En ce mardi 8 juin, à Poussan comme partout en France, nous avons une pensée pour ces soldats français qui se sont battus en Indochine, parce que c’était leur devoir, pour « un bout de France » qui avait nourri l’imaginaire de millions de Français,
Des soldats qui se sont battus pour leurs frères d’armes, légionnaires, parachutistes, aviateurs, marins, métropolitains, algériens, africains, vietnamiens.
Des soldats qui se sont battus contre un adversaire courageux, résolu ; contre la maladie, les éléments, contre la distance, contre l’indifférence.
Parce que c’était leur devoir.
Cette guerre nous oblige à poursuivre le travail de mémoire. Parce qu’une grande nation, c’est une nation qui regarde son histoire en face.

Discours de Geneviève DARRIEUSSECQ, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la mémoire et des anciens combattants.

 » Ce 8 juin, la nation française rend un hommage solennel aux morts pour la France en Indochine. En s’inclinant avec respect devant les anciens combattants de 40 et de 45, devant les anciens de la guerre d’Indochine, la France affirme une nouvelle fois sa reconnaissance à ceux qui ont combattu sous notre étendard et porté nos armes.

La République n’oublie aucune guerre, aucune génération du feu, aucune mémoire. Elle se souvient de l’histoire douloureuse que fut le coup de force japonais du 9 mars 1945 et de l’âpreté du conflit indochinois.

De 1946 à 1954, ce sont 500 000 membres du corps expéditionnaires français qui ont servi notre pays. A l’instar du lieutenant Bernard de Lattre, tué au combat il y a 70 ans, ils l’ont fait avec dévouement et sens du devoir, parfois dans l’indifférence ou dans l’incompréhension. Dans les airs, sur les mers, sur la terre, en combattant, en soignant, en assurant la logistique et le soutien, les militaires, supplétifs et personnels des armées ont lutté contre un adversaire résolu et ardent, en défiant la dureté des éléments et de la géographie, en repoussant la fatigue et la peur. Nombreux sont ceux qui ont subi une usante captivité, la plupart d’entre eux n’en sont pas revenus.

Aujourd’hui, nous transmettons avec ferveur cette mémoire et nous saluons celles et ceux qui la portent. Elle nous rappelle que notre pays peut compter, génération après génération, sur des hommes et des femmes prêts à l’engagement et au combat.

Aujourd’hui, nous rappelons également notre attachement à cette mémoire partagée, socle de notre amitié avec l’adversaire d’hier devenu un partenaire durable. « 

Les animateurs de l’accueil de loisirs remercient les enfants qui ont participé au projet de décoration de la cantine scolaire des Baux :  » les enfants aux fourneaux « .

Des cadres géants avec les photos des enfants en train de cuisiner ont été accrochés sur les murs de la cantine par « Antho le bricolo ».

Les cuisiniers en herbe se sont bien amusés à se chercher ou chercher leurs camarades sur les photos.

L’ALP des Baux est prêt pour un nouveau projet à proposer aux enfants.

Ils étaient partis le 4 juin 2018 de Poussan. Ils étaient revenus début juillet 2019 en pleine forme, heureux tout de même de se retrouver à leur point d’attache, de pouvoir se relâcher et d’apprécier en l’analysant en se re-mémorant leurs vécus toute les séquences de leur formidable voyage.

Après un point final au Brésil ils étaient en effet de retour d’un tour du « Monde »…

Aurélie et Julien Anselme, de jeunes Poussannais venaient d’ effectuer avec leur fille Lola alors scolarisé au CM2 un tour du Monde en un an, en profitant au mieux des pays découverts.

 Après le Sri Lanka, et la Malaisie puis Bali, ils sont passés à Hong Kong, au Cambodge en Thaïlande, en Australie, en Nouvelle Calédonie, en Polynésie française, en Nouvelle Zélande, à Hawaï puis aux Etats-Unis, (dans différents Etats) et après le Mexique et le Costa Rica, le Pérou,  ce fut l’Argentine avant le Brésil.

Quelques mois près leur retour et après un voyage extraordinaire que nous avons pu partager avec eux, nous les avions rencontrés avec grand plaisir. Ils étaient heureux d’avoir pu associer de nombreux Poussannais et des amateurs de voyage à leur aventure grâce à des photos, des vidéos, des reportages, Facebook et autres réseaux même si pour eux ce n’était pas un besoin mais plutôt l’envie d’en faire profiter un plus grand nombre. et c’est vrai, nous avions vécu cette aventure avec eux, par procuration.

Le retour, au début de l’été, a facilité les choses après 3500 km à pied, 37 vols, 18 pays visités en utilisant tous les moyens de locomotion, même les plus insolites.

S’il savent que dans nombreux pays non visités la situation n’est pas des meilleures, bien au contraire, c’est auprès des autochtones, qu’ils ont pu découvrir les richesses intérieures de l’Homme et ils ont su analyser toutes les séquences pour aller de l’avant.

 Ils ont ensuite repris un rythme de vie régulier, le travail, et ont retrouvé leurs repères avec beaucoup de plaisir, au bout de 12 mois, on le comprend.

Etaient ils Prêts à repartir ? Eh bien oui, ils avaient déjà une idée en tête…

Mais auparavant il fallait travailler, faire le point, se ressourcer et se renflouer… Et ce fut une période pleine de rebondissements.

En deux ans, une adorable petite fille est née, Cali, et puis il y eut  la pandémie, les confinements. Ce fut donc un retour à la réalité assez excitant. Lola est allée au collège en 6ème, Aurélie a repris son emploi et julien relancé son entreprise…

Pourtant un projet était déjà en cours. Celui de s’expatrier en Polynésie, là où ils étaient partis en voyage de noces en 2007 et où ils étaient retournés lors de leur tour du monde, en 2018., Elle leur avait tellement plu avec même un Noël au soleil, cette année-là !

Illustration

Julien nous précise : « Petit à petit, Aurélie est repartie dans les recherches pour connaître toutes les possibilités qui s’offraient à nous pour s’expatrier en Polynésie, une obligation si l’on veut y séjourner plusieurs mois, plusieurs années. Il faut savoir qu’il n’y a plus de sécu, plus le même système fiscal, presque tout les systèmes diffèrent….). On devient résident de Polynésie et dans notre cas ce sera Tahitiens. Un changement complet . (La Polynésie française est un pays et territoire d’outre-mer de l’Union européenne (c’est-à-dire, un territoire d’un État membre situé hors de l’Union européenne).).   Tout va changer. Sauf la Langue française , heureusement… »

Ce 8 juin, tout devra être « clean » et les démarches restantes rapidement effectuées à leur arrivée »….

De toute façon pas de billets pour le retour car ils ont bien envie de profiter de la vie à Tahiti dont ils avaient apprécié la beauté des sites, la gentillesse des Tahitiens, quelque-chose de spirituel qui attire et envoûte la plupart de ceux qui y sont allés..

Départ ce 8 juin en avion d’abord de Montpellier à Paris , puis direction Pointe à Pitre, et enfin Papeete à 16 000 KMs. 27 h de voyage et 25 h de vol environ.

Questions sanitaires, les adultes sont vaccinés mais l’un d’entre-eux devra resté confiné durant 10 jours pour s’occuper des enfants en quarantaine. Durant les 3 premiers jours, Julien logera chez un ami afin de pouvoir finaliser toutes les démarches, puis il se confinera en famille..

Pas de trop de soucis, car la Covid 19 n’a pas trop impacté Tahiti qui s’était vite protégé. A priori depuis fin mai, l’on peut y rentrer sans motif  impérieux avec des tests PCR au départ de son pays et à l’arrivée, sachant que des discussions sont en cours pour l’évolution des mesures…

Passé la quarantaine, la vie presque normale, pourra commencer pour eux à TARAVAO, où ils louent une maison, sur la principale île de Tahiti… Leur container parti il y a quelques temps devrait arriver le 14 juin, à Papeete.. . Et même si la vie est plus chère là-bas, ils travailleront, ils s’adapteront, ils vivront leur rêve..

A priori, comme ils nous ont permis d’apprécier leur tour du Monde, ils nous enverront régulièrement de leurs nouvelles par les réseaux sociaux afin de nous permettre d’apprécier Tahiti et les Tahitiens…

Nous resterons donc en contact avec eux et leur souhaitons le meilleur dans la réalisation de leur projet de vie…

le lien de leur chaîne YouTube : https://www.youtube.com/chan côtés ce fut sublime*

Pour les suivre :https://www.instagram.com/familytrotter/

Jean-Marie Philipon

A Poussan, les collectes de sang ont lieu régulièrement, à la salle Jean-Théron du Jardin Public. Le Docteur responsable de la journée de prélèvements précisait : « Encore un grand merci à tous les donneurs qui sont venus en nombre. »

Les donneurs sont tous remerciés pour leur don.

Voici les résultats :

74 présentés, 11 nouveaux donneurs, 71 prélevés.

Une belle collecte et surtout 11 nouveaux donneurs ! (d’habitude c’est plutôt 4/5).

« Les équipes de l’EFS remercient chaleureusement toutes les personnes qui se sont déplacées à la salle Jean Théron. » Précisait Audrey Marron, Chargée de Promotion du Don – Bassin Languedoc

En France, chaque année, plus de trois millions de dons de sang sont nécessaires pour assurer la survie des malades et blessés auxquels il manque un composant sanguin. Cependant,  4 % des Français de 18 à 65 ans en âge de donner leur sang effectuent chaque année ce geste indispensable de santé publique.

Il suffirait d’un don supplémentaire par an et par personne pour répondre à l’augmentation des besoins avec des périodes de tension.

« Les donneurs du groupe O sont particulièrement recherchés mais toute personne reconnue médicalement apte au don par le médecin de prélèvement peut donner. »
N’oubliez pas, avec un petit effort, vous pouvez faire un grand geste pour une bonne cause et sachez que l’Etablissement français du sang collecte tous les types de don de sang : don de sang total, don de plaquettes, don de plasma, et don de sang placentaire. Il participe aussi au prélèvement de moelle osseuse. Le don de sang dit « total » est le don le plus courant. Après le prélèvement, les trois principaux composants sanguins -globules rouges, plaquettes, plasma – sont séparés. Le don de plasma permet par exemple de soigner les grands brûlés mais aussi de préparer des médicaments pour soigner les hémophiles.

Le don de plaquettes permet de traiter les hémorragies chez les malades. Le don de moelle osseuse et le don de sang placentaire sont utilisés pour la thérapie cellulaire. L’EFS prend toutes les précautions pour que le don, qu’il s’agisse de sang total, de plaquettes, de plasma, de moelle osseuse ou de sang placentaire, soit effectué dans des conditions de qualité et de sécurité optimales pour le donneur ainsi que le receveur.

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L’USP a démarré ce week-end son championnat extérieur avec 3 matchs disputés. La Ligue & la H1 Masculine étaient exempts. Par contre, la N2 Masculine s’est inclinée face aux  Pennes Mirabeau 13 à 8 après un match vraiment nul durant lequel les fautes se sont enchaînées.

La N1F s’est inclinée chez Vendémian, candidat au titre par  2 à 10 empochant le bonus défensif après un match qui a tenu le public en haleine. Seule la Série A Féminine qui devrait  avoir une saison difficile car une pièce maîtresse est absente (en attente d’un heureux évènement) a battu Lavérune par 13 à 5. La jeune Alvaro Océane, débutante, y a prouvé des qualités encore  perfectibles.

Photo de la Série A