Sète

Pourquoi protéger les zones humides ?

Le 2 février, c'est la journée mondiale des zones humides.

50 % des zones humides ont disparu en France au cours du XXème siècle. Elles sont pourtant essentielles au bon fonctionnement des territoires.

Pourvoyeuses d’eau pour les nappes souterraines, les zones humides s’avèrent être aussi une protection essentielle face aux changements climatiques.

« Elles servent à stocker et à filtrer les eaux de surface qui vont alimenter les nappes phréatiques d’où nous tirons l’eau que nous consommons », résume Yann Morvan, responsable biodiversité et espaces naturels du Département. « Elles jouent un rôle épuratoire pour de nombreux rejets dus à l’activité humaine et atténuent les crues comme des éponges » ajoute-t-il.

Ces espaces accueillent également une grande biodiversité : 50 % des espèces d’oiseaux et 100% des amphibiens y habitent.

 

 

Les zones humides sont diverses…
- Des marais, des marais salants
- Des lagunes
- Des prairies humides
- Des bras morts de rivières
- Des forêts alluviales
- Des mares
- Des lacs d’altitude
- Des tourbières
- …

En savoir plus : https://herault.fr/299-les-espaces-naturels.htm

Fin du masque obligatoire à l'école primaire : la mesure s'étend à 12 nouveaux départements dont l'Hérault

Le port du masque ne sera plus obligatoire à l'école primaire dans 12 nouveaux départements à partir de lundi 18 octobre, selon un décret publié jeudi 14 octobre au Journal Officiel. Il n'était déjà plus obligatoire pour les élèves de primaire de 68 départements français en raison du faible taux de circulation du Covid-19.

Le masque redevient obligatoire dans les écoles de Lozère

En revanche, face à la hausse du taux d'incidence en Lozère, le masque redevient obligatoire pour les élèves de primaire, pour qui il n'était plus obligatoire. Ce qui porte à 79 le nombre de départements où s'applique désormais cette mesure.

Voici la liste SUR franceInfo : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/masques-sanitaires/fin-du-masque-obligatoire-a-l-ecole-primaire-la-mesure-s-etend-a-12-nouveaux-departements-supplementaires-soit-79

Les horaires du Comoedia et du Nouveau Palace du 1er au 7 décembre

Les horaires du Comoedia et du Nouveau Palace du 1er au 7 décembrePeut être une image de texteAucune description de photo disponible.

A Sète, le quotidien de l'action sociale raconté par celles et ceux qui la font

 

Humanité, accompagnement, écoute, accueil. Ces mots reviennent souvent lorsque l’on pousse les portes du Centre communal d’action social (CCAS) situé avenue Maréchal Juin. Passé l’espace de réception du public, une enfilade de bureaux sert à la fois aux services administratifs et à l’accueil des personnes. Il y a ce monsieur qui n’a pas les moyens de placer son papa en maison de retraite, cette maman en attente de relogement avec sa fille lourdement handicapée, ces jeunes qui n’ont plus rien. Chacun à la recherche de solutions ou simplement d’une oreille attentive. “On met en place une approche globale de la personne quels que soient ses besoins” résume Sandrine Clerc, directrice du CCAS. “Plus de 80 % de notre budget va directement aà l’accompagnement humain. C’est ce pourquoi on existe” appuie Jocelyne Gizardin, vice-présidente. Le social, l’adjointe au maire pourrait en parler des heures durant. Comme de cette dame âgée qui s’inquiétait car le bus ne passait plus dans sa rue ou des jeunes qu’il faut aider “avant que leur vie ne bascule”. Elle laisse aussi volontiers la parole aux nombreuses femmes, et quelques hommes, qui aident les Sétois(es) au quotidien. Témoignages…

 

action sociale sète agents

Avec ses treize travailleurs sociaux, le service insertion solidarité tient un rôle primordial : il vient en aide aux jeunes, aux bénéficiaires du RSA, aux sans domiciles fixes et même parfois aux seniors. Un accompagnement transversal qui passe entre autres par l’aide légale. “Un sujet qui touche à quelque chose de très délicat chez les familles car il s’agit par exemple d’aider à placer une personne âgée en maison de retraite” explique Hélène Gauthrin, chef du service.

“Récemment, on a reçu un monsieur qui n’avait pas les moyens pour placer son papa. Il se sentait mal et nous a remerciés parce que c’est la première fois qu’il recevait de l’aide. Je me suis dit ce jour-là : voilà pourquoi on fait notre métier” raconte-t-elle.

L’accueil est également primordial. “Les gens sont parfois mal à l’aise ou stressés donc on doit pouvoir les laisser parler, les entendre et leur répondre” poursuit Hélène Gauthrin. Avec la volonté de la municipalité d’effectuer des visites à domicile aussi souvent que nécessaire. Pour aider notamment les personnes ayant des difficultés à sortir de chez elle suite aux confinements successifs.

 

Ne pas avoir assez d’argent pour manger, se loger ou se soigner, des préoccupations au cœur du travail du pôle social jeunes du CCAS. “La difficulté la plus courante, c’est la subsistance, des jeunes qui n’ont plus rien et qui, bien souvent, ne sont pas sans domicile fixe. Mais il peut aussi s’agir d’accès au logement ou de mobilité” observe la responsable, Muriel Garidou. Pour tous ces problèmes, des aides individuelles sont prévues via le Fonds d’aide aux jeunes. A l’instar du paiement d’une carte de bus ou la distribution de colis alimentaires du Café de la paix, l’épicerie solidaire du CCAS.

“On intervient de plus en plus sur des aides liées à la santé pour les jeunes qui veulent se faire soigner ou accéder à une thérapie” poursuit-elle.

Ces dossiers sont étudiés tous les 15 jours avec plusieurs acteurs. De janvier à septembre, 100 demandes avaient déjà été traitées. Un autre dispositif très concret consiste à distribuer des kits d’hygiène comprenant lessive, savon, brosse à dent, gel désinfectant et coupes menstruelles pour les femmes. “46 kits ont été distribués en 2020. Avant ils étaient réservés aux jeunes mais on les a étendus à tous les publics” complète Muriel Garidou.

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La crise du Covid-19 a beaucoup mobilisé le service autonomie du CCAS qui s’occupe des personnes âgées et handicapées. Il entretient un lien permanent avec ses bénéficiaires. Grâce au lancement de la ligne “Allo seniors”, ensuite appelée “Ligne bleue”, le service a pu traiter 286 appels pendant le premier confinement. “L’activité a été relancée lors de l’ouverture du centre de vaccination avec parfois 100 appels par jour pour des questions d’éligibilité et d’aide à l’inscription” précise Caroline Auxietre, chef du service autonomie du CCAS. Les personnes âgées dans l’incapacité de se déplacer ont même pu être transportées au centre de vaccination à l’aide du Mobibus. Le portage de repas s’est révélé essentiel. Le service assure désormais la livraison de 156 repas à la journée.

“Dans la vie d’une personne âgée, une hospitalisation, une chute ou un décès peut bouleverser le quotidien. Ces personnes sont en recherche de sécurité et de vie sociale” souligne Caroline Auxietre qui rappelle que les Sétois qui sollicitent le CCAS font l’objet d’une évaluation plus globale. “Ce qui permet de déceler d’autres problématiques chez une personne qui vient nous voir pour de la téléassistance ou pour participer à des activités”.

 

Le pôle petite enfance compte une centaine d’agents dont Jade Roig, coordinatrice petite enfance et plus jeune cadre du CCAS. Dans les structures multi-accueil (crèches), une des spécificités est l’accompagnement des enfants à besoin spécifique et/ou en situation de handicap. 54 enfants étaient concernés en 2020.

“Une éducatrice spécialisée repère les problèmes, aide les familles et forme les personnels à l’accompagnement. Chaque enfant est différent donc on s’adapte” explique Jade Roig.

En plus des crèches traditionnelles, huit assistantes maternelles agrées offrent un accueil à domicile avec des temps de regroupement hebdomadaires pour favoriser l’éveil et le développement. Comme partout au CCAS, l’action se veut transversale. Le service déploie ainsi le dispositif AVIP à la crèche Hippocampes pour aider les parents à l’insertion professionnelle. “L’idée est de se mettre en relation avec Pôle emploi pour accueillir plus facilement les enfants de parents en recherche de travail ou qui suivent des formations” détaille la jeune femme.

Espaces adolescence et jeunesse (EAJ), ludothèques, salle La Passerelle… Des lieux tous gérés par le centre social du CCAS pour proposer des activités aux habitants en plus de celles déjà mises en place dans les centres sociaux Villefranche et Gabino. Mais ce volet animation n’est qu’une partie du travail. “On a une majorité de demandes pour de l’accès aux droits car on héberge des permanences gratuites. Concrètement, les habitants peuvent voir un avocat, bénéficier de la médiation familiale, avoir de l’aide administrative ou accéder à des ateliers d’alphabétisation” présente Mathilde Pujuguet, directrice adjointe du centre social, qui donne l’exemple de cette maman isolée qui a trouvé un emploi, mais qui a besoin d’aide pour prendre en charge sa fille porteuse de handicap. Le centre social porte une attention particulière aux 11-25 ans.

“On reçoit des jeunes qui n’ont pas d’emploi et pas de formation. On les aide à faire un CV et à développer leur projet professionnel. Récemment, une jeune fille est venue nous voir parce qu’elle n’avait pas de place pour faire ses devoirs à la maison. On a pu l’accueillir dans un EAJ” continue la directrice adjointe.

Autre point fort du centre social : la tarification. “10 euros pour l’adhésion individuelle et 15 euros pour les familles avec deux enfants à l’année” étaye Ahmed Zeghari, le directeur du centre social.

La Cie Mot pour Mot a lancé ses BIP, brigades d’interventions poétiques, dans les établissements scolaires de la ville.

Les BIP défendent une culture citoyenne, le décloisonnement et la démocratisation de la culture.
Il s’agit de l’intervention impromptue d’artistes professionnels, dument protégés avec masques et respects des distances, qui vont offrir au public des interventions-spectacles qui s’intitulent cette année «C’est pas un crime d’être…»
Un spectacle arc-en-ciel, pour combattre le racisme, l’antisémitisme… «C’est pas un crime d’être… » convoque la poésie pour un mieux vivre ensemble !
 
 
 
«C’est pas un crime d’être… » propose de suivre ce désir qui donne des ailes et des couleurs à la vie, au fil des textes de poètes tels que Karl Norac, Marcel Béalu, Serge Pey, Marc Alyn ou encore Eric Weinert.
Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’"C'EST PAS UN CRIME D'ÊTRE" PAR LES 39’
 
Dernières représentations des BIP - Saison 2021 :
 
Jeudi 9 décembre, 9H00: Collège et lycée Joliot Currie
Vendredi 10 décembre 9H00: Collège Jean Moulin
Durée du spectacle : 1H30
Spectacle gratuit
Artiste interprète: Cécile COMBREDET
Musicien: Imed ALIBI
Adaptation et mise en scène: Clara BARBUSCIA
 

 

Une après-midi sur le tournage de la série "Reuss"

Déjà un mois que le tournage de la série Reuss (sœurs en verlan) a débuté à l’Ile de Thau et le quartier semble s’être accommodé de cette effervescence discrète. Mercredi 13 octobre, c’est dans la cours de la médiathèque Malraux que se déroulait une scène de cette nouvelle production prévue pour diffusion en juin 2022 sur la chaîne 100 % numérique France TV Slash.

“On a préparé le terrain depuis avril, on a discuté avec les gens, on a appris à les connaître, on leur a expliqué l’histoire racontée par cette série, ce n’était pas gagné d’avance mais ça se passe extrêmement bien” souligne Stéphane Caput, directeur de production de Lizland films, qui accueillait François Commeinhes en visite sur le tournage mercredi après-midi.

tournage série ile de thau

L’occasion pour le maire d’aller à la rencontre des quelque 70 techniciens, figurants, et de quelques-uns des personnages clés de cette série dont Hanane (Inès Ouchaaou) et Maïssa (Assa Sylla) qui forment, avec Ambre (Charlie Loiselier), le trio de jeunes femmes au cœur de l’intrigue. Trois meilleures copines qui ont grandi dans la même cité et qui vont tenter de retrouver l’agresseur du grand frère d’Hanane. Une aventure où va se mêler leurs aspirations personnelles. Une série comme une autre ? Pas tout à fait puisqu’elle sera ponctuée de nombreux moments de comédie musicale et donnera vie à une vingtaine de chansons.

tournage série ile de thau

“Il nous faut environ 3 à 4 jours pour faire un épisode et on s’est très bien adapté au rythme de la ville” continue Stéphane Caput qui met l’accent sur l’implication de la mairie pour que ce tournage soit un succès. “Je remercie le bureau du cinéma et François Commeinhes qui est venu nous voir dès le premier jour pour écouter le projet et voir si nous avions choisi le bon endroit pour raconter cette histoire”. Environ 50 % du tournage est entièrement réalisé à l’lle de Thau. La production se déplace aussi dans d’autres lieux de l’île singulière, comme au Théâtre Molière où une scène a été tournée récemment. Pour une production à 90 % sétoise.

J'AI RÊVÉ LA RÉVOLUTION AU TMS

J'AI RÊVÉ LA RÉVOLUTION AU TMS
 
J'ai rêvé la Révolution
 
 
Catherine Anne - Françoise Fouquet - Cie À Brûle-pourpoint
 Mardi 7 décembre à 20h30, Théâtre Molière - Sète
S’inspirant de la vie et des écrits d’Olympe de Gouges, Catherine Anne fait revivre les derniers jours de cette figure féminine avec sensibilité, sculptant sa propre langue de manière radicale autour de thèmes éternels.
 "L’écriture est aiguë. Syncopée. Tranchante et anguleuse. Elle donne à la fois le sentiment de la maigreur et de la consistance, puise autant dans les choses du quotidien que dans une forme de poésie concrète et précise." La Terrasse
 
 
Explorez l'univers de Catherine Anne avec deux créations dont elle est l'auteure :

Mardi 7 décembre à 20h30 au Théâtre Molière, plongez dans l'incroyable histoire d'Olympe de Gouges, femme de lettres, devenue femme politique, avec J'ai rêvé la Révolution. Le spectacle réinvente les derniers jours de cette figure du féminisme et questionne les thématiques de la justice, de la liberté, et de l'universalisme, donnant le sentiment que l’action peut se dérouler ici, aujourd’hui ou demain.

Comme un avant goût du spectacle J'ai rêvé la Révolution, découvrez Liberté Égalité Parité, une petite forme théâtrale abordant le féminisme et l'engagement politique, lundi 6 décembre à 20h30 en salle de répétition du Théâtre Molière (Entrée libre).


Le Département propose des chèques « Hérault Vélo » et « Hérault Mobilité » pour l’achat d’un vélo électrique

Le Département propose des chèques « Hérault Vélo » et « Hérault Mobilité » pour l’achat d’un vélo électrique. D’une valeur de 200 ou 250 euros, ces chèques sont complétés par un bonus « Hérault Pichòt » de 20€ pour l’achat d’un siège enfant ou de 50€ pour une carriole.
Peut être une image de 2 personnes, aliment, vélo et texte qui dit ’Departement erault L'HÉRAULT À VÉLO monvelo.herault.fr Heraut POUR TOUS TOUS POUR L'HÉRAULT’
L’aide départementale est cumulable avec les autres aides des collectivités notamment celle de Sète Agglopôle Méditerrannée

Plan de restrictions de voirie à Sète, en cours et à venir

Plan de restrictions de voirie à Sète, en cours et à venir :

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Végétalisation participative : un guide pour accompagner les habitants

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Débroussailler, nettoyer, planter, ce ne sont pas les seules missions du service Jardins et paysage de la Ville. Il accompagne également les habitants soucieux de verdir leur quotidien dans le cadre de la végétalisation participative. Portée par la volonté municipale de rendre aux Sétois le plus possible d’espace public, la végétalisation participative permet concrètement de fleurir des pas de porte, des délaissés sur le domaine public ou des rues. Pour aider les habitants intéressés, la Ville met à leur disposition le guide de la végétalisation participative.

 

Un document à télécharger sur le site www.sete.fr dans l’onglet « Votre mairie », « Participation citoyenne » et « Végétalisation participative ». Il précise la démarche à suivre et comprend un questionnaire à remplir et à rendre au service Jardins et paysages. « Le but est d’encourager ces projets car les bienfaits du végétal sur le bien-être et la santé ne sont plus à démontrer. Ces petites notes fleuries complètent agréablement la partition végétale composée par la ville qui compte aujourd’hui trois jardins partagés, quatre vergers, un espace dédié aux plantes aromatiques et une prairie fleurie prévue pour attirer oiseaux et insectes pollinisateurs » souligne le maire François Commeinhes. Le guide de la végétalisation participative est à retrouver à cette adresse :https://bit.ly/32IlmvL