échos
Les médecins libéraux estiment que la revalorisation de leurs consultations est largement insuffisante. Ils sont également inquiets quant aux éventuelles obligations liées à leur carrière.
Selon France Info :
"Le gouvernement doit investir pour rendre attractifs nos métiers", peut-on lire dans l'appel aux débrayages qui s'annoncent massifs. Tous les médecins libéraux, généralistes et spécialistes, sont appelés à fermer leur cabinet et déprogrammer leur activité à partir du vendredi 13 octobre. La plupart des syndicats souhaitent que ce mouvement de protestation soit "illimité."
Après l’échec des négociations conventionnelles, qui ont eu lieu avec l’Assurance maladie l’hiver dernier, les médecins libéraux sont toujours très remontés contre des consultations à 26,50 euros pour les généralistes et 31,50 euros pour les spécialistes. Cette revalorisation d’1,50 euro dans les deux cas est insuffisante à leurs yeux. Ils réclament la reprise immédiate des discussions et, en fonction des syndicats, demandent entre 30 et 50 euros pour une consultation de base.
Proposition de loi sur un engagement territorial
Un autre point de désaccord repose sur une proposition de loi qui intègre la question des territoires. Les médecins libéraux sont vent debout contre ce texte porté par le député Horizons, Frédéric Valletoux, dont l’objectif est d’améliorer l’accès aux soins des patients en régions grâce à un engagement territorial des professionnels de santé. Or, beaucoup de médecins redoutent que ce texte ne porte en germe de nouvelles obligations pour les praticiens libéraux notamment en matière de gardes (nuit, week-end, etc.)............... Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-eco/tarifs-des-consultations-crainte-de-nouvelles-obligations-les-raisons-qui-poussent-les-medecins-liberaux-a-la-greve-a-partir-du-13-octobre_6043283.html
Infographies : https://meteofrance.com/previsions-meteo-france/sete/34200
2023-09-19
En discussion depuis trois ans, cette réforme vise à refonder la politique migratoire européenne. Mais la Hongrie et la Pologne refusent tout mécanisme de solidarité.
Selon France Info :
L'immigration irrégulière a besoin d'une "réponse européenne", a déclaré Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, dimanche 17 septembre, à Lampedusa. En quelques jours, la population de l'île italienne a doublé, confrontée à l'arrivée de plusieurs dizaines de milliers d'exilés en provenance d'Afrique du Nord. Face à la situation, la cheffe de l'exécutif européen a dévoilé un plan d'urgence pour aider Rome et a appelé les partenaires européens à la solidarité.
Mercredi, lors de son discours annuel sur l'état de l'Union européenne, Ursula von der Leyen avait déjà exhorté les Etats membres à faire aboutir le pacte sur la migration et l'asile, dont les négociations patinent depuis trois ans. Présenté en septembre 2020 par la Commission, ce paquet de mesures vise à refonder la politique migratoire de l'UE et à faire face aux situations d'urgences. Mais plusieurs pays s'y opposent, alors que les demandes d'asile augmentent.
Une solidarité accrue
A ce jour, la politique migratoire européenne est fondée sur le texte Dublin III. Il prévoit que les réfugiés déposent leur demande d'asile dans le premier pays de l'UE qu'ils atteignent. Mais ce règlement a pour conséquence de faire peser les demandes d'asile sur les pays du sud de l'Europe par lesquels arrivent les migrants du Proche-Orient, d'Asie ou d'Afrique. A contrario, avant la guerre en Ukraine, les pays d'Europe de l'Est accueillaient très peu de réfugiés, rappelle le site spécialisé Touteleurope.eu, fondé par la France et la Commission européenne................
Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/pourquoi-le-pacte-europeen-sur-la-migration-et-l-asile-divise-les-pays-membres-de-l-ue_6068829.html
"Nous avons dit à nos amis italiens que nous étions prêts à les aider pour reconduire des personnes dans les pays avec qui nous avons de bonnes relations diplomatiques", a déclaré le ministre de l'Intérieur, mardi, sur TF1.
Selon France Info :
De retour d'Italie, où quelque 10 000 migrants sont arrivés ces derniers jours, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé, mardi 19 septembre, que "la France n'accueillera pas de migrants présents à Lampedusa". "La France veut une position de fermeté", a-t-il expliqué sur le plateau du journal de 20 heures de TF1.
"Il faut distinguer les migrants des personnes qui sont des réfugiés politiques", a poursuivi Gérald Darmanin. Il a relevé que "60% des personnes qui sont arrivées à Lampedusa sont francophones. Il y a des Ivoiriens, des Sénégalais, qui n'ont pas demandé l'asile en Europe." "En revanche, nous avons dit à nos amis italiens que nous étions prêts à les aider pour reconduire des personnes dans les pays avec qui nous avons de bonnes relations diplomatiques", a-t-il précisé, citant la Côte d'Ivoire et le Sénégal................
Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/la-france-n-accueillera-pas-de-migrants-presents-a-lampedusa-annonce-gerald-darmanin_6071841.html
Selon France Info
Les représentants des principales enseignes de distribution sont conviés mardi 19 septembre à 9h30 au ministère de l'Économie, a appris franceinfo auprès de Bercy, lundi. Après l’annonce de la Première ministre Elisabeth Borne samedi, de l'autorisation de la vente à perte des carburants, Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, a confirmé espérer une mise en place de cette mesure le 1er décembre pour une durée de six mois.
Le gouvernement souhaite une légalisation temporaire de la vente à perte des carburants pour répondre à la hausse des prix de l'essence à la pompe, dans un contexte d'inflation. La disposition doit être incluse dans le projet de loi avançant les négociations commerciales entre les supermarchés et leurs fournisseurs de l'agro-industrie qui doit être présenté début octobre par le gouvernement.........
Selon Orange.fr :
Selon une information du Figaro, les enseignes de grande distribution balayent d'un revers de main la proposition de loi évoquée par la Première ministre ce week-end, qui leur permettrait de vendre de l'essence "à perte" début décembre.
La décision d'Élisabeth Borne avait surpris tout son monde samedi 16 septembre : afin de lutter contre la flambée des prix du carburant, la Première ministre annonçait que l'interdiction de revente "à perte" était levée pour les distributeurs et ce, "sur une période limitée de quelques mois". Une interdiction en vigueur depuis 1963 et qui devait donner des "résultats tangibles pour les Français, sans subventionner le carburant". Lundi, le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, avait confirmé la mesure dans Télématin sur France 2, précisant que les enseignes de la grande distribution pourront le faire pendant six mois "d'ici début décembre".
Prix de l'essence: "Je n'ai pas compris pourquoi l'option [du chèque carburant] n'a pas été discutée", indique Frédéric Plan (Fédération française des combustibles, carburants et chauffage) par BFMTV
Mais y avait-il eu concertation avant cette annonce ? Il semblerait que non à en croire une information du Figaro ce mardi soir. Les patrons des enseignes Leclerc, Carrefour, Intermarché, Système U, Casino et Auchan étaient convoqués à Bercy plus tôt dans la matinée et se sont opposés à une vente "à perte" du carburant devant leurs supermarchés. Selon les informations de nos confrères, les distributeurs ont assuré au ministre de l'Économie, et à la ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme, que la "possibilité de vente à perte ne sera pas suivie, car elle n’est économiquement pas tenable".
D'autres opérations de baisses de prix ?.................
Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/vente-de-carburant-a-perte-la-grande-distribution-contrarie-les-plans-du-gouvernement-magic-CNT0000027sjRX.html
Le protocole a beaucoup changé depuis le début de la crise sanitaire. Franceinfo vous explique ce qu'il faut faire en cas d'apparition de symptômes et de test positif au Covid-19.
Selon France Info :
Le Covid-19 est de retour en cette rentrée. Malgré le flou autour de la circulation du virus, une tendance se dégage avec un nombre de cas qui augmente. La nouvelle campagne de vaccination contre le virus débutera le 2 octobre, deux semaines avant la date prévue. Le ministre de la Santé a évoqué "un contexte actuel de circulation plus marquée du virus”.
>> Covid-19 : pourquoi est-il devenu si difficile de savoir où en est l'épidémie ?
Mais si l’épidémie repart à la hausse, cela ne signifie pas un retour des anciens protocoles. Mais alors, que faire en cas de test positif ? Faut-il s’isoler ? Peut-on continuer à travailler ? Que dois-je faire en tant que cas contact ? Franceinfo vous propose un point sur les règles à suivre à ce jour.
Éviter les personnes à risque et réaliser un test de dépistage
Dès les premiers symptômes évoquant une infection au Covid-19, il est tout d'abord fortement conseillé d’éviter les contacts avec les personnes fragiles ou à risque de développer une forme grave (nourrisson, femmes enceintes, personnes âgées ou porteuses de certaines maladies chroniques ou souffrant d’obésité). Les symptômes peuvent être combinés ou isolés. Ils apparaissent parfois brutalement et restent nombreux :
- Fièvre ou sensation de fièvre
- Signes respiratoires : toux, mal de gorge, essoufflement ou sensation d’oppression dans la poitrine
- Maux de tête, courbatures, fatigue inhabituelle
- Perte brutale de l’odorat (sans obstruction nasale), disparition totale du goût
- Diarrhée
Vous pouvez ensuite réaliser un test type autotest, antigénique ou RT-PCR, sans besoin d'une prescription. En revanche, ils ne sont plus pris en charge à 100% par l’assurance-maladie depuis le 1er mars 2023, et cela sans distinction entre les vaccinés et les non-vaccinés. Certaines personnes, notamment les mineurs ou les personnes de 65 ans et plus, conservent une prise en charge à 100%. Sinon, un reste à charge de 30 à 40% doit être réglé mais les complémentaires santé prennent généralement le relais. Les autotests disponibles en pharmacie aux alentours de 3,50 euros ne sont pas remboursés.
Prévenir son entourage et appeler son médecin.............. Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/tests-de-depistage-du-covid-19/covid-19-test-isolement-teletravail-quelles-sont-les-regles-a-suivre-si-vous-etes-positif_6071256.html
Afin de vous permettre de connaître le service rendu par les différents opérateurs de téléphonie, l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) met en ligne des cartes de France des couvertures voix, SMS, et Internet mobile pour chacun des opérateurs. On vous en dit plus sur ce service.
Identifier la couverture voix et SMS des différents opérateurs mobiles
Depuis janvier 2017, l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) impose aux opérateurs de publier des cartes de couverture du territoire représentant une évaluation de la couverture à différents niveaux, pour le service voix et SMS.
L'Arcep publie sur son site monreseaumobile.fr une carte de couverture mobile enrichie pour toute la France métropolitaine.
Cette carte vous permet notamment d’identifier les zones de couverture mobile de chaque opérateur, avec quatre niveaux d'évaluation : « Très bonne couverture », « Bonne couverture », « Couverture limitée » ou « Pas de couverture ».
Identifier la couverture internet mobile 3G, 4G et 5G des différents opérateurs mobiles
Le site monreseaumobile.fr met également en ligne un outil cartographique présentant la couverture mobile en internet 3G, 4Get 5Gdes quatre grands opérateurs (Free, Orange, Bouygues, SFR).
Cet outil vous permet de comparer la couverture Internet des différents opérateurs.
En entrant par exemple le nom de votre ville ou d’une rue dans un moteur de recherche, vous pouvez connaître la couverture mobile de la zone concernée.
Identifier la qualité de la couverture voix, SMS et internet mobile de chaque opérateur
Le site monreseaumobile.frprésente également la qualité mesurée des services voix et SMS d'un côté, internet mobile de l'autre, dans les transports pour chaque opérateur.
Il est possible d'afficher la qualité mesurée :
- sur les grands axes routiers
- dans les TGV,
- dans les intercités/TER,
- dans les RER et transiliens
- dans le métro (Lille, Lyon, Marseille, Paris et Toulouse)
Concernant les lieux de vie, monreseaumobile.fr détaille la qualité mesurée des services voix, sms, navigation web et vidéo en ligne pour chaque opérateur pour toute la France, et pour les zones rurales, intermédiaires, denses ainsi que les sites touristiques.
Ces contenus peuvent aussi vous intéresser
En savoir plus sur la couverture mobile du territoire
- Sur le site de l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes)
- Accès à internet : connaître l’état de la couverture ou déclarer un défaut sur ecologie.gouv.fr
Ce que dit la loi
- Décision n° 2016-1678 du 6 décembre 2016 (modalités de mise à disposition d'informations relatives à la couverture des services mobiles et aux méthodes de vérification de la fiabilité de ces informations
- Arrêté du 11 janvier 2017 homologuant la décision n° 2016-1678 de l'Arcep en date du 6 décembre 2016
Ce dispositif de formation, financé par la Région et mis en œuvre par l’organisme Fondespierre dans les locaux de Sète Agglopôle Méditerranée, s’inscrit dans une volonté d’accompagner les publics les plus éloignés de l’emploi vers des métiers d’avenir. La formation a débuté en juillet pour les stagiaires de la première promotion sétoise.
« Avec l’ouverture de cette nouvelle antenne à Sète, nous poursuivons notre engagement dans la lutte contre les inégalités liées à l’emploi. La formation est ouverte à toutes et tous, avec comme seul critère la motivation. Nous apportons également une réponse concrète aux besoins de recrutement des chefs d’entreprise locaux et accompagnons le développement des grandes filières dans le département de l’Hérault. Grâce à la participation de Sète Agglopôle Méditerranée, nous sommes ravis de voir le réseau des Ecoles du numérique s’élargir et se pérenniser en Occitanie. » a déclaré la Présidente de Région Carole Delga, avant de rappeler : « Les taux d’insertion à la sortie de formation et la croissance du secteur du numérique sur le territoire prouvent la réussite de ce dispositif novateur, premier du genre en France. Le déploiement des Ecoles régionales du numérique en Occitanie est par ailleurs complémentaire avec le Pacte pour l’embauche, que nous avons lancé pour assurer l’accès de toutes et tous à un emploi de qualité, en apportant des solutions aux problèmes de logement, de mobilité ou encore de garde d’enfant. »
François Commeihnes, Président de Sète Agglopôle Méditerranée et Maire de Sète, a quant à lui affirmé : «
« Sète Agglopôle Méditerranée s’engage pour soutenir la formation et l’enseignement supérieur avec la structuration d’un service dédié à cette compétence et la création du futur Pôle universitaire à Sète. Avec plus de 10 établissements d’enseignement, de recherche et de formation, et plus de 1000 étudiants, Sète est identifiée comme ville universitaire d’équilibre. Je suis donc très heureux de voir l'École régionale du numérique s'établir à Sète et compléter ainsi l’offre de formation aux métiers du numérique. Ce dispositif s’inscrit dans la continuité de la dynamique lancée avec le Campus connecté et la création des deux nouvelles filières à l’IUT. En adéquation avec les défis de notre territoire, c’est un jalon de plus pour l’accompagnement et le développement de notre tissu économique local. »
Ouverte depuis juillet 2023, l’Ecole du numérique de Sète est financée à hauteur de 133 000 euros par la Région Occitanie. Ce financement englobe l’ensemble des frais pédagogiques et la rémunération des stagiaires. La formation dure 10 mois et permet aux participants de valider une certification de niveau 5 (Bac+2) pour le métier de développeur web et web mobile. Elle est mise en œuvre par beWeb, filière spécialisée dans le numérique de l’organisme de formation Fondespierre. Le dispositif est ouvert à tous les publics, sans prérequis académique.
La priorité est donnée aux personnes en situation de handicap, à celles issues des quartiers prioritaires de la politique de la ville et au public féminin. Cette première promotion compte 12 étudiants, dont 2 femmes, qui bénéficieront de méthodes pédagogiques innovantes, d’un apprentissage par les pairs et d’une immersion en entreprise de 9 semaines. Retenue dans le cadre d’un appel à candidatures, Sète Agglopôle Méditerranée poursuit son soutien à la formation et à l’emploi avec l’accueil de cette nouvelle antenne.
La seconde ag-glomération de l’Hérault s’engage à mettre les étudiants en relation avec des entreprises lo- cales et met à leur disposition l’Espace Bernard Palissy, à proximité du centre-ville. Après Montpellier, Lunel et Béziers, Sète devient la quatrième ville de l’Hérault à accueillir une Ecole régionale du numérique.
Depuis 2019, 108 stagiaires ont été accueillis dans le département, dont 35 en 2022. Ecole régionale du numérique : un réseau de formations innovantes au numérique La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée est la 1ère Région à avoir créé une Ecole régionale du numérique sous la forme d’un réseau innovant de formations, déployé sur l’ensemble des 13 départements de la région. Ces formations s’adressent aux demandeurs d'emploi possédant un faible niveau de qualification dans un secteur à fort potentiel d’emploi, qui compte 18 500 entreprises et plus de 64 000 emplois en Occitanie, avec une croissance des offres d’emploi de 5,9% en 2023.
Les métiers visés sont ceux du développement web / mobile, de la maintenance réseaux et de l’infographie, particulièrement porteurs d’emploi. Sur les précédentes années, les résultats d’insertion enregistrés sont élevés, avec près de 80% de sorties positives à l’issue de la formation. Une des originalités de l’Ecole régionale du numérique est le choix fait par la Région de s’appuyer sur des partenariats forts avec les collectivités locales prêtes à accueillir ces écoles, en mettant à disposition un local et en favorisant la mise en relation directe avec les acteurs économiques du territoire.
Il faut savoir que ces partenariats permettent d’expérimenter des offres adaptées à chaque territoire et à leurs besoins. 20 communes d’Occitanie accueillent une Ecole régionale du numérique : Auch, Lourdes, Pamiers, Cahors, Moissac, Castres, Mende, Alès, Lunel, Béziers, Perpignan, Carcassonne, Rodez, Saint-Gaudens, Montpellier, Toulouse, Caylus, Millau, Albi, Sète. L’Ecole régionale du numérique en chiffres - 20 antennes réparties sur les 13 départements ; - Plus de 1700 personnes formées ; - 24% de femmes (tendance à la hausse) ; - 61% de public de niveau Bac ou infra Bac avant l’entrée en formation ; - 87% de réussite à la certification ; - 80% d’insertion professionnelle 18 mois après la certification (60% de salariés et 20% en poursuite d’études) ; - 82% des apprenants jugent bénéfique et utile la formation pour trouver un emploi ; - 100% des frais de formation pris en charge par la Région, pour un montant total de 2,5 millions d’euros
Selion France Info :
Transports, bâtiments, biodiversité… Au lendemain de la présentation des grandes lignes de sa politique de planification écologique aux partis, le gouvernement a détaillé devant le Conseil national de la refondation, mardi 19 septembre, la répartition des "10 milliards d'euros" qui doivent être utilisés pour la financer.
>> Planification écologique : où en sont les sept chantiers phares du gouvernement ?
Ces 10 milliards correspondent en réalité à des autorisations d'engagement. Concrètement, cela signifie que l'Etat "est autorisé à engager 10 milliards d'euros de dépenses au cours des prochaines années, y compris après 2024", décrypte pour franceinfo Damien Demailly, directeur général adjoint de l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE). Sept milliards de ces dépenses proviendront du budget de l'Etat pour l'année 2024, comme l'avait déjà fait savoir la Première ministre, Elisabeth Borne, en juillet.
Plus de deux milliards pour l'agriculture et la biodiversité
Dans le détail, le gouvernement prévoit d'investir 2,3 milliards d'euros en faveur de l'agriculture et de la biodiversité : 500 millions d'euros devraient être consacrés au reboisement forestier, 500 millions au "plan eau", 500 millions à des subventions versées aux agriculteurs pour que ceux-ci puissent réaliser des diagnostics de leur bilan carbone et replanter des haies...
Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/politique/planification-ecologique-comment-vont-etre-utilises-les-10-milliards-d-euros-annonces-par-le-gouvernement_6071337.html