Expos

PROJECTION AU CRAC OCCITANIE

 

SAM 25 MARS 2023 – 18h

JEUNE PHOTOGRAPHIE - OCCITANIE 2023

Le Centre photographique documentaire – ImageSingulières a pour volonté, depuis 2011, de fédérer les énergies autour de la photographie documentaire en région.
Cette soirée de projection répond à notre désir de favoriser la création, la diffusion de la photographie et surtout de faire émerger de nouveaux talents. Pour cette huitième édition, une dizaine de jeunes photographes, qui vivent et/ou travaillent en Occitanie, nous proposeront leur sujet documentaire. Ils.elles seront sélectionné.e.s suite à un appel à candidature lancé en novembre dernier, en partenariat avec la SAIF, Prophot Toulouse et le Centre Régional d’Art Contemporain (CRAC) Occitanie.

La SAIF (Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe) s’associe à nouveau à cet événement en participant aux lectures de portfolios des lauréat.e.s.
L’événement accueille deux nouveaux partenaires cette année : le CRAC Occitanie à Sète, qui accueillera la soirée de projection dans ses murs, et Prophot Toulouse, qui proposera aux lauréat.e.s un temps de découverte de matériel photo.

La projection sera présentée par Gilles Favier, photographe et directeur artistique du festival ImageSingulières, en présence des jeunes photographes.

PROGRAMMATION À VENIR

Projection réalisée en partenariat avec :

logo_copie_privee_noir
CRAC-OCC-Logotype-centre
Logo-Prophot-2018-noir-contour-blanc
 

INFOS PRATIQUES

Tout public / gratuit

Entrée libre dans la limite des places disponibles

Un apéritif sera servi à l’issue de la projection afin de prolonger les échanges avec les photographes
(en partenariat avec les vins Fortant)

« Journal » d'Olympe Racana-Weiler du 10 mars au 09 septembre 2023 à l'Hôtel Richer de Belleval

 

« Journal » d'Olympe Racana-Weiler du 10 mars au 09 septembre 2023 à l'Hôtel Richer de Belleval place de la Canourgue - 34000 Montpellier

 
 
 
 Olympe Racana-Weiler
« Journal »
du 10 mars au 09 septembre 2023
 
Hôtel Richer de Belleval
place de la Canourgue 
Montpellier
 
Après Jim Dine, Claude Viallat et Tadashi Kawamata, la Fondation GGL est heureuse de consacrer une exposition à Olympe Racana-Weiler (née en 1990).
L’artiste est la première à ouvrir le bal d’une succession de trois figures féminines de l’art contemporain.

Olympe Racana-Weiler vit sa peinture comme un danseur vit la musique.
L’artiste aux multiples talents réalise dans ses toiles abstraites une symphonie de couleurs dans un format qui se confronte souvent à la démesure. Connue pour restituer avec justesse toute la poésie de la peinture, l’artiste se laisse guider par son instinct, son énergie et ne se laisse jamais absorber par la puissance des espaces qu’elle compose.

La jeune peintre compte parmi les cinq créateurs qui ont réalisé des œuvres pérennes, au cœur du bâtiment emblématique qu’est l’Hôtel Richer de Belleval, à savoir Jim Dine, Abdelkader Benchamma, Marlène Mocquet, Jan Fabre, et donc Olympe Racana-Weiler. Dans le boudoir qui mène aux chambres, elle a réalisé le Chant de la sibylle, en peignant une salle entière, murs et plafond, un mois durant. Il en résulte une immersion profonde, joyeuse et jubilatoire dans la peinture.

Cette manière de sentiment océanique est un peu ce qu’on éprouvera dans son exposition, qui réunit des peintures mais aussi des gravures et un dessin sur bois. On le sait peu, mais une grande part de l’œuvre de la jeune peintre est gravé, et Journal permettra d’envisager cet aspect, avec des sérigraphies monotypes, des carborandum, des gravures sur bois. Ce qui caractérise ces tirages est l’émergence du visage, un peu comme une sainte face surgissant de la matière. Visages qu’on imagine enfouis sous la peinture dans les tableaux.

Le Chant de la sibylle évoque ce long et étroit couloir, l’Antre de la sibylle, au bout duquel la prophétesse de Cumes (près de Naples) délivrait ses oracles dans l’Antiquité, mais aussi la liturgie médiévale éponyme, chantée principalement en catalan, qui porte sur la fin des temps. L’exposition s’intitule Journal car la pratique de Racana-Weiler se construit au jour le jour, tirant sa substantifique moelle de tout ce que le quotidien apporte dans la vie de l’artiste.

Commissaire : Richard Leydier


INFORMATIONS PRATIQUES
Hôtel Richer de Belleval,
place de la Canourgue - 34000 Montpellier
https://www.fondation-ggl.com/ - Instagram @fondation_ggl

Visites guidées uniquement sur réservation en ligne
Ouvert du mardi au samedi de 14h00 à 18h00
 
 
Olympe Racana-Weiler
Née en 1990, la jeune peintre Olympe Racana-Weiler, d’origine franco-argentine, vit et travaille à Paris.
 
Après un BFA en Arts-Plastiques et Sciences des Arts à l’Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne en 2014, Olympe Racana- Weiler décide de prolonger sa formation académique par la transmission de savoir-faire d’exception.
Elle apprendra tout d’abord la lithographie au sein de l’atelier de gravure parisien de Michael Woolworth. Puis, formée aux côtés de l’artiste américain Jim Dine, elle enrichit sa technique ces années durant en travaillant la gravure sur bois au Steindruck Printing Studio en Autriche, parrainée par les maitres-imprimeurs Christoph Chavanne et Gabi Pechmann ; la céramique à la Manufacture Nationale de Sèvres ainsi que le bronze à la Blue Mountain Fine Art Foundry aux États-Unis.
 
Son travail a été présenté dans plusieurs expositions collectives depuis 2013 (France, Belgique, Roumanie, Singapour) et fait l’objet de solo-shows depuis 2018 (I came back from Par- adise and I’m frankly hungry, Galerie Jérôme Pauchant).
La même année, elle est lauréate du prix Antoine Marin pour la peinture et du prix Pierre Cardin de l’Académie des Beaux-Arts pour la peinture.
Depuis 2019, elle est représentée par la galerie Eric Dupont à Paris, qui a montré son travail lors de solo-shows (Neon Driving en 2019, Something about Silence en 2021), d’expositions collectives (Aleph, 2021, Dans ma tête c’est Mexico, 2020, Accrochage d’Été, 2019) et de foires internationales (ArtParis, AtBrussel).
 
 
A propos de la Fondation d’entreprise GGL :

L’hôtel Richer de Belleval a été acquis en 2017 par le groupe GGL, acteur majeur de l’aménagement urbain et de la promotion immobilière en France, originaire de Montpellier et implanté sur l’ensemble du territoire. Le groupe est dirigé par trois associés mus par une vision singulière du développement urbain. Pour Alain Guiraudon, Jacques Guipponi et Jean-Marc Leygue, concevoir, aménager, bâtir et animer les espaces de vie de demain n’est pas qu’une question d’aménagement immobilier. Leur ambition est de construire des lieux de vie attractifs et singuliers dans lesquels l’Homme et la nature sont au centre des préoccupations. C’est pourquoi leur engagement embrasse non seulement la prise en compte des changements sociétaux et des dynamiques de mixité sociale et intergénérationnelle pour fabriquer une ville meilleure, mais aussi la préservation du patrimoine culturel, agricole, viticole et de la biodiversité, au travers du mécénat ou de l’implication dans l’agriculture urbaine et la viticulture responsable.

La Fondation d’entreprise GGL est une incarnation de l’engagement de ses trois dirigeants mécènes à encourager la création contemporaine et la faire aller à la rencontre du grand public en lui ouvrant les portes de l’Hôtel Richer de Belleval.

Le groupe GGL signe également la rénovation complète du bâtiment, conjuguant son expertise en termes de rénovation urbaine et la dimension d’excellence pour valoriser et faire perdurer ce patrimoine exceptionnel.
 
 
 
 
Running about the house, 2023, 160cmx120cm, technique mixte sur toile de lin préparée.
 
 
Visage 6, 2023, 146cmx106cm, bois gravé, sérigraphie et carborundum sur papier Hahnemühle 300gr.
 

« L’art de rien », c’est une excellente idée et un très beau projet !

Peut être une image de 6 personnes et plein air
La création artistique comme prise de conscience écologique, c’est le double objectif d’une opération organisée dans le cadre de la Convention de Généralisation de l’Education Artistique et Culturelle, qui propose aux adolescents des espaces jeunes du territoire (Balaruc-le-Vieux, Frontignan, Loupian, Mèze et Sète) de fabriquer une œuvre à partir de déchets.
Encadrés par l’artiste plasticien Guët qui va les guider dans leur parcours créatif pendant les vacances scolaires d’hiver et de printemps, ils se rendent préalablement dans les déchetteries et le Centre de tri Oïkos (Villeveyrac) de l’Agglopôle, pour une visite pédagogique des installations auprès de notre service d’éducation à l’environnement.
L’exposition finale (qui sera itinérante) est prévue pour le 24 mai prochain au Jardin Antique Méditerranéen de Balaruc-les-Bains, à l’occasion de la Fête de la Nature.

EXPOSITION : AMOUR, UNE ODYSSÉE SIBÉRIENNE

Centre photographique ImageSingulières
17 rue Lacan
34200
SETE

Du vendredi 20 janvier au dimanche 09 avril 2023

Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche

de 14:00 à 18:00

Claudine Doury est devenue photographe en empruntant les chemins de traverse. Nous nous sommes rencontrés dans une petite agence photo puis au journal Libération où elle officiait comme iconographe, à l’orée des années 80. Très vite elle intègre l’agence VU’, vivier de la nouvelle photographie des années 80/90 où, avec l’aide de l’incontournable Christian Caujolle, elle s’affirme comme une grande photographe, lauréate entre autres du Prix Niepce en 2004.
Elle a produit une oeuvre documentaire majeure en ex-URSS, labourant le terrain lors de longs voyages hasardeux où le romantisme de ses pérégrinations lointaines se mêle à une forme d’ethnologie sociale dans laquelle le souci des gens qu’elle photographie est toujours présent.
Son travail répond parfaitement à la ligne du Centre photographique documentaire où nous montrons en alternance de la photographie émergente et des auteurs importants de la scène photographique, mais qui indifféremment travaillent toujours sur un temps long, vertu cardinale du style que nous défendons.
Gilles Favier, directeur artistique d’ImageSingulières

Amour. Une odyssée sibérienne
Claudine Doury s’est rendue en Sibérie extrême-orientale pour la première fois en 1991, puis en 1997, afin de témoigner de la vie des peuples natifs sibériens. Voyageant le long des rives du fleuve Amour, elle a parcouru le pays de Nergen à Bogorodskoye en passant par les villages de Boulava et d’Ous-Gour.
Vingt ans plus tard, elle retourne dans la région pour retrouver les familles nanaïs, oultches et nivkhes qu’elle avait rencontrées lors de ses précédents voyages. Elle souhaite ainsi témoigner du passage du temps sur ces familles photographiées alors, mais aussi des mutations à plus grande échelle sur ces populations…
Ce portrait des familles issues des peuples asiatiques natifs de l’Amour permet de redéfinir les contours d’un territoire qui porte les traces de son histoire : la conquête de l’Est en passant par l’arrivée des cosaques et le peuplement russe au cours des siècles, jusqu’à l’actuelle influence de la puissante Chine frontalière sur la géopolitique de la région.
Claudine Doury est lauréate 2017 du prix Marc Ladreit de Lacharrière - Académie des Beaux-arts avec ce projet, ce qui lui a permis de le réaliser.

 

Après l'exposition "Fait Maison" présentée en 2000, le MIAM présente "Fait Machine" à partir du 16 février 2023

 
 
FAIT MACHINE 
 
du 17 février au 12 novembre 2023
 
Musée International des Arts Modestes 
Sète
 
Après l'exposition "Fait Maison" présentée en 2000, le MIAM va présenter "Fait Machine" une exposition consacrée aux formes du digital et la transformation du code en matière, ou comment les artistes se sont emparés des outils numériques, ont détourné procédés et machines pour créer leurs oeuvres.
 
aaaafaitCapture d’écran 2022-12-14 091859
 
 
 
Après l'exposition "Fait Maison" présentée en 2000, le MIAM  présenter "Fait Machine"  à partir du 16 février 2023
 
 
rbt
 
Poursuivant la réflexion engagée par Miguel Chevalier et Michel Paysant, artistes transdisciplinaires développant un travail convoquant art, technologie et sciences, les commissaires de l’exposition, Margherita Balzerani et Noëlig Le Roux, ont rassemblé les créations d’une génération d’artistes donnant au code une forme matérielle et tangible.
 
L’exposition Fait Machine témoigne de la diversité des recherches engagées par ces créateurs recourant aux technologies de l’impression 3D en particulier. Générant à partir du code une multiplicité de formes, ces artistes recourent aussi à une variété de matériaux n’hésitant pas à les mêler les uns aux autres (céramique, porcelaine, polymères naturels, matières plastiques, matériaux composites …). dabyIMG_20230215_142422
 

L’exposition rend aussi compte du tournant technologique qui s’est opéré ces vingt dernières années avec l’invention d’outils et de processus de fabrication ouverts au plus grand nombre. L’essor du prototypage numérique, la réduction du coût des machines (imprimantes 3D, découpeuses laser, fraiseuses numériques…) et leur mutualisation, ainsi que la mise en commun des savoir-faire, ont de surcroît permis un développement sans précédent de nouvelles formes.
Cette popularisation et ses effets sur les mécanismes de production et sur la création elle-même, soutenue par le développement des ateliers collectifs et partagés promus par les FabLabs et les Makers, est l’un des axes exploré par l’exposition.
 
 
aaaafaitCapture d’écran 2022-12-14 091947
 
Fait machine, se décompose en deux volets qui occupent chacun l’un des deux niveaux de l’espace d’exposition du MIAM : « Le laboratoire » au rez-de-chaussée et « Le fil du code » au premier étage.
 
Les artistes de l’exposition(liste non définitive) :
Faig Ahmed, Appropriate Audiences, Berdaguer et Péjus, Arnaud Borde, Elvire Blanc Briand, Yisha Cai, Miguel Chevalier, Mathilde Dumont, Olivier Van Herpt,
Raphaëlle Kerbrat, Laureline Galliot, Jonathan Keep, Inès Lavialle, Jessica Lajard,
Ludovic Mallegol, Varvara & Mar, Pit Molling, Michel Paysant, Boryana Petkova,
Noémie Pilo, Camille Reidt, Andrea Rodriguez-Vial, Philipp Schaerer et Reto Steiner, Antoine Schmitt, Inès Silberman, Jeanne Vicerial.
dabyIMG_20230215_142906
LE LABORATOIRE_-_-_-_-_-_-
 
VOLET 1 : Le Laboratoire
Ce premier chapitre est dévolu à la recherche, aux expérimentations et aux processus de fabrication.
 
aaaafaitCapture d’écran 2022-12-14 091827Il expose notamment les recherches du Laboratoire de l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Limoges, le CCE / Céramique Comme Expérience, créé en 2015 et conduit par Michel Paysant, Guy Ménard, Arnaud Borde et Ludovic Mallegol, avec notammentdes oeuvres de Camille Reidt, Inès Silberman, Yisha Cai, Mathilde Dumont, Laure Giraudaud, Amandine Maillot, Béatrice Delaunay, Pierre-Emmanuel Coquet, Andrea Rodriguez Vial, Marie Allo, Elvire Blanc Briand, Inès Lavialle, Jessica Lajard.
 
Une attention particulière y est aussi portée sur les pratiques de certains artistes, invités intervenant au CCE, comme Jonathan Keep et Miguel Chevalier, ou développant dans leur travail une recherche comparable dans la matérialisation du code comme Olivier Van Herpt et son imprimante céramique 3D, ou Appropriate Audiences et leurs machines à tatouage mises en marche le temps de performances saissantes.

Cette section expose aussi différentes formes de transcriptions : celles de données en matière opérées par Boryana Petkova à partir d’enregistrements de respirations et de pulsations, ou à partir d’ondes WIRELESS chez Raphaëlle Kerbrat, ou encore la traduction poétique de Noémie Pilo d’Haïkus en mètres étalons ciselés dans une pierre de Doura, ou celle de Berdaguer et Péjus des poèmes de Kathy Acker et Jack Spicer prononcés en langue « martienne » et solidifiée par les artistes en sculpture imprimée.
 
 
 
_-_-_-_-_-_-LE FIL DU CODE_-_-_-_-_-
 
VOLET 2 : Le fil du code
L’exposition se poursuit sur la mezzanine au prisme du fil : de la carte perforée à l’origine de la mise en forme de lignes de code en matière – utilisées en particulier dans les métiers à tisser à partir du XVIIIe siècle –, aux circuits imprimés et aux filaments des impressions 3D.
 
Ce chapitre présente notamment le cabinet de toilettes fantomatique à échelle 1 de Philipp Schaerer et Reto Steiner. Une impressionnante installation dont les éléments ont été dessinés et matérialisés grâce à un stylo 3D à filament. Le fil est aussi au cœur de plusieurs tricoteuses numériques "faites maison". Celle conçue par Jeanne Vicérial produit de saisissants "tricotissages" de fils noirs, tandis que celle imaginée par le duo Varvara & Mar déploie dans l’enceinte du MIAM la progression toute en couleur de sa production. En regard, l’impressionnant tapis de Faig Ahmed, "Oiling," 2012, joue quant à lui du détournement de techniques traditionnelles et des altérations du code numérique.
 
 
Les visiteurs découvrent aussi dans cette section un environnement pensé tout spécialement par Laureline Galliot pour accueillir une sélection de ses dessins et peintures sur tablette numérique, de ses impressions digitales sur papier ou tissu, et de ses productions 3D en céramique. A l’horizon, une cascade de particules de pixels mues par des algorithmes génératifs, créée par Antoine Schmitt projette son flux infini et irrégulier en une ondée blanche hypnotique.

A travers ce parcours en deux volets, les visiteurs découvrent une partie de l’étendue des recherches et des expérimentations menées par les artistes dans la matérialisation du code informatique, autant que la diversité des processus de fabrication et des formes produites.
 dabyIMG_20230215_143320
 
* L'exposition " Fait Maison" réunissait une quarantaine d’artistes contemporains dont les créations intègraient des objets domestiques ou ménagers dans un environnement familier
 
 
Commissariat assuré par Margherita Balzerani et Noëlig Le Roux
Sur une proposition et avec le concours de Miguel Chevalier et Michel Paysant
Sous la conduite de Françoise Adamsbaum, Directrice
 
 
Informations pratiques
Musée International des Arts Modestes
23 quai Maréchal de Lattre de Tassigny - 34200 Sète - France

+33 (0)4 99 04 76 44
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. - www.miam.org
 
 
 
 
 
 
Heures d’ouvertures :
-du -1er octobre au 31 mars : du mardi au dimanche de 9h30 à 12h00 et de 14h00 à 18h00.

Visites guidées (minimum 10 personnes) sur réservations.
-du 1er avril au 30 septembre : tous les jours de 9h30 à 19h00.
Visites guidées du lundi au vendredi à 14h30 et à 16h00, groupes sur réservations.
Fermetures annuelles : 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre

Tarifs :
Adultes : 5,60 € - Etudiants, 10-18 ans : 2,60 €
Groupes de plus de 10 personnes : 3,60 €
-Moins de 10 ans, demandeurs d’emploi, visiteurs handicapés, groupes scolaires sétois, premier dimanche du mois : gratuit
 
LA PETITE ÉPICERIE (service pédagogique du MIAM) propose des ateliers de pratiques artistiques destinés à tous. Rens. inscriptions, tarifs : +33(0)4 99 04 76 46 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
 
 

Le Pavillon Populaire à Montpellier

 

Le Pavillon Populaire est un espace d'art photographique ouvert gratuitement au public. Il affiche une programmation de haut niveau, en présentant les œuvres d’artistes de notoriété nationale et internationale. Trois expositions en moyenne s'y déroulent chaque année.

 

« La surface et la chair, Madame d'Ora, Vienne-Paris, 1907-1957»

Exposition à découvrir du 18 février au 16 avril 2023

Sous le nom de Madame d'Ora, Dora KALLMUS (1881-1963) fut une photographe renommée, travaillant comme portraitiste mondaine d'abord à Vienne, alors centre culturel majeur et laboratoire de la modernité en Europe, puis dans le Paris des Années folles.

De son portrait du peintre Gustav KLIMT en 1908 jusqu'à celui de Picasso en 1958, utilisant les techniques les plus modernes, elle traite de nombreux sujets au fil d'une carrière extraordinaire de plus de 50 ans.

Précurseure, elle est en 1908, l'une des premières femmes à ouvrir un studio de photographie à Vienne. Les aristocrates, les actrices et les créateurs de mode apprécient son intuition artistique, son talent pour saisir la personnalité de ses modèles, pour agencer les vêtements et les accessoires, et bientôt de nombreux magazines publient régulièrement ses images.

C'est en 1925 qu'elle s'installe à Paris, où elle est immédiatement appelée par les maisons de haute couture comme Balenciaga et Chanel pour photographier les tenues élégantes portées par Tamara de Lempicka, Joséphine Baker et beaucoup d'autres. Figure majeure de la scène artistique, elle réalise de nombreux portraits d'atelier des personnalités en vogue, qu'elle côtoie dans la haute société de son temps.

Mais la guerre vient bouleverser sa vie et son travail. Juive convertie, elle perd son studio parisien pendant l'Occupation, ce qui la contraint à se cacher en Ardèche durant plusieurs années au cours desquelles sa famille et ses amis sont persécutés. Retournant à Paris après 1945, ayant tout perdu, elle porte alors un regard aiguisé mais empathique sur les victimes de la guerre, et beaucoup plus distant sur le glamour et l'argent.

Des éblouissements aux temps les plus sombres, des artistes d'avant-garde aux réfugiés démunis, jusqu'à l'étonnant travail métaphorique sur les abattoirs parisiens, les portraits de Madame d'Ora racontent de manière saisissante les bouleversements de la première moitié du XXe siècle.

L'exposition présentera des collections de tirages vintage de musées de Vienne, Linz (Autriche), Hambourg, Berlin (Allemagne), et Paris, avec un important fonds documentaire illustrant le contexte historique.

Présentation du Pavillon Populaire

Vue d'expositionVoir l'image en grand Vue d'exposition © NFLe Pavillon Populaire est un équipement municipal d'expositions photographiques de la Ville de Montpellier, ouvert gratuitement au public. Il affiche une programmation de haut niveau en exposant des artistes de renom tels que Brassaï, Bernard Plossu, Patrick Tosani ou encore Tuggener.

Sous la direction artistique de Gilles Mora, avec pour principe l’invitation de commissaires et d’artistes nationaux et internationaux autour de thématiques établies, Montpellier se positionne ainsi parmi les tous premiers lieux d’exposition photographique contemporaine, en proposant des expositions entièrement créées pour le Pavillon Populaire. Ces rencontres sont pour la plupart des premières nationales voire internationales.

Depuis, avec trois expositions par an, le Pavillon Populaire a réussi à fidéliser un public nombreux, créant une forte attente.

Coordonnées

Esplanade Charles de Gaulle — 34000 Montpellier
T +33 (0)4 67 66 13 46

Horaires d'ouverture

Du mardi au dimanche (sauf 25 décembre, 1er janvier et 1er mai)

  • Hiver : 10h - 13h et de 14h - 18h
  • Eté : 11h - 13h et de 14h - 18h

Visites guidées de groupe

Réservations obligatoires par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Entrée libre et gratuite pour tous les publics
Accessible aux personnes en situation de handicap

Exposition "1919-1939, d’une guerre à l’autre" à Balaruc Le Vieux

 
Le Souvenir Français en partenariat avec la Ville de Balaruc-le-Vieux présente une exposition pour comprendre l’inévitable marche vers la Seconde Guerre mondiale faisant de celle-ci l’héritière directe du premier conflit mondial. Elle dresse un panorama du paysage politique, économique et social et des phases essentielles de la période de l’entre-deux guerres.
Cette exposition rend compte des bouleversements politiques et sociaux qui agitent cette période transitoire : la nouvelle carte de l’Europe de l’après-guerre, l’émancipation des femmes, le pacifisme, la guerre d’Espagne et la montée des fascismes… Elle retrace aussi l’évolution de la société française depuis la reconstruction jusqu’au Front Populaire et présente également le bouillonnement artistique et culturel des « années folles » ainsi que les progrès accomplis pendant deux décennies dans les domaines des sciences et des techniques.
 
Les 40 panneaux de cette exposition montreront notamment comment les germes du second conflit trouvent leur origine dès la négociation des traités de paix et la redéfinition des rôles politiques des pays européens ainsi que l’opposition entre le pacifisme à tout prix de certains pays et la montée de totalitarismes belliqueux dans d’autres. Le rôle joué par la terrible crise économique qui frappa le monde en 1929 dans la venue de la seconde guerre mondiale sera évoqué.
L’ensemble de cette exposition, outre l’aspect historique incontournable, permettra également de comprendre les mécanismes de la création des conflits, comme ils peuvent l’être de nos jours.
 aaaaaaaaaapourCapture d’écran 2023-02-12 234011
Du dimanche 12 mars au Mercredi 15 mars de 10h à 12h et de 14h30 à 18h – LE FORUM – 1 rue du Puech – accès par l’avenue de Sète Balaruc-le-Vieux

Dimanche 12 février à 17h30 : rendez-vous avec l'artiste Maéva Croissant

L'Espace o25rjj expose sur la F.L.A.C. Façade Locale d'Art Contemporain,

IL M'A DIT  de Maéva CROISSANT
du 12 février au 13 mars 2023, visible de l'espace public 


Rendez-vous pour le

VERNISSAGE | Dimanche 12 février à 17h30

avec une Présentation performée par Maéva Croissant

Une présentation très personnelle de son œuvre exposée en lien avec
sa future résidence à l'Espace o25rjj et
la parution de sa toute nouvelle et 1ère édition "Le parasite".

 

 

 FLAC_MCroissant_mail

Lien pour en savoir plus sur la résidence

Entrée libre et gratuite | Échanges autour d'un pot après la performance


L'Espace o25rjj : lieu de résistance artistique