Infographies : https://meteofrance.com/previsions-meteo-france/sete/34200
2024-02-29
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2024-02-29
Peu de médecins voient dans l'IA une menace pour leur profession. Au contraire, elle peut se révéler précieuse pour aider au diagnostic des maladies rares qui se compte par milliers, indique un sondage révélé par France Inter.
Selon France Info : Huit médecins sur 10 (81%) considèrent que l'intelligence artificielle peut aider à améliorer le diagnostic des maladies rares, dévoile un sondage Ifop pour Sanofi que France Inter révèle en exclusivité jeudi 29 février, journée internationale des maladies rares. Une maladie est dite rare lorsqu'elle touche une personne sur 2 000. Plus de trois millions de Français sont atteints par l'une des 7 000 maladies rares connues à ce jour.
Ces maladies rares sont difficiles à diagnostiquer, les médecins n'en étant pas spécialistes. 92% des médecins interrogés par l'étude jugent ainsi qu'il est difficile de diagnostiquer une maladie rare, alors même que 45% des médecins ont déjà été impliqués dans ce type de diagnostic. Face à ce constat, huit médecins sur dix pensent que l'intelligence artificielle peut les aider à effectuer un diagnostic.
Impossible pour un cerveau humain de connaître tous les signes.................
Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladies-
Programme des évènements du Conservatoire à Rayonnement Intercommunal de Sète Agglopôle Méditerranée du mois de mars 2024
Tout le programme sur : https://www.facebook.com/ConservatoireSeteagglopolemediterranee
Le Palmarès du Concours Général Agricole 2024
Du 24 février au 3 mars 2024 a lieu la 132e édition du Concours général agricole. Chaque année, à l’occasion du Salon international de l’agriculture, ce concours récompense le savoir-faire et l’excellence des produits et des vins français. Plus de vingt mille produits seront goûtés et jugés à l’aveugle.
Quand le concours a-t-il été créé ?
En 1855, Napoléon III organise le premier concours universel d’animaux reproducteurs, d’emblée un franc succès. Après plusieurs évolutions, c’est en 1870 qu’il portera pour la première fois le nom de « Concours général agricole » (CGA). Il a donc fêté ses 150 ans en 2020.
Depuis sa tenue lors du SIA, il est co-propriété du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire et du Centre national des expositions et des concours agricoles (CENECA).
Quelles sont les différentes catégories de produits ?
Le Concours général agricole se répartit en cinq catégories :
Seuls les professionnels de chaque catégorie peuvent présenter leurs produits. Les produits et les vins doivent également obligatoirement être fabriqués, transformés ou récoltés en France.
Il suffit ensuite de remplir une demande d’inscription en ligne.
Comment se compose le jury ?
En 2023, 5 592 jurés étaient présents, ils n'étaient pas tous uniquement professionnels. En effet, des consommateurs avertis ont pris part aux épreuves de sélection. Au préalable, ils avaient déposé leur candidature en ligne, avaient reçu une formation à la dégustation puis pris part aux épreuves de sélection. 20 catégories de produits ont été jugées.
Le saviez-vous ? Les dégustations se font ensuite à l’aveugle pour assurer une complète impartialité.
Qui sont les producteurs médaillés ?
Il s’agit principalement de petites structures. 81% des lauréats sont des entreprises familiales de petite taille, et 83% ont moins de 10 salariés. Ceux-ci participent majoritairement au marché national, en privilégiant les circuits courts.
On reconnaît les produits récompensés grâce à leur médaille portant une feuille de chêne dorée, argentée ou de bronze.
L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.
Pour plus d’informations, consulter le site du Concours Général Agricole.
Les résultats sur : https://palmares.concours-general-agricole.fr/produits
Selon Orange.fr
Des lots de fromages à raclettes vendus en moyennes et grandes surfaces, chez des grossistes et des fromagers sont rappelés dans toute la France, pour cause de listeria. Les produits fermiers ne sont pas épargnés.
Les rappels de produits alimentaires se succèdent ces dernières semaines. Cette fois, il s’agit encore de fromages contaminés par la listeria monocytogenes, bactérie responsable de la listériose, une infection pouvant être grave. Ils ont notamment été vendus dans toute la France dans des enseignes Carrefour, Auchan, Cora, Netto ou Match, entre le 17 janvier et le 14 février 2024, précise le site RappelConso, en cette fin février. Fabriqués par la Société laitière de Vichy, ces fromages ont également été proposés sur les étals de grossistes et de crèmeries. C’est le cas, par exemple, d’un fromage à raclette pasteurisé aux piments proposé sous la forme de colis de 2 kilos et d’autres variétés aux oignons ou encore au poivre.
Des lots de fromage fermier sont également concernés par le rappel national. Estampillés du logo de la marque Deux Caps, les lots ont été vendus du 27 janvier au 19 février ou les 7 et 8 février derniers, précise le site gouvernemental qui donne toutes les précisions sur les fromages rappelés sur son site internet. Poursuivre : https://actu.orange.fr/societe/sante/des-fromages-a-raclette-et-fermiers-rappeles-dans-toute-la-france-pour-listeria-magic-CNT000002cDtDK.html
Face à la détresse du monde agricole, l’Occitanie continue à soutenir massivement ce secteur, premier employeur régional, et défend un modèle durable et rémunérateur. Comme chaque année, elle sera présente au Salon International de l’Agriculture de Paris, du 24 février au 3 mars.
1er vignoble mondial pour les vins sous appellation, 1ère région bio de France, 1ère région européenne pour les signes officiels de qualité avec plus de 250 produits… L’Occitanie est fière de son agriculture et de ces résultats. Elle investit massivement pour soutenir ce secteur, à hauteur de 9€ par habitant (soit plus du double de la moyenne nationale). Paradoxalement, elle détient aussi le record de la région de France où le revenu des agricultrices et agriculteurs est le plus faible. Ils font aujourd’hui face à plusieurs crises, à la fois économiques, climatiques et sociales. C’est d’ailleurs ici, en Occitanie, que le mouvement de revendications a débuté, mi-janvier. Dans cette épreuve, la Région reste un fidèle soutien au secteur.
Face à cette crise, la Région enclenche des mesures d’urgence pour soutenir l’agriculture régionale. En lançant par exemple un soutien spécifique aux agriculteurs touchés par la maladie hémorragique épizootique (MHE) [1]. Pour faciliter l’accès à l’eau dans un contexte de pénurie, elle propose également plusieurs actions : une enveloppe exceptionnelle de 2 millions d’euros portée par BRL [2], permettant notamment à 5 000 agriculteurs et viticulteurs de baisser leur facture d’eau ; ou encore la création d’un groupement d’achat par la CACG [3] pour permettre des économies d’électricité, premier poste de dépenses de l’irrigation.
« Nous sommes également mobilisés pour veiller à l’application des mesures annoncées par l’État. C’est pour cela que j’ai lancé un comité régional de suivi des engagements du gouvernement », explique Carole Delga. Objectif : recenser les enjeux, le calendrier et les revendications non traitées pour veiller au déploiement de moyens à la hauteur des enjeux.
D’ici dix ans, près de la moitié des agricultrices et agriculteurs prendront leur retraite. L’Occitanie a donc lancé en 2023 un nouveau plan pour l’installation et la transmission des exploitations afin d’aider la nouvelle génération à se lancer. Celui-ci vient compléter la foncière agricole régionale, créée en 2022 et qui rencontre un vif succès. Pour faciliter l’acquisition du foncier agricole, celle-ci achète le terrain pour une durée de 4 à 9 ans, permettant au producteur de prioriser les investissements matériels et d’acheter le terrain dans un second temps. Huit dossiers, équivalents à 300 hectares, ont déjà été portés par la foncière agricole depuis sa création.
Par ailleurs, pour aider les agricultrices et agriculteurs à réussir leur transition écologique, la Région leur propose un contrat agriculture durable. Grâce à l’accompagnement de 59 structures régionales, ils peuvent ainsi définir et sécuriser leur projet de transition agroécologique à 5 ans.
Soutenir le secteur passe également par le consommateur. Et pour valoriser les produits locaux issus des secteurs agricole, viticole et agroalimentaire, la Région porte depuis 2006 la marque régionale « Sud de France-l’Occitanie ». Gage d’un achat local, celle-ci permet au consommateur d’identifier les produits du territoire régional, soit près de 14 000 produits et 2 000 entreprises.
Enfin, pour garantir l’accès à une alimentation de qualité, la Région a mis en place la plateforme « Occit’Alim ». Objectif : simplifier et accroître l’approvisionnement en produits locaux, de qualité et bio en restauration collective. 140 lycées de la région sont adhérents, accédant à plus de 2 000 produits (dont 50% sous label et 40% en bio). Depuis sa création, Occit’Alim a ainsi permis aux cent fournisseurs régionaux référencés de générer plus de 1,3 million de chiffre d’affaires. En 2024, cette plateforme sera déployée auprès d’autres types d’acheteurs afin de continuer à développer la consommation locale et durable.
Pour réaffirmer son engagement auprès des agriculteurs, viticulteurs et pêcheurs, l’Occitanie a tenu, comme chaque année, à être présente au Salon International de l’Agriculture, du 24 février au 3 mars 2024 à Paris. 121 éleveurs et 134 producteurs régionaux y valorisent l’excellence de plus d’un millier de produits d’Occitanie. Sous les couleurs de la marque régionale « Sud de France-l’Occitanie », le stand de la Région permettra aux visiteurs de découvrir un bar à vins et un bar à huîtres, l’offre agritouristique et oenotouristique régionale, des animations et des dégustations…
Cette année, Carole Delga se voit primée, aux côtés de 18 autres lauréats, par le Salon International de l’Agriculture. Cette médaille, qui lui sera officiellement remise en avril, vient récompenser son engagement envers le monde agricole.
En savoir plus
Dans le Parc national des Pyrénées, certains spécimens de Grand Tétras, atteints d’un dérèglement hormonal, peuvent avoir un comportement particulièrement agressif ou docile. Il est recommandé de ne pas s’en approcher sous peine d'amende, rapporte 20 minutes.
Ces derniers temps, dans le Parc national des Pyrénées, les randonnées ne sont pas sans risques. Aigle royal, ours brun, vautour fauve… Si la faune de prédateurs présente sur les lieux peut potentiellement représenter un quelconque risque pour l’homme, le danger se trouve là où on l’attend le moins. Parmi les nombreux animaux qui peuplent ces montagnes, les plus à craindre seraient… les Grand tétras.
Découvrir sur : https://actu.orange.fr/societe/insolite/pyrenees-des-coqs-fous-a-l-assaut-des-randonneurs-magic-CNT000002cu27w.html
Selon France Info : Faudra-t-il bientôt passer une visite médicale pour renouveler son permis de conduire ? Les eurodéputés se prononcent mercredi 28 février sur ce projet de révision de directive, dans le cadre d'une réforme des règles européennes en matière de conduite. Le sujet fait beaucoup réagir sur les réseaux sociaux ou sur les plateaux télé. Démêlons le vrai du faux.
"Ce projet de loi, c'est comme repasser son permis tous les quinze ans", vrai ou faux ?
C'est faux. Certains internautes sur les réseaux sociaux s'inquiètent de devoir "repasser leur permis". Pierre Chasseray, porte-parole de 40 millions d'automobilistes a, lui, comparé la situation avec le baccalauréat. "Est-ce qu'on vous demande de repasser le bac tous les quinze ans ?". Si le texte est voté, il ne faudra pas repasser le code de la route ou refaire un créneau devant l'examinateur. L'idée est d'avoir une visite médicale, tous les 15 ans, obligatoire, pour vérifier avant tout la vue, l'ouïe et les réflexes. Si le test médical n'est pas validé, le permis n'est pas renouvelé. Le texte propose de rendre obligatoire ce contrôle médical dès l'obtention du permis, et pas à partir d'un âge minimum.
Ephéméride du jeudi 29 février 2024
Auguste Chapdelaine est originaire de La Rochelle Normande, près d'Avranches. Il part en Chine comme missionnaire en 1852. Persécuté par les autorités, il est enfermé dans une cage destinée à l'exposition des brigands et finalement décapité.
Le 29 février 888 : Eudes, premier roi français
Le 29 février 888, Eudes, comte de Paris, est élu roi par ses pairs, les grands seigneurs de la Francie occidentale, consternés par l'incurie des derniers rois carolingiens. Eudes, aïeul d'Hugues Capet, prépare sans le savoir l'avènement d'une dynastie proprement française : les Capétiens...
Le 29 février 1960, un tremblement de terre ravage la ville d'Agadir, au sud du Maroc. On dénombrera environ 3 000 victimes. Toute la ville est détruite, à l'exception du vieux ksar (château-fort en arabe). Rapidement rebâtie, Agadir est devenue une cité balnéaire moderne de 50.000 habitants, analogue à celles du littoral méditerranéen de l'Europe.
Lever de soleil : 07 h 03
Coucher de soleil : 18 h 44
Ciel : soleil
Soir : 16°
Santé publique : une nouvelle application à tester.
Les agriculteurs français connaissent des situations économiques très diversifiées selon la taille de leur exploitation, leur orientation de production ou leur passage ou non à l'agriculture biologique.
Selon France Info :
La France est le premier producteur agricole européen. Avec une valeur totale de 88,2 milliards d'euros, la production de l'agriculture française représentait 18% du total de l'Union européenne en 2022, révèle l'Insee dans son panorama de l'agriculture française publié mardi 27 février. Pourtant, le tableau n'est pas tout rose pour les producteurs français, mobilisés depuis janvier pour une rémunération plus juste de leur travail.
Evolution de la taille, du nombre et de la nature des exploitations, exposition importante à la pauvreté… A l'aide d'infographies, franceinfo revient sur l'état du secteur agricole en France. Des exploitations moins nombreuses, mais plus grandes
En vingt ans, le nombre d'exploitations agricoles dans l'Hexagone a chuté de 41%, passant de 664 000 en 2000 à 390 000 en 2020, selon l'Insee. En 1970 et 2020, le nombre d'exploitations a même été divisé par quatre. On comptait ainsi près d'1,6 million d'exploitations agricoles en 1970, rappelle l'Insee...