Education

Semaine de la presse et des médias dans l'École

La Semaine de la presse et des médias dans l’École® permet aux élèves d'apprendre à mieux décrypter l’univers des médias et de comprendre ses enjeux culturels et démocratiques. Les enseignants des écoles, collèges et lycées inscrits participent avec leurs élèves, du 22 au 27 mars 2021, à cette semaine organisée par le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (Clemi).

Découvrir l'univers des médias

Chaque année, au printemps, les classes de tous niveaux et de toutes disciplines peuvent participer à la Semaine de la presse et des médias dans l’École®. Cette activité d’éducation civique a pour but d’aider les élèves, de la maternelle aux classes préparatoires à :

  • comprendre le système des médias
  • former leur jugement critique
  • développer leur goût pour l’actualité
  • forger leur identité de citoyen

Le thème de l'édition 2021

La 32e Semaine de la presse et des médias dans l'École® a lieu du 22 au 27 mars 2021.

Le thème de l'édition 2021 est "S’informer pour comprendre le monde".

Pour comprendre le monde qui les entoure, les élèves doivent plus que jamais apprendre à s’informer en exerçant leur esprit critique. Ce nouveau thème permet ainsi de revenir aux fondamentaux de l’éducation aux médias et à l’information : distinguer les différentes sources, comprendre les contextes de fabrication et de diffusion de l’information, connaître les usages et les effets des images, savoir déconstruire les stéréotypes. Dans un contexte de crise sanitaire, il apparaît aussi nécessaire de leur apprendre à se saisir de l’information à caractère scientifique.

En articulation avec le thème 2021 "S’informer pour comprendre le monde", trois grands axes sont mis à l’honneur :

  • Liberté d’expression et dessin de presse
  • Médias scolaires
  • Usages responsables des réseaux sociaux

Le calendrier de l'édition 2021

Dans les Drom-Com, ce sont les équipes académiques du CLEMI qui organisent les inscriptions localement.

Les médias scolaires et lycéens peuvent s’inscrire sur la carte interactive des médias scolaires du CLEMI.

Ressources d’éducation aux médias et à l’information

Des petits déjeuners dans les écoles pour favoriser l’égalité des chances

Apprendre à bien se nourrir

Le repas est un moment privilégié d'apprentissage en famille ou à l'école. Les menus équilibrés des restaurants scolaires aident les élèves à acquérir de bonnes habitudes alimentaires.

L'éducation à l'alimentation et au goût intervient en classe tout au long de la scolarité. Les enseignants contribuent à l'acquisition des bonnes habitudes alimentaires.

L'éducation à la nutrition intervient en classe, dès l'école où les enfants acquièrent leurs premières habitudes alimentaires. Les enseignants jouent un rôle clé pour apprendre aux élèves les règles d'un bon comportement alimentaire et leur faire connaître les effets de l'alimentation sur la santé.

Les programmes scolaires développent tout au long de la scolarité, et notamment au cycle 2 et au cycle 4 les connaissances des élèves dans le domaine de l’alimentation. L’activité physique est enseignée tout au long de la scolarité. Tous ces cours doivent être l’occasion de transmettre des informations et d’éduquer les jeunes sur la relation nutrition santé et sur les repères du programme national nutrition santé (PNNS) et leur mise en pratique.

Professeurs d'économie, de géographie, SVT (sciences et vie de la Terre), PSE (prévention santé environnement), langues vivantes, EPS (éducation physique et sportive), etc., peuvent conduire un ensemble de projets d'éducation à l'alimentation en lien avec les programmes d'enseignement et les autres acteurs intervenant au sein de l'établissement scolaire (adjoint économique ou gestionnaire, chef de cuisine, conseiller principal d'éducation, assistant d'éducation, producteur local, diététicien, association, etc.). Ces actions s’inscrivent dans le cadre du parcours éducatif de santé.

Formation du goût

La capacité d'apprécier des saveurs différentes, de les différencier et de parler de ses sensations s'apprend et se cultive. L'école joue un rôle important dans l'éveil au goût. Elle valorise le patrimoine culinaire et promeut des produits de bonne qualité gustative et nutritionnelle.

Le goût s'apprend, s'éduque, s'acquiert dans le temps. Se faire plaisir, c'est aussi prendre son temps et savoir choisir. Des actions de formation du goût interviennent lors des cours ou à l'occasion d'activités ou d'animations diverses, parfois avec le concours d'intervenants extérieurs qualifiés, comme par exemple :

  • organisation d'animations dans le cadre d'ateliers de découverte
  • valorisation du patrimoine culinaire
  • promotion des produits de bonne qualité
  • découverte des odeurs, des saveurs, des épices et des essences
  • explication des secrets de fabrication
  • exercice de l'esprit critique face aux tendances et aux médias

Des expérimentations d’ateliers cuisine, s’appuyant en particulier sur des associations et des collectivités territoriales, sont en cours en lien avec des écoles et quelques collèges.

Un petit déjeuner à l'école pour soutenir les familles les plus fragiles

D'après le Plan national nutrition-santé, le petit déjeuner est un repas à part entière et doit représenter entre 20 et 25% des apports énergétiques sur l'ensemble d'une journée. Or, plusieurs études, notamment celles menées par le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CREDOC, 2015) et les études individuelles nationales des consommations alimentaires (INCA 3, 2014) montrent que la prise du petit déjeuner n'est pas systématique chez les enfants et les adolescents.

Près d'un professeur des écoles sur deux, quel que soit le niveau, identifie dans sa classe des élèves qui ont sauté le petit déjeuner. En moyenne, à l'école, 3,4 élèves par classe, du CP au CM2, arrivent en classe le ventre vide. Les raisons invoquées sont, dans l'ordre, le manque d'appétit, le manque de temps, le lever précoce, le stress, l'absence des parents le matin et les raisons économiques. Ainsi  13 % des enfants scolarisés en Rep et Rep+ arrivent à l'école le ventre vide et ne bénéficient donc pas de bonnes conditions pour leurs apprentissages.

Lors des travaux menés pour bâtir la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, l’accès de tous les élèves à un petit-déjeuner équilibré a ainsi émergé comme une nécessité pour garantir l’égalité des chances entre les enfants et lutter contre les privations matérielles dont ils sont victimes. 

Les ministères chargés de l'Education nationale et de la Jeunesse, des Solidarités et de la Santé, et de l'Agriculture et de l'Alimentation travaillent en partenariat afin de promouvoir de bonnes habitudes alimentaires et la prise d'un petit déjeuner. Sans se substituer aux familles, les ministères proposent des outils et des actions de sensibilisation afin de rappeler l'importance de ce repas dans l'équilibre alimentaire des plus jeunes.

Ce dispositif doit participer à la réduction des inégalités alimentaires pour le premier repas de la journée, indispensable à une concentration et une disponibilité aux apprentissages scolaires.

Un volet éducatif accompagne cette distribution afin d'apporter aux élèves une éducation à l'alimentation permettant de développer un projet pédagogique et éducatif.

Après une phase d'expérimentation de mars à juin 2019 dans près de 400 écoles volontaires Rep et Rep+, des quartiers de la politique de la ville et des territoires ruraux fragiles, le dispositif est généralisé depuis la rentrée de septembre 2019. L'objectif du gouvernement était que 100 000 élèves en bénéficient en 2019-2020. Pour l’année scolaire 2020-2021, la distribution des petits déjeuners en Rep, Rep+ et dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) principalement, mais pas exclusivement, se poursuit.

Le dispositif et a pu bénéficier à 153 000 élèves sur l’année scolaire 2019/2020. Malgré le coup d’arrêt lié à la crise sanitaire, les distributions ont repris à la rentrée 2020, en tenant compte des mesures sanitaires. L’impact social et économique de la crise sanitaire, en particulier pour les populations socialement les plus vulnérables, rend pourtant le dispositif plus nécessaire que jamais. L’alimentation des élèves ne doit pas être une victime collatérale de la crise, car elle conditionne tant d’autres choses et d’abord l’attention et donc la réussite scolaire.

Ces petits déjeuners doivent répondre à un cahier des charges précis :

  • ils doivent être équilibrés et de qualité ;
  • ils sont servis dans le respect des règles de sécurité et d'hygiène alimentaire ;
  • ils sont ouverts à tous les enfants ;
  • ils sont accompagnés d'une action d'éducation à l'alimentation et d'une sensibilisation des parents au rôle du petit déjeuner.

À l'occasion du lancement de la Semaine de la presse et des médias dans l'école 2021

À l'occasion du lancement de la Semaine de la presse et des médias dans l'école 2021 qui débute lundi 22 mars, retrouvez sur le groupe "
Semaine de la presse et des médias en famille" animé par le Clemi.fr, des ressources éducatives et ludiques.
Pendant six semaines, découvrez des contenus, ressources, outils et conseils utiles pour tous les parents. Vous pourrez partager vos expériences et échanger autour de sujets aussi divers que la parentalité numérique, la lutte contre fake news, la liberté d’expression ou la déconstruction des stéréotypes sexistes.
Rendez-vous deux fois par jour à partir de lundi prochain .
 
Peut être un dessin animé de texte qui dit ’Semaine CLEMI l'éducation Médias Ecole Groupe La Semaine de la presse et des médias en Famille INFOS #FamilleToutÉcran @LaSpme @LeCLEMI f /clemi.fr clemi.fr #SPME2021’

Lancement de la semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme

Du 21 au 28 mars 2021, la semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme valorise l'engagement des institutions et des acteurs de la société civile en faveur des valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. Temps fort de la mobilisation des acteurs de la lutte contre le racisme et l'antisémitisme, cette semaine est l'occasion de donner une impulsion nationale forte aux actions éducatives menées dans le champ de la prévention du racisme et de l’antisémitisme, de la défense et de la promotion des Droits de l’Homme et des principes fondamentaux de la République.

L’édition 2021 de la semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme se déroule du 21 au 28 mars prochain.

A cette occasion, la DILCRAH invite l'ensemble des partenaires de la lutte contre le racisme et l'antisémitisme à s'associer à la mobilisation en partageant le hashtag #TousUnisContreLaHaine.


L'objectif est de parvenir à  donner une forte visibilité aux actions de prévention du racisme et de l'antisémitisme dans le respect des restrictions sanitaires.  
Une carte pour retrouver tous les événements

 Sur https://www.gouvernement.fr/lancement-de-la-semaine-d-education-et-d-actions

Un répertoire recense l'ensemble des événements interactifs proposés par les associations, les établissements scolaires et les établissements culturels.Les actions* concernent par exemple :
 
  • l'éducation à la lutte contre les préjugés et les stéréotypes
  • la prévention contre les théories du complot
  • la reconnaissance de la richesse de la diversité humaine et culturelle
  • la tolérance et l'enrichissement mutuel
  • l'encouragement à l'esprit critique et la résistance face à l'injustice

Accédez à la plateforme dédiée et téléchargez le kit de communication sur le site http://dilcrah.fr/semaine21mars

870 projets locaux dédiés à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT financés en 2021

 

En 2021, 870 structures locales bénéficient d'un soutien de la DILCRAH dans le cadre de l'appel à projets locaux lancé par Elisabeth MORENO, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances. Parmi ces 870 projets, 292 concernent la lutte contre la haine et les discriminations anti-LGBT et 578 concernent la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. Les structures locales financées couvrent l’ensemble du territoire : des centres urbains aux zones rurales, en hexagone et dans les territoires ultramarins. 

Financé à hauteur de 2 millions d'euros, l’appel à projets locaux permet de soutenir des actions citoyennes liées à l’éducation, la prévention, la formation et l’aide aux victimes, ainsi que des actions de communication en lien avec la lutte contre le racisme et l’antisémitisme et la lutte contre la haine et les discriminations anti-LGBT.  

Le succès remporté par cet appel à projets illustre l’engagement sans failles des acteurs de terrain malgré un contexte sanitaire difficile. Cet accompagnement intervient en complément des partenariats noués avec les institutions mémorielles et les associations nationales. Le soutien aux acteurs locaux marque la volonté du Gouvernement d’agir au plus près des territoires et des publics pour faire reculer la haine et l’intolérance et promouvoir la fraternité...

Accéder au site dédié à la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme
Télécharger L'affiche de la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme 2021
Accéder à la plateforme "Eduquer contre le racisme et l'antisémitisme"
Découvrir le portail "Valeurs de la République"
Accéder au vademecum Agir contre le racisme et l'antisémitisme dans l'enseignement supérieur


 

Les indicateurs de résultats des lycées

Les indicateurs de résultats des lycées relatifs à la session 2020 du baccalauréat sont consultables en ligne. Ils permettent d'évaluer l'action propre de chaque lycée en prenant en compte la réussite des élèves au baccalauréat et leur parcours scolaire dans l'établissement. Ils concernent l'ensemble des lycées d'enseignement général et technologique et des lycées professionnels, publics et privés sous contrat.

Pourquoi publier des indicateurs de résultats ?

Il ne s’agit pas de réaliser un classement des lycées, mais de proposer une image de la réalité complexe et relative que constituent les résultats d'un établissement. L’objectif des indicateurs de résultats des lycées est double :

Les indicateurs de résultats des lycées 2020

Données à télécharger (xlsx)

Téléchargez les données des indicateurs de résultats des lycées depuis 2008.

Sur : https://www.education.gouv.fr/les-indicateurs-de-resultats-des-lycees

Comment apprécier l’apport propre d’un lycée ?

Les résultats d’un établissement sont une réalité complexe. La question est de savoir ce qu'un lycée a "ajouté" au niveau initial de ses élèves. Si un lycée présente une valeur élevée pour un indicateur, c’est peut-être dû au fait :

  • qu'il a reçu de bons élèves, dotés de bonnes méthodes de travail, qui ont pu obtenir le baccalauréat sans effort particulier de sa part
  • ou qu'il a su développer chez des élèves, peut-être moins bien dotés au départ, les connaissances et les capacités qui ont permis leur succès

    Des indicateurs complémentaires

    Ils sont établis à partir des résultats des élèves ayant passé le baccalauréat et des données liées au déroulement de leur scolarité :

    • le taux de réussite au baccalauréat, c’est-à-dire la part de bacheliers parmi les élèves ayant passé l’examen.
    • le taux d’accès de seconde, de première et de terminale au baccalauréat, c’est-à-dire la probabilité qu’un élève obtienne le baccalauréat à l’issue d’une scolarité entière dans l’établissement, y compris en redoublant.
    • le taux de mentions au baccalauréat, c'est-à-dire la part de bacheliers reçus avec mention (assez bien, bien ou très bien) parmi les élèves ayant passé l'examen.

    La combinaison de ces indicateurs offre une analyse plus fine que celle du seul taux de réussite au baccalauréat des élèves de terminale : elle évalue la capacité de l’établissement à accompagner les élèves depuis la classe de seconde jusqu’à l’obtention du diplôme.

    Agrandir l'infographie
    Indicateurs I-val
     
     

    Qu’est-ce que la valeur ajoutée d’un établissement ?

    C’est une grandeur qui répond à la question de savoir ce qu'un lycée a "ajouté" au niveau initial de ses élèves. Elle mesure la différence entre les résultats obtenus et les résultats qui étaient attendus, compte tenu des caractéristiques scolaires et sociodémographiques des élèves.

    Les informations détaillées permettent de repérer les établissements qui ont les meilleures réussites dans une série donnée, ceux qui accompagnent leurs élèves de la seconde au baccalauréat, ceux qui acceptent de faire redoubler un élève après un échec à l’examen. C’est l’ensemble de ces informations qui donne la description exacte de l’activité d’un lycée, en considérant l’ensemble de son contexte.

    Quelles données sont prises en compte dans le calcul des indicateurs ?

    Pour donner une image de l’apport de chaque lycée, le calcul statistique s'efforce d'éliminer l'incidence des facteurs de réussite scolaire extérieurs au lycée pour essayer de conserver ce qui est dû à son action propre. Pour juger de l’efficacité d’un lycée, la réussite de chacun de ses élèves doit ainsi être comparée à celle des élèves comparables scolarisés dans des lycées comparables.

    L’analyse combine des facteurs individuels des élèves (âge et sexe, niveau scolaire à l’entrée au lycée, origine sociale) et des facteurs liés à la structure de l’établissement (pourcentage de filles, part d'élèves en retard scolaire, répartition des élèves par origine sociale et note moyenne obtenue au DNB). On tient compte, par exemple, du fait que les lycées ayant la plus forte proportion d’enfants de cadres supérieurs ou d’enseignants ont un impact positif sur les enfants d’ouvriers ou d’inactifs qu’ils scolarisent en moindre proportion.

    Les résultats des lycées

    Les indicateurs de résultats des lycées sont élaborés par la DEPP

    La direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance [DEPP] conçoit et produit des données et indicateurs sur la situation du système éducatif français. Elle est responsable de la diffusion et de l'analyse des informations qu'elle détient. Ce faisant, elle apporte des éléments de connaissance à l'ensemble de la société, participant ainsi au débat public général. Les publications de la DEPP sont disponibles en ligne.

    Missions de la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance

    Consulter l'actualité de la Depp et s'abonner à la liste de diffusion

    Les indicateurs de résultats des lycées sont également disponibles sur Data.education.gouv.fr

    Data.education.gouv.fr est une plateforme de diffusion de données publiques en open data. Lycées d'enseignement général et technologique Lycées professionnels

Le palmarès des lycées qui font réussir leurs élèves publié

Et si les meilleurs lycées n'étaient pas ceux que l'on croit ? Depuis 28 ans, le ministère de l'Education publie ses propres indicateurs, les Ival, qui veulent en dire plus que les simples taux de réussite au bac ou les réputations acquises par le bouche-à-oreille. 

Ce n'est "ni un palmarès, ni un classement" des lycées, assure Fabienne Rosenwald, à la tête de la Direction de l'évaluation, la prospective et la performance (Depp), rattachée au ministère. "Mais il s'agit de cerner leur capacité à accompagner les élèves jusqu'à l'obtention du baccalauréat".

Par exemple, les lycées parisiens Henri IV et Fénelon, emblématiques de l'excellence, sont "neutres".....................

 

Poursuivre sur : https://actu.orange.fr/france/le-palmares-des-lycees

Éducation au Développement durable : Table ronde de lycéens avec Brune Poirson

Éducation au Développement durable

Table ronde de lycéens avec Brune Poirson

 

Enregistrement de la table ronde en visioconférence entre élues lycéennes et élus lycéens (écodélégués, MDL, CVL...), CPE, référents vie lycéenne et EDD, DAVLC, Brune Poirson et Mme la rectrice. Les témoignages et échanges ont apporté des réponses aux questions essentielles pour faire vivre l'engagement de toutes et tous pour le développement durable. - Pourquoi se mobiliser en tant qu’éco-délégué dans son établissement ? - Comment réussir à sensibiliser, à mobiliser les autres élèves, mais aussi adultes sur les enjeux du développement durable et de la transition écologique ? - Comment faire le lien entre ce qui se passe en classe, les enseignements et les projets des élèves, des éco-délégués, menés dans le cadre de leur engagement dans les instances de l’établissement ? - L’EDD, une démarche globale et fédérée : comment permettre aux différentes actions d’être coordonnées, de faire système au sein d’un projet d’établissement ?

100 animations à destination des maternelles aux lycéens !

Malgré le contexte sanitaire, les animations pédagogiques continuent sur le territoire et s'adaptent aux mesures. 

Chaque année, le réseau CPIE Bassin de Thau vous présente un large choix d’activités nature et environnement réalisées par les structures membres de son réseau. Près de 100 animations sont proposées sur les thématiques suivantes : lagune et mer, garrigue, paysage et écosystèmes, aménagements et déplacements, environnement et art, eau, alimentation et jardin, climat énergie et air, déchets, métiers du territoire, engagement pour la nature, sciences pour la nature…

Contactez-nous pour réaliser des actions pédagogiques dans votre établissement : 

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser._body" class="adr black-to-orange contextEntry" href="https://webmail1n.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_JUNK&IDMSG=37177&check=&SORTBY=1" target="_blank">Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 
Voir la liste des animations

Lycéennes, lycéens plus que quelques jours pour formuler vos vœux sur Parcoursup.

Lycéens de Terminale, étudiants en réorientation, vous avez jusqu’au 11 mars pour formuler vos vœux et jusqu’au 8 avril pour finaliser votre dossier sur la plateforme Parcoursup avec les éléments demandés par les formations et confirmer chaque vœu pour les formations de votre choix dans l’enseignement supérieur. Découvrez la suite du calendrier 2021.Marche, Chemin, À Pied, Pieds, Sentier

Pixabay

Deux éléments sont nécessaires pour s’inscrire sur Parcoursup  :

  • une adresse électronique valide et consultée régulièrement pour recevoir des informations sur son dossier ;
  • l’INE (identifiant national élève) du candidat ou l’INAA (en lycée agricole). L’INE est présent sur le relevé de notes des épreuves anticipées du baccalauréat et sur les bulletins scolaires. Si un élève ne retrouve pas son INE, il peut solliciter son établissement pour l’obtenir.

  A savoir : 

  • les lycéens redoublants déjà inscrits sur Parcoursup doivent créer un nouveau dossier en utilisant la même adresse mail que l’année dernière. Cela leur permettra de récupérer directement des éléments de leur dossier ;
  • les élèves de terminale dans un lycée français à l’étranger (AEFE) doivent se renseigner auprès de leur établissement qui doit leur fournir l’identifiant à utiliser pour accéder à leur dossier.

Nouveautés 2021

De nouvelles formations sélectives :

Pour les étudiants qui souhaitent devenir professeurs des écoles, des parcours préparatoires au professorat des écoles (PPPE) sont proposées dès la rentrée 2021. Ces nouveaux parcours de licence permettant de se préparer dès la 1re année de licence au concours de professeur des écoles seront assurés en lycée et à l’université.

  A savoir : Sur la fiche de présentation de chaque formation (sauf celles en apprentissage), vous pouvez désormais consulter le rapport public d’examen des vœux 2020, établi par l’établissement. Ces données vous permettent de mieux comprendre les critères utilisés par les formations qui vous intéressent.

Découvrez la suite du calendrier 2021 :

Jusqu’à quand puis-je m’inscrire et formuler mes vœux ? Jusqu’au 11 mars 2021

Du 20 janvier au 11 mars 2021 : inscription sur Parcoursup, création du dossier candidat et saisie des vœux (jusqu’à 10 vœux avec la possibilité de sous-vœux selon les formations) sans avoir besoin de les classer ;

11 mars inclus : dernier jour pour formuler les vœux. Vous pouvez le faire au-delà de cette date lorsqu’ils portent sur une formation dispensée par la voie de l’apprentissage (la date limite de dépôt des vœux est fixée par l’établissement qui dispense cette formation).

  A noter : Un numéro vert 0 800 400 070 est à votre disposition pour toute assistance ainsi que la messagerie du dossier Parcoursup et les comptes sociaux Parcoursup (Twitter, Snapchat, Facebook et Instagram). Une foire aux questions est également disponible sur le site.

Jusqu’à quand puis-je compléter mon dossier et confirmer mes vœux ? Entre le 12 mars et le 8 avril 2021

8 avril : dernier jour pour finaliser votre dossier avec les éléments demandés par les formations (par exemple, un projet de formation motivé) et confirmer vos vœux.

Si vous êtes lycéen : après votre conseil de classe, vous vérifiez que vos bulletins scolaires et votre fiche Avenir sont bien renseignés dans votre dossier.

Avril-mai : les formations examinent les vœux que vous avez formulés.

Jusqu’à quand puis-je consulter les réponses des formations et y répondre ? Entre le 27 mai et le 16 septembre 2021

27 mai : c’est l’ouverture de la phase principale d’admission. Vous prenez connaissance des réponses des formations sur la plateforme. Vous recevez des propositions d’admission au fur et à mesure des décisions des établissements et vous devez y répondre dans les délais indiqués par la plateforme.

16 juin : ouverture de la phase complémentaire pour formuler de nouveaux vœux si besoin et obtenir une proposition d’admission dans une formation disposant de places disponibles.

6 juillet : résultats du baccalauréat.

Avant le 16 juillet : inscription dans les formations choisies par les candidats selon les modalités précisées sur leur dossier. Fin de la phase principale d’admission.

16 septembre : fin de la phase complémentaire.

  A savoir : Un accompagnement si vous n’avez pas reçu de réponse

Après les résultats du baccalauréat, vous pourrez bénéficier de l’accompagnement individualisé de la commission d’accès à l’enseignement supérieur (CAES) de votre académie. Vous pourrez demander un conseil, un accompagnement individuel ou collectif, dans votre lycée ou au Centre d’Information et d’Orientation (CIO) pour envisager d’autres choix de formation, en particulier si vous n’avez reçu que des réponses négatives de la part de formations sélectives (BTS, IUT, écoles etc.).