de 17,35 € et le reste à charge pour l’assuré est de 11,37 € (40 % du tarif).

Si vous êtes couvert par une complémentaire santé et que le contrat que vous avez souscrit le prévoit, celle-ci vous rembourse ce reste à charge.

  À noter : les tarifs conventionnels sont ceux sur la base desquels s’effectue le calcul pour le remboursement d’un acte médical par l’Assurance maladie. Ils sont différents selon que l’acte médical est réalisé sur un adulte ou sur les dents permanentes d’un enfant de moins de 13 ans.

  Rappel : le ministère de la Santé avait indiqué en juin dernier vouloir intensifier le rôle des organismes complémentaires dans la politique de prévention relative à la santé bucco-dentaire :

  • en augmentant le niveau de leur prise en charge des soins bucco-dentaires ;

  • en les faisant contribuer davantage aux mesures qui améliorent la prévention des affections bucco-dentaires, conjointement à un investissement renforcé de l’Assurance maladie dans ce domaine (remboursement par l’Assurance maladie de nouveaux actes de prévention).

Textes de loi et références

Les soins dentaires sont désormais moins remboursés par l’Assurance maladie (2)

Les actes de soins dentaires sont dorénavant pris en charge par l'Assurance maladie à hauteur de 60 %, contre 70 % auparavant. Si vous disposez d’une complémentaire santé, celle-ci prend en charge la part de dépenses restante lorsque le contrat que vous avez souscrit le prévoit.

Dentiste, Patient, Soins Dentaires

Un arrêté publié au Journal officiel le 14 octobre 2023 a indiqué que, concernant les frais d'honoraires des chirurgiens-dentistes et les actes relevant des soins dentaires, les assurés doivent prendre en charge à partir du 15 octobre 40 % des dépenses (sur la base des tarifs conventionnels), contre 30 % précédemment.

Par exemple, pour un détartrage, le tarif conventionnel est de 28,92 € :

  • précédemment, lorsque le taux de remboursement par l’Assurance maladie était à 70 %, le montant remboursé était de 20,24 € et le montant qui restait à la charge de l’assuré était de 8,68 € (30 % du tarif) ;
  • désormais, avec le taux de remboursement par l’Assurance maladie fixé à 60 %, le montant remboursé est de 17,35 € et le reste à charge pour l’assuré est de 11,37 € (40 % du tarif).

Si vous êtes couvert par une complémentaire santé et que le contrat que vous avez souscrit le prévoit, celle-ci vous rembourse ce reste à charge.

  À noter : les tarifs conventionnels sont ceux sur la base desquels s’effectue le calcul pour le remboursement d’un acte médical par l’Assurance maladie. Ils sont différents selon que l’acte médical est réalisé sur un adulte ou sur les dents permanentes d’un enfant de moins de 13 ans.

  Rappel : le ministère de la Santé avait indiqué en juin dernier vouloir intensifier le rôle des organismes complémentaires dans la politique de prévention relative à la santé bucco-dentaire :

  • en augmentant le niveau de leur prise en charge des soins bucco-dentaires ;

  • en les faisant contribuer davantage aux mesures qui améliorent la prévention des affections bucco-dentaires, conjointement à un investissement renforcé de l’Assurance maladie dans ce domaine (remboursement par l’Assurance maladie de nouveaux actes de prévention).

Textes de loi et références

Les soins dentaires sont désormais moins remboursés par l’Assurance maladie

Les actes de soins dentaires sont dorénavant pris en charge par l'Assurance maladie à hauteur de 60 %, contre 70 % auparavant. Si vous disposez d’une complémentaire santé, celle-ci prend en charge la part de dépenses restante lorsque le contrat que vous avez souscrit le prévoit.

Dentiste, Patient, Soins Dentaires

Un arrêté publié au Journal officiel le 14 octobre 2023 a indiqué que, concernant les frais d'honoraires des chirurgiens-dentistes et les actes relevant des soins dentaires, les assurés doivent prendre en charge à partir du 15 octobre 40 % des dépenses (sur la base des tarifs conventionnels), contre 30 % précédemment.

Par exemple, pour un détartrage, le tarif conventionnel est de 28,92 € :

  • précédemment, lorsque le taux de remboursement par l’Assurance maladie était à 70 %, le montant remboursé était de 20,24 € et le montant qui restait à la charge de l’assuré était de 8,68 € (30 % du tarif) ;
  • désormais, avec le taux de remboursement par l’Assurance maladie fixé à 60 %, le montant remboursé est de 17,35 € et le reste à charge pour l’assuré est de 11,37 € (40 % du tarif).

Si vous êtes couvert par une complémentaire santé et que le contrat que vous avez souscrit le prévoit, celle-ci vous rembourse ce reste à charge.

  À noter : les tarifs conventionnels sont ceux sur la base desquels s’effectue le calcul pour le remboursement d’un acte médical par l’Assurance maladie. Ils sont différents selon que l’acte médical est réalisé sur un adulte ou sur les dents permanentes d’un enfant de moins de 13 ans.

  Rappel : le ministère de la Santé avait indiqué en juin dernier vouloir intensifier le rôle des organismes complémentaires dans la politique de prévention relative à la santé bucco-dentaire :

  • en augmentant le niveau de leur prise en charge des soins bucco-dentaires ;

  • en les faisant contribuer davantage aux mesures qui améliorent la prévention des affections bucco-dentaires, conjointement à un investissement renforcé de l’Assurance maladie dans ce domaine (remboursement par l’Assurance maladie de nouveaux actes de prévention).

Textes de loi et références

Disparition de Marwan Berreni : le corps retrouvé pendu est bien celui de l’acteur de Plus Belle la Vie

Selon Orange.fr

Le corps retrouvé pendu dans une maison abandonnée du Rhône jeudi 12 octobre est bien celui de l’acteur Marwan Berreni, a annoncé la procureure de la République de Villefranche-sur-Saône Laetitia Francart.

Le corps retrouvé dans une maison de Corcelles-en-Beaujolais (Rhône), jeudi 12 octobre, est bien celui de l’acteur Marwan Berreni. C’est ce qu’a confirmé la procureure de la République de Villefranche-sur-Saône Laetitia Francart au Progrès, jeudi 19 octobre. "Les premières constatations médico-légales réalisées se révélaient compatibles avec une mort par pendaison", a-t-elle expliqué. "Les analyses génétiques diligentées ont en outre confirmé 'avec une très grande certitude' qu’il s’agissait du corps de Marwan Berreni".

Ses papiers retrouvés sur les lieux

Cela faisait plus de deux mois que l’acteur n’avait plus donné signe de vie. Alors qu’il sortait d’un restaurant et qu’il se dirigeait vers une discothèque, il aurait percuté une femme de 37 ans au volant d’un 4x4 Mercedes. Le véhicule avait été retrouvé abandonné le lendemain à Fleurie (Rhône)................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/disparition-de-marwan-berreni-le-corps-retrouve-pendu-est-bien-celui-de-l-acteur-de-plus-belle-la-vie-magic-CNT0000028oiVL.html

"Il n’a toujours pas fait un tweet" : après ses accusations contre Karim Benzema, Gérald Darmanin persiste et signe ! "Il n’a toujours pas fait un tweet" : après ses accusations contre Karim Benzema, Gérald Darmanin persiste et signe !

Invité sur BFMTV, jeudi 19 octobre, Gérald Darmanin a dû s’expliquer sur ses récentes accusations envers Karim Benzema. Le ministre de l’Intérieur a maintenu ses propos, reprochant au footballeur de ne pas avoir réagi aux récents évènements contre Israël et à Arras.

Gérald Darmanin ne compte pas revenir sur ses récentes déclarations au sujet de Karim Benzema. Sur le plateau de BFMTV, jeudi 19 octobre, le ministre de l’Intérieur a reproché notamment au footballeur de ne pas s’être clairement positionné contre les récents actes terroristes qui ont frappé Israël et l’Europe, invoquant "une sélectivité qui pose question". "Il n'a toujours pas fait un tweet pour l'assassinat d'un professeur à Arras, pour les bébés décapités, les femmes violées, pour les 1300 massacrés du terrorisme islamiste en Israël", a-t-il répondu face à Yves Calvi.

"Si Karim Benzema peut montrer aux 20 millions de personnes qui le suivent qu’il pleure la mort d’un professeur français, alors je retirerai mes propos", a-t-il ensuite promis, rappelant que les musulmans "respectent toute vie", comme l’indique une prescription de l’Islam. "Je fais le constat que jusqu’à preuve du contraire, il a fait le choix extrêmement sélectif de porter le même discours que les Frères musulmans", a fini par tonner le patron de Beauvau..........................

Poursuivre : https://actu.orange.fr/politique/il-n-a-toujours-pas-fait-un-tweet-apres-ses-accusations-contre-karim-benzema-gerald-darmanin-persiste-et-signe-magic-CNT0000028owMx.html

Le plan Vigipirate est rehaussé au niveau Urgence attentat

À la suite de l’attaque à caractère terroriste qui s’est produite dans un lycée d’Arras le 13 octobre 2023, la Première ministre Élisabeth Borne a annoncé que le niveau « Urgence attentat » était déclaré sur l’ensemble du territoire national. Il s’agit du niveau d'alerte le plus élevé du plan Vigipirate. Service-Public.fr vous rappelle la nature de chacun des trois niveaux d'alerte : « Vigilance », « Sécurité renforcée - Risque attentat », « Urgence attentat ».

Le niveau « Urgence attentat » du plan Vigipirate, qui a été déclaré le 13 octobre 2023, peut être mis en place à la suite immédiate d’un attentat ou si un groupe terroriste identifié et non localisé entre en action. Cet état de vigilance et de protection maximal est instauré pour une durée limitée : le temps de la gestion de crise. Il peut être déclaré sur l'ensemble du territoire national ou sur une zone géographique délimitée.

Ce niveau d'alerte permet notamment d'assurer une mobilisation exceptionnelle de moyens (soldats de la force Sentinelle…), mais aussi de diffuser des informations susceptibles de protéger les citoyens dans une situation de crise.

Parmi les mesures pouvant s’appliquer avec le niveau « Urgence attentat » :

  • les contrôles d'accès des personnes et des véhicules peuvent être renforcés dans les bâtiments publics ;
  • un contrôle visuel des sacs peut être effectué à l’entrée des établissements scolaires, et en cas de refus le directeur d’école ou le chef d’établissement peut refuser à la personne en question l’accès au bâtiment ;
  • des lieux de culte peuvent faire l’objet d’une surveillance renforcée.

Quels sont les deux autres niveaux d’alerte ?

Vigilance

Ce niveau correspond à la posture permanente de sécurité valable en tout lieu et en tout temps et à une série de 100 mesures permanentes de sécurité comme la surveillance des transports et des lieux publics ou le contrôle des accès aux sites publics.

Sécurité renforcée - Risque attentat

Ce niveau est déclenché en cas de niveau élevé de la menace terroriste. Il touche l'ensemble du territoire ou cible une zone géographique ou un secteur d'activité particulier et n'a pas une limite de temps définie. Il prévoit le renforcement des mesures permanentes de sécurité et l'activation de mesures additionnelles selon les domaines concernés par la menace (aéroports, gares, lieux de cultes...).

Se préparer, prévenir, réagir, gérer

La mise en œuvre du plan Vigipirate repose sur 3 principes majeurs :

  • évaluer la menace terroriste en France et à l’encontre des ressortissants et intérêts français à l’étranger ;
  • connaître les vulnérabilités des principales cibles potentielles d’attaque terroriste afin de les réduire ;
  • déterminer un dispositif de sécurité qui répond au niveau de risque.

Les services de renseignement évaluent la menace terroriste, et leurs analyses permettent au Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) d’établir notamment les mesures générales de sécurité devant être mises en œuvre.

L'ensemble du dispositif Vigipirate présenté par le SGDSN comprend entre autres des informations pour :

  • se préparer (connaître la configuration des lieux de vie et des sites fréquentés habituellement, identifier les sorties de secours, observer son environnement notamment dans les lieux de forte affluence, connaître les numéros d'urgence, se former aux gestes de premiers secours…) ;
  • prévenir (signalement des cas de radicalisation, prévention de passage à l'acte violent et signalement de situations suspectes) ;
  • réagir (que faire en cas d'attaque armée, de cyberattaque ou encore d'attaque avec un produit toxique) ;
  • gérer l'après attentat (témoin ou victime d'une attaque terroriste).

  À savoir : le plan Vigipirate contient 300 mesures concernant 13 domaines d'action :

  • alerte et mobilisation ;
  • rassemblements ;
  • installations et bâtiments ;
  • installations et matières dangereuses ;
  • cybersécurité ;
  • secteur aérien ;
  • secteur maritime et fluvial ;
  • transports terrestres ;
  • santé ;
  • chaîne alimentaire ;
  • réseaux (communications, eau, électricité, hydrocarbures, gaz) ;
  • contrôles aux frontières ;
  • protection des ressortissants et des intérêts français à l'étranger.

Trêve hivernale : du 1er novembre 2023 au 31 mars 2024

La trêve hivernale est la période durant laquelle les procédures d'expulsion d'un locataire qui ne paye pas son loyer sont suspendues. Elle est fixée du 1er novembre 2023 au 31 mars 2024. Toutefois, la trêve hivernale ne s'applique pas dans certaines situations.

Immobilier, L'Accession À La Propriété

La trêve hivernale suspend du mercredi 1er novembre 2023 au dimanche 31 mars 2024 l'expulsion d'un locataire, notamment pour cause d'impayés successifs. Cependant, certaines personnes ne sont pas protégées par la trêve hivernale :

  • les personnes bénéficiant d'un relogement correspondant à leurs besoins familiaux ;
  • les squatteurs occupant un domicile, qu'il s'agisse d'une résidence principale ou secondaire ;
  • les squatteurs occupant un garage ou un terrain. Dans ce cas, le juge qui prononce l'expulsion peut décider de supprimer la trêve hivernale ou d'en réduire la durée ;
  • l'époux dont l'expulsion du domicile conjugal a été ordonnée par le juge aux affaires familiales dans le cadre de l'ordonnance de non conciliation d'une procédure de divorce ;
  • l'époux, partenaire de Pacs ou concubin violent dans le couple ou sur un enfant dont l'expulsion du domicile familial a été ordonnée par le juge aux affaires familiales dans le cadre d'une ordonnance de protection.

À la fin de la trêve, et si le problème n'a pas été résolu, la procédure d'expulsion locative pourra reprendre et être exécutée par un huissier de justice.

  À noter : c'est la loi Alur de mars 2014 qui fixe les dates de la trêve hivernale : du 1er novembre au 31 mars. Dans certaines circonstances et notamment en période de crise sanitaire, le gouvernement peut décider de prolonger cette période ou de prendre des mesures exceptionnelles en sortie de trêve.

  Rappel : le principe de la trêve hivernale a été étendu aux coupures de gaz et d'électricité, désormais interdites pendant cette période.

Textes de loi et références

Retraites complémentaires : une revalorisation de 4,9 % et des mesures liées à la réforme des retraites

Tirelire, Des Économies

Revalorisation de 4,9 % à compter du 1er novembre 2023, revalorisation annuelle indexée sur le taux d'inflation pour la période 2024-2026... Un accord national interprofessionnel vient d'être signé entre l'Agirc-Arrco et les partenaires sociaux concernant les retraites complémentaires du secteur privé, qui prend en compte la réforme des retraites. Service-Public.fr rappelle les grandes lignes de cet accord.

Les partenaires sociaux de l'Agirc-Arrco, mandatés par les organisations d'employeurs et de salariés, négocient tous les 4 ans les règles de pilotage du régime des retraites complémentaires du privé. La négociation qui s'est tenue à l'automne a permis de conclure un accord national interprofessionnel (ANI) quadriennal qui prend en compte la réforme des retraites.

Une revalorisation indexée sur l'inflation jusqu'en 2026

Le conseil d'administration de l'Agirc-Arrco a annoncé une revalorisation des retraites complémentaires de 4,9 % à partir du 1er novembre 2023. Cette mesure concerne plus de 13 millions de retraités. Cette hausse correspond au niveau de l'inflation estimée par l'Insee pour 2023.

Par ailleurs, le revalorisation sur la période 2024-2026 sera indexée sur le taux d'inflation, réduite d'un facteur de soutenabilité de 0,40 point selon l'évolution de la situation économique du pays dans les prochaines années.

La revalorisation des retraites de base intervient quant à elle une fois par an au 1er janvier, sauf exceptions.

  À noter : le montant annuel de la retraite complémentaire dont bénéficient les anciens salariés du privé se calcule en multipliant le nombre de points acquis au cours de la carrière par la valeur du point.

Suppression du coefficient de solidarité (bonus/malus)

Coefficient de solidarité (malus)

Le report de l'âge de départ à la retraite a conduit les partenaires sociaux à supprimer ce coefficient dans certains cas :

  • suppression pour les assurés dont la retraite prend effet à compter du 1er décembre 2023 ;
  • suppression à partir du 1er avril 2024 pour les assurés dont la retraite prend effet avant le 1er décembre 2023 ;
  • maintien pour les assurés qui reportent leur départ de 2 à 4 ans et qui ne sont pas concernés par la réforme des retraites.

Coefficient majorant (bonus)

Ce coefficient est supprimé :

  • pour les assurés nés à compter du 1er septembre 1961 ;
  • et dont la retraite du régime de base prend effet à compter du 1er décembre 2023.

  Rappel : les coefficients majorants et minorants ont été mise en place par l'Agirc-Arrco depuis le 1er janvier 2019 afin d'encourager la poursuite d'une activité professionnelle.

Application du cumul emploi-retraite

Les conditions d’application du cumul emploi-retraite évoluent avec la réforme des retraites. Auparavant, les assurés cotisaient en cumul emploi-retraite sans acquérir de nouveaux droits. Désormais, si un retraité reprend une activité professionnelle, les cotisations génèrent de nouveaux droits auprès du régime de base (sous certaines conditions).

L'accord de l’Agirc-Arrco prévoit une mesure similaire pour la retraite complémentaire.

À compter du 1er janvier 2024, les assurés en cumul emploi-retraite intégral pourront bénéficier d’une nouvelle retraite Agirc-Arrco (dans la limite du plafond annuel fixé par la Sécurité sociale).

  À savoir : les régimes de retraite complémentaire obligatoires des salariés du secteur privé sont gérés par les partenaires sociaux. Ils viennent compléter le régime de base de la Sécurité sociale.

Le régime Agirc-Arrco existe depuis le 1er janvier 2019 et reprend les règles des régimes Agirc et Arrco. C'est un régime de retraite par répartition et par points, à la fois contributif et solidaire.

Les caisses Agirc-Arrco perçoivent les cotisations versées par les employeurs et les salariés, calculent les points retraite et versent les pensions.

Sète-Montpellier 2028 s'expose à la gare

Montpellier 2028 s’associe à SNCF Gares & Connexions afin de mettre en avant une sélection de projets portés par des artistes et des acteurs culturels œuvrant sur le territoire. Différents projets artistiques emblématiques de la candidature
vont ainsi trouver un écho dans 5 gares du territoire à travers des scénographies conçues sur-mesure par les équipes de SNCF Gares & Connexions. Rendez-vous dès à présent à la gare de Sète pour découvrir ces installations inédites.

Montpellier et toutes les collectivités partenaires à ses côtés ont été présélectionnées parmi les 4 finalistes pour devenir Capitale européenne de la culture en 2028. 154 communes s’associent ainsi pour penser les défis contemporains et porter un véritable projet de territoire ambitieux, intégrateur, tourné vers l’avenir grâce au levier de la culture. Depuis 2022, cet élan partagé s’illustre sur le territoire de la candidature par 85 projets culturels qui développent de nouveaux partenariats européens et font écho aux trois piliers de M28 : relier, acter et célébrer.

Ce partenariat entre Montpellier 2028 et SNCF Gares & Connexions a vocation à s’inscrire sur le long terme et à s’étendre au-delà du territoire, à l’échelle nationale et européenne si Montpellier est retenue pour devenir Capitale européenne de la culture en 2028.

 

Du 15 octobre au 31 décembre 2023, retrouvez les artistes et œuvres exposées :

Aliki Christoforou « Perspectives submergées » ;
Charles Thiefaine « Z », dans le cadre du programme CIVIS MARITIMUS :
« Tous citoyens des mers » porté par Eyes Wide Open

C’est le moment de se protéger face aux épidémies de l’hiver : grippe, Covid, bronchiolite...

Avec la baisse des températures et l'automne qui s'installe, la circulation des virus va s'accélérer. C'est le moment de se protéger face à la grippe, au Covid et la bronchiolite).

Jeune Femme, Fille, Mensonge

La couverture vaccinale en  Occitanie n'est pas suffisante. La protection par la vaccination doit davantage mobiliser. C'est l’un des moyens les plus efficaces pour nous protéger, en particulier les personnes les plus vulnérables. N'attendons pas que les virus hivernaux circulent davantage. Prenez rendez-vous dès maintenant avec vos professionnels de santé, pour votre vaccination contre la grippe et le Covid. Les 2 vaccins peuvent être réalisés en même temps, mais pas dans le même bras.
Pour les personnes âgées de plus de 65 ans, les femmes enceintes et les patients souffrant de maladies chroniques, la prise en charge des deux vaccins, Covid et grippe, est assurée à 100%. L'ensemble des professionnels de la santé et du secteur médico-social sont invités à montrer l'exemple, en se faisant vacciner sans attendre, pour se protéger, mais aussi pour protéger leurs patients les plus fragiles des complications, des Covid longs.

En ce début de saison épidémique, le virus de la bronchiolite circule déjà en Occitanie : notre région est passée en phase pré-épidémique. La semaine dernière, une centaine d'enfants de moins de 2 ans sont passés aux urgences pour une bronchiolite, et 25% d'entre eux ont été hospitalisés. Pour protéger les plus petits, les gestes barrières que nous connaissons déjà tous sont essentiels.

Ne laissons pas les virus de l'hiver prendre le dessus. Agissons ensemble pour protéger notre santé et celle de nos proches. Face aux épidémies de l'hiver, les bons réflexes sont à la portée de tous : gestes barrières et vaccination.

"Nous sommes au début, on va s'améliorer" : la vaccination scolaire contre les papillomavirus attire peu d'élèves

Selon France INFO : Une campagne de vaccination contre les papillomavirus (HPV) a commencé il y a une quinzaine de jours dans tous les collèges publics et les établissements privés volontaires. Elle doit permettre d'augmenter la couverture vaccinale des adolescents. 

Le retour des piqûres à l'école. Une campagne de vaccination scolaire a commencé il y a une quinzaine de jours, qui concerne tous les collèges publics de France et les collèges privés volontaires. Elle est proposée à tous les élèves de 5e mais n'est pas obligatoire. Ces adolescents reçoivent des piqûres pour les protéger des papillomavirus (HPV), des virus responsables de 6 400 nouveaux cas de cancers en France.

>> Papillomavirus : ce qu'il faut savoir sur la campagne de vaccination contre les HPV qui commence dans les collèges

Malgré tout, cette campagne s'annonce compliquée sur le papier. En effet, les premiers concernés ne savent pas à quoi correspondent ces papillomavirus, à l'instar de ces élèves de 5e du collège Antoine de Saint-Exupéry de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). "On va se faire vacciner contre le HPV, c'est le papillonavirus (sic) et on peut avoir différents cancers : cancer de la gorge, le cancer des yeux", raconte un adolescent. "On l'a déjà le papillomavirus, non ? Enfin je ne sais pas, ça se transmet ?", questionne une autre élève. Cours de rattrapage sur les papillomavirus...

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/reportage-nous-sommes-au-debut-on-va-s-ameliorer-la-vaccination-scolaire-contre-les-papillomavirus-attire-peu-d-eleves_6101709.html

Conflit au Proche-Orient : Emmanuel Macron alerte sur une possible “division” en France si la situation est mal gérée

Selon Orange.fr

Le président de la République Emmanuel Macron a déclaré, lors d’un échange avec des jeunes à Paris, ce jeudi 19 octobre, que la situation actuelle au Proche-Orient pourrait être un élément de "division".

Le conflit au Proche-Orient pourrait être "un élément de division" en France "si on gère mal cette situation", a déclaré Emmanuel Macron à l’AFP relayé par BFMTV, ce jeudi 19 octobre, avant un échange avec des jeunes à Paris.

Le président de la République a longtemps échangé avec des jeunes, sur les quais de Seine, à propos du conflit et également de l’interdiction des manifestations pro-palestiniennes, il fallait un "délai de décence" selon lui. La présence d'"éléments radicaux" l’ont également poussé à prendre cette décision. À la fin de son intervention, il a noté qu’il y avait "beaucoup de représentations" ainsi qu'"une part émotionnelle". "Il faut expliquer la position de la France, il faut aussi lever parfois des contrevérités, se dire les choses", a-t-il ajouté.

Il ira en Israël "quand ce sera utile".............. Aller plus loin : https://actu.orange.fr/politique/conflit-au-proche-orient-emmanuel-macron-alerte-sur-une-possible-division-en-france-si-la-situation-est-mal-geree-magic-CNT0000028oeo9.html

Le projet d’établissement hospitalo-universitaire 2023-2027 du CHU de Montpellier qui a été présentée ce jeudi 19, après-midi

Le projet d’établissement hospitalo-universitaire 2023-2027 du CHU de Montpellier qui a été présentée ce jeudi 19, après-midi.

Projet d'établissement 2023/2027 du CHU de Montpellier (calameo.com)