ASSOCIATIONS & Partis

2ème distribution par le sac solidaire étudiants 34 à l'Ifsi de Sète

 2ème distribution par le sac solidaire étudiants 34 à l'institut de Formation en Soins Infirmiers de Sète le 6 mai. Elle s'est parfaitement déroulée avec la venue de l'équipe de Mèze qui a apporté pas moins de... 80 beaux sacs bien pleins. Auxquels se sont ajoutés les sacs de la collecte de St Pons de Thomières accompagnés des créations des élèves des écoles de St Pons de Thomières, et les sacs de la collecte de Poussan !
 
Joëlle Gilet était là bien sûr, car sans elle le sac solidaire étudiants 34 n'aurait pas connu les besoins de l'ifsi Sète ! La directrice et le personnel ont aussi aidé.
Et peut être, au mois de juin, si les bénévoles réussissent à réunir un autre lot de sacs, une autre distribution. Ce 6 mai ils ont pu donner 2 sacs par étudiants...
Une soixantaine d'entre-eux ont alors reçu ces sacs...

Soutien du Rotary Club de Sète à l’association de sauvegarde de l’abbaye de St Félix de Montceau à Gigean

ABBIMG_3892

Comme il le fait chaque année depuis plus de 35 ans, le Rotary Club de Sète a remisà Luc Routier, Président de l’Association de Sauvegarde de l’Abbaye de St Félix de Montceau, un chèque de 500 euros, somme symbolique pour aider l’association à poursuivre son précieux travail de préservation de l’édifice datant de l’époque médiévale.

L’argent versé permettra d’acheter du petit matériel d’entretien et quelques matériaux. Le précédent don du Rotary a contribué à la réalisation du jardin des méditations, un lieu reposant, au centre duquel trône un jeune ginko biloba, l’arbre aux 1000 écus

Témoin de l’histoire religieuse et sociale de notre région, perché au sommet d’un des monts du massif de la Gardiole, l’abbaye de St Félix de Montceau doit sa survie au travail de préservation des bénévoles de l’association. Sans leur détermination l'abbaye des moniales Bénédictines dont l’origine remonte à la fin du 11ème siècle, aurait disparu sous l’effet du temps, de la végétation et les éléments météorologiques.ABBIMG_3846

Un lieu magique aussi pour la vue qu’il offre sur la chaine des Pyrénées, les étangs et le Mont St Clair. Et ce dimanche 13 juin l’abbaye accueillera sa grande fête médiévale annuelle avec de nombreuses animations ; reconstitution d’un village médiéval, archerie, combat d’épées, tente du Roi, frappe de monnaie, etc. Une belle occasion pour découvrir le site.

Un lieu placé sous la protection de « Notre Dame de la Gardiole », sculpture de bois réalisée par Gérard Rethoré, membre du Rotary club de Sète.

ABBIMG_3928

OXO, la bonne pâte, 2.5 ans, est à l’ADOPTION !

Thau-Infos.fr en partenariat avec l'association APAVH propose régulièrement un chien ou un chat pour une adoption qui doit toutefois être un engagement réfléchi. L'association APAVH se bat au quotidien afin d’aider les animaux en détresse, pour leur trouver de bons maîtres et leur offrir une seconde chance.

"Tous les jours, nous sommes appelés pour des situations d' urgence : soins, abandon, maltraitance, négligence…

Nous sauvons les animaux grâce à des familles d'accueil qui s'occupent bénévolement de nos petits protégés, le temps de leur trouver
une famille d'adoption définitive. Tous nos animaux sont vus par un vétérinaire, nous les faisons identifier, vacciner et stériliser.

Ils sont ensuite proposés à l'adoption." Toutes ces actions coûtent cher, et l'association ne reçoit aucune subvention et fonctionne uniquement grâce aux dons et à la solidarité.

 
"Ceci n’est possible que grâce à vous, c’est pourquoi nous faisons appel à votre générosité pour des dons financiers ou matériels (croquettes, litière, colliers/laisses, jouets, médicaments…), et humain pour du bénévolat ! Grâce à votre soutien nous pouvons continuer nos actions.

  OXO, la bonne pâte, 2.5 ans, est à l’ADOPTION

 oxo5555Capture

Avec sa bouille de premier de la classe, ce jeune chien est aussi un amour. 
C'est à la suite d’une séparation que nous avons pris en charge Oxo, son maître ayant des horaires totalement incompatibles avec le fait d'avoir un chien. 
 
oxoCaptureIl a bien tenté au début de le laisser dans sa voiture et de le sortir entre midi et deux, mais cela ne pouvait durer... 
Oxo a retrouvé la vie qu'il connaissait "avant", il est en famille d’accueil avec des enfants mais aussi avec une autre chienne Cane Corso qui fait presque deux fois son poids ! 
 Ces deux-là s’entendent comme larrons en foire, Oxo aime la compagnie des autres chiens avec qui il adore jouer, il s'entend avec les mâles comme avec les femelles. 
Les chats sont aussi ses amis. 
 
En balade c'est un bonheur car il a un excellent rappel. Croiser les autres chiens est un plaisir. 
 
"Oxo est un grand chien gentil et affectueux, très doux, même si dans le jeu il vaut mieux ne pas rester au milieu ! 
Nous recherchons pour lui une famille dans l'idéal avec des enfants car il les adore, une maison avec un jardin sont indispensables à son bien-être. La présence d'un autre chien serait un plus, quant à la vôtre, elle est indispensable : ce chien-là est un vrai compagnon de vie."
 
Sur le site : https://www.apavh.com/oxo-2021
Contact : 06 58 73 25 62
 

Communiqué de Générations Futures : Interpellez vos sénateurs pour qu'ils interdisent les PFAS !

pfaCapture

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Communiqué de Générations Futures : Interpellez vos sénateurs pour qu'ils interdisent les PFAS !

Interpellez vos sénateurs pour qu'ils interdisent les PFAS !
 
 
Le 14 juin, les membres du Sénat vont débattre dans le cadre du Projet de Loi de Lutte contre le dérèglement climatique. Ce sera l’occasion de voter en faveur de l’interdiction de substances chimiques dangereuses, polluantes et persistantes.
Pour rappel, nous avons dernièrement publié une enquête dénonçant la présence de PFAS, des substances toxiques et extrêmement persistantes, dans certains emballages et contenants alimentaires. A la suite de cette publication, des Sénateurs du Groupe Ecologiste Solidarité et Territoires se sont saisis de cette problématique des substances perfluorés qu’ils ne connaissaient pas, et ont décidé de déposer des amendements dans le cadre de la Loi « Climat » débattue lundi au Sénat. Ils demandent l’interdiction de ces substances chimiques dangereuses.
 
Nous disposons de quatre jours pour interpeller au maximum nos élus pour leur demander de soutenir les amendements ci-dessous visant à l’interdiction des PFAS :
>n°456 : interdiction dans les matériaux au contact de denrées alimentaires dès 2023.
>n° 457 : interdiction dans l’industrie du textile dès 2023.
>n°458 : interdiction pour tout le reste dès 2030.
>n°521 : demande d'un rapport des eaux et des sols contaminés + de solutions de dépollution.
>n°842 : contrôle sanitaire de la qualité des eaux destinées à la consommation humaine.
 

Candidatures à l'élection départementale sur Sète : le binôme Josiane Amarger - Laurent Hercé, c'est officiel

quaCapture

 Josiane Amarger et Laurent Hercé ont déposé leur candidature en préfecture pour le canton de Sète (Départementales).

Leur candidature est soutenue par 6 formations politiques de gauche.
Elle est constituée autour du partenariat entre Europe Ecologie Les Verts (EELV), et les radicaux de gauche, et soutenue par Génération Ecologie, Génération-S, Cap Ecologie, et la Gauche Républicaine et Socialiste (GRS).

Les titulaires pour cette candidatures
Josiane Amarger, société civile, représentant les associations écologistes locales,
Laurent Hercé, EELV, élu municipal d'opposition à Sète.

 
Les remplaçants sont :
Marie-Thérèse Mattera, EELV, médecin généraliste à Sète
Jean-Pierre Louvel, Radicaux de Gauche, Relations publiques en lien avec le milieu associatif coordination communication

Cette candidature est axée sur la solidarité, l'écologie, et l'envie d'offrir une alternative apaisée.


300 personnes aujourd’hui devant la préfecture de Montpellier pour la mobilisation des psychologues

Plus de 300 personnes aujourd’hui devant la préfecture de Montpellier pour la mobilisation des psychologues
 
 
Leurs revendications :
. l’accès direct du public aux consultations des psychologues
. La création des postes dans les CMP, EHPAD et services hospitaliers
. L’abrogation du décret 2018-1297 relatif au parcours de bilan et intervention précoce pour les troubles du neuro-développement
. Le retrait du projet de loi visant la création d’un ordre des psychologues
. Le respect de l’autonomie dans le choix des méthodes et outils
. L’intégration dans les négociations du Ségur

LUNDI DU CPIE

 Pour votre live de ce soir à 18h, nous vous donnons rendez-vous avez Annie Lafourcade et François Sichel de BioObs (Base pour l’inventaire des observations subaquatiques).
Découvrez comment participer à l’observation et l’étude des espèces observées lors de vos plongées en mer et en lagune.Peut être une image de texte qui dit ’LUNDI DU CPIE EN LIVE! Surveillez la mer et la lagune en plongée avec BioObs’
Un programme à retrouver dans le réseau Les Sentinelles de la Mer Occitanie
Un live animé par Florian du CPIE Bassin de Thau

Entretien politique Avec Christophe Euzet Député Agir de la 7eme Circonscription de l’ Herault

Entretien politique Avec Christophe Euzet Député Agir de la 7eme Circonscription de l’ Herault

 Comment percevez-vous l’échéance électorale qui approche ?
"Je fais partie de ceux qui n’étaient pas favorables au maintien de ces élections. Les gens ont autre chose en tête. Mais les vieux partis ont milité pour qu’il en aille autrement. Dont acte."


On vous disait partant aux départementales dans les PO. Qu’en est-il ?


"J’avais dit qu’il était possible que j’y sois candidat en effet, dans la mesure où le Premier ministre et le ministre de l’attractivité économique des territoires, Franck Riester (pour Agir), m’avaient demandé de suivre l’affaire de près, pour contribuer à une éventuelle union élargie entre les forces du centre et de la droite, autour de la majorité, cela afin de freiner l’ascension du rassemblement national. Etant donné que ce rapprochement s’est avéré impossible et que je n’ai plus aucune valeur ajoutée à apporter à la situation qui se dessine désormais, je ne serai pas candidat aux prochaines élections départementales."


Les pourparlers ont échoué ?


"Il est impossible de discuter sérieusement avec une formation au sein de laquelle les gens ne représentent plus qu’eux-mêmes et qui n’a plus aucune ossature. Le parti LR est coupé en deux mais refuse obstinément de disparaître. Il existe pourtant bien, en son sein, deux tendances politiques fondamentalement opposées : celle qui s’approche de nos idées (européistes, humanistes, libérales, réformistes) et celle qui n’a plus aucune réticence à s’associer aux thèses extrêmes du RN. Avec les seconds, nous n’avons rien à nous dire. Mais quand on discute avec les premiers, les seconds sont toujours en embuscade, prêts à s’associer avec le RN pour conquérir les postes de pouvoir ; au final, on sait jamais vraiment à qui l’on s’adresse. Pas question de s’accorder avec un parti qui ne contrôle plus la moitié (au moins) de ses troupes."EUZET OFF(8)


De l’extérieur, on le perçoit pourtant moins nettement que ce que vous en dites…


"On en a l’illustration un peu partout, et cette fois, je parle du pays tout entier, mais surtout de l’Hérault où je suis bien sûr très impliqué. Les partis d’ancien régime, comme Les Républicains ou les socialistes, fonctionnent encore selon les mêmes méthodes qui ont conduit à leur éviction du pouvoir en 2017. La navigation sous-marine, les louvoiements, l’esquive, la stratégie du pourrissement, des paroles non tenues, le sort réservé à des personnes qui se sélectionnent elles-mêmes au coeur d’un microcosme de la taille d’une cabine téléphonique, sont systématiquement privilégiés aux idées, aux programmes et au devenir des gens et des territoires qu’ils sont censés représenter… Ils n’ont absolument rien retenu de la leçon électorale qu’ils ont reçue en 2017 et espèrent toujours, c’est en cela qu’ils sont réellement conservateurs, le retour de l’ancien temps, celui dans lequel ils régnaient paisiblement… Ce temps-là vit pourtant aujourd’hui sa dernière représentation."


Pourquoi la majorité ne parvient-elle pas à s’implanter localement dans ces conditions ?


"D’abord, bien sûr, parce qu’une implantation locale demande par nature beaucoup de temps : ceux qui sont là depuis longtemps s’accrochent de toutes leurs forces aux réseaux
de tous les gens qui leur sont redevables. Ils veulent rester à la barre et sur le pont du navire, même s’il s’agit du Titanic. Après eux, le déluge. Mais cela tient également à des raisons structurelles, sur lesquelles chacun devrait s’interroger, dans la majorité, bien sûr, mais bien au-delà."


C’est-à-dire ?


"Il faut porter un regard lucide sur ce qui se passe dans notre pays depuis quelques années et commencer à nous projeter collectivement vers l’avenir. Voici la lecture que j’en ai : lorsque nous sommes arrivés en 2017, nous étions en quelque sorte des «représentants des gilets jaunes avant l’heure ».


Mais encore ?!


"Je veux dire par-là qu’en nous portant au pouvoir, les français ont manifesté la volonté claire de rompre avec la classe politique en place. Or, depuis ce moment, toute l’infrastructure résiste de toutes ses forces pour rétablir l’ordre ancien."


Précisez…


"L’arrivée de députés issus de la société civile à l’assemblée nationale a provoqué une hostilité immédiate de la haute administration centrale, qui nous a perçus comme un corps étranger, donc à combattre. La grande bureaucratie parisienne a vu en nous un danger immédiat et s’est refermée sur elle-même pour se préserver. Les formations politiques traditionnelles ont tiré à boulets rouges sur ces nouveaux venus indésirables qui avaient renversé la table et pris ce qu’ils considéraient comme leur propriété. Les élus territoriaux ont eu la même réaction, dans une configuration différente, mais tout aussi violente. Les baronnies locales ont tremblé sur leurs bases et n’ont eu de cesse de décrédibiliser l’action des intrus et de mettre à bas toutes les tentatives de réformes institutionnelles. L’idée a été martelée et relayée sans relâche, que les nouveaux venus étaient incompétents : un vrai travail de sape orchestré par les extrêmes (LFI, RN) et relayé par ceux qui avaient été évincés (LR, PS)… sans aucune conscience du choix des électeurs et sans aucun sens des responsabilités au regard du devenir du pays."


C’était le cas ?


"Pas du tout. Être novice signifie être inexpérimenté : en aucun cas que l’on est mauvais ou incompétent. Or, c’est sur cette confusion qu’a joué tout le système. Il y avait peut-être, comme partout, des éléments un peu plus fragiles que d’autres, mais pas plus qu’ailleurs (et en tout état de cause, pas plus qu’avant !). Globalement, la majorité parlementaire est composée de gens tout à fait capables d’exercer les compétences pour lesquelles ils ont été élus.
Pourquoi cet acharnement alors ?
C’est là que se situe la vraie question, celle du déni du vote populaire et de la confiscation de la démocratie. Le système s’est tout entier mobilisé pour ne pas permettre l’éclosion d’un nouveau personnel politique et pour refuser le changement appelé de ses voeux par le peuple français."


C’est de bonne guerre, non ?


"Oui et non. Les vieux partis se sont sentis expropriés, ils ont réagi avec hostilité pour récupérer ce qu’ils considéraient comme leur dû. Cela, si j’ose dire, est à peu près normal
en politique. Ce qui est plus ennuyeux, c’est qu’ils ne proposent depuis lors qu’un retour à « la normale », c’est-à-dire à la situation « d’avant » notre arrivée."


Et?
"Eh bien, cela est un pur déni de démocratie. Le peuple a voté pour que les choses changent fondamentalement : surtout pas pour qu’elles redeviennent « comme avant ». Et l’on sait très bien, au regard de l’histoire, ce qui se passe quand un système refuse obstinément ce que lui demande la société. Elle se crispe, se tend, jusqu’à l’implosion et l’ouverture de périodes troublées. J’ai souvent l’impression que nous sommes dans les années 1780… On ne peut pas refuser durablement aux peuples ce qu’ils appellent de leurs voeux."

Comment voyez-vous l’avenir dans ce contexte ?

"Nous allons vivre une nouvelle consultation électorale en trompe l’oeil : les formations politiques comme « les républicains » à droite ou « le parti socialiste » à gauche, n’en finissent pas de mourir et vont probablement, pour la dernière fois, tirer un menu avantage de leur implantation historique. Certains vont même penser (ils le pensent déjà, à tort) que la parenthèse réformiste va se refermer (ils s’en réjouissent parfois par avance, sans aucune modestie). Mais comme les partis traditionnels sont par ailleurs dans l’impossibilité totale de renouveler leur personnel politique (aujourd’hui vieillissant et famélique) et qu’ils n’offrent plus la moindre perspective ou un quelconque projet de société (au-delà des seules personnes qu’ils ont vocation à promouvoir), ils vont assurément concéder beaucoup de terrain aux votes qui incarnent les nouvelles utopies (l’écologie politique irraisonnée, chez EELV) ou les anciennes (la solution nationaliste, qui est incarnée par le Rassemblement National, n’apporte pourtant de son côté aucune solution concrète aux problèmes qu’elle dénonce…)."

 

Et la majorité dans tout cela ?


"Le moment est peu propice à son renforcement aux départementales, où les appareils résistent au changement en s’appuyant sur leurs réseaux de maires. Son sort sera probablement plus confortable aux régionales, où des candidatures comme celles de Vincent Terrail-Novès trouveront j’en suis sûr leur public d’électeurs. Mais l’heure de grâce de la majorité reviendra très bientôt : en 2022, le pays devra une nouvelle fois se choisir un avenir. Historiquement, le retour à un point zéro est rarissime. On ne revient jamais au de départ. Le retour aux « vieux partis » et à leurs méthodes passéistes est donc très peu probable ; il n’apporterait de toute façon qu’un nouvel engrais à la crise majeure qui nous menace, car ils n’ont rien d’autre à proposer que de conserver leur personnel politique obsolète. Le « fascisme vert » ne saurait constituer un projet de société crédible : le retour à la calèche, séduisant dans l’absolu, peinera toujours à convaincre le grand nombre d’un peuple avide de progrès. Le « fascisme rouge », lui, ne mérite même plus que l’on commente ses dérives bien connues."


Restera le RN alors ?


"Il restera, bien sûr, le Rassemblement national. Il n’a lui non plus aucune vision d’avenir : seulement des perspectives politiques individuelles pour une bonne partie des LR d’aujourd’hui (les autres nous rejoindront au centre démocratique) et des formules passe-partout pour conquérir les électeurs à moindre frais ... Le RN repose uniquement sur l’idéalisation du passé et le recours à des fantasmes qui ne nous apporteraient assurément rien de bon, notamment celui du repli souhaité sur un pays-confetti (l’hexagone), à l’heure
des mastodontes (USA, Russie, Chine…). Comment croire sérieusement que l’on puisse être plus fort tout seul ? Mais le fantasme a toujours sa part de rêve, il est attractif et il faudra lui opposer un réalisme de chaque instant. Voilà le combat de demain, vers lequel nous précipitent sans ménagement les manoeuvres grossières du parti LR aujourd’hui, qui prétend ne se distinguer du RN que par son aptitude à gouverner… Le voile se lève !"


Il vous restera quand même une carte à jouer ?
"Il restera une place prépondérante, oui, pour ceux qui défendent les vertus de la démocratie, les valeurs d’une Europe forte, d’une société orientée vers le progrès maîtrisé, du retour de l’humain au coeur de la vie sociale et l’importance des grands projets d’avenir, comme celui de la conquête spatiale. Pour ceux, en d’autres termes, qui veulent faire avancer notre pays et non pas le détruire afin de régner sans concurrence sur un champ de ruines. Tous ceux-là trouveront leur électorat en 2022, j’en suis persuadé."


Cela signifie-t-il que vous serez, personnellement, candidat à votre succession ?


"Cela signifie que ceux qui nous enterrent déjà vont un peu vite en besogne et qu’ils connaissent mal les enseignements de l’Histoire. Cela signifie également qu’ils sous-estiment gravement notre capacité de résistance et qu’il n’ont pas encore compris la volonté profonde de changement exprimée par les français en 2017, qu’ils s’emploient de toutes leurs forces à refuser. Nous sommes au travail. Plus que jamais. Au service de nos compatriotes. Pour leur avenir et celui de nos enfants. Pas pour rétablir les privilèges de ceux qui nous ont précédés. Je prendrai ma part dans ces combats : il nous faudra dominer les extrêmes en mettant à bas une deuxième fois le monde politique d’ancien régime qui refuse de regarder l’avenir en face, en espérant que ce sera la dernière. Le coup de pied dans la fourmilière en 2017 n’a pas suffi. Il faudra renouveler l’assaut en 2022. Et s’assurer, cette fois, que ce sera le bon !"

Rassemblement organisé par le collectif du 12 juin à 10h30 place de la mairie à Sète

Rassemblement organisé par le collectif du 12 juin à 10h30 place de la mairie à Sète "Pour nos libertés et contre les idées de l'extrême droite".

 

 

HAINCapture

communiqué intersyndical de la CGT FApt, Sud, Fo.

Communiqué intersyndical de la CGT FApt, Sud, Fo

"Après avoir félicité les “héros essentiels à la nation”, “les premiers de corvée” et remis la notion de service public pendant la pandémie, la direction de la Poste passe à l’offensive et annonce une attaque massive contre tous les métiers dans le cadre de son nouveau plan stratégique 2021-2030.
Les projets de la direction de la Poste sont si violents et nombreux, que pas un secteur n’échappe aujourd’hui à la colère !!!"fapt22Capture

 

"Entre les réorganisations des services (1000 à la distribution au national), les suppressions de bureau de Poste, la précarité qui monte, les changements divers et varies dans les missions de service public des postier-e-s, le gel des salaires et des embauches, l’entrée de la sous-traitance pour le traitement des colis, la suppression de l’intéressement…il y a de nombreuses raisons pour les postier-e-s de rentrer dans l’action le 18 mai."

"Dans le même temps les dirigeants du Groupe voient leurs rémunérations augmenter pendant la crise de la Covid !
La volonté du Groupe d’imposer brutalement « ses vues » se fait au prix du pouvoir d’achat des postier-e-s avec des conditions de travail qui se dégradent de jour en jour à tel point que de nombreux collègues y laissent leur santé. La Poste devient une « usine à inaptitude »."


La conséquence directe est l’impact sur le service public dans tous les territoires…
Les usagers vont, au travers de ces projets néfastes, payer la facture d’une gestion de plus en plus approximative !
Par conséquent nos organisations syndicales appellent à être en grève et présent le 18 mai à

- Rondelet : à partir de 7h piquet de grève devant le centre de distribution courrier et à partir de 10h cortège de Rondelet jusqu’à la Place de la Comédie.
- Roujan : 10h devant le bureau de Poste (guichet)
Contact: CGT: M Hamza ZAÏRI 06.83.95.43.89
SUD : M Marc GODARD 07.81.96.63.94
FO : M Christophe SARTRE 06.31.84.71.78

Samedi 12 juin , CIVAM Racines vous propose un atelier autour des plantes !

 Une herboriste vous livrera ses secrets sur les plantes que vous pouvez trouver en milieu naturel et qui ont des vertus médicinales.
Rendez-vous à 10h sur la Gardiole près de l'Abbaye de Gigean.
6 euros adulte, 3 euros enfant.
 Uniquement sur réservation au 06 95 53 78 81.
Peut être une image de texte qui dit ’BASSIN DE THAU Entre Agune CIVAMR Racines SORTIE NATURE DES PLANTES QUI SOIGNENT 12/06 à 10h sur la Gardiole. Payant. Infos et réservations 06.95.53.78.81 HONEWEERNE Mctane Herault’

Assemblée générale du FC Sète

Assemblée générale du FC Sète :Aucune description de photo disponible.

Le « Y’ a qu’à, faut qu’on », plutôt le « HAKA » des Gardiens de Thau

Communiqué de Catherine Chauzit, Présidente des Gardiens de Thau, ses ports, sa lagune.

 

"Les jets de mégots et de déchets, parlons-en ! Un incivisme quotidien, dont nous sommes chacun témoin. Un mégot jeté par terre si difficile à ramasser dans les rues surtout entre les pavés comme sur les plages, génère une pollution à la fois visuelle et environnementale. En parvenant jusqu’à la mer via les avaloirs ou les égouts, il est devenu le premier responsable de la pollution des océans, dépassant tout le reste, c’est pour dire... Petit déchet, grande pollution. Sans compter le coût de ces incivilités sur le domaine public."

 yakaDSCF2232

"Mais pourquoi diable les fumeurs jettent-ils leurs mégots par terre ? Impatients de s’en débarrasser, ils paraissent toujours ahuris quand on leur fait la remarque : « je l’ai jeté sans y penser » ou « il n’y a pas de cendriers à proximité ». Un geste banal pour le fumeur-pollueur qui pense même que le mégot est biodégradable. Est-ce normal de continuer à voir dans les films récents les acteurs en gros plan jeter leurs mégots de cigarettes après une dernière taffe sans même se donner la peine de les écraser avec leur chaussure? Nous ne sommes plus à l’époque des films noirs des années 50. Si même la culture ne fait aucun effort pour nous aider à changer les mentalités, nous sommes mal barrés. Bref, on laisse le fumeur agir de cette façon sans aucune pression sociale, en toute impunité car rares aussi sont ceux qui vont réagir quand celui-ci jette son mégot à terre."

 

"Alors quoi faire ? Comment lutter contre l’incivisme ? Vous savez, le manque de respect du citoyen pour la collectivité dans laquelle il vit et de ses conventions, dont notamment ses lois. Dans certaines villes, jeter son mégot peut coûter jusqu’à 180 euros, ça fait cher la clope ! Alors, on sensibilise les fumeurs-pollueurs ou on les sanctionne sans sommation ?"

"Ici, à Sète, il n’y a à ma connaissance ni répression ni sensibilisation. On s’appuie par défaut sur les citoyens bénévoles pour éradiquer les incivilités, vous savez, ceux qui mènent par exemple des actions de nettoyage sur la plage ...

« Des actions valorisantes pour les personnes engagées », allez-vous me dire...Personnellement je kiffe pas ! Mais en tant qu’associatifs, être de vrais ambassadeurs sur les politiques à mener, ah oui ça on aime bien .

 

Bref, comment alors encourager les fumeurs à jeter leurs mégots aux bons endroits, c’est à dire dans les cendriers ? 

En commençant par lancer une opération de sensibilisation ; À Sète, il faut lancer une campagne «coup de poing» de communication et de sensibilisation auprès des fumeurs;"

"En déployant des dispositifs visant à limiter les jets de mégots par la mise en place de poubelles assorties de cendriers le long des plages et sur les trottoirs du centre-ville et des quartiers mais aussi dans les parcs (trop rares à mon goût) sans oublier la forêt des Pierres Blanches, ce qui permettraient aux fumeurs de jeter leurs mégots sans risque de combustion;

En distribuant des cendriers jetables sur les plages et dans les principaux points publics durant l’été (un projet non abouti par manque de volonté des politiques qui reste d’ailleurs toujours en travers de la gorge des Gardiens de Thau ...)

Ou en dernier recours, rendre les plages non-fumeurs..."

"Et pourquoi pas responsabiliser les établissements privés sous convention ou non pour une gestion des déchets produits par leur clientèle ou leurs employés en les aidant à placer par exemple des cendriers urbains à la sortie de leurs établissements ou commerces.

Allez, j’arrête avec Allez, j’arrête avec les « y’a qu’à, faut qu’on » !

Tout ça pour dire que pour une vraie lutte contre l’incivisme, il faut une volonté politique. Nous, chez les Gardiens de Thau ce qui nous importe, c’est la protection de l’environnement mais pas forcément à n’importe quel prix (si !?). Le but c’est de ramasser de moins en moins de déchets et que les autorités quelles qu’elles soient, nous accordent un peu de considération et une oreille attentive quand il nous arrive d’avoir une bonne idée...

 Mais, au fait, il y a les jets de mégots, mais il y a aussi les jets de cannettes, l’envie pressante que l’on soulage en urinant sur la voie publique, les nuisances sonores générées par nos 2 roues, le stationnement sur un emplacement réservé aux personnes à mobilité réduite sans oublier le fait de ne pas ramasser les déjections de son chien sur la voie publique. Stop, stop ! Ce ne sont pas les incivilités qui manquent pour s’exprimer à nouveau sur le sujet ..."

Par Catherine Chauzit, Présidente des Gardiens de Thau, ses ports, sa lagune.