Bon à savoir

Le maire d'Agde Gilles d'Ettore reste en détention provisoire

La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Montpellier a refusé, vendredi, sa demande de remise en liberté. 

Selon France Info : Geôle, Arrêté, Arrestation, Criminel

Le maire d'Agde (Hérault) Gilles d'Ettore reste en détention provisoire, a fait savoir son avocat auprès de franceinfo vendredi 5 mars. La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Montpellier a rendu son arrêt, après une demande de remise en liberté du maire formulée mardi. Il est en détention provisoire depuis 15 jours, mis en examen pour corruption et prise illégale d'intérêt.

Mardi lors de l'audience, l'avocat général avait requis le maintien en détention pour éviter "les concertations entre les différents protagonistes et maintenir la sérénité de l'enquête". L'élu Les Républicains affirme avoir été piégé par une médium dotée d'un don de ventriloque. Elle est aussi en détention provisoire. Deux cadres du groupe de BTP Eiffage, soupçonnés d'avoir participé au financement occulte des travaux chez la voyante, sont mis en examen, et l'un d'eux est en détention............

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/le-maire-d-agde-gilles-d-ettore-reste-en-detention-provisoire_6468374.html

Journée Mondiale de la santé, ce sera le 7 avril

Chaque année, le 7 avril, des centaines d'organisations célèbrent la Journée Mondiale de la Santé. Des manifestations de sensibilisation sont organisées dans le monde entier, visant à mieux informer les opinions publiques à propos de la morbidité, la mortalité et la souffrance.

Les souffrances inacceptables de la mère et de l'enfant avaient d'ailleurs été choisies comme thème pour la journée de 2005. L'OMS est partie prenante de cette journée et organise des manifestations aux niveaux mondial, régional et national pour marquer la Journée mondiale de la Santé.

Faciliter, Équilibre, Facile, Puissance

Chaque année, le 7 avril, des centaines d'organisations célèbrent la Journée Mondiale de la Santé. Des manifestations de sensibilisation sont organisées dans le monde entier, visant à mieux informer les opinions publiques à propos de la morbidité, la mortalité et la souffrance.

Les souffrances inacceptables de la mère et de l'enfant avaient d'ailleurs été choisies comme thème pour la journée de 2005. L'OMS est partie prenante de cette journée et organise des manifestations aux niveaux mondial, régional et national pour marquer la Journée mondiale de la Santé.

Patrimoine mondial de l'humanité

Notre capital inaliénable le plus précieux est notre santé. Mais le constat mondial est alarmant : les pays en voie de développement ne bénéficient toujours pas des conditions de vie nécessaires au maintien d'une bonne santé. Les infrastructures sont déficientes et l'accès aux médicaments difficile, sans parler des trafics de médicaments frelatés...

Dans les pays dits développés, l'égalité devant la santé n'est pas non plus de mise. Si une majorité des citoyens de ces pays bénéficient d'infrastructures de santé performantes et accessibles, d'autres sont obligés de renoncer à certains soins, faute de pouvoir payer la mutuelle qui prendra en charge leurs dépenses.

Un site à visiter : www.who.int

 

Journée Internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda, ce sera le 7 avril

En 2004, 10 ans après le génocide au Rwanda... Le secrétaire général des Nations Unies lançait un plan d’action de prévention du génocide et attirait l’attention sur les situations en Ituri et au Darfour.

La Commission des droits de l'homme a observé le 7 avril 2004, lors d'une séance d'une heure qui s'est tenue dans la Salle des Assemblées du Palais des Nations, à Genève, la Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda, dont l'Assemblée générale avait décidé, en décembre 2003, qu'elle serait commémorée le 7 avril de chaque année.

Se souvenir pour être capable d'agir

Lors de sondiscours, le secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, a souligné que la communauté internationale ne doit jamais oublier que nous avons échoué collectivement à protéger les plus de 800 000 hommes, femmes et enfants sans défense qui ont péri au Rwanda il y a 10 ans. "Nous devons tous assumer nos responsabilités et reconnaître que nous aurions dû faire plus pour empêcher le génocide ou y mettre fin", a-t-il affirmé, ajoutant que nul ne saurait plaider l'ignorance.

Relevant que le spectre du génocide demeure hélas bien réel, le secrétaire général des Nations unies a indiqué qu'il lançait un plan d'action de prévention du génocide axé sur la prévention des conflits armés, la protection des civils dans les conflits armés, la fin de l'impunité, la mise en place d'un système d'alerte précoce et claire, ainsi que sur l'action rapide et décisive lorsque, en dépit de tous ces efforts, le génocide se produit ou est sur le point de se produire. Il a indiqué qu'il avait décidé de créer un nouveau poste de conseiller spécial sur la prévention du génocide..........

La Russie accusée de cibler les réseaux ferroviaires européens

Selon Orange.frTrain, Chemin De Fer, Paysage

Le ministre tchèque des Transports accuse vendredi 5 avril, dans une interview au "Financial Times", la Russie d'avoir mené des "milliers" de tentatives pour "affaiblir" les infrastructures ferroviaires européennes, sous la forme d'attaques informatiques.

La Russie essaierait de saborder les infrastructures ferroviaires européennes. C'est ce qu'affirme Martin Kupka, ministre tchèque des Transports, vendredi 5 avril, dans une interview accordée au Financial Times. Moscou aurait commandité des "milliers" de tentatives pour "affaiblir nos systèmes", via des attaques informatiques contre les systèmes de signalisation, et contre les réseaux informatiques.

Le ministre s'est réjoui que les différents services aient pu "défendre tous les systèmes avant une attaque réussie". Ces accusations sont corroborées par l'Agence de l'Union européenne pour la cybersécurité. Selon cette dernière, les compagnies ferroviaires de Lettonie, Lituanie, Roumanie et Estonie sont également visées.

Le réseau démantelé au Parlement européen.................... Aller plus loin : https://actu.orange.fr/monde/la-russie-accusee-de-cibler-les-reseaux-ferroviaires-europeens-magic-CNT000002doPDS.html

Météo : A quel point les températures sont-elles plus élevées samedi dans l'Hexagone par rapport au siècle dernier ?

Selon France Info : Un pic de chaleur inédit par son intensité et sa précocité traverse la France samedi, avec des températures qui dépassent largement celles mesurées à la même date à la fin du XXe siècle.

Des Lunettes De Soleil, Bassin

Des températures exceptionnellement chaudes pour la saison sont attendues samedi 6 avril sur une grande partie de l'Hexagone. Météo-France annonce des maximales qui frôleront ou atteindront les 30°C dans certains territoires, notamment dans la région Centre-Val de Loire et dans le Sud-Ouest. Ce pic de chaleur, inhabituel pour un début de mois d'avril, s'inscrit dans un contexte de réchauffement climatique provoqué par les émissions de gaz à effet de serre générées par les activités humaines.

La comparaison avec les relevés effectués le 6 avril entre 1971 et 2000 montre des écarts de température (calculée à partir des minimales et des maximales sur la journée entière) particulièrement élevés (voir notre carte ci-dessous). La barre symbolique des dix degrés d'écart est atteinte dans six des trente stations de référence utilisées dans l'Hexagone par Météo-France pour analyser l'évolution des températures dans le temps long. L'écart le plus important est relevé à Pau, dans le Béarn, où il fera, selon les prévisions de Météo-France, 12,1 degrés de plus samedi, par rapport à la moyenne des températures mesurées le même jour à la fin du XXe siècle............

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/meteo/carte-meteo-a-quel-point-les-temperatures-sont-elles-plus-elevees-samedi-dans-l-hexagone-par-rapport-au-siecle-dernier_6468755.html

Guerre en Ukaine : au moins six morts dans des frappes de drones sur Kharkiv, dans l'est du pays, selon le maire

Selon France InfoUkraine, Drapeau, Cercle, De Campagne

Cette attaque imputée à la Russie a également endommagé neuf bâtiments résidentiels et une station-service. 

Une attaque de drones russe sur la ville de Kharkiv dans la nuit de vendredi 5 à samedi 6 avril a fait au moins six morts et dix blessés, a annoncé le maire de la deuxième ville d'Ukraine, Igor Terekhov, dans un message sur Telegram. Ces frappes ont visé un quartier du nord de Kharkiv, qui se trouve à l'est du pays.

Selon le maire, ces frappes ont été réalisées avec des drones de fabrication iranienne : elles ont endommagé au moins neuf bâtiments résidentiels et une station-service. Parmi les blessés figurent un "garçon de 23 ans (...) la plus jeune victime", "une femme de 25 ans et une autre de 71 ans", ainsi que "six hommes âgés de 35 à 85 ans", a de son côté rapporté le gouverneur de la région Oleg Synegoubov sur Telegram.

Des drones russes avaient été signalés par l'armée ukrainienne.................... Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/guerre-en-ukaine-au-moins-six-morts-dans-des-frappes-de-drones-sur-kharkiv-dans-l-est-du-pays-selon-le-maire_6470333.html

Comment protéger les enfants dans leur usage des écrans ?

Enfants, Gagner, Succès, Jeu Vidéo

Conseils techniques sur les outils de contrôle parental, ressources pédagogiques pour initier le dialogue avec les enfants… La plateforme gratuite jeprotegemonenfant.gouv.fr s’adresse à tous les parents qui s’interrogent face à l'exposition de leurs enfants aux écrans.

Portail d'information unique sur la parentalité numérique, le site jeprotegemonenfant.gouv.fr s'adresse aux parents d'enfants et d’adolescents pour les accompagner dans les usages des outils numériques et l’exposition à du contenu choquant en ligne.

Ce site a pour vocation d'accompagner les parents : informer sur les risques encourus face à l'exposition aux écrans, proposer des solutions pour mieux protéger les enfants, accompagner les parents dans le dialogue avec leur enfant.

Vous pouvez retrouver sur le site un ensemble de conseils, parmi lesquels :

  • éviter d’exposer les enfants de moins de 3 ans aux écrans ;

  • utiliser les écrans dans un objectif pédagogique précis et limiter le temps d’utilisation lors des moments de loisirs ;

  • limiter l’usage des écrans avant l’endormissement pour améliorer la qualité du sommeil ;

  • maintenir des activités ne nécessitant pas d’écran et favoriser les activités extérieures.

  • Quels outils pour protéger mon enfant dans son usage du numérique ?

Le site jeprotegemonenfant.gouv.fr vous propose des outils permettant l’encadrement et la restriction de contenu accessible à votre enfant. Pour les mettre en place, il est important d’identifier les équipements que votre enfant utilise (smartphone, tablette, ordinateur, console de jeux…).

Vous pourrez ainsi retrouver sur la plateforme des tutoriels selon votre besoin afin de mettre en place certaines règles, par exemple :

  • un contrôle parental ;
  • un filtrage du contenu en fonction de l’âge de votre enfant ;
  • une limitation de temps de consultation ;
  • un plafond de dépense ou l’impossibilité de faire des achats en ligne.

Ces outils peuvent aider à prévenir les risques mais ne sont pas infaillibles et ne se substituent pas à la vigilance. Des ressources pour vous aider à initier un dialogue et sensibiliser votre enfant au risque sont également proposées.

À savoir  

Le 3018 accompagne et prend en charge les parents et les jeunes sur l’usage des écrans et les violences numériques. Le numéro est joignable gratuitement 7 jours sur 7, de 9h à 23h.

Voir aussi

L'utilisation des titres restaurant pour faire ses courses va être prolongée

Selon Orange.frHôtel, Podjavornik, Le Restaurant

Comme le révèle "Le Parisien", vendredi 5 avril, l'utilisation des titres restaurant dans les supermarchés, dont le plafond est de 25 euros depuis la crise du Covid-19, va se pérenniser. Mais sous certaines conditions visant à venir en aide aux professionnels de la restauration.

C'est une perspective qui ne manquera pas de ravir de nombreux salariés. Comme le révèle Le Parisien, vendredi 5 avril, le gouvernement va prochainement acter la prolongation de l'utilisation des titre restaurant pour faire ses courses. Selon une étude relayée par nos confrères, 96 % des utilisateurs souhaitent pouvoir continuer à les utiliser en rayon et 75 % des salariés avouent avoir changé leurs habitudes de déjeuner depuis 2019. Preuve que cette mesure, votée en août 2022 et prolongée fin 2023 pour favoriser le pouvoir d’achat, suscitent un grand intérêt de la part des Français.

À la fin du mois d'avril, Olivia Grégoire, la ministre déléguée en charge des entreprises, du tourisme et de la consommation, va présenter le "nouveau" titre restaurant, qui doit ensuite être voté dans le cadre d’une loi présentée avant l’automne. D'après les chiffres de la commission nationale des titres restaurant (CNTR), l'utilisation des titres restaurant connaît un succès grandissant dans les rayons (+7% depuis 2022) et représente désormais 30% des achats. Malgré ce succès, plusieurs conditions devraient évoluer après le passage de la loi, notamment pour venir en aide au secteur de la restauration.

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/l-utilisation-des-titres-restaurant-pour-faire-ses-courses-va-etre-prolongee-magic-CNT000002doAt5.html

Guerre dans la bande de Gaza : Israël fait ce que Washington a demandé concernant l'aide à Gaza, affirme Joe Biden

Selon France Info : 

Les propos du président des Etats-Unis interviennent au lendemain d'un appel entre le Joe Biden et le Premier ministre Benyamin Nétanyahou.

Ce qu'il faut savoir

Israël accomplit les mesures demandées par les Etats-Unis concernant l'augmentation de l'acheminement d'aide à Gaza, a affirmé vendredi 5 avril Joe Biden, au lendemain d'un appel entre le président américain et le Premier ministre Benyamin Nétanyahou. Interrogé pour savoir s'il avait menacé de cesser la livraison d'aide militaire à Israël lors de cet appel, Joe Biden a répondu en quittant la Maison Blanche: "je leur ai demandé de faire ce qu'ils sont en train de faire". Suivez notre direct.

  Le chef de l'ONU "perturbé" par des informations sur l'utilisation de l'IA par l'armée israélienne. "Aucune portion de décisions de vie ou de mort qui ont un impact sur des familles entières ne.....................

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/direct-guerre-entre-israel-et-le-hamas-benyamin-netanyahou-autorise-la-livraison-temporaire-d-aide-dans-la-bande-de-gaza_6468116.html

Usurpation d'identité

Une personne utilise vos données personnelles et réalise des actes en votre nom (par exemple, ouverture d'un compte ou d'un crédit, démarche administrative) ? Vous êtes victime d'une usurpation d'identité. Nous vous expliquons les démarches à entreprendre et comment vous protéger.

Ai Généré, Homme, Données Personnelles

L'usurpation d'identité est le fait de prendre, sans son accord, l'identité ou les données personnelles d'une autre personne et de les utiliser dans un but malveillant.

Les informations volées peuvent servir à réaliser des opérations financières (par exemple, obtention d'un crédit), administratives (par exemple, délivrance d'une carte d'identité...) ou commerciales (par exemple, achat). Elles peuvent servir à commettre des infractionsActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales (par exemple, escroquerie) ou à porter atteinte à la réputation de la victime (par exemple, diffamation).

C'est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans pénal.

En cas d'utilisation malveillante des données personnelles de la victime, on parle d'usurpation d'identité numérique.

L'usurpation d'identité est différente de l'usage d'une fausse identité. La fausse identité consiste à créer de toutes pièces une personne inexistante et à se faire délivrer à ce nom des documents d'identité.

L'usurpation d'identité peut résulter par exemple des situations suivantes :

  • Vol ou perte d'une pièce d'identité
  • Piratage sur les réseaux sociaux (par exemple, récupération de données personnelles)
  • Envoi de documents personnels à de fausses annonces de location ou d'emploi
  • Envoi de renseignements personnels à un faux organisme ou une fausse administration
  • Récupération de documents sensibles (relevé bancaire, bulletin de salaire...) dans la poubelle

L'usurpateur peut utiliser le nom et les données personnelles de la victime pour, par exemple :

  • Ouvrir un compte et utiliser la carte de crédit ou le chéquier pour faire des achats
  • Souscrire un crédit au nom de la victime et ne pas le rembourser
  • Bénéficier d'aides sociales auprès de la sécurité sociale ou de la Caf
  • Ouvrir une ligne téléphonique
  • Créer des comptes sur les réseaux sociaux
  • Fabriquer de faux papiers
  • Commettre une infraction (par exemple, incitation à la violence, chantage, cyberharcèlement sous l'identité de la victime)

La victime peut vérifier qu'elle fait l'objet d'une usurpation d'identité en :

En cas de soupçon d'usurpation d'identité, la victime peut déposer une main courante pour signaler les faits (perte de son document d'identité, envoi des documents personnelles à une fausse annonce d'emploi...).

Quand la victime se rend compte qu'on utilise son nom ou ses données personnelles à son insu, elle est victime d'une usurpation d'identité. Elle peut porter plainte et avertir les administrations et organismes concernés.

Déposer une main courante

En cas de soupçon d'une éventuelle usurpation d'identité (par exemple suite à un piratage informatique ou à la perte de documents d'identité), une main courante peut être déposée.

C'est une déclaration qui doit être faite en se rendant dans un commissariat ou une gendarmerie.

Les faits (nature, date, lieu...) sont consignés dans un registre de police ou de gendarmerie.

Cette main courante pourra servir à dater les faits ou de justificatif dans une procédure pénale ultérieure.

Porter plainte

La victime peut porter plainte dès qu'elle se rend compte qu'une infraction a été commise. Par exemple quand elle reçoit une demande de remboursement d'un crédit qu'elle n'a pas souscrit.

La plainte doit être accompagnée de toutes les preuves (capture d'écran, messages, adresses des pages Internet concernées, documents de demande de remboursement...).

Lors du dépôt de plainte, la victime peut donner son accord pour être enregistrée au fichier des personnes recherchées (FPR) pour les besoins de l'enquête.

À savoir  

La main courante et la plainte ont de buts différents.

Si vous estimez être victime d'une infraction pénale et que vous souhaitez que l'auteur soit poursuivi, alors vous devez porter plainte.

Si vous souhaitez faire constater une situation, signaler ou dénoncer des faits dont vous êtes témoin ou victime sans qu'il y ait des poursuites pénales, alors vous devez déposer une main courante.

Prévenir les organismes, administrations ...

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine financier

La victime doit prévenir les établissements bancaires ou financiers (société de crédit...).

Elle peut obtenir la liste des comptes bancaires ouverts à son nom en consultant le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)

Elle peut vérifier qu'elle n'est pas fichée à la Banque de France en consultant le fichier central des chèques (FCC) et le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP).

La victime peut établir une attestation sur l'honneur aux organismes qui la mettent en cause pour déclarer qu'elle n'est pas l'auteur des actes en joignant une copie de sa plainte.

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine administratif

La victime doit informer les organismes et administrations (Caf : Caf : Caisse d'allocations familiales, sécurité sociale, caisse de retraite, mutuelle, impôts...) de l'usurpation d'identité.

L'usurpation d'identité concerne une amende

La victime qui reçoit une demande de paiement d'une amende pour des faits qu'elle n'a pas commis doit déposer plainte pour usurpation d'identité.

Elle doit contester l'amende.

Pour les infractions routières (par exemple, excès de vitesse), en cas d'usurpation de plaques d'immatriculation, elle peut demander l'attribution d'un nouveau numéro d'immatriculation et une nouvelle carte grise.

Il s'agit d'une usurpation d'identité numérique

On parle d'usurpation d'identité numérique lorsqu'une personne utilise sur Internet les éléments d'identification d'une autre personne, sans son accord. Il peut s’agir de ses nom et prénom, de photos, de son adresse électronique, mais aussi des adresses IP, des logos…

La victime peut porter plainte et signaler l'usurpation d'identité numérique directement aux plateformes concernées (Facebook, X, Instagram, Snapchat, YouTube...).

La victime peut demander le retrait de la publication malveillante.

L'usurpation d'identité est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans.

La peine prévue est d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.

Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau social.

Lorsque cette infraction est commise par l' époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de la victime, la peine est portée à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

Le fait de prendre le nom d'un tiers lors de la commission d'une infractionActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales pouvant entraîner des poursuites pénales est puni de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende. Par exemple, lorsqu'une personne se fait interpeller avec des stupéfiants et qu'elle donne le nom, l'adresse... d'une autre personne qui est par la suite convoquée devant le tribunal pour être jugée.

Pour éviter une usurpation d'identité, certaines précautions peuvent être prises, comme par exemple :

  • Installer un logiciel anti-spam, un anti-virus
  • Mettre régulièrement à jour les appareils, logiciels ou applications de sécurité
  • Utiliser des mots de passe différents et complexes pour chaque sites et applications
  • En cas de doute sur l'expéditeur d'un message, vérifier le site Internet en entrant manuellement son adresse (URL) dans le navigateur
  • Avant de jeter des documents sensibles (relevés bancaires, bulletins de salaire, avis d'imposition....), les déchirer de manière à les rendre illisibles ou impossible à reconstituer
  • Ajouter une mention sur les documents transmis (filigrane) indiquant le motif de l’envoi, la date et le destinataire afin qu'ils ne soient pas réutilisés à des fins frauduleuses
  • Bien se déconnecter de tous les comptes lors d'une connexion à un ordinateur ou un réseau Wi-Fi public

Usurpation d'identité

Une personne utilise vos données personnelles et réalise des actes en votre nom (par exemple, ouverture d'un compte ou d'un crédit, démarche administrative) ? Vous êtes victime d'une usurpation d'identité. Nous vous expliquons les démarches à entreprendre et comment vous protéger.

Ai Généré, Homme, Données Personnelles

L'usurpation d'identité est le fait de prendre, sans son accord, l'identité ou les données personnelles d'une autre personne et de les utiliser dans un but malveillant.

Les informations volées peuvent servir à réaliser des opérations financières (par exemple, obtention d'un crédit), administratives (par exemple, délivrance d'une carte d'identité...) ou commerciales (par exemple, achat). Elles peuvent servir à commettre des infractionsActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales (par exemple, escroquerie) ou à porter atteinte à la réputation de la victime (par exemple, diffamation).

C'est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans pénal.

En cas d'utilisation malveillante des données personnelles de la victime, on parle d'usurpation d'identité numérique.

L'usurpation d'identité est différente de l'usage d'une fausse identité. La fausse identité consiste à créer de toutes pièces une personne inexistante et à se faire délivrer à ce nom des documents d'identité.

L'usurpation d'identité peut résulter par exemple des situations suivantes :

  • Vol ou perte d'une pièce d'identité
  • Piratage sur les réseaux sociaux (par exemple, récupération de données personnelles)
  • Envoi de documents personnels à de fausses annonces de location ou d'emploi
  • Envoi de renseignements personnels à un faux organisme ou une fausse administration
  • Récupération de documents sensibles (relevé bancaire, bulletin de salaire...) dans la poubelle

L'usurpateur peut utiliser le nom et les données personnelles de la victime pour, par exemple :

  • Ouvrir un compte et utiliser la carte de crédit ou le chéquier pour faire des achats
  • Souscrire un crédit au nom de la victime et ne pas le rembourser
  • Bénéficier d'aides sociales auprès de la sécurité sociale ou de la Caf
  • Ouvrir une ligne téléphonique
  • Créer des comptes sur les réseaux sociaux
  • Fabriquer de faux papiers
  • Commettre une infraction (par exemple, incitation à la violence, chantage, cyberharcèlement sous l'identité de la victime)

La victime peut vérifier qu'elle fait l'objet d'une usurpation d'identité en :

En cas de soupçon d'usurpation d'identité, la victime peut déposer une main courante pour signaler les faits (perte de son document d'identité, envoi des documents personnelles à une fausse annonce d'emploi...).

Quand la victime se rend compte qu'on utilise son nom ou ses données personnelles à son insu, elle est victime d'une usurpation d'identité. Elle peut porter plainte et avertir les administrations et organismes concernés.

Déposer une main courante

En cas de soupçon d'une éventuelle usurpation d'identité (par exemple suite à un piratage informatique ou à la perte de documents d'identité), une main courante peut être déposée.

C'est une déclaration qui doit être faite en se rendant dans un commissariat ou une gendarmerie.

Les faits (nature, date, lieu...) sont consignés dans un registre de police ou de gendarmerie.

Cette main courante pourra servir à dater les faits ou de justificatif dans une procédure pénale ultérieure.

Porter plainte

La victime peut porter plainte dès qu'elle se rend compte qu'une infraction a été commise. Par exemple quand elle reçoit une demande de remboursement d'un crédit qu'elle n'a pas souscrit.

La plainte doit être accompagnée de toutes les preuves (capture d'écran, messages, adresses des pages Internet concernées, documents de demande de remboursement...).

Lors du dépôt de plainte, la victime peut donner son accord pour être enregistrée au fichier des personnes recherchées (FPR) pour les besoins de l'enquête.

À savoir  

La main courante et la plainte ont de buts différents.

Si vous estimez être victime d'une infraction pénale et que vous souhaitez que l'auteur soit poursuivi, alors vous devez porter plainte.

Si vous souhaitez faire constater une situation, signaler ou dénoncer des faits dont vous êtes témoin ou victime sans qu'il y ait des poursuites pénales, alors vous devez déposer une main courante.

Prévenir les organismes, administrations ...

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine financier

La victime doit prévenir les établissements bancaires ou financiers (société de crédit...).

Elle peut obtenir la liste des comptes bancaires ouverts à son nom en consultant le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)

Elle peut vérifier qu'elle n'est pas fichée à la Banque de France en consultant le fichier central des chèques (FCC) et le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP).

La victime peut établir une attestation sur l'honneur aux organismes qui la mettent en cause pour déclarer qu'elle n'est pas l'auteur des actes en joignant une copie de sa plainte.

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine administratif

La victime doit informer les organismes et administrations (Caf : Caf : Caisse d'allocations familiales, sécurité sociale, caisse de retraite, mutuelle, impôts...) de l'usurpation d'identité.

L'usurpation d'identité concerne une amende

La victime qui reçoit une demande de paiement d'une amende pour des faits qu'elle n'a pas commis doit déposer plainte pour usurpation d'identité.

Elle doit contester l'amende.

Pour les infractions routières (par exemple, excès de vitesse), en cas d'usurpation de plaques d'immatriculation, elle peut demander l'attribution d'un nouveau numéro d'immatriculation et une nouvelle carte grise.

Il s'agit d'une usurpation d'identité numérique

On parle d'usurpation d'identité numérique lorsqu'une personne utilise sur Internet les éléments d'identification d'une autre personne, sans son accord. Il peut s’agir de ses nom et prénom, de photos, de son adresse électronique, mais aussi des adresses IP, des logos…

La victime peut porter plainte et signaler l'usurpation d'identité numérique directement aux plateformes concernées (Facebook, X, Instagram, Snapchat, YouTube...).

La victime peut demander le retrait de la publication malveillante.

L'usurpation d'identité est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans.

La peine prévue est d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.

Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau social.

Lorsque cette infraction est commise par l' époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de la victime, la peine est portée à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

Le fait de prendre le nom d'un tiers lors de la commission d'une infractionActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales pouvant entraîner des poursuites pénales est puni de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende. Par exemple, lorsqu'une personne se fait interpeller avec des stupéfiants et qu'elle donne le nom, l'adresse... d'une autre personne qui est par la suite convoquée devant le tribunal pour être jugée.

Pour éviter une usurpation d'identité, certaines précautions peuvent être prises, comme par exemple :

  • Installer un logiciel anti-spam, un anti-virus
  • Mettre régulièrement à jour les appareils, logiciels ou applications de sécurité
  • Utiliser des mots de passe différents et complexes pour chaque sites et applications
  • En cas de doute sur l'expéditeur d'un message, vérifier le site Internet en entrant manuellement son adresse (URL) dans le navigateur
  • Avant de jeter des documents sensibles (relevés bancaires, bulletins de salaire, avis d'imposition....), les déchirer de manière à les rendre illisibles ou impossible à reconstituer
  • Ajouter une mention sur les documents transmis (filigrane) indiquant le motif de l’envoi, la date et le destinataire afin qu'ils ne soient pas réutilisés à des fins frauduleuses
  • Bien se déconnecter de tous les comptes lors d'une connexion à un ordinateur ou un réseau Wi-Fi public

Usurpation d'identité

Une personne utilise vos données personnelles et réalise des actes en votre nom (par exemple, ouverture d'un compte ou d'un crédit, démarche administrative) ? Vous êtes victime d'une usurpation d'identité. Nous vous expliquons les démarches à entreprendre et comment vous protéger.

Ai Généré, Homme, Données Personnelles

L'usurpation d'identité est le fait de prendre, sans son accord, l'identité ou les données personnelles d'une autre personne et de les utiliser dans un but malveillant.

Les informations volées peuvent servir à réaliser des opérations financières (par exemple, obtention d'un crédit), administratives (par exemple, délivrance d'une carte d'identité...) ou commerciales (par exemple, achat). Elles peuvent servir à commettre des infractionsActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales (par exemple, escroquerie) ou à porter atteinte à la réputation de la victime (par exemple, diffamation).

C'est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans pénal.

En cas d'utilisation malveillante des données personnelles de la victime, on parle d'usurpation d'identité numérique.

L'usurpation d'identité est différente de l'usage d'une fausse identité. La fausse identité consiste à créer de toutes pièces une personne inexistante et à se faire délivrer à ce nom des documents d'identité.

L'usurpation d'identité peut résulter par exemple des situations suivantes :

  • Vol ou perte d'une pièce d'identité
  • Piratage sur les réseaux sociaux (par exemple, récupération de données personnelles)
  • Envoi de documents personnels à de fausses annonces de location ou d'emploi
  • Envoi de renseignements personnels à un faux organisme ou une fausse administration
  • Récupération de documents sensibles (relevé bancaire, bulletin de salaire...) dans la poubelle

L'usurpateur peut utiliser le nom et les données personnelles de la victime pour, par exemple :

  • Ouvrir un compte et utiliser la carte de crédit ou le chéquier pour faire des achats
  • Souscrire un crédit au nom de la victime et ne pas le rembourser
  • Bénéficier d'aides sociales auprès de la sécurité sociale ou de la Caf
  • Ouvrir une ligne téléphonique
  • Créer des comptes sur les réseaux sociaux
  • Fabriquer de faux papiers
  • Commettre une infraction (par exemple, incitation à la violence, chantage, cyberharcèlement sous l'identité de la victime)

La victime peut vérifier qu'elle fait l'objet d'une usurpation d'identité en :

En cas de soupçon d'usurpation d'identité, la victime peut déposer une main courante pour signaler les faits (perte de son document d'identité, envoi des documents personnelles à une fausse annonce d'emploi...).

Quand la victime se rend compte qu'on utilise son nom ou ses données personnelles à son insu, elle est victime d'une usurpation d'identité. Elle peut porter plainte et avertir les administrations et organismes concernés.

Déposer une main courante

En cas de soupçon d'une éventuelle usurpation d'identité (par exemple suite à un piratage informatique ou à la perte de documents d'identité), une main courante peut être déposée.

C'est une déclaration qui doit être faite en se rendant dans un commissariat ou une gendarmerie.

Les faits (nature, date, lieu...) sont consignés dans un registre de police ou de gendarmerie.

Cette main courante pourra servir à dater les faits ou de justificatif dans une procédure pénale ultérieure.

Porter plainte

La victime peut porter plainte dès qu'elle se rend compte qu'une infraction a été commise. Par exemple quand elle reçoit une demande de remboursement d'un crédit qu'elle n'a pas souscrit.

La plainte doit être accompagnée de toutes les preuves (capture d'écran, messages, adresses des pages Internet concernées, documents de demande de remboursement...).

Lors du dépôt de plainte, la victime peut donner son accord pour être enregistrée au fichier des personnes recherchées (FPR) pour les besoins de l'enquête.

À savoir  

La main courante et la plainte ont de buts différents.

Si vous estimez être victime d'une infraction pénale et que vous souhaitez que l'auteur soit poursuivi, alors vous devez porter plainte.

Si vous souhaitez faire constater une situation, signaler ou dénoncer des faits dont vous êtes témoin ou victime sans qu'il y ait des poursuites pénales, alors vous devez déposer une main courante.

Prévenir les organismes, administrations ...

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine financier

La victime doit prévenir les établissements bancaires ou financiers (société de crédit...).

Elle peut obtenir la liste des comptes bancaires ouverts à son nom en consultant le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)

Elle peut vérifier qu'elle n'est pas fichée à la Banque de France en consultant le fichier central des chèques (FCC) et le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP).

La victime peut établir une attestation sur l'honneur aux organismes qui la mettent en cause pour déclarer qu'elle n'est pas l'auteur des actes en joignant une copie de sa plainte.

Si l'usurpation d'identité concerne le domaine administratif

La victime doit informer les organismes et administrations (Caf : Caf : Caisse d'allocations familiales, sécurité sociale, caisse de retraite, mutuelle, impôts...) de l'usurpation d'identité.

L'usurpation d'identité concerne une amende

La victime qui reçoit une demande de paiement d'une amende pour des faits qu'elle n'a pas commis doit déposer plainte pour usurpation d'identité.

Elle doit contester l'amende.

Pour les infractions routières (par exemple, excès de vitesse), en cas d'usurpation de plaques d'immatriculation, elle peut demander l'attribution d'un nouveau numéro d'immatriculation et une nouvelle carte grise.

Il s'agit d'une usurpation d'identité numérique

On parle d'usurpation d'identité numérique lorsqu'une personne utilise sur Internet les éléments d'identification d'une autre personne, sans son accord. Il peut s’agir de ses nom et prénom, de photos, de son adresse électronique, mais aussi des adresses IP, des logos…

La victime peut porter plainte et signaler l'usurpation d'identité numérique directement aux plateformes concernées (Facebook, X, Instagram, Snapchat, YouTube...).

La victime peut demander le retrait de la publication malveillante.

L'usurpation d'identité est un délitActe interdit par la loi et puni d'une amende et/ou d'une peine d'emprisonnement inférieure à 10 ans.

La peine prévue est d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.

Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau social.

Lorsque cette infraction est commise par l' époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de la victime, la peine est portée à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 € d'amende.

Le fait de prendre le nom d'un tiers lors de la commission d'une infractionActe interdit par la loi et passible de sanctions pénales pouvant entraîner des poursuites pénales est puni de 5 ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende. Par exemple, lorsqu'une personne se fait interpeller avec des stupéfiants et qu'elle donne le nom, l'adresse... d'une autre personne qui est par la suite convoquée devant le tribunal pour être jugée.

Pour éviter une usurpation d'identité, certaines précautions peuvent être prises, comme par exemple :

  • Installer un logiciel anti-spam, un anti-virus
  • Mettre régulièrement à jour les appareils, logiciels ou applications de sécurité
  • Utiliser des mots de passe différents et complexes pour chaque sites et applications
  • En cas de doute sur l'expéditeur d'un message, vérifier le site Internet en entrant manuellement son adresse (URL) dans le navigateur
  • Avant de jeter des documents sensibles (relevés bancaires, bulletins de salaire, avis d'imposition....), les déchirer de manière à les rendre illisibles ou impossible à reconstituer
  • Ajouter une mention sur les documents transmis (filigrane) indiquant le motif de l’envoi, la date et le destinataire afin qu'ils ne soient pas réutilisés à des fins frauduleuses
  • Bien se déconnecter de tous les comptes lors d'une connexion à un ordinateur ou un réseau Wi-Fi public

Le Canal du Midi rouvre à la navigation

Le Canal du Midi rouvre à la navigation .
De Sète à Toulouse, il fait le bonheur des plaisanciers qui le découvrent au fil de ses 63 écluses !
Profitez des beaux jours pour faire une escale sur ce joyau de notre patrimoine https://www.laregion.fr/Le-Canal-du-Midi-une-destination...