échos

ORA MARITIMA 2023 POUR TOUS

 Une myriade d’animations et de visites vous attendent les vendredi 06 et samedi 07 octobre avec les prochaines assises du territoire de Thau « Ora Maritima » organisées » par le Syndicat mixte du bassin de Thau avec le concours de nombreux partenaires…
Créées pour aborder collectivement les grands enjeux du territoire, ces assises ont déjà passé en revue la thématique de l’eau en 2015, la pêche et les cultures marines en 2017, la transition écologique en 2019 et la transition alimentaire en 2021.
Animations pour tous - Ora Maritima
 La prochaine biennale d’Ora Maritima portera sur la thématique de la culture du risque. La connaissance des risques majeurs de son territoire doit être partagée par tous pour que l’ensemble des acteurs soit en capacité de se préparer et d’agir en conséquence pour protéger les personnes et les biens.https://www.oramaritima.fr/animations-pour-tous/?fbclid=IwAR1lyfPs9p2jmgHtPBUx9vgBXpoWCBPlcTDhYD1JIOKAaHCLNtx7VwqwLF8
 Au programme : des ateliers, une rencontre plénière, des balades, des animations, des visites et des projections…
 Consultez le programme complet et inscrivez-vous à chaque fois que possible pour les visites et animations « grand public ».
 Attention, inscriptions avant le 26 septembre pour la visite du sémaphore !

Pourquoi le pacte européen sur la migration et l'asile divise les pays membres de l'UE ?

En discussion depuis trois ans, cette réforme vise à refonder la politique migratoire européenne. Mais la Hongrie et la Pologne refusent tout mécanisme de solidarité.

Selon France Info :

L'immigration irrégulière a besoin d'une "réponse européenne", a déclaré Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, dimanche 17 septembre, à Lampedusa. En quelques jours, la population de l'île italienne a doublé, confrontée à l'arrivée de plusieurs dizaines de milliers d'exilés en provenance d'Afrique du Nord. Face à la situation, la cheffe de l'exécutif européen a dévoilé un plan d'urgence pour aider Rome et a appelé les partenaires européens à la solidarité.

Mercredi, lors de son discours annuel sur l'état de l'Union européenne, Ursula von der Leyen avait déjà exhorté les Etats membres à faire aboutir le pacte sur la migration et l'asile, dont les négociations patinent depuis trois ans. Présenté en septembre 2020 par la Commission, ce paquet de mesures vise à refonder la politique migratoire de l'UE et à faire face aux situations d'urgences. Mais plusieurs pays s'y opposent, alors que les demandes d'asile augmentent.

Une solidarité accrue

A ce jour, la politique migratoire européenne est fondée sur le texte Dublin III. Il prévoit que les réfugiés déposent leur demande d'asile dans le premier pays de l'UE qu'ils atteignent. Mais ce règlement a pour conséquence de faire peser les demandes d'asile sur les pays du sud de l'Europe par lesquels arrivent les migrants du Proche-Orient, d'Asie ou d'Afrique. A contrario, avant la guerre en Ukraine, les pays d'Europe de l'Est accueillaient très peu de réfugiés, rappelle le site spécialisé Touteleurope.eu, fondé par la France et la Commission européenne................

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/pourquoi-le-pacte-europeen-sur-la-migration-et-l-asile-divise-les-pays-membres-de-l-ue_6068829.html

"La France n'accueillera pas de migrants présents à Lampedusa", annonce Gérald Darmanin

"Nous avons dit à nos amis italiens que nous étions prêts à les aider pour reconduire des personnes dans les pays avec qui nous avons de bonnes relations diplomatiques", a déclaré le ministre de l'Intérieur, mardi, sur TF1.

Selon France Info :

De retour d'Italie, où quelque 10 000 migrants sont arrivés ces derniers jours, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé, mardi 19 septembre, que "la France n'accueillera pas de migrants présents à Lampedusa". "La France veut une position de fermeté", a-t-il expliqué sur le plateau du journal de 20 heures de TF1.

"Il faut distinguer les migrants des personnes qui sont des réfugiés politiques", a poursuivi Gérald Darmanin. Il a relevé que "60% des personnes qui sont arrivées à Lampedusa sont francophones. Il y a des Ivoiriens, des Sénégalais, qui n'ont pas demandé l'asile en Europe." "En revanche, nous avons dit à nos amis italiens que nous étions prêts à les aider pour reconduire des personnes dans les pays avec qui nous avons de bonnes relations diplomatiques", a-t-il précisé, citant la Côte d'Ivoire et le Sénégal................

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/la-france-n-accueillera-pas-de-migrants-presents-a-lampedusa-annonce-gerald-darmanin_6071841.html

Vente de carburants à perte : les représentants des principales enseignes reçus mardi au ministère de l'Economie

Selon France Info

Pistolet, Pompe, Le Carburant, Auto

Les représentants des principales enseignes de distribution sont conviés mardi 19 septembre à 9h30 au ministère de l'Économie, a appris franceinfo auprès de Bercy, lundi. Après l’annonce de la Première ministre Elisabeth Borne samedi, de l'autorisation de la vente à perte des carburants, Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, a confirmé espérer une mise en place de cette mesure le 1er décembre pour une durée de six mois.

>> Prix du carburant : six questions sur la vente à perte par les distributeurs, que le gouvernement veut autoriser

Le gouvernement souhaite une légalisation temporaire de la vente à perte des carburants pour répondre à la hausse des prix de l'essence à la pompe, dans un contexte d'inflation. La disposition doit être incluse dans le projet de loi avançant les négociations commerciales entre les supermarchés et leurs fournisseurs de l'agro-industrie qui doit être présenté début octobre par le gouvernement.........

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/economie/automobile/essence/info-franceinfo-vente-de-carburants-a-perte-les-representants-des-principales-enseignes-recus-mardi-au-ministere-de-l-economie_6069633.html

Vente de carburant "à perte" : la grande distribution contrarie les plans du gouvernement

Dessin Animé, Essence, Pompe À EssenceSelon Orange.fr :
Selon une information du Figaro, les enseignes de grande distribution balayent d'un revers de main la proposition de loi évoquée par la Première ministre ce week-end, qui leur permettrait de vendre de l'essence "à perte" début décembre.
La décision d'Élisabeth Borne avait surpris tout son monde samedi 16 septembre : afin de lutter contre la flambée des prix du carburant, la Première ministre annonçait que l'interdiction de revente "à perte" était levée pour les distributeurs et ce, "sur une période limitée de quelques mois". Une interdiction en vigueur depuis 1963 et qui devait donner des "résultats tangibles pour les Français, sans subventionner le carburant". Lundi, le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, avait confirmé la mesure dans Télématin sur France 2, précisant que les enseignes de la grande distribution pourront le faire pendant six mois "d'ici début décembre".
 
 
Prix de l'essence: "Je n'ai pas compris pourquoi l'option [du chèque carburant] n'a pas été discutée", indique Frédéric Plan (Fédération française des combustibles, carburants et chauffage) par BFMTV
 
Mais y avait-il eu concertation avant cette annonce ? Il semblerait que non à en croire une information du Figaro ce mardi soir. Les patrons des enseignes Leclerc, Carrefour, Intermarché, Système U, Casino et Auchan étaient convoqués à Bercy plus tôt dans la matinée et se sont opposés à une vente "à perte" du carburant devant leurs supermarchés. Selon les informations de nos confrères, les distributeurs ont assuré au ministre de l'Économie, et à la ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme, que la "possibilité de vente à perte ne sera pas suivie, car elle n’est économiquement pas tenable".
D'autres opérations de baisses de prix ?.................

Aller plus loin : https://actu.orange.fr/france/vente-de-carburant-a-perte-la-grande-distribution-contrarie-les-plans-du-gouvernement-magic-CNT0000027sjRX.html

Houle sur le littoral héraultais

Peut être un dessin de affiche et texte qui dit ’VIGILANCE HOULE 34 Mer Dangereuse Forts courants Baignez-vous en zone surveillée Respectez la couleur des drapeaux Rouge baignade interdite Soyez prudents Risque de noyade’
Le phénomène de vagues dangereuses se poursuit aujourd'hui, lundi 18 septembre 2023, avec des vagues de 1,8m avec un important courant d'arrachement entraînant au large les baigneurs.
Baignade très dangereuse, avec risque de noyade!
Respectez les consignes

Franceinfo vous explique ce qu'il faut faire en cas d'apparition de symptômes et de test positif au Covid-19

Le protocole a beaucoup changé depuis le début de la crise sanitaire. Franceinfo vous explique ce qu'il faut faire en cas d'apparition de symptômes et de test positif au Covid-19.Coronavirus, Virus, Covid-19, Pandémie

Selon France Info :

Le Covid-19 est de retour en cette rentrée. Malgré le flou autour de la circulation du virus, une tendance se dégage avec un nombre de cas qui augmente. La nouvelle campagne de vaccination contre le virus débutera le 2 octobre, deux semaines avant la date prévue. Le ministre de la Santé a évoqué "un contexte actuel de circulation plus marquée du virus”.

>> Covid-19 : pourquoi est-il devenu si difficile de savoir où en est l'épidémie ?

Mais si l’épidémie repart à la hausse, cela ne signifie pas un retour des anciens protocoles. Mais alors, que faire en cas de test positif ? Faut-il s’isoler ? Peut-on continuer à travailler ? Que dois-je faire en tant que cas contact ? Franceinfo vous propose un point sur les règles à suivre à ce jour.

Éviter les personnes à risque et réaliser un test de dépistage

Dès les premiers symptômes évoquant une infection au Covid-19, il est tout d'abord fortement conseillé d’éviter les contacts avec les personnes fragiles ou à risque de développer une forme grave (nourrisson, femmes enceintes, personnes âgées ou porteuses de certaines maladies chroniques ou souffrant d’obésité). Les symptômes peuvent être combinés ou isolés. Ils apparaissent parfois brutalement et restent nombreux :

- Fièvre ou sensation de fièvre
- Signes respiratoires : toux, mal de gorge, essoufflement ou sensation d’oppression dans la poitrine
- Maux de tête, courbatures, fatigue inhabituelle

- Perte brutale de l’odorat (sans obstruction nasale), disparition totale du goût
- Diarrhée

Vous pouvez ensuite réaliser un test type autotest, antigénique ou RT-PCR, sans besoin d'une prescription. En revanche, ils ne sont plus pris en charge à 100% par l’assurance-maladie depuis le 1er mars 2023, et cela sans distinction entre les vaccinés et les non-vaccinés. Certaines personnes, notamment les mineurs ou les personnes de 65 ans et plus, conservent une prise en charge à 100%. Sinon, un reste à charge de 30 à 40% doit être réglé mais les complémentaires santé prennent généralement le relais. Les autotests disponibles en pharmacie aux alentours de 3,50 euros ne sont pas remboursés.

Prévenir son entourage et appeler son médecin.............. Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/tests-de-depistage-du-covid-19/covid-19-test-isolement-teletravail-quelles-sont-les-regles-a-suivre-si-vous-etes-positif_6071256.html

Comment identifier la couverture mobile de sa région ?

 

Afin de vous permettre de connaître le service rendu par les différents opérateurs de téléphonie, l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) met en ligne des cartes de France des couvertures voix, SMS, et Internet mobile pour chacun des opérateurs. On vous en dit plus sur ce service.

Identifier la couverture voix et SMS des différents opérateurs mobiles

Depuis janvier 2017, l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) impose aux opérateurs de publier des cartes de couverture du territoire représentant une évaluation de la couverture à différents niveaux, pour le service voix et SMS.

L'Arcep publie sur son site monreseaumobile.fr une carte de couverture mobile enrichie pour toute la France métropolitaine.

Cette carte vous permet notamment d’identifier les zones de couverture mobile de chaque opérateur, avec quatre niveaux d'évaluation : « Très bonne couverture », « Bonne couverture », « Couverture limitée » ou « Pas de couverture ».

 

Identifier la couverture internet mobile 3G, 4G et 5G des différents opérateurs mobiles

Le site monreseaumobile.fr met également en ligne un outil cartographique présentant la couverture mobile en internet 3G, 4Get 5Gdes quatre grands opérateurs (Free, Orange, Bouygues, SFR).

Cet outil vous permet de comparer la couverture Internet des différents opérateurs.

En entrant par exemple le nom de votre ville ou d’une rue dans un moteur de recherche, vous pouvez connaître la couverture mobile de la zone concernée.

Identifier la qualité de la couverture voix, SMS et internet mobile de chaque opérateur

Le site monreseaumobile.frprésente également la qualité mesurée des services voix et SMS d'un côté, internet mobile de l'autre, dans les transports pour chaque opérateur.

Il est possible d'afficher la qualité mesurée :

  • sur les grands axes routiers
  • dans les TGV,
  • dans les intercités/TER,
  • dans les RER et transiliens
  • dans le métro (Lille, Lyon, Marseille, Paris et Toulouse)

Concernant les lieux de vie, monreseaumobile.fr détaille la qualité mesurée des services voix, sms, navigation web et vidéo en ligne pour chaque opérateur pour toute la France, et pour les zones rurales, intermédiaires, denses ainsi que les sites touristiques.

 

En savoir plus sur la couverture mobile du territoire

Ce que dit la loi

L'antenne de l’École Régionale du Numérique (ERN) inaugurée, rue Mirabeau, à Sète

Une antenne de l’École Régionale du Numérique (ERN) avait ouvert ses portes en juillet dernier, rue Mirabeau à Sète, dans les locaux de l'Atelier de Pédagogie Personnalisée (APP). Peut être une image de 10 personnes et personnes qui étudient
 
Elle a été inaugurée ce lundi 18 septembre en fin de matinée, par Séverine Saint-Martin, Présidente du Pôle Méditerranée de Les SCOP et SCIC d'OCCITANIE et François Commeinhes, Président de Sète agglopôle méditerranée.
Ce dispositif financé par La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée propose une formation certifiante (validé en 10 mois) aux métiers du numérique (développement Web et Web mobile), ouverte à tous les publics et notamment aux personnes éloignées de l’emploi (la première promotion compte 12 étudiants).

Plus d’infos sur https://www.laregion.fr/ERN

 Ce dispositif de formation, financé par la Région et mis en œuvre par l’organisme Fondespierre dans les locaux de Sète Agglopôle Méditerranée, s’inscrit dans une volonté d’accompagner les publics les plus éloignés de l’emploi vers des métiers d’avenir. La formation a débuté en juillet pour les stagiaires de la première promotion sétoise.

« Avec l’ouverture de cette nouvelle antenne à Sète, nous poursuivons notre engagement dans la lutte contre les inégalités liées à l’emploi. La formation est ouverte à toutes et tous, avec comme seul critère la motivation. Nous apportons également une réponse concrète aux besoins de recrutement des chefs d’entreprise locaux et accompagnons le développement des grandes filières dans le département de l’Hérault. Grâce à la participation de Sète Agglopôle Méditerranée, nous sommes ravis de voir le réseau des Ecoles du numérique s’élargir et se pérenniser en Occitanie. » a déclaré la Présidente de Région Carole Delga, avant de rappeler : « Les taux d’insertion à la sortie de formation et la croissance du secteur du numérique sur le territoire prouvent la réussite de ce dispositif novateur, premier du genre en France. Le déploiement des Ecoles régionales du numérique en Occitanie est par ailleurs complémentaire avec le Pacte pour l’embauche, que nous avons lancé pour assurer l’accès de toutes et tous à un emploi de qualité, en apportant des solutions aux problèmes de logement, de mobilité ou encore de garde d’enfant. »

 

François Commeihnes, Président de Sète Agglopôle Méditerranée et Maire de Sète, a quant à lui affirmé : «

« Sète Agglopôle Méditerranée s’engage pour soutenir la formation et l’enseignement supérieur avec la structuration d’un service dédié à cette compétence et la création du futur Pôle universitaire à Sète. Avec plus de 10 établissements d’enseignement, de recherche et de formation, et plus de 1000 étudiants, Sète est identifiée comme ville universitaire d’équilibre. Je suis donc très heureux de voir l'École régionale du numérique s'établir à Sète et compléter ainsi l’offre de formation aux métiers du numérique. Ce dispositif s’inscrit dans la continuité de la dynamique lancée avec le Campus connecté et la création des deux nouvelles filières à l’IUT. En adéquation avec les défis de notre territoire, c’est un jalon de plus pour l’accompagnement et le développement de notre tissu économique local. »

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Ouverte depuis juillet 2023, l’Ecole du numérique de Sète est financée à hauteur de 133 000 euros par la Région Occitanie. Ce financement englobe l’ensemble des frais pédagogiques et la rémunération des stagiaires. La formation dure 10 mois et permet aux participants de valider une certification de niveau 5 (Bac+2) pour le métier de développeur web et web mobile. Elle est mise en œuvre par beWeb, filière spécialisée dans le numérique de l’organisme de formation Fondespierre. Le dispositif est ouvert à tous les publics, sans prérequis académique.

La priorité est donnée aux personnes en situation de handicap, à celles issues des quartiers prioritaires de la politique de la ville et au public féminin. Cette première promotion compte 12 étudiants, dont 2 femmes, qui bénéficieront de méthodes pédagogiques innovantes, d’un apprentissage par les pairs et d’une immersion en entreprise de 9 semaines. Retenue dans le cadre d’un appel à candidatures, Sète Agglopôle Méditerranée poursuit son soutien à la formation et à l’emploi avec l’accueil de cette nouvelle antenne.

La seconde ag-glomération de l’Hérault s’engage à mettre les étudiants en relation avec des entreprises lo- cales et met à leur disposition l’Espace Bernard Palissy, à proximité du centre-ville. Après Montpellier, Lunel et Béziers, Sète devient la quatrième ville de l’Hérault à accueillir une Ecole régionale du numérique.

Depuis 2019, 108 stagiaires ont été accueillis dans le département, dont 35 en 2022. Ecole régionale du numérique : un réseau de formations innovantes au numérique La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée est la 1ère Région à avoir créé une Ecole régionale du numérique sous la forme d’un réseau innovant de formations, déployé sur l’ensemble des 13 départements de la région. Ces formations s’adressent aux demandeurs d'emploi possédant un faible niveau de qualification dans un secteur à fort potentiel d’emploi, qui compte 18 500 entreprises et plus de 64 000 emplois en Occitanie, avec une croissance des offres d’emploi de 5,9% en 2023.

Les métiers visés sont ceux du développement web / mobile, de la maintenance réseaux et de l’infographie, particulièrement porteurs d’emploi. Sur les précédentes années, les résultats d’insertion enregistrés sont élevés, avec près de 80% de sorties positives à l’issue de la formation. Une des originalités de l’Ecole régionale du numérique est le choix fait par la Région de s’appuyer sur des partenariats forts avec les collectivités locales prêtes à accueillir ces écoles, en mettant à disposition un local et en favorisant la mise en relation directe avec les acteurs économiques du territoire.

Il faut savoir que ces partenariats permettent d’expérimenter des offres adaptées à chaque territoire et à leurs besoins. 20 communes d’Occitanie accueillent une Ecole régionale du numérique : Auch, Lourdes, Pamiers, Cahors, Moissac, Castres, Mende, Alès, Lunel, Béziers, Perpignan, Carcassonne, Rodez, Saint-Gaudens, Montpellier, Toulouse, Caylus, Millau, Albi, Sète. L’Ecole régionale du numérique en chiffres - 20 antennes réparties sur les 13 départements ; - Plus de 1700 personnes formées ; - 24% de femmes (tendance à la hausse) ; - 61% de public de niveau Bac ou infra Bac avant l’entrée en formation ; - 87% de réussite à la certification ; - 80% d’insertion professionnelle 18 mois après la certification (60% de salariés et 20% en poursuite d’études) ; - 82% des apprenants jugent bénéfique et utile la formation pour trouver un emploi ; - 100% des frais de formation pris en charge par la Région, pour un montant total de 2,5 millions d’euros

Planification écologique : comment vont être utilisés les 10 milliards d'euros annoncés par le gouvernement ?

Selion France Info :

Jour De La Terre, Célébration

Transports, bâtiments, biodiversité… Au lendemain de la présentation des grandes lignes de sa politique de planification écologique aux partis, le gouvernement a détaillé devant le Conseil national de la refondation, mardi 19 septembre, la répartition des "10 milliards d'euros" qui doivent être utilisés pour la financer. 

>> Planification écologique : où en sont les sept chantiers phares du gouvernement ?

Ces 10 milliards correspondent en réalité à des autorisations d'engagement. Concrètement, cela signifie que l'Etat "est autorisé à engager 10 milliards d'euros de dépenses au cours des prochaines années, y compris après 2024", décrypte pour franceinfo Damien Demailly, directeur général adjoint de l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE). Sept milliards de ces dépenses proviendront du budget de l'Etat pour l'année 2024, comme l'avait déjà fait savoir la Première ministre, Elisabeth Borne, en juillet. 

Plus de deux milliards pour l'agriculture et la biodiversité

Dans le détail, le gouvernement prévoit d'investir 2,3 milliards d'euros en faveur de l'agriculture et de la biodiversité : 500 millions d'euros devraient être consacrés au reboisement forestier, 500 millions au "plan eau", 500 millions à des subventions versées aux agriculteurs pour que ceux-ci puissent réaliser des diagnostics de leur bilan carbone et replanter des haies...

Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/politique/planification-ecologique-comment-vont-etre-utilises-les-10-milliards-d-euros-annonces-par-le-gouvernement_6071337.html

Coup d'Etat au Niger : Emmanuel Macron annonce que l'ambassadeur de France est "pris en otage"

Le président affirme que "des membres diplomatiques" sont également retenus à l'ambassade de France.

Selon France Info :

Emmanuel Macron a annoncé, vendredi 15 septembre, que l'ambassadeur de France au Niger, Sylvain Itté, avait été pris en "otage" par les militaires qui ont renversé le président Mohamed Bazoum et pris le pouvoir le 26 juillet. "Au Niger, au moment où je vous parle, nous avons un ambassadeur et des membres diplomatiques qui sont pris en otage littéralement à l'ambassade de France", a déclaré le chef de l'Etat lors d'un déplacement à Semur-en-Auxois (Côte-d'Or).

"On empêche de livrer la nourriture. Il mange avec des rations militaires", a-t-il ajouté. L'ambassadeur n'a "plus la possibilité de sortir, il est persona non grata et on refuse qu'il puisse s'alimenter", a martelé Emmanuel Macron. Interrogé sur un éventuel rapatriement de l'ambassadeur à Paris, le chef de l'Etat a réitéré : "Je ferai ce que nous conviendrons avec le président Bazoum parce que c'est lui l'autorité légitime et je lui parle chaque jour"............... Aller plus loin : https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/niger/coup-d-etat-au-niger-emmanuel-macron-annonce-que-l-ambassadeur-de-france-est-pris-en-otage_6064407.html

C’est voté !

Thématiques Aménagement du territoire Assemblée Collèges & Education Déplacement & Mobilité Développement durable Enfance & Famille Les 13 engagements du Département Seniors Solidarité

Pour cette session de rentrée, de nouveaux projets majeurs ont été votés en assemblée. Solidarité, environnement, mobilités douces… On fait le point !

En préambule de cette session, le Président Kléber Mesquida est revenu sur certains des rendez-vous marquants de ces dernières semaines.

« Ce dimanche 17 septembre, nous étions nombreux pour l’inauguration du bois sacré à la Scène de Bayssan ! » précise-t-il. Effectivement un beau rendez-vous autour de ce parc à parcourir à la découverte des statues des divinités grecques réalisées lors des derniers symposiums de sculpture sur marbre.

Dernière nouveauté : des QR codes installés à côté des statues pour profiter de récits sonores. Un plongeon exceptionnel dans le monde antique !

Ce même jour, on célébrait également la clôture de l’édition 2023 du symposium en découvrant les 6 nouvelles statues sculptées avec brio par des artistes venus d’Italie, du Costa Rica, d’Israël, d’Inde ou encore de Chine. Des œuvres originales qui prendront bientôt place pas très loin, dans les Jardins de la Méditerranée.

Autre moment clé de l’actualité, la tournée de visites des collèges du Président, accompagné par le Vice-Président délégué à l’éducation, Renaud Calvat et des conseillers départementaux des cantons. Des temps forts dans les collèges de Florensac, Les Garrigues (Montpellier), Cessenon-sur-Orb, Frontignan et Saint-Gély-du-Fesc, et l’occasion d’annonces importantes pour le futur de nos établissements. Article à lire ici

C’était aussi avec les viticulteurs que le Président avait rendez-vous durant ce mois de septembre pour sa traditionnelle tournée des caves :

« Avec Yvon Pellet, notre Vice-Président délégué à l’agriculture, ces RDV sont essentiels pour prendre le pouls du secteur, aller à la rencontre des producteurs, échanger sur les difficultés de leur activité et rappeler le soutien infaillible du Département à leurs côtés ».

 

Enfin, un mot de Gaëlle Lévêque, conseillère départementale du canton de Lodève, était présente au Congrès international des GEOPARC :

« Nous avons pu présenter notre projet pour promouvoir et préserver notre richesse géologique héraultaise vieille de 600 millions d’années et avons reçu un très bon accueil sur place ! ».

Le dossier de candidature sera déposé en 2024 ! A suivre donc…

 

En Hérault, la solidarité n’a pas de frontières

Première proposition soumise au vote : une enveloppe de 50 000 € pour aider les victimes du séisme au Maroc. Un fonds qui sera versé au FACECO, un outil qui permet aux collectivités d’apporter une aide exceptionnelle lors d’urgences humanitaires. Une initiative saluée à l’unanimité par les élus !

Et parmi les autres programmes présentés, qui marquent l’engagement solidaire de l’Hérault pour ses habitants : le bilan de la CFPPA (Conférence des Financeurs de la Prévention de la perte d’autonomie). « En 2022, a expliqué Patricia Weber, Vice-Présidente déléguée à la solidarité aux personnes et à l’autonomie, 4 307 actions collectives de prévention ont été réalisées auprès de 13 535 seniors et leurs aidants ! ». Une belle et riche dynamique qui s’inscrit dans des projets qui ont du sens comme les rencontres interculturelles menées à Carnon, Saint-André-de-Sangonis et Gignac, ou encore les balades patrimoine adaptées aux seniors à Lamalou-les-Bains, Pinet ou Montarnaud. Pour ne citer que ces exemples !

La CFFPPA, Qu’est-ce que c’est ?
Pilotée par le Président du Département de l’Hérault Kléber Mesquida aux côtés l’Agence Régionale de Santé (ARS) qui en assure la vice-présidence, la CFPPA est une instance qui agit pour soutenir l’autonomie des seniors et accompagner les aidants.

L’Hérault, terre résiliente

Le schéma stratégique des équipements de défense des forêts contre l’incendie révisé pour préparer l’avenir. Jacques Rigaud, délégué aux Moyens opérationnels et au patrimoine départemental soulignait le rôle majeur des forestiers-sapeurs dans la lutte contre les feux : « 105 forestiers œuvrent toute l’année pour limiter les incendies sur la période estivale ». Mission réussie d’autant que ces équipes sont primo-intervenantes sur 90 % des départs de feux. Cet engagement est donc majeur, aux côtés du SDIS, à l’heure où les conséquences du changement climatique impactent l’Hérault : « Ce nouveau schéma, c’est le résultat de 2 ans de travail avec les partenaires » insiste le Vice-Président.

Parmi les travaux en cours :

  • Un nouvel aménagement du réseau de pistes destiné à desservir les massifs forestiers
  • De nouvelles préconisations sur le débroussaillement latéral en bord de piste
  • Un nouveau maillage en points d’approvisionnement d’eau, essentiellement constitué de citernes pour garantir l’approvisionnement des moyens de lutte

A NOTER : Le Département soutient l’action du SDIS qui réalise notamment un inventaire des points d’eau brute pour préserver la ressource.

LES FORESTIERS-SAPEURS

 

L’eau, une ressource précieuse à préserver

Le Département agit sur tout le cycle de l’eau, sur le grand cycle comme le petit cycle de l’eau. Définition rapide par le conseiller départemental Sébastien Cristol : « Le Grand Cycle, c’est l’eau qui tombe du ciel, part dans les rivières et retourne à la mer, le petit cycle lui est plutôt destiné à la consommation des habitants » ! Lors de la session, les élus ont voté le nouveau plan d’action pour la gestion de l’eau sur le Bassin Orb-Libron.

Parmi les objectifs : prévenir les inondations, sensibiliser les publics et préserver la ressource et les milieux.

Des installations durables sur les ports départementaux

Là encore, le Département se tient aux côtés des producteurs, notamment les pêcheurs et les conchyliculteurs en pensant des aménagements durables qui respectent l’activité et l’environnement.

Parmi les projets votés, la poursuite des travaux au Grau d’Agde sur les espaces de stockage et ramendage avec des matériaux durables mais aussi la réhabilitation des réseaux d’alimentation en eau de mer de mas conchylicoles autour de l’étang de Thau !

 

 

Du nouveau pour les mobilités douces

Un nouveau « Plan Hérault covoiturage 2023-2028 » adopté pour « lutter contre l’autosolisme » comme l’expliquait en séance Philippe Vidal, Vice-Président délégué à l’aménagement du territoire.

Construit sur la base d’enquêtes réalisées auprès des usagers et du grand public, ce plan apporte des propositions concrètes pour avancer vers la solidarité dans les transports. « Nous avons 22 aires de covoiturage, 12 sont en projet, mais il y en aura beaucoup plus ! » a annoncé l’élu. Une démarche sur la bonne voie !

Autre engagement fort avec le renouvellement du partenariat « Hérault Mobilités inclusives et solidaires » avec les communautés de communes jusqu’à 2028. L’objectif est clair : travailler de concert pour développer le covoiturage, soutenir les plateformes de mobilité inclusive comme REZO POUCE, aménager des pistes cyclables ou encore soutenir le télétravail avec la création de tiers-lieux !

 

 

  • 900 000 personnes covoiturent au quotidien en France
  • 4,5 millions de tonnes de Co2/ an économisées

 

  • 66% des Héraultais sont prêts à faire du covoiturage
  • 80 à 100% le taux de remplissage des aires de covoiturage en Hérault

En Hérault, l’avenir s’écrit résolument aujourd’hui !.

Comment financer votre permis de conduire ?

Permis De Conduire, École De Conduite

Vous souhaitez passer votre permis mais les coûts financiers vous freinent ? Apprenti, en recherche d'emploi, en situation de handicap, etc., il existe de nombreux cas où vous pouvez bénéficier d'aides pour financer votre permis de conduire. Découvrez les conditions d'éligibilité.

Le permis à 1€ par jour pour les 15-25 ans

Le permis à 1€ par jour, qu'est-ce que c'est ?

Le permis à 1 € par jour prend la forme d'un prêt dont les intérêts sont payés par l’État, pour aider les jeunes de 15 à 25 ans révolus à financer leur formation au permis de conduire.

Pour en bénéficier il faut :

  • être âgé de 15 à 25 ans révolus
  • s'inscrire dans une école de conduite partenaire
  • préparer le permis de conduire de catégorie B, A1 ou A2.

Le montant du prêt peut s'échelonner de 600 €, 800 €, 1 000 € ou 1 200 €, pour une première inscription à une formation au permis de conduire. Le remboursement du prêt se fait par mensualités de 30 € maximum.

Comment obtenir ce prêt ?

Premièrement, vous devez vous inscrire au sein d'une école partenaire de ce dispositif. Seules les écoles de conduite et associations qui possèdent le label d'État « qualité des formations au sein des écoles de conduite » offrent la possibilité d’accéder au dispositif « permis un euro par jour ». L'école examine votre candidature et après avoir déterminé avec elle le nombre d'heures nécessaire, un devis est établi et vous signez un contrat de formation.

Vous devez par la suite, demander un prêt auprès d'un établissement financier partenaire.Une fois le prêt accordé, et après le délai de rétractation de 14 jours, le montant du prêt est versé en une, deux ou trois fois à l'école de conduite ou à l'association agréée.

 

L'aide pour les apprentis

Afin de financer leur permis de conduire, les apprentis bénéficient d'une aide de 500 euros.

Quelles conditions pour bénéficier de l'aide aux apprentis?

  • Avoir 18 ans ou plus.
  • Être en cours de contrat d'apprentissage.
  • Préparer le permis B.

Comment obtenir cette aide ?

Pour cela vous devez transmettre une demande d'aide à votre centre de formation d'apprentis (CFA) avec les documents suivants :

  • le formulaire de demande d'aide renseigné et signé
  • une copie recto-verso d'une pièce d'identité (carte nationale d'identité, passeport ou titre de séjour en cours de validité)   
  • une copie d'un devis ou d'une facture de l'école de conduite datant de moins d'un an
  • un RIB, si vous souhaitez que l'aide soit directement versée sur votre compte.

L'aide pour les demandeurs d'emploi

Dans le cadre de votre recherche d'emploi, vous pouvez bénéficier de l'aide financière à la recherche d'un emploi (qui peut aller jusqu'à 1200 €). Pour en bénéficier, cette aide doit vous permettre de lever le frein à la reprise d'un emploi que représente le fait de ne pas être titulaire du permis de conduire.

L'aide est à demander auprès de votre agence pôle emploi en remplissant un formulaire uniquement disponible en agence (référence 303) préalablement à l'inscription en auto-école.

Les aides pour les personnes en situation de handicap

Si vous touchez la prestation de compensation du handicap (PCH) (aide financière versée par le département pour permettre aux personnes en situation de handicap de rembourser les dépenses liées à la perte d'autonomie) sachez que vous pouvez en utiliser une partie pour financer des leçons de conduite.

De même, si votre insertion professionnelle nécessite l'utilisation d'un véhicule, vous pouvez solliciter une aide financière - qui peut aller jusqu'à 1000 € - auprès de l'Agefiph ou bien du Fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP).

Pour connaitre en détail les conditions d'éligibilité à ces aides, il est conseillé de vous renseigner directement auprès de votre maison départementale des personnes handicapées (MDPH).

L'utilisation du compte personnel de formation (CPF)

Quelle que soit votre situation, vous pouvez également utiliser votre compte personnel de formation (CPF) pour financer votre permis de conduire (code et conduite) des catégories suivantes : B, C1, C, D1, D, C1E, CE, D1E, DE.

Cependant, il est nécessaire de remplir les conditions suivantes :

  • l'obtention du permis doit contribuer à la réalisation ou à la sécurisation de votre projet professionnel
  • vous n'êtes pas sous soumis à une interdiction de demande de permis (cette information est vérifiée par une attestation sur l'honneur),
  • la préparation au permis doit être assurée par un établissement agréé et déclaré en tant qu'organisme de formation.

Notez également que vous ne pouvez pas solliciter cette aide si vous étiez déjà titulaire du permis de conduire mais que celui-ci a été suspendu.

À savoir

Cette aide est cumulable avec les autres aides au financement du permis de conduire, notamment le permis à 1 € par jour pour les 12-25 ans.