PRÉAMBULE DU FESTIVAL DE THAU

 

►Journées Portes Ouvertes

Visitez gratuitement tout le week-end le Musée gallo-romain Villa-Loupian et son site archéologique (mosaïques du Ve siècle) ainsi que le Jardin Antique Méditerranéen !

>> Entrée libre de 10h à 12h et de 14h à 18h (dernière entrée 1h avant la fermeture).

► Exposition "Focus sur les fouilles récentes de Balaruc"

Exposition en partenariat avec le Centre photographique documentaire – ImageSingulières. La résidence de Clémentine Schneidermann « SÈTE#20 » s'installe au Musée Ethnographique de l'Etang de Thau. Venez découvrir l’exposition, dans le sillage du Centenaire Brassens !

Pour faire suite à l’exposition « Lapis Fructus » inaugurée en septembre 2020 au Musée galloromain Villa-Loupian, David Huguenin vous invite cette année à découvrir l’exposition « Herba Diva » au Jardin antique Méditerranéen. Ces deux volets d’un même thème se proposent de mettre en relation le monde végétal, la variété de ses formes (figurés à Loupian sur les mosaïques, réels et vivants dans le jardin de Balaruc-les-Bains), et la mémoire symbolique des divinités antiques. L’origine des images présentées à cette occasion est le jardin même. Nymphes, déesses et dieux sont ainsi évoqués par les arbres, fleurs ou fruits qui leur sont associés. David Huguenin est né en 1971. Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie en 1996, il partage son temps entre le développement d’un travail artistique et des commandes institutionnelles. En 1998, une mission du CNRS l’intègre aux recherches du Centre Franco Egyptien d’Etudes des Temples de Karnak. Depuis, en tant que photographe professionnel, il a collaboré à de nombreux projets en lien avec le paysage et l’architecture. Avec le paysage, à travers la mise en place d’observatoires photographiques. Pour l’architecture, collaborations, reportages, études, réflexions éditoriales. Habitant la région de Sète, son travail de création est nourri par l’observation de la nature, l’architecture, le paysage.

Exposition en partenariat avec l'espace o25rjj à Loupian

Ce n’est pas « Retour vers le futur » mais presque ! Si l’artiste se plaît à pratiquer l’aller-retour temporel entre ses œuvres et les pièces présentes dans le musée, c’est pour créer une sorte de décalage absurde visant à bousculer le sens que l’on porte à la lecture de son travail. Par le biais de dispositifs simples, d’objets peints, employant et détournant certains matériaux industriels, il cherche autant à accentuer qu’à dissimuler les formes dans l’espace. A travers un jeu de piste teinté d’humour, Bruno Mercet a décidé d’incarner la figure de Romain Gallo le « mé-gallo », un pseudo artiste star engagé-dégagé rêvant d’Hollywood, d’enseigne commerciale et j’en passe…

Bruno Mercet vit et travaille à Millau. À la fois dessinateur, peintre et performeur, il explore aussi la photographie et la vidéo. Son travail, entre rigueur et spontanéité, questionne le rapport à l’objet dans sa dimension plastique, poétique et dérisoire. Simultanément, exposition d’une œuvre de Bruno Mercet sur la F.L.A.C. de l’Espace o25rjj au centre de Loupian, lieu de résidence de travail de l’artiste pour la création de ses œuvres in situ. Exposition à ciel ouvert | 25 rue Jean Jaurès, Loupian | Visible 24h/24h.

 Du 19 Juin au 27 Septembre, au Musée gallo-romain Villa-Loupian

Accès dans les conditions normales d'entrée.

Selon Orange.fr

"Interrogé par BFM TV le ministère de l'Intérieur confirme que les numéros d'urgence connaissent d'importants problèmes techniques notamment en Île-de-France. Le problème est survenu aux alentours de 18h30 ce mercredi 2 juin et il pourrait avoir de graves conséquences. Dans plusieurs départements, joindre certains numéros d'urgence devient impossible. Que ce soit le 15 pour appeler le SAMU, mais aussi le 18, pour appeler les pompiers, ou encore le 112, le numéro d'urgence utilisé dans l'ensemble de l'Union européenne, d'importants problèmes techniques rendent les communications compliquées, voire impossibles."

Lire et voir sur https://actu.orange.fr/france/pompiers-police-samu-de-nombreux-departements-face-a-une-panne-des-numeros-d-urgence-magic-CNT000001Bu9C1.html

Mina Zwiler Bouzigaude depuis trois ans, connaît bien ce village au bord de l'étang de Thau car si elle est Née à Sète, si elle a fait une partie de ses études au collège de Loupian, elle  a passé une grande partie de son enfance chez sa grand-mère, à Bouzigues.

Mina s'était mis à écoute régulièrement de la musique, des chansons vers 16 ans. Née dans une famille dans laquelle l'on apprécie les Arts,  elle a porté beaucoup d'attention à tout ce qu'elle entendait, tout ce qu'elle écoutait. 

Il y eut un premier déclic. Elle avait envie de chanter.

Mais parallèlement il fallait poursuivre ses études. C'est ce qu'elle fit. Mais une fois le Bac Pro en poche, elle se lança dans le monde du travail. Elle n'a pour autant pas oublié ce qu'elle souhaitait. De la musique, des chansons, des concerts.

Il y a plus de trois ans elle participait à des concours de chant, locaux. Obtenant de bons résultats elle se lançait sur Facebook et sur les réseaux en postant des vidéos tout en s'amusant et en profitant de belles expériences

 Quelques essais de collaboration infructueux à Paris puis ce fut le bon choix en intégrant un label et en travaillant avec un producteur, Dimitri Biehlmann, avec lequel elle a déjà enregistré deux titres, un clip et un audio. Second déclic, c'était parti.

(    Voir sur You Tube :  https://youtu.be/DSEKKUsrIuQ  , Ligne2, un premier Single avec clip, fin 2019 ).

( Et un autre Single, il y a 4 mois : ADIEU... sur https://www.youtube.com/watch?v=8wTVmv94aaw)

Des déplacements à Annecy depuis un an et beaucoup de travail en amont car Mina, si elle écrit les paroles des chansons, trouvent aussi les mélodies (au piano) à partir desquelles en studio, musiciens et techniciens iront plus loin. Ce n'est pas fini. Elle écrit ensuite les scénarios des vidéos qui seront tournées en studio ou en extérieur par un caméraman.

Bien qu'autodidacte, Mina a réussi à toucher un public qu apprécie sa sa sensibilité, sa voix, et l'émotion que ses chansons peuvent susciter.

Et il y a plus d'une semaine une nouvelle vidéo avec "ASSEZ"  déjà un succès sur sa chaîne You Tube : https://youtube.com/channel/UC8zwsRA7... et bientôt disponible sur les plateformes digitales ...

C'est d'ailleurs ce qu'elle souhaite : "Je m'épanouis dans ce domaine mais mon plus grand plaisir c'est le partage avec ceux qui souhaitent m'écouter. Nous partageons du bonheur, ensemble."

Mina est consciente que les contraintes professionnelles ne lui permettront peut-être pas de réaliser tous ses rêves, mais sa passion pour la chanson l'aidera a franchir des paliers, de monter peut-être sur scène pour aller "plus haut". Au-delà de sa belle voix, elle a toutes les cartes dans ses mains pour poursuivre dans ce sens en saisissant les bonnes opportunités...

 
Suite à la censure partielle du Conseil Constitutionnel sur la Loi Molac, Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, ainsi que l'ensemble des présidents de Régions, ont co-signé un courrier adressé au président de la République demandant notamment de sécuriser définitivement l'enseignement immersif des langues régionales en France.
 
Ce vendredi 28 mai, la présidente Carole Delga s'est rendue au CIRDOC pour présenter le programme de l'édition 2021 du grand festival populaire Total Festum. A cette occasion, elle a réuni et rencontré les acteurs engagés dans la défense et la promotion des langues occitane et catalane au regard de la décision du Conseil constitutionnel. A l'issue de ces échanges, Carole Delga a renouvelé son soutien aux acteurs et a proposé un plan d'actions, sur le court et moyen terme, afin de garantir aux familles dont les enfants sont inscrits dans les Calandreta et Bressolla l'apprentissage des langues régionales à la rentrée prochaine.
 
Dans le courrier adressé, le mardi 1er juin, au président de la République, l'ensemble des présidents de Régions à travers Régions de France ont déclaré : « En quelques semaines, nous sommes passés, en matière de protection et de promotion des langues régionales, de la satisfaction à l'incompréhension, pour recouvrer un peu d'espoir avec vos récents propos. Comme vous, nous sommes convaincus que ces langues sont notre trésor national, pépites du patrimoine de la France comme le proclame notre Constitution dans son article 75-1.
 
Nous avons salué en avril le vote de la loi Molac, première avancée législative depuis 70 ans pour sauver réellement le patrimoine linguistique. Aussi, la censure par le Conseil constitutionnel des dispositions sur l'enseignement immersif et sur les signes diacritiques à l'état-civil a paru à nos yeux comme un recul incompréhensible. Nous avons pris acte de vos annonces et de celles du Premier ministre et espérons désormais beaucoup de la mission des parlementaires en mission.
 
Nous souhaitons trouver avec vous les moyens de sécuriser définitivement l'enseignement immersif des langues régionales, que cela soit au sein d'écoles publiques ou associatives, ainsi que les moyens d'autoriser la présence des signes diacritiques dans l'état-civil. Nous le devons dès la rentrée prochaine aux familles, aux enfants et aux associations. La forte mobilisation dans nos régions ce week-end nous conforte sur le bien-fondé d'agir rapidement et avec efficacité.
 
La méthode pédagogique par immersion est en reconnue comme efficace pour l'apprentissage de toutes les langues, comme le prouve le développement des classes internationales dans nos lycées. La maîtrise de plusieurs langues est une richesse incomparable pour nos jeunes, aujourd'hui comme demain. Elle peut même améliorer la maîtrise du français ! Enfin, l'enseignement immersif peut créer de nouveaux locuteurs disposant des compétences nécessaires. Car tel est aussi l'enjeu pour celles et ceux qui veulent sauver nos langues régionales. »

Lintégralité du courrier adressé au président de la République ainsi que la tribune

. 20210601_Lettre_au_PR_enseignement_immersif_RDF.pdf

 LETTRE_OUVERTE_AU_PRESIDENT_DE_LA_REPUBLIQUE.pdf

Les soirées jazz, lancées il y a huit ans par Joël Julien, directeur général de la Famille des Vins de Beauvignac, figurent désormais parmi les rendez-vous incontournables de la saison estivale. 2021 sera, à n'en point douter, une année "grand cru" avec de nouveaux spectacles mais aussi avec quelques "têtes anciennes" qui nous ont régalé…

Voici le programme de l'été qui vient (bien faire attention aux contraintes sanitaires) :

		8 juillet - JUSTINE BLUE TRIO. Les soirées avec Justine Blue sont toujours magiques. Elle nous envoûtera de sa voix soul et jazz, accompagnée par ses fidèles musiciens : John Owens à la guitare et Romain Delorme à la contrebasse
		15 juillet - SOUL BAND EXPERIENCE Groupe de neuf musiciens né de l'amour de la musique soul, funk des années 60-70, déterminés à jouer une musique festive et dansante, fidèle à l'esprit et aux codes de la musique afro-américaine.
		22 juillet - SWUNKY LONG LEGGS Septet Emily Prezeniczka, véritable Show Girl, portée par des musiciens professionnels : Arthur Anelli, Symon Savignoni, Michel Crosio, Emelien de Bortoli, Yoann Godefroy et Aurélien Deltoro forment un cocktail explosif !
		29 juillet - NAÏMA Quartet Véritable gardien du groove et du rythme, Thomas Doméné forme avec Naïma Girou, le socle sur lequel peuvent s'appuyer les envolées de Jules le Risbé, au piano, et John Owens, à la guitare.
		5 août - NICOLAS GROSSO Trio Nicolas Grosso, pour son retour à Beauvignac, accompagné de Stephan Notari, à la batterie et au washboard et de Gildas, à la contrebasse, nous proposera des reprises et des compositions originales sur fond de Swing et de Rock'n roll.
		12 août - MY JOSEPHINE Trio My Josephine, alias Marie Nosmas : une voix jazz, blues et gospel. Formation surprenante et innovante : Betty Bett, composition, chant et contrebasse ; Duff : Fingerdum et beatmaking ; Louis Huck à la guitare
		19 août - SWEET AND SWING Trio Angela Amico, de sa voix douce ou endiablée, accompagnée au piano par Laurent Marc et à la guitare, par Patrice Aili, revisite les standards jazz et nous offre un véritable voyage musical.
		26 août - THE SWEET PEPPERS Quintet Jazz des années 1920 à 1940, porté par les voix d'Audrey Leclair et Sami Khalfoune accompagnés par David Tavani à la clarinette, Fernando Morisson au cor et Arthur Defain à la batterie.