Bon à savoir

Menaces contre la France : Emmanuel Macron dénonce l'"indignité" des responsables russes

À l'issue du Conseil européen, vendredi 22 mars, Emmanuel Macron a réagi aux déclarations du vice-président de la Douma, Piotr Tolstoï, qui a menacé d'envoyer une bombe nucléaire sur Paris, a indiqué BFMTV.

Missile, Lancement, Fusée De Projet

La guerre de communication se poursuit entre Paris et Moscou. Dans un entretien accordé à BFMTV, jeudi 21 mars, le vice-président de la Douma (l'équivalent de l'Assemblée nationale en Russie), Piotr Tolstoï, avait menacé la France d'envoyer une bombe nucléaire sur Paris, qui pourrait atteindre la capitale française en "un peu plus" de "deux minutes".

Selon Orange.fr :

Ce vendredi, c'était au tour d'Emmanuel Macron de répondre aux provocations russes, a fait savoir la chaîne d'informations. À l'issue du Conseil européen, le président de la République a ainsi déclaré : "Je pense que leur indignité suffit à ne pas les commenter." Et de s'étonner "d'une telle nervosité et d'un tel manque de nerfs chez les responsables russes".

Surenchère de Moscou après les propos du président français

Ces déclarations sont une surenchère de la part de Moscou après que le président français a ouvert la porte à un potentiel envoi de troupes au sol en Ukraine. Une position que ne partagent par les alliés de la France à l'Otan. En réponse, Vladimir Poutine avait une nouvelle fois brandi la menace nucléaire dans une interview accordée à l'agence de presse RIA Novosti et à la chaîne de télévision publique Rossiya 1, le 13 mars. Il indiquait que la Russie était "évidemment prête", sur un "plan militaro-technique"....................... Aller plus loin : https://actu.orange.fr/monde/menaces-contre-la-france-emmanuel-macron-denonce-l-indignite-des-responsables-russes-magic-CNT000002d6NBr.html

Le port de Sète effectue ses premiers tests de branchement électrique à quai avec les ferries de Corsica Linea

Conformément à ses engagements auprès de la Région Occitanie et de sa Présidente Carole DELGA, le port de Sète a franchi une étape cruciale dans son engagement en faveur de la durabilité environnementale, avec la livraison en décembre 2023 des travaux d'électrification de ses quais. Cette initiative ambitieuse vise à réduire l'empreinte carbone du port tout en améliorant l'efficacité énergétique de ses opérations maritimes. Une longueur d’avance donc pour le port de Sète, qui devance l’échéance imposée par le règlement européen ‘AFIR’ (Aide à la Fin de l'Intégration Régionale), indiquant qu’à partir du 1er janvier 2030, les navires à quai dans un port couvert par AFIR auront l’obligation de se brancher à l’alimentation électrique à quai. En adoptant des solutions électriques avant l'application du règlement AFIR, le port de Sète qui a toujours porté une attention particulière à l’interface ville/port, anticipe les évolutions réglementaires et contribue ainsi à la préservation de l'écosystème local.

« Une nouvelle fois, le Port de Sète, et avec lui toute l’Occitanie, s’illustre sur le front de la transition énergétique. Et avec un temps d’avance sur la réglementation ! Je tiens à féliciter son président Philippe Malagola et l’ensemble des équipes techniques mobilisées à nos côtés pour relever le défi de la transition énergétique. Ce premier test concluant marque un nouveau temps fort dans le déploiement de notre stratégie « Green Port ».

"Une démarche ambitieuse, à laquelle nous avons souhaité associer l’ensemble de la communauté portuaire, collectivités, entreprises et usagers, pour faire de Sète-Frontignan un port exemplaire en matière d’empreinte carbone et d’efficacité énergétique. Concilier transition verte et économie bleue, c’est le cap fixé par la Région pour le développement de ses infrastructures portuaires, à Sète comme à Port-La Nouvelle ou au Grau du Roi ", a notamment souligné la présidente de Région, Carole Delga.

Cette nouvelle opération en faveur du développement durable du port découle de son projet stratégique 2021-2025, qui place l’axe de développement Smart & Green Port comme axe prioritaire. Cet axe ambitieux vise à intégrer des technologies innovantes et des pratiques respectueuses de l'environnement pour optimiser les opérations portuaires (aménagement de panneaux photovoltaïques, parc de véhicules électriques, démarche 0 plastique, système innovant de traitement des eaux usées …) ‘’Je félicite l’ensemble des équipes du port, qui ont réussi la prouesse de tenir notre feuille de route sur ce projet. Ce premier test de branchement électrique à quai marque un tournant majeur dans notre engagement envers une transition énergétique durable pour le port de Sète.’’ Félicite Philippe Malagola, Président du Port de Sète – Frontignan.

Le Port de Sète teste ses connexions électriques à quais avec les ferries de Corsica Linea

Ce vendredi 22 mars a eu lieu le premier test en conditions réelles de raccordement électrique à quai, avec le ferry Jean Nicoli de la compagnie Corsica Linea sur le Môle Masselin, en provenance d’Alger et à destination de Tunis. Cette phase de tests, devant confirmer le branchement à quai de toutes les escales de la compagnie à Sète pour la période estivale (de juin à septembre soit 30 escales). Devrait suivre au cours du second semestre 2024, le branchement à quai de certaines escales DFDS en connexions régulières en provenance de la Turquie et en 2025 suivra la connexion des ferries de l’armateur GNV.

Au préalable de cette opération, le personnel électricien du Port de Sète – Sud de France a été formé au suivi des opérations de branchement à quai. Ce premier test arrive après plusieurs années d’études et de travaux, le projet d’électrification s’est composé de 3 grandes phases d’équipement :

- Lancement du projet en 2019, avec l’équipement du bassin Orsetti pour l’accueil de la Grande Plaisance,

- En décembre 2023, le port s’est équipé de 4 nouvelles connexions sur 3 quais, afin d’alimenter les navires en lignes régulières comme les ferries et car-ferries,

- Enfin en 2027, la dernière phase permettra d’équiper en branchement électrique les quais recevant les navires de croisière.

Après plusieurs années de travail, les navires rouliers, car carriers et ferries pourront désormais être alimentés avec l’électricité distribuée par le réseau national et ainsi améliorer la qualité de l’air et réduire le bruit des navires à quais. L’infrastructure offre une grande flexibilité avec 4 points de connexion sur 3 quais différents (2 postes à Masselin, 1 au Quai H et 1 au Quai G) en 6,6KV ou 11KV et en 50hz ou en 60hz alimentés grâce à 3 potences télescopiques de 10 m à 12 m de haut et d’une potence sur chariot mobile.

La puissance totale installée est de 6,3MW répartie en 1 unité de 2,6MW et 2 unités de 1,8MW. Il s’agit d’un investissement de 7M€, dont 5,6 M€ de financement FEDER REACT EU, plan de relance européen, géré par la Région Occitanie.

À propos du Port de Sète-Frontignan :

Propriété de la Région Occitanie Pyrénées- Méditerranée depuis 2007, le port est exploité par une régie déléguée : l’établissement Port de Sète - Sud de France pour la gestion de ses trois activités de commerce, pêche et plaisance. Grâce à sa singularité géographique le port de Sète bénéficie d’une position stratégique à l’échelle méditerranéenne, européenne et mondiale. Son expérience, ses capacités d’adaptation et ses dessertes multimodales (routières, ferroviaires et fluviales) permettent au port de disposer des capacités de traiter tous les types de trafics. L’établissement Port Sud de France joue le rôle d’interface au sein d’un écosystème portuaire.

Sa responsabilité est d’inciter les usagers, clients (plaisanciers, pêcheurs, opérateurs portuaires) et fournisseurs à agir et investir selon les principes de la transition écologique. Engagé dans le développement durable et inscrit comme axe prioritaire dans son projet stratégique 2021-2025, le Port de Sète-Frontignan a été récompensé pour ses nombreuses initiatives en faveur de la décarbonation de ses activités portuaires, notamment par le premier prix de la Transition Énergétique Maritime (TEM) en 2020, décerné par l’Académie de Marin

La Région se mobilise pour lutter contre les violences et le harcèlement sexistes et sexuels sur les plateaux de cinéma

Nadia Bakiri, conseillère régionale déléguée à l’égalité entre les femmes et les hommes et à la lutte contre les violences faites aux femmes, représentant la présidente de Région Carole Delga, a assisté, ce mercredi 20 mars à Montpellier et ce jeudi 21 mars à Toulouse, à deux sessions de formation dédiées aux professionnels du cinéma et de l’audiovisuel pour prévenir et agir contre les violences et le harcèlement sur les plateaux de tournage.

 

Organisées par l’agence régionale Occitanie films et dispensées par le groupe Egae en partenariat avec la Commission supérieure technique de l’image et du son (CST), ces formations s’adressent aux personnes souhaitant devenir ambassadrices référentes en matière de lutte contre les violences et le harcèlement sexistes et sexuels (VHSS) sur leur environnement de travail.

 

Déployées en France à l’initiative du CNC et financées par l’Afdas, elles sont mises en œuvre en Occitanie dans les locaux toulousains et montpelliérains d’Occitanie films et se déclinent en trois journées, soit 21 heures au total, avec un effectif maximal de 12 personnes.

 

Elles présentent 8 objectifs pour les participants et participantes :

  • Connaître les définitions légales et chiffres clés des VHSS ;
  • Comprendre les conséquences et mécanismes des VHSS ;
  • Connaître les obligations, procédures et sanctions encourues ;
  • Savoir prévenir, détecter et réagir face à des situations de VHSS ;
  • Savoir recevoir et traiter un signalement ;
  • Mettre en place un dialogue social avec sa direction sur les VHSS ;
  • Maîtriser les outils et techniques de l’enquête interne ;
  • Développer un plan de prévention contre les VHSS dans sa structure.

 

Face au nombre important de demandes reçues, Occitanie films proposera une nouvelle série de formations dès septembre 2024. 

 

« Les dernières affaires qui ont secoué le monde du cinéma l’illustrent tristement : bien que les mentalités commencent à évoluer, les violences sexistes et sexuelles persistent dans toutes les sphères de la société et le combat est loin d’être gagné. Si les déclarations sont importantes, elles doivent être accompagnées par des actions concrètes. C’est là tout l’objet des formations que nous accueillons en Occitanie pour sensibiliser les professionnels de l’audiovisuel au harcèlement et aux violences, et leur donner les clés pour agir sur leur lieu de travail. Ces formations sont essentielles pour mettre fin à l’impunité et construire ensemble une société plus juste et plus sûre. » a déclaré la présidente de Région Carole Delga.

 

 

Plus d’informations sur les formations contre les VHSS dans les milieux du cinéma et de l’audiovisuel en Occitanie en suivant ce lien

 

 

Des aides régionales à la filière audiovisuelle conditionnées au respect de la parité et à la lutte contre les VHSS

Dans le cadre de sa stratégie Occitanie pour une culture partout et pour tous (2022-2028), la Région accorde une attention particulière au respect de l’égalité entre les femmes et les hommes et à la lutte contre le harcèlement et les violences dans le milieu culturel.

Des formations et fiches pratiques sur la parité et la lutte contre les violences sont ainsi proposées à tous les professionnels de la culture et du patrimoine, et des critères d’éga-conditionnalité ont été intégrés aux dispositifs de soutien régionaux afin de conduire les professionnels et les employeurs au respect des obligations légales en la matière.

Le dispositif régional d’aide à la création audiovisuelle invite par exemple les sociétés de production à inclure dans leur dossier de demande d’aide une réflexion sur la représentation et les trajectoires narratives des personnages féminins. Les sociétés de production doivent également préciser la répartition des postes techniques et artistiques entre les femmes et les hommes, tandis que le règlement rappelle leurs obligations en matière de prévention et de lutte contre les VHSS.

© Région Occitanie

Réaction d'Aurélien Lopez Liguori à l'incarcération de M. Gilles d'Ettore

Réaction d'Aurélien Lopez Liguori à l'incarcération de M. Gilles d'Ettore

Communiqué du député de l’Hérault Aurélien Lopez Liguori

 

Vendredi 22 mars 2024

 

"Aurélien Lopez Liguori, député de la circonscription d’Agde, est profondément préoccupé et consterné par les faits relatés dans le communiqué de presse du procureur de la République près le tribunal judiciaire de Béziers en date du 21 mars 2024, concernant l’incarcération du maire d’Agde et président de l’agglomération Hérault Méditerranée.

 

« Rocambolesque », « irrationnel » : les qualificatifs ne manquent pas dans la presse pour qualifier une affaire qui nuit considérablement à la réputation de la ville d'Agde. Ses habitants, tout autant que les agents et les élus de la commune, méritent mieux qu'une telle publicité.


Aurélien Lopez Liguori est aux côtés des Agathois qui attendent une réponse claire et prompte de la justice. Tout en respectant la présomption d’innocence de M. d’Ettore, il appelle à ce la lumière soit faite sur cette affaire afin que les services de la ville retrouvent de nouveau un fonctionnement normal, que les responsabilités individuelles soient établies au plus vite et que l'opprobre n'entache pas l'honneur des centaines de fonctionnaires qui travaillent chaque jour à la qualité de vie des habitants."

Aurélien Lopez Liguori

 

Quels sont les 51 sites industriels gourmands en eau qui s'engagent à réduire leur consommation ?

Selon France Info :Usine, Imeuble, Industrie

Ces sites, qui représentent 25% de la consommation d'eau de toute l'industrie, promettent de faire baisser leur utilisation de "plus de 10%" avant 2030. 

Ils figurent parmi les plus gros consommateurs du pays. Cinquante-et-un sites industriels se sont engagés à réduire leur utilisation d'eau de "plus de 10%" avant 2030 et même "davantage au-delà", a annoncé sur France 2 Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, vendredi 22 mars.

Ces 51 infrastructures représentent à elles seules "25% de la consommation d'eau de toute l'industrie française", a-t-il ajouté, avant de se rendre sur le site Novacarb, près de Nancy (Meurthe-et-Moselle), aux côtés du ministre de l'Industrie Roland Lescure. Quatre autres sites ont également rejoint ce plan de sobriété.L'industrie responsable de 8% des prélèvements d'eau douce

Parmi les acteurs visés par ce plan figurent notamment plusieurs installations du géant de l'acier ArcelorMittal, une de Coca-Cola, une de Danone ou encore une de Saint-Gobain, selon une carte diffusée par le ministère de la Transition écologique. La chimie et l'agroalimentaire représentent plus de la moitié des sites concernés.................

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/carte-quels-sont-les-51-sites-industriels-gourmands-en-eau-qui-s-engagent-a-reduire-leur-consommation_6440278.html

Plan des restrictions de voiries à Sète à partir du samedi 23 mars 2024

Plan des restrictions de voiries à Sète à partir du samedi 23 mars 2024

Plan des restrictions de voiries à Sète à partir du samedi 23 mars 2024

Plan des restrictions de voiries à Sète à partir du samedi 23 mars 2024

Plan des restrictions de voiries à Sète à partir du samedi 23 mars 2024

Plan des restrictions de voiries à Sète à partir du samedi 23 mars 2024

Plan des restrictions de voiries à Sète à partir du samedi 23 mars 2024

Plan des restrictions de voiries à Sète à partir du samedi 23 mars 2024

𝐈𝐍𝐄́𝐃𝐈𝐓 : 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞́ d𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐥𝐢𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐛𝐚𝐫𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐮 𝐒𝐚𝐥𝐚𝐠𝐨𝐮 !

Lac, Nature, Vallée, Paysage, Hérault
𝐈𝐍𝐄́𝐃𝐈𝐓 : 𝐎𝐧 𝐚 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐥𝐢𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐛𝐚𝐫𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐮 𝐒𝐚𝐥𝐚𝐠𝐨𝐮 !
Peut être une image de 4 personnes
Vital pour l’Hérault depuis plus de 50 ans, le barrage du Salagou répond à différents besoins : apport d’eau dans les rivières en période de sécheresse, réduction des inondations, agriculture, tourisme.
Sa gestion rigoureuse, menée par le Département, contribue ainsi à soutenir l’économie et le tourisme local. Régulièrement inspecté, sa capacité moyenne est d’environ 100 millions de m3 soit 40 000 piscines olympiques. Avec le changement climatique, les températures grimpent, les pluies se font plus rares, mais la collectivité anticipe les besoins
En présence de Christophe Morgo, Vice-Président délégué à l’environnement : « 𝐴𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑙𝑖𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑖𝑚𝑝𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑖𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑎𝑟𝑒𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑎𝑛𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛𝑠. 𝐿𝑎 𝑔𝑒𝑠𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑙’𝑜𝑢𝑣𝑟𝑎𝑔𝑒 𝑎 𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑒́ 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑒𝑎𝑢 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 ».
Peut être une image de 5 personnes
A l'occasion de la journée mondiale de l'eau, découvrez toutes les actions du Département concernant la gestion de l'eau 💧: https://urlz.fr/pZdk

Les filets de protection des gravelots de retour sur la plage

Les gravelots à collier interrompu sont de retour sur la plage de Sète pour nicher. Oiseaux migrateurs qui nichent au sol, et plus particulièrement dans le sable, quelques couples de gravelots sont déjà en plein repérage de leur futur nid dans la zone sauvage et protégée Natura 2000 de la plage sétoise (plage Jalabert) qu’ils occuperont jusqu’en août.

C’est donc tout naturellement que les équipes du service des plages de la Ville et le Syndicat Mixte du Bassin de Thau (SMBT) se sont, une nouvelle fois cette année, attelés à la tâche de protéger les deux zones de nidification si fragile de ces oiseaux. Et c’est tout aussi naturellement qu’ils ont travaillé une fois de plus avec une dizaine d’étudiants en BTS pêche gestion de l’environnement marin du lycée de la Mer. L’an dernier, ces mêmes étudiants avaient fabriqué et installé les filets de protection sur la plage.

La mission du jour était donc de restaurer sur site les filets endommagés par les intempéries. “A part des nœuds dans les mailles dû surtout au vent, nous n’avons eu à déplorer aucun vandalisme”, se réjouit Alain Birba, agent du service des plages. Il faut dire que la zone est bien surveillée toute l’année, et encore davantage en saison de reproduction. De nombreux panneaux explicatifs à l’entrée de la plage et sur les filets préviennent aussi les promeneurs des nidifications.

C’est qu’ils sont difficiles à repérer les œufs de ces tout petits migrateurs. Pas plus gros qu’un caillou, de couleur crème et tachetés, on peut très vite marcher dessus sans le faire exprès.

Mais les jeunes du lycée de la Mer sont bien informés. Entre des interventions de la LPO intégrées dans leur cursus et les explications de Camille Pfleger, chargée biodiversité au SMBT, les lycéens sont qualifiés pour être à leur tour ambassadeurs des enjeux essentiels des milieux naturels. Rajouter à cela ce qu’ils ont appris de cette matinée sur le travail de tri et nettoyage des agents des plages, leur connaissance de la laisse marine et du circuit des pollutions mer/terre, nulle doute que ces futurs marins sauront faire attention à leurs environnements…

Cas de choléra à La Réunion et à Mayotte : "On est encore loin d'une épidémie", note l'épidémiologiste Renaud Piarroux

Selon France Info : 

Pour le médecin, les deux cas identifiés sur les deux îles sont à "prendre au sérieux". "Il faut mener des actions très rapidement pour éviter que la maladie se transmette autour des patients", conseille-t-il.

Deux cas confirmés et un même appel à la vigilance. A La Réunion, une personne qui avait voyagé en Inde a contracté le choléra. C'est ce qu'a confirmé l'Agence régionale de santé (ARS) jeudi 21 mars. Deux jours plus tôt, à Mayotte, à plus de 1 400 km de là, un premier cas avait été confirmé par la préfecture. Il s'agissait d'une personne en provenance des Comores voisines et arrivée clandestinement dans l'archipel mahorais, selon cette même source. "Les services de l'Etat sont pleinement mobilisés", a assuré le ministre délégué à la Santé, Frédéric Valletoux, devant les sénateurs. Faut-il s'inquiéter de ces cas récemment recensés ? Franceinfo a interrogé l'épidémiologiste Renaud Piarroux, spécialiste du choléra.

Franceinfo : Qu'est-ce que le choléra ? Peut-on encore en mourir aujourd'hui ?

Renaud Piarroux :.......... Lire sur : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/cas-de-cholera-a-la-reunion-et-a-mayotte-on-est-encore-loin-d-une-epidemie-note-l-epidemiologiste-renaud-piarroux_6440206.html

Guerre en Ukraine : les propos d'Emmanuel Macron "pourraient contribuer à une guerre frontale avec la Russie", s'alarme Jordan Bardella

Selon Orange..fr

Invité de franceinfo, vendredi 22 mars, Jordan Bardella, s'en est ouvertement pris à Emmanuel Macron, estimant que ses prises de position sur la guerre en Ukraine étaient "anxiogènes pour les Français".

La récente sortie d'Emmanuel Macron sur la guerre en Ukraine, où le chef de l'État a laissé entendre que des troupes françaises pourraient être envoyées sur le front à l'avenir, continue de faire réagir la classe politique. Invité de la matinale de franceinfo, vendredi 22 mars, la tête de liste du Rassemblement National aux élections européennes, Jordan Bardella, a qualifié "d'inquiétantes" et d'"anxiogènes pour les Français" les déclarations d'Emmanuel Macron et estimé qu'elles "pourraient contribuer à une guerre frontale avec la Russie".

Poursuivre : https://actu.orange.fr/politique/guerre-en-ukraine-les-propos-d-emmanuel-macron-pourraient-contribuer-a-une-guerre-frontale-avec-la-russie-s-alarme-jordan-bardella-magic-CNT000002d6zrW.html