Bon à savoir

3 questions à Magali FERRIER, Vice-présidente déléguée au sport sur le nouveau centre aquatique de Gigean

pisco22Capture3 questions à Magali FERRIER, Vice-présidente déléguée au sport sur le nouveau centre aquatique de Gigean


Rappelez-nous quels sont les axes forts de la politique sportive de l'agglo ?

"Depuis 2014, nous avons travaillé sur 4 axes plus particulièrement (Piscine, Palais des sports, Sport de haut niveau, Sport de nature). Mais au fil du temps, à travers nos échanges lors des commissions, nous avons engagé une réflexion sur le sport pour tous, le sport santé. Avec les JO en 2024 en France, nous avons décidé de nous engager également dans cette aventure avec l'ensemble des 14 communes."

À quel objectif répondra plus précisément le nouveau centre aquatique de Gigean ?


"Le nouveau centre aquatique de Gigean permettra l'accueil des scolaires des communes du Nord du Bassin de Thau. Jusqu'à aujourd’hui, ces communes se rendaient sur Bessilles, piscine extérieure accessible uniquement de mai à septembre, ce qui n'est pas adapté aux scolaires. Avec ce nouvel outil, les cours de natation pris en charge par Sète Agglopôle pourront se dérouler sur l'ensemble de l'année scolaire, avec un temps de déplacement réduit."


Et en dehors des scolaires ?


"Le public pourra y accéder après l'école et on pourrait envisager que nos clubs de natation viennent apporter toutes leurs compétences afin de faire bénéficier nombre, voire développer une section compétition et des activités comme le water-polo, la natation synchronisée."

Pose de la 1ère pierre de la piscine de Sète Agglopôle à Gigean : discours de François Commeinhes

Discours François COMMEINHES

POSE 1e PIERRE PISCINE GIGEAN

10 avril 2021



Madame la sous-préfète, représentante de l’Etat, qui nous fait l’amitié de sa présence parmi nous ce matin,

Monsieur le maire de Gigean, cher Marcel

Madame la vice-présidente à la politique sportive, chère Magali

Mesdames et messieurs les maires, élues,

Messieurs les représentants du groupement,

Mesdames et messieurs les représentants associatifs,

Chers amis de Gigean et d’ailleurs



Merci tout d’abord d’avoir répondu présents à notre invitation dans ce contexte si particulier.

 

Le contexte sanitaire d’abord, qui depuis plus d’un an nous contraint tant dans nos vies et habitudes quotidiennes, au-delà de ses conséquences tragiques pour des milliers de personnes. Mais qui nous permet tout de même des temps officiels en extérieurs comme celui d’aujourd’hui, même s’il nous privera du traditionnel verre de l’amitié qui aurait dû clore une telle manifestation.

Et, plus anecdotique, le contexte météorologique, puisque le temps maussade de ce week-end n’est pas des plus propices aux sorties extérieures.

Mais à ce niveau, ne nous plaignons pas, car le déficit hydrologique inquiétant que connait notre territoire ne peut que nous faire espérer plus d’apport pluvial ces prochaines semaines.

Et puisqu’aujourd’hui, il est question de bassin aquatique, ce n’est pas un peu d’eau qui va nous faire reculer !

Les équipements aquatiques sont, comme vous le savez sans doute, l’un des fers de lance de la politique d’équipements communautaires décidés par les élus de Sète agglopôle Méditerranée. Ce n’est pas notre dynamique vice-présidente au sport qui me démentira…

Réhabilitation et création du bassin olympique Laurent-Vidal au centre Fonquerne de Sète inauguré il y a un peu plus d’un an, début des travaux de la piscine de Gigean aujourd’hui, et demain Frontignan, Mèze doteront le territoire d’un niveau d’équipements à la hauteur de ses ambitions en matière de pratique aquatique, sportive comme ludique.

Ce choix a un coût certain, les élus en sont conscient, qui nous amène à avancer progressivement mais sûrement, car au-delà de lourds travaux, les frais de fonctionnement des bassins sont très élevés, au-delà d’une construction estimée à 9 millions €. Mais dans un territoire d’eau comme Sète agglopôle Méditerranée, entre mer et lagune, il nous apparait souhaitable que chaque scolaire, tous les clubs et amateurs puissent disposer de créneaux pour apprendre à nager et se perfectionner dans de bonnes conditions.

Il en sera fini des déplacements importants pour beaucoup de jeunes élèves de nos communes, et des créneaux inadaptés au temps scolaire ! pisco333Capture

Voilà de quoi nous mettre dans les meilleures conditions dans la perspective des jeux olympiques 2024, pour lesquels SAM se positionne comme centre d’entraînement. Et pour monter encore en puissance dans le sport de haut niveau qui est un autre axe fort de développement, au côté du sport pour tous et sport santé, qui s’affirme lui aussi comme un marqueur fort de notre action. Notons d’ailleurs qu’ici, un système de mise à l’eau sera prévu pour les personnes en situation de handicap…

L’agglopôle a voté pas plus tard qu’avant-hier un ambitieux budget de 180 millions d’euros, où il est prévu d’investir durant cette année 2021 pas moins de 53 millions, tous budgets confondus, dans nos divers secteurs de compétences.

Des compétences qui améliorent la vie des administrés, et participent de la relance économique car, au côté de l’Etat, le rôle des collectivités est essentiel en la matière face aux conséquences économiques désastreuses de la crise sanitaire.

Pour revenir à Gigean, et à sa piscine, des équipements sportifs comme celui-ci vont faire durant une quinzaine de mois travailler de nombreux salariés de multiples corps de métiers, et de tous horizons. Y compris ceux actuellement éloigné de l’emploi à travers la clause sociale que nous mettons en œuvre de manière plus affirmée chaque année.

Imaginé et préparé sous le mandat précédent, et j’ai une amicale pensée pour l’ancien maire Francis Veaute, et réalisé durant celui-ci, cet équipement, proche du centre-ville et des autres installations sportives, sera structurant pour plusieurs communes, comme l’a relevé Marcel Stoecklin.

Il comprendra bassin sportif, bassin d’activité, et des gradins qui permettront au public d’apprécier les prestations de tous les types d’utilisateurs,

Un soin précieux a été apporté par les concepteurs au confort acoustique, visuel et thermique, au respect des normes HQE, et à l’intégration paysagère, au milieu de nombreux arbres sur les contreforts de la Gardiole, chère à nous tous, et aux élus de Gigean plus que tout autre. Les plages extérieures seront, elles aussi, au cœur d’un écrin de verdure, tandis que les plus jeunes pourrons s’amuser de jeux d’eau bien séparés du grand bassin.

Autant d’éléments qui nous laissent espérer que les partenaires institutionnels qui nous accompagnent sur nombre de projets seront là aussi présents, car je connais l’attachement des responsables de toutes collectivités à une pratique sportive affirmée.

Je finirai en vous précisant que les prévisions de fréquentations sont estimées à 45000 entrée de nageurs « grand public », 1500 pour les activités de « forme aquatique », 35000 scolaires et 3500 pour les licenciés associatifs, avec 463 utilisateurs potentiels en simultanée.

Donc cet équipement ne risque pas de manquer de vie !

Je souhaite désormais un bon travail aux équipes qui vont œuvrer au sein du groupement Coste/Eiffage/Dalkia, dont je salue les représentants, ainsi qu’à nos services et en particulier les sports et bâtiments infrastructures qui suivront le chantier et préparent d’ores et déjà, sous la houlette de Magali Ferrier, et en lien avec la commune, son fonctionnement quotidien…

Et que les quelques gouttes qui nous viennent du ciel soient de la meilleure augure pour ce futur bassin aquatique.

 

Le transport du vin par l'étang de Thau.

L'influence de Sète se faisait sentir, surtout au XIXè siècle, sur les petits ports de l'étang (en fait, la lagune) de Thau : Bouzigues, Mèze, Marseillan. Pour amener du vin à Sète, ou en exporter (ainsi que des alcools) par le canal du Midi vers Toulouse, des types spécifiques de bateaux furent utilisés. Ils remplirent leur office jusqu'à ce que, dans le cas de Marseillan, les camions citernes les supplantent.

 

Dans l'ouvrage Le Transport du vin sur le canal du Midi (éd. Causse, 1999, collection La Journée vinicole) sont distingués trois types de bateaux de transport. Etait utilisée même la "barque de mer", petite tartane à quille horizontale de 15 mètres de long pour 5 de large, tirée par une voilure latine classique. Pour naviguer sur l'étang et en partie sur le canal du Midi, on utilisait la "barque de patron" ou "barque de canal". Cette embarcation à fond plat, aux flancs presque rectilignes et aux extrémités très pleines, pouvait emporter 120 tonnes de fret.

Longue de 28 mètres pour 5,3 de largeur, elle supportait 1,60 m d'enfoncement. Le mât central était aisément abattable. Il portait une voilure latine en navigation sur les étangs, mais une voile carrée en guise d'auxiliaire pour le trajet sur le canal. Entièrement pontée, la barque de canal emportait en cale et en pontée des demi-muids de vin (soit 800kg) ou des cargaisons de blé, d'huile, de sel. Par ailleurs, une barque n'était ni "de mer", ni "de canal", c'était la "barque sétoise". Plus allongée que la barque de mer, la proue pourvue de guibre (soutènement en bois du beaupré), d'un gréement latin, elle transportait des demi-muids de vin depuis les petits ports de l'étang de Thau vers Sète.

 

A l'ouest du bassin de Thau, le port de Marseillan, nous rappelle-t-on, était actif dès le Moyen-Age. Il profita de la proximité de l'embouchure du canal du Midi dès 1689 quand fut mis en eau le tronçon Trèbes-Les Onglous, ce qui ouvrit la voie vers Toulouse. Et dès le XVIIIè furent établis des liens avec Sète où l'on allait livrer des variétés locales de vin, appréciées parfois par des négociants parisiens.

Mais c'est à la fin du XIXè siècle que le trafic sur l'étang connut son apogée. Les 3 barques de canal de l'armateur Germain Cousin assuraient la liaison avec Toulouse. Une dizaine de barques assurent le trafic avec Sète en 1894. Elles abordent au lieu dit "Tabarka", en face des chais des établissements Bulher qui font commerce de vin en gros. Or, malgré les travaux de dragage, l'envasement envahissait le port. Et le trafic se poursuivit à la baisse. Cependant, en 1920-21, 14 bateaux "d'assez fort tonnage" (?) assuraient le trafic vers Sète des vins et alcools. Les embarcations étaient celles de 3 armateurs : Emmanuel Henri (4 bateaux), Alexis Miramond (4 barques dont laMarseillaise, le Saint Pierre), Louis Boudou (6 barques dont le Saint Etienne, le Brûle l'Air, Les trois frères).

 

En 1960, le trafic touchait à sa fin : un seul bateau alimentait les établissements Noilly-Prat et Baïsse. Les camions l'avaient emporté. La route avait vaincu la voie d'eau.


Hervé Le Blanche

Le transport du vin par l'étang de Thau.

L'influence de Sète se faisait sentir, surtout au XIXè siècle, sur les petits ports de l'étang (en fait, la lagune) de Thau : Bouzigues, Mèze, Marseillan. Pour amener du vin à Sète, ou en exporter (ainsi que des alcools) par le canal du Midi vers Toulouse, des types spécifiques de bateaux furent utilisés. Ils remplirent leur office jusqu'à ce que, dans le cas de Marseillan, les camions citernes les supplantent.

 

Dans l'ouvrage Le Transport du vin sur le canal du Midi (éd. Causse, 1999, collection La Journée vinicole) sont distingués trois types de bateaux de transport. Etait utilisée même la "barque de mer", petite tartane à quille horizontale de 15 mètres de long pour 5 de large, tirée par une voilure latine classique. Pour naviguer sur l'étang et en partie sur le canal du Midi, on utilisait la "barque de patron" ou "barque de canal". Cette embarcation à fond plat, aux flancs presque rectilignes et aux extrémités très pleines, pouvait emporter 120 tonnes de fret.

Longue de 28 mètres pour 5,3 de largeur, elle supportait 1,60 m d'enfoncement. Le mât central était aisément abattable. Il portait une voilure latine en navigation sur les étangs, mais une voile carrée en guise d'auxiliaire pour le trajet sur le canal. Entièrement pontée, la barque de canal emportait en cale et en pontée des demi-muids de vin (soit 800kg) ou des cargaisons de blé, d'huile, de sel. Par ailleurs, une barque n'était ni "de mer", ni "de canal", c'était la "barque sétoise". Plus allongée que la barque de mer, la proue pourvue de guibre (soutènement en bois du beaupré), d'un gréement latin, elle transportait des demi-muids de vin depuis les petits ports de l'étang de Thau vers Sète.

 

A l'ouest du bassin de Thau, le port de Marseillan, nous rappelle-t-on, était actif dès le Moyen-Age. Il profita de la proximité de l'embouchure du canal du Midi dès 1689 quand fut mis en eau le tronçon Trèbes-Les Onglous, ce qui ouvrit la voie vers Toulouse. Et dès le XVIIIè furent établis des liens avec Sète où l'on allait livrer des variétés locales de vin, appréciées parfois par des négociants parisiens.

Mais c'est à la fin du XIXè siècle que le trafic sur l'étang connut son apogée. Les 3 barques de canal de l'armateur Germain Cousin assuraient la liaison avec Toulouse. Une dizaine de barques assurent le trafic avec Sète en 1894. Elles abordent au lieu dit "Tabarka", en face des chais des établissements Bulher qui font commerce de vin en gros. Or, malgré les travaux de dragage, l'envasement envahissait le port. Et le trafic se poursuivit à la baisse. Cependant, en 1920-21, 14 bateaux "d'assez fort tonnage" (?) assuraient le trafic vers Sète des vins et alcools. Les embarcations étaient celles de 3 armateurs : Emmanuel Henri (4 bateaux), Alexis Miramond (4 barques dont laMarseillaise, le Saint Pierre), Louis Boudou (6 barques dont le Saint Etienne, le Brûle l'Air, Les trois frères).

 

En 1960, le trafic touchait à sa fin : un seul bateau alimentait les établissements Noilly-Prat et Baïsse. Les camions l'avaient emporté. La route avait vaincu la voie d'eau.

Baril, Vin, Tonneaux De Vin, Brun, Boire
Hervé Le Blanche

Le transport du vin par l'étang de Thau.

L'influence de Sète se faisait sentir, surtout au XIXè siècle, sur les petits ports de l'étang (en fait, la lagune) de Thau : Bouzigues, Mèze, Marseillan. Pour amener du vin à Sète, ou en exporter (ainsi que des alcools) par le canal du Midi vers Toulouse, des types spécifiques de bateaux furent utilisés. Ils remplirent leur office jusqu'à ce que, dans le cas de Marseillan, les camions citernes les supplantent.

 

Dans l'ouvrage Le Transport du vin sur le canal du Midi (éd. Causse, 1999, collection La Journée vinicole) sont distingués trois types de bateaux de transport. Etait utilisée même la "barque de mer", petite tartane à quille horizontale de 15 mètres de long pour 5 de large, tirée par une voilure latine classique. Pour naviguer sur l'étang et en partie sur le canal du Midi, on utilisait la "barque de patron" ou "barque de canal". Cette embarcation à fond plat, aux flancs presque rectilignes et aux extrémités très pleines, pouvait emporter 120 tonnes de fret.

Longue de 28 mètres pour 5,3 de largeur, elle supportait 1,60 m d'enfoncement. Le mât central était aisément abattable. Il portait une voilure latine en navigation sur les étangs, mais une voile carrée en guise d'auxiliaire pour le trajet sur le canal. Entièrement pontée, la barque de canal emportait en cale et en pontée des demi-muids de vin (soit 800kg) ou des cargaisons de blé, d'huile, de sel. Par ailleurs, une barque n'était ni "de mer", ni "de canal", c'était la "barque sétoise". Plus allongée que la barque de mer, la proue pourvue de guibre (soutènement en bois du beaupré), d'un gréement latin, elle transportait des demi-muids de vin depuis les petits ports de l'étang de Thau vers Sète.

 

A l'ouest du bassin de Thau, le port de Marseillan, nous rappelle-t-on, était actif dès le Moyen-Age. Il profita de la proximité de l'embouchure du canal du Midi dès 1689 quand fut mis en eau le tronçon Trèbes-Les Onglous, ce qui ouvrit la voie vers Toulouse. Et dès le XVIIIè furent établis des liens avec Sète où l'on allait livrer des variétés locales de vin, appréciées parfois par des négociants parisiens.

Mais c'est à la fin du XIXè siècle que le trafic sur l'étang connut son apogée. Les 3 barques de canal de l'armateur Germain Cousin assuraient la liaison avec Toulouse. Une dizaine de barques assurent le trafic avec Sète en 1894. Elles abordent au lieu dit "Tabarka", en face des chais des établissements Bulher qui font commerce de vin en gros. Or, malgré les travaux de dragage, l'envasement envahissait le port. Et le trafic se poursuivit à la baisse. Cependant, en 1920-21, 14 bateaux "d'assez fort tonnage" (?) assuraient le trafic vers Sète des vins et alcools. Les embarcations étaient celles de 3 armateurs : Emmanuel Henri (4 bateaux), Alexis Miramond (4 barques dont laMarseillaise, le Saint Pierre), Louis Boudou (6 barques dont le Saint Etienne, le Brûle l'Air, Les trois frères).

 

En 1960, le trafic touchait à sa fin : un seul bateau alimentait les établissements Noilly-Prat et Baïsse. Les camions l'avaient emporté. La route avait vaincu la voie d'eau.


Hervé Le Blanche

"On est déjà très sollicités", estime un syndicat d'infirmiers libéraux

Catherine Kirnidis, présidente du syndicat national des infirmières et infirmiers libéraux (SNIIL), a estimé samedi 10 avril sur franceinfo qu'il était "difficile" de répondre à l'appel du gouvernement "dans la mesure où on est déjà très, très sollicités sur le terrain". L'exécutif a encouragé tous les professionnels de santé à renforcer les hôpitaux pour faire face à l'épidémie de Covid-19 avec une majoration financière à la clé de 125 à 200 euros par jour. "Ce n'est pas suffisamment attractif", a-t-elle assuré.

>> Covid-19 : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-il-est-difficile-de-repondre-a-l-appel-du-gouvernement

franceinfo : les infirmiers libéraux vont-ils répondre à cet appel ?

Vaccin Jonhson and Johnson : pas de lien avec des cas de thrombose, selon l'autorité de santé américaine

L'Agence européenne des médicaments avait indiqué vendredi enquêter sur des liens entre le vaccin de "JandJ" et des cas de caillots sanguins.

L'agence américaine des médicaments (FDA) n'a pas établi de lien de causalité à ce stade entre la formation de caillots sanguins et l'injection du vaccin contre le Covid-19 de Johnson and Johnson, a-t-elle déclaré vendredi 10 avril, en disant enquêter sur des cas aux États-Unis.

"La FDA est au courant d'informations aux États-Unis sur des événements thrombo-emboliques graves, parfois associés à une thrombopénie (bas niveaux de plaquettes dans le sang), qui se sont produits chez quelques individus après avoir reçu le vaccin contre le Covid-19 de Janssen", a déclaré le régulateur américain....................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/monde/vaccin-jonhson-and-johnson-pas-de-lien-avec-des-cas-de-thrombose

Loi climat : l'Assemblée adopte une série d'aides à l'achat de vélos

Le vote a été unanime. L'Assemblée nationale a adopté, vendredi 9 avril au soir, une série d'aides à l'achat de vélos. La mesure la plus emblématique est l'élargissement de la prime à la conversion aux vélos à assistance électrique (VAE) : une aide à l'achat en cas de mise au rebut de véhicules polluants. 

Lors de l'examen en première lecture du projet de loi climat, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili avait défendu un "paquet d'aides" pour le vélo, dont la pratique est en plein "essor" après le "premier confinement" de 2020.

"Une prime à la conversion élargie"

Découvrir sur https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/loi-climat-l-assemblee-adopte-une-serie-d-aides

 

Électrique, La Bicyclette De Femmes

Pixabay

Passage en revue des panneaux cyclistes à connaître

Tourne-à-droite, piste cyclable obligatoire, zone de rencontre... Passage en revue des panneaux cyclistes à connaître

 

 

2020 : une année spectaculaire pour les ventes de vélo

Le marché atteint désormais plus de 3 milliards d'euros de chiffre d'affaires (+25%), soit 2.684.800 vélos vendus l'an dernier, en hausse de 1,7%.

Le marché atteint désormais plus de 3 milliards d'euros de chiffre d'affaires (+25%), soit 2.684.800 vélos vendus l'an dernier, en hausse de 1,7%.

L'année 2020 aura été particulièrement fructueuse pour le marché du vélo... Dans une filière sport et loisirs fortement impactée par la crise du Covid-19, il fait figure d'exception, avec des chiffres excellents, selon le bilan publié par l'Union Sport et Cycle (USC), qui regroupe les industries et marques du secteur.

Le marché atteint............................https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/2020-une-annee-spectaculaire

 

Bicyclettes, Vélos, Cycle, Rangée

Pixabay

METEO Sète prévisions sur les 3 prochains jours

Infographies sur https://meteofrance.com/previsions-meteo-france/sete/34200

2021-04-10 

Pour ce matin. A 2 heures, la pression atmosphérique au niveau de la mer sur la commune, est de 1020 hectopascals. Petites pluies. La hauteur de précipitations prévue est de 1 millimètres. Le thermomètre indique 11 degrés vers 8 heures. Vent de Sud-Est faible à modéré. Pour cet après-midi. Quelques petites pluies. Quantité de précipitations d'environ 4 millimètres. Température sous abri de 14 degrés vers 14 heures. Vent faible à modéré d'Est. Pour ce soir. Pluies faibles. La quantité de précipitations prévue est de l'ordre de 2 millimètres. La température se situe aux alentours de 12 degrés vers 20 heures. Vent faible d'Est.
 
Pour la nuit prochaine. Petites pluies. Quantité de précipitations d'environ 2 millimètres. Température sous abri de 11 degrés vers 2 heures. Vent de Nord-Est assez faible. Pour dimanche matin. Quelques petites pluies. On attend aux alentours de 1 millimètres de précipitations sur la période. Température : 11 degrés vers 8 heures. Petit vent d'Est-Nord-Est généralement faible.
 
Pour dimanche après-midi. Pluie. On attend aux alentours de 4 millimètres de précipitations sur la période. Température : 15 degrés vers 14 heures. Vent de Nord-Ouest assez faible. Pour lundi matin. Éclaircies prédominantes. Températures minimales : 5 degrés. Vent faible d'Ouest-Nord-Ouest.
 
Pour lundi après-midi. Ciel peu nuageux. Températures maximales : 15 degrés. À la tombée du jour, établissement d'un vent de Nord-Ouest, souvent assez fort.
 
Pour mardi matin. Soleil généreux. Températures minimales : 2 degrés. Ces températures sont au-dessous des valeurs de saison. Vent de Nord-Ouest faible à modéré. Pour mardi après-midi. Beau temps ensoleillé. Températures maximales : 17 degrés. Vent faible à modéré de Nord-Ouest.

Dimanche 11 avril, ce sera la Journée Mondiale de la maladie de Parkinson

Cette maladie fut décrite pour la première fois par James Parkinson, (1755-1824), médecin Anglais, en 1817 sous le nom de "Paralysie agitante".
C'est le docteur Charcot (1825-1893), médecin Français à l'hôpital de la Salpêtrière, qui lui donna son nom définitif de "Maladie de Parkinson".

La date du 11 Avril, anniversaire de la naissance de James Parkinson, est devenue, depuis 1997, la Journée Mondiale du Parkinson.

L'EPDA (European Parkinson's Disease Association : Association Européenne du Parkinson) a choisi comme emblème la tulipe, créée par les Néerlandais, de couleur rouge et blanche et baptisée "James Parkinson".

La maladie de Parkinson

La maladie de Parkinson est une affection dégénérative, rare avant 45 ans, touchant 1,5 % de la population de plus de 65 ans, qui atteint autant les hommes que les femmes. La lésion fondamentale est la dégénérescence d’un certain type de neurones : les neurones dopaminergiques.

 

Ces neurones produisent de la dopamine, qui est une des substances neurotransmettrices du système nerveux. Elle intervient notamment au niveau de neurones responsables du contrôle des mouvements du corps. Il y a, lors de la maladie de Parkinson, un déficit en dopamine dans le cerveau et cela se manifeste par des troubles des mouvements.

Une maladie encore trop peu connue

La cause précise de la maladie de Parkinson est encore inconnue. De très rares cas sont héréditaires, et dans ce cas ce sont des maladies de Parkinson survenant chez des sujets très jeunes. De même aucun facteur de risque n’est connu avec certitude, notamment aucun facteur alimentaire ou infectieux n’a été reconnu.

Le début de la maladie est insidieux : réduction de l’activité, fatigabilité anormale, douleurs mal localisées, difficultés d’écriture, tremblement d’une main, raideur fluctuante, etc. Progressivement, les autres signes de la maladie vont apparaître. Ce sont principalement :

  • L’akinésie ("lenteur" des mouvements)
  • L’hypertonie (rigidité)
  • Le tremblement
  • Les troubles de l’équilibre
  • Des douleurs, (crampes, fourmillements)
  • Des troubles digestifs ou urinaires
  • Une hypotension orthostatique
  • Des troubles du sommeil (insomnie, somnolence) ;
  • Des sueurs, des bouffées de chaleur, une salivation excessive ;
  • Les troubles psychiques (dépression, d’anxiété, irritabilité, idées de persécution).

Un site à visiter : www.franceparkinson.fr

Proposition de loi autorisant l'euthanasie

Face à des milliers d'amendements et un temps contraint, l'examen de la proposition de loi ouvrant un droit à "une fin de vie libre et choisie" n'a pu aller à son terme. Les députés d'opposition Libertés et territoires, qui l'avaient portée devant l'Assemblée, jeudi 8 avril, ont demandé vendredi à "la majorité et au gouvernement de reprendre et d'achever le débat sur la fin de vie, avant la fin du quinquennat".

Les travaux autour de ce texte sur l'euthanasie n'ont pas dépassé l'article premier, et risquent de disparaître de l'agenda si un autre groupe politique ou le gouvernement ne l'inscrit pas sur son temps d'ordre du jour.

"Le débat mérite d'avoir lieu, ça ne fait aucun doute" mais il a "besoin de temps", avait estimé jeudi le ministre de la Santé, Olivier Véran, devant les députés. les initiateurs du texte en appellent au gouvernement et à la majorité pour reprendre les débats...

Les initiateurs du texte en appellent au gouvernement et à la majorité pour reprendre les débats...

Lire sur https://www.francetvinfo.fr/societe/euthanasie/proposition-de-loi-autorisant-l-euthanasie-les-initiateurs-du-texte-en